Caroline ... De L'Abandon À La Soumission ...
Depuis les révélations de C sur les aventures sexuelles de Carole, mon ex femme, mes nuits sont souvent peuplées de rêves érotico pornographiques durant lesquelles mon inconscient met en scène les récits du délateur. Ces rêves sont si réels : jy revois précisément mon ex
ce corps et ses détails les plus intimes, dans des situations obscènes
ses expressions, ses attitudes, son regard, sa voix
.
Et je me réveille avec un sentiment ou se mélangent lexcitation, le désir, la rancur, le dégoût et la haine
Après laprès midi ou JP et C avaient soumis Carole à quelques jeux pervers, C me raconta dautres anecdotes croustillantes.
Il arrivait assez souvent que durant les heures de service, la chaude infirmière soit prise à partie par lun ou lautre, voire parfois les 2 en même temps dans quelques recoins peu fréquenté de létablissement hospitalier
quand le désir harcelait les 2 hommes en blanc, un sms, un clin dil et un signe de tête, un message glissé au creux de loreille de Carole, et leur docile collègue les retrouvaient à lendroit convenu
pour un petit moment de débauche
Durant plusieurs semaines, carole avait tenu bon et maintenue la règle établie initialement : pas de pénétration
Dès quelle était seule avec lun dentre eux, à leur demande, les pressions de la tunique sautaient et un bonnet du soutien gorge était baissé pour quils puissent contempler sa poitrine..
Ou après avoir vérifié que personne ne traînait dans les parages, elle baissait son pantalon blanc et son string pour exhiber sa vulve, variant les positions, tantôt debout, les jambes écartées
tantôt penchée en avant, la croupe cambrée la chatte offerte
parfois même elle écartait ses grandes lèvres à la demande de C et/ou de JP, pour quils puissent observer ses chaires intimes
parfois elle introduisait un doigts dans sa chatte et se masturbait quelques secondes face à eux
Il arrivait même que les 2 salopards lui confient un stylo, un feutre, quelle avait pour consigne dimbiber de cyprine et de leur rendre après coup
Ils pouvaient ainsi sentir lodeur de son sexe et gouter à son nectar
Ils lobligeaient également à leur apporter à chacun certain matin un string usagé de la veille (Carole ne porte QUE des strings) en veillant bien à ce quil soit Souillé du smegma de la belle et si elle pouvait éviter déponger son urètre après avoir uriné afin que quelques gouttes de pisse salisse et parfume également le tissu, ça nen était que mieux !
Léchange se faisait discrètement : le sac plastique fermé était déposé par la blonde infirmière, dans une cachette connue uniquement des 3 compères
Les deux lascars récupéraient leur colis et pouvaient sisoler pour humer ses pertes de la veille
goûter du bout de la langue, le dépôt poisseux salissant le tissus
Je ne pouvais les blâmer, moi-même jadorais à lépoque menivrer des odeurs fortes qui émanaient de ses strings
je me délectais des friandises aigres douces nichées dans les plis du tissus
jaimais à respirer à plein nez ses dessous usagers.
Tout en me masturbant, je léchais les dépôts blanchâtres collés au string puis lorsque lexcitation montais, je finissais par les sucer voluptueusement jusquà ce quun jus gouteux, corsé, emplisse ma bouche
ensuite, après avoir gouté les saveurs volées à ma femme, je déglutissais
. Fallait bien trouver une alternative ma pauvre dame, mon pauvre monsieur
elle me délaissais au profit de ses jeux hospitaliers (je le sais à présent
)
JP et C sétaient équipés dun uf vibrant avec commande à distance
. Ils obligeaient de temps à autre leur petite salope de collègue à lintroduire dans son conduit vaginal pendant son service (elle rechignait rarement)
. Ils samusaient à lactiver par surprise
. A faire varier lintensité des vibrations.
Ce quils préféraient était dactiver luf lorsque carole sétait engagée dans une discussion sérieuse avec un collègue de passage
.. Ils samusaient de la voir lutter pour ne pas blêmir, pour ne pas gémir lorsque lobjet intrus sanimait dans son intimité. Ils la voyaient rougir lorsquils montaient lintensité des vibrations
parfois ils se retrouvaient dans une réserve délaissée ou trônaient du mobilier obsolète, et carole, excitée par la stimulation vaginale, répondait à leurs demandes
- « sors tes nichon et masse les »
- Baisse ton pantalon, ouvre ta chatte et caresse ton clito
- Colle toi un doigt
Et il la regardait gémir, frétiller sous ses propres caresses jusquà lorgasme, en se masturbant.
Toute pénétration directe étant toujours prohibée, ils avaient pris lhabitude parfois, de vider leurs couilles sur une table qui gisait dans la réserve. Carole devait ensuite nettoyer le plateau avec sa bouche. Ce que, selon son humeur du jour, elle acceptait de faire.
Alors toujours débraillée, elle se penchait au dessus des amas de spermes mêlés de ses 2 amis et, retenant ses cheveux sur le côté afin quils jouissent du spectacle, elle lapait à petit coup de lange, elle aspirait, par des « slurp » vulgaires jusquà la dernière goutte
.
Un jour quune collègue avait offert une boîte de friandises, les 2 lascars avaient choisi chacun une sucette. Alors quils étaient en train de la déguster, une idée leur vint
ils convoquèrent donc leur soumise à lendroit habituel et exigèrent delle quelle introduise leur sucette dans son sexe pour les humecter de ses sécrétions vaginales
Amusée par lidée, elle sexécuta. Elle baissa le pantalon de sa tunique et son string, sassis sur le bord de la table de la fameuse réserve, écarta les cuisses, avec deux doigts dune main disposés de part et dautre de sa chatte, pressa pour quelle sentrouvre
Elle introduisit lune après lautre les friandises dans son vestibule, puis plus profondément dans son vagin, faisant tourner le frêle bâton entre le pouce et lindex, pour récupérer suffisamment de sa liqueur intime.
Elle rendit les sucettes à ses deux amis qui dégustèrent avidement le bonbon.
Après coup, ils eurent lidée de confectionner à carole une glace un peu particulière : Ils utilisèrent un bouchon de bouteille de lait dans lequel ils firent une encoche, pour y disposer un bâton de barre glacée. Ils se masturbèrent et recueillirent leur semence dans le bouchon, quils placèrent au congélateur. A loccasion dun rendez vous chez JP après le travail, pour prendre un café, ils offrirent la crème glacée à la salope qui sen délectât devant eux tout en se caressant, en soffrant à la vue des deux pervers
.
Les deux compères avaient fait de ma futur ex femme, une véritable salope, une chienne soumise et docile, dévergondée à souhait. Un objet de leurs plaisirs les plus lubriques
et elle adorait cela, se prêtant volontiers à leur caprices les plus fous
elle en redemandait parfois !
Il arrivait souvent que le fameux JP appelât parfois au téléphone, linfirmière rentrée chez elle, ou en repos, ou en vacances.
Elle se caressait en direct, décrivant ce quelle se faisait
leur conversations duraient de longues minutes
lorsque parfois jarrivais dans la pièce où elle sétait retirée, la conversation paraissait anodine
Je me souviens de plusieurs soirs où je la retrouvais au lit, nue sous la couette, en pleine conversation avec le salaud
je sais à présent quelle devait être en train de se fourrer les doigts dans sa grotte vaginale, de se branler profondément de ses doigts longs, de sagacer le clitoris jusquà lorgasme, pendant que son ami lencourageait à distance
lorsque leur conversation était terminée, je demandais de ses nouvelles
Le pauvre, il était si mal
Parfois je me plaignais
navait il pas dautres soutiens ?
marre de leur relation qui me semblait de plus en plus malsaine, marre de partager ma femme, qui me délaissait de plus en plus
. Jétais bien loin du compte
Carole, quelle salope ! Comment ai-je pu être aussi idiot, aveugle ? lamour sans doute
car je laimais
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