Caroline ... De L'Abandon À La Soumission ...

Depuis les révélations de C sur les aventures sexuelles de Carole, mon ex femme, mes nuits sont souvent peuplées de rêves érotico pornographiques durant lesquelles mon inconscient met en scène les récits du délateur. Ces rêves sont si réels : j’y revois précisément mon ex … ce corps et ses détails les plus intimes, dans des situations obscènes … ses expressions, ses attitudes, son regard, sa voix ….
Et je me réveille avec un sentiment ou se mélangent l’excitation, le désir, la rancœur, le dégoût et la haine …

Après l’après midi ou JP et C avaient soumis Carole à quelques jeux pervers, C me raconta d’autres anecdotes croustillantes.
Il arrivait assez souvent que durant les heures de service, la chaude infirmière soit prise à partie par l’un ou l’autre, voire parfois les 2 en même temps dans quelques recoins peu fréquenté de l’établissement hospitalier … quand le désir harcelait les 2 hommes en blanc, un sms, un clin d’œil et un signe de tête, un message glissé au creux de l’oreille de Carole, et leur docile collègue les retrouvaient à l’endroit convenu… pour un petit moment de débauche …

Durant plusieurs semaines, carole avait tenu bon et maintenue la règle établie initialement : pas de pénétration…

Dès qu’elle était seule avec l’un d’entre eux, à leur demande, les pressions de la tunique sautaient et un bonnet du soutien gorge était baissé pour qu’ils puissent contempler sa poitrine..
Ou après avoir vérifié que personne ne traînait dans les parages, elle baissait son pantalon blanc et son string pour exhiber sa vulve, variant les positions, tantôt debout, les jambes écartées… tantôt penchée en avant, la croupe cambrée la chatte offerte… parfois même elle écartait ses grandes lèvres à la demande de C et/ou de JP, pour qu’ils puissent observer ses chaires intimes … parfois elle introduisait un doigts dans sa chatte et se masturbait quelques secondes face à eux …
Il arrivait même que les 2 salopards lui confient un stylo, un feutre, qu’elle avait pour consigne d’imbiber de cyprine et de leur rendre après coup … Ils pouvaient ainsi sentir l’odeur de son sexe et gouter à son nectar …
Ils l’obligeaient également à leur apporter à chacun certain matin un string usagé de la veille (Carole ne porte QUE des strings) en veillant bien à ce qu’il soit Souillé du smegma de la belle et si elle pouvait éviter d’éponger son urètre après avoir uriné afin que quelques gouttes de pisse salisse et parfume également le tissu, ça n’en était que mieux !
L’échange se faisait discrètement : le sac plastique fermé était déposé par la blonde infirmière, dans une cachette connue uniquement des 3 compères …
Les deux lascars récupéraient leur colis et pouvaient s’isoler pour humer ses pertes de la veille … goûter du bout de la langue, le dépôt poisseux salissant le tissus …

Je ne pouvais les blâmer, moi-même j’adorais à l’époque m’enivrer des odeurs fortes qui émanaient de ses strings … je me délectais des friandises aigres douces nichées dans les plis du tissus… j’aimais à respirer à plein nez ses dessous usagers.


Tout en me masturbant, je léchais les dépôts blanchâtres collés au string puis lorsque l’excitation montais, je finissais par les sucer voluptueusement jusqu’à ce qu’un jus gouteux, corsé, emplisse ma bouche … ensuite, après avoir gouté les saveurs volées à ma femme, je déglutissais …. Fallait bien trouver une alternative ma pauvre dame, mon pauvre monsieur … elle me délaissais au profit de ses jeux hospitaliers (je le sais à présent …)

JP et C s’étaient équipés d’un œuf vibrant avec commande à distance …. Ils obligeaient de temps à autre leur petite salope de collègue à l’introduire dans son conduit vaginal pendant son service (elle rechignait rarement) …. Ils s’amusaient à l’activer par surprise …. A faire varier l’intensité des vibrations.
Ce qu’ils préféraient était d’activer l’œuf lorsque carole s’était engagée dans une discussion sérieuse avec un collègue de passage ….. Ils s’amusaient de la voir lutter pour ne pas blêmir, pour ne pas gémir lorsque l’objet intrus s’animait dans son intimité. Ils la voyaient rougir lorsqu’ils montaient l’intensité des vibrations … parfois ils se retrouvaient dans une réserve délaissée ou trônaient du mobilier obsolète, et carole, excitée par la stimulation vaginale, répondait à leurs demandes …
- « sors tes nichon et masse les »
- Baisse ton pantalon, ouvre ta chatte et caresse ton clito
- Colle toi un doigt

Et il la regardait gémir, frétiller sous ses propres caresses jusqu’à l’orgasme, en se masturbant.

Toute pénétration directe étant toujours prohibée, ils avaient pris l’habitude parfois, de vider leurs couilles sur une table qui gisait dans la réserve. Carole devait ensuite nettoyer le plateau avec sa bouche. Ce que, selon son humeur du jour, elle acceptait de faire.
Alors toujours débraillée, elle se penchait au dessus des amas de spermes mêlés de ses 2 amis et, retenant ses cheveux sur le côté afin qu’ils jouissent du spectacle, elle lapait à petit coup de lange, elle aspirait, par des « slurp » vulgaires jusqu’à la dernière goutte ….
. Lorsqu’elle avait tout butiné, elle devait ouvrir la bouche et montrer sa récolte qu’elle avait interdiction d’avaler avant leur autorisation. C’est à leur demande qu’elle déglutissait enfin… et se délectait de leur jus, en lâchant une expiration satisfaite et un rire coquin …

Un jour qu’une collègue avait offert une boîte de friandises, les 2 lascars avaient choisi chacun une sucette. Alors qu’ils étaient en train de la déguster, une idée leur vint… ils convoquèrent donc leur soumise à l’endroit habituel et exigèrent d’elle qu’elle introduise leur sucette dans son sexe pour les humecter de ses sécrétions vaginales… Amusée par l’idée, elle s’exécuta. Elle baissa le pantalon de sa tunique et son string, s’assis sur le bord de la table de la fameuse réserve, écarta les cuisses, avec deux doigts d’une main disposés de part et d’autre de sa chatte, pressa pour qu’elle s’entrouvre … Elle introduisit l’une après l’autre les friandises dans son vestibule, puis plus profondément dans son vagin, faisant tourner le frêle bâton entre le pouce et l’index, pour récupérer suffisamment de sa liqueur intime.
Elle rendit les sucettes à ses deux amis qui dégustèrent avidement le bonbon.

Après coup, ils eurent l’idée de confectionner à carole une glace un peu particulière : Ils utilisèrent un bouchon de bouteille de lait dans lequel ils firent une encoche, pour y disposer un bâton de barre glacée. Ils se masturbèrent et recueillirent leur semence dans le bouchon, qu’ils placèrent au congélateur. A l’occasion d’un rendez vous chez JP après le travail, pour prendre un café, ils offrirent la crème glacée à la salope qui s’en délectât devant eux tout en se caressant, en s’offrant à la vue des deux pervers….

Les deux compères avaient fait de ma futur ex femme, une véritable salope, une chienne soumise et docile, dévergondée à souhait. Un objet de leurs plaisirs les plus lubriques … et elle adorait cela, se prêtant volontiers à leur caprices les plus fous… elle en redemandait parfois !

Il arrivait souvent que le fameux JP appelât parfois au téléphone, l’infirmière rentrée chez elle, ou en repos, ou en vacances.
Même en ma présence ! Elles s’isolait alors, prenant pour prétexte que le pauvre dépressif avait besoin de parler, qu’elle était son seul soutien … Ils s’adonnaient alors à des jeux érotiques par téléphone, je l’appris après.
Elle se caressait en direct, décrivant ce qu’elle se faisait … leur conversations duraient de longues minutes … lorsque parfois j’arrivais dans la pièce où elle s’était retirée, la conversation paraissait anodine … Je me souviens de plusieurs soirs où je la retrouvais au lit, nue sous la couette, en pleine conversation avec le salaud… je sais à présent qu’elle devait être en train de se fourrer les doigts dans sa grotte vaginale, de se branler profondément de ses doigts longs, de s’agacer le clitoris jusqu’à l’orgasme, pendant que son ami l’encourageait à distance… lorsque leur conversation était terminée, je demandais de ses nouvelles … Le pauvre, il était si mal …
Parfois je me plaignais … n’avait il pas d’autres soutiens ? … marre de leur relation qui me semblait de plus en plus malsaine, marre de partager ma femme, qui me délaissait de plus en plus …. J’étais bien loin du compte…

Carole, quelle salope ! Comment ai-je pu être aussi idiot, aveugle ? l’amour sans doute … car je l’aimais …

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