Piano Est Amante

J’aime les bonnes choses: je suis gourmande, c’est ainsi que depuis mes 12 ou 13 ans j’ai pris goût à la masturbation. Je crois me souvenir qu’au début je ne me cachais à peine pour mettre une main dans la culotte. Après les engueulades, disant que je devenait mal élevée, j’ai commencé à me faire du bien que le soir dans mon lit ou sous la douche. Ce fameux vice qu’on me reprochait était pour moi le fin du fin. Je n’en parlais à personne, même pas à mes copines les plus proches. Vers 18 ans, pendant que mes copines cherchait à flirter et même pour certaines à coucher avec des garçons, je restais très sage, j’ai rencontré celle qui m’a appris tout ce que je sais en amour. Je suivait des cours de piano, la prof, une professionnelle me suivait de près, trop près diront certain. Au bout de 2 mois de cours, un jour elle s’est montrée dans une tenue équivoque.
Elle avait acheter un ensemble de bain et tenait à me le montrer pour savoir comment je la trouvais. Je répétais mes gammes quand elle est venue tout près de moi: son soutien gorge était minimaliste: je pouvais voir au moins la moitié de ses aréoles et presque ses tétons. Son slip était un string qui montrait plus qu’il ne cachait. Elle s’est assise près de moi pour continuer la leçon. Cette leçon, je commençais à ne plus m’y intéresser: je préférais la regarder, elle qui me semblait être la merveille des merveilles, avec son joli visage et ses cheveux châtains clair. Sa bouche avec des lèvres pulpeuses qui ne m’attirait pas encore .
Je partais chez moi, toute éblouie avec en plus une bonne nouvelle, étant donné mon talent, elle me ferait répéter une bonne heure de plus, gratuitement.
Mes parents certains de mon talent de pianiste acceptaient évidemment. Il me tardait d’être au mercredi suivant.
Je continuais toujours mes caresses surtout sous la douche, j’aimais exposer mon petit bouton sous le jet. Il n’empêche que le soir dans mon lit je me consacrais à une autre méthode de piano.

Cette fois je ne sais pourquoi, alors que d’habitude se ne pensais à rien de spécial, cette fois je fantasmais sur le corps de ma prof. Je ne savais pas exactement ce qui se passait entre fille: je l’imaginais.
Pour la leçon suivante elle me recevait habillée d’une sorte de blouse presque transparente. Je pouvais voir tout son corps: je me sentais troublée: je sentais surtout que ma chatte se mouillait en la regardant. Elle devait se douter de l’effet qu’elle faisait sur moi.
J’ai reçu mon premier baiser sur la bouche de cette femme de dix ans mon ainée. Elle essayait d’entrer sa langue dans ma bouche et au début je la refusais pour finalement entrouvrir ma bouche. J’ai reçu sa langue qui venait jouer avec la mienne. Je ne sais combien ce baiser a duré, il m’a semblé court.
Nous avons repris les leçon, pas longtemps, juste le temps pour elle d’enlever son petit vêtement. Elle me montrait son corps nu. Je pouvais voir sa poitrine plus grosse que la mienne, son ventre très plat; son bas ventre qui ne cachait en rien ses lèvres intimes. Elle se tournait pour que je vois ses fesses à peine un peu moins grosses que les miennes.

- Es-tu toujours vierge ?
- Bien sur: tu es même la première qui m’ai donné un baiser sur la bouche.
- Si tu veux, je t’appendrai plein de façons de jouir.
- J’en connais une, la mienne.
- Tu n’as pas honte, je pari que tu te masturbe souvent, comme moi.
- C’est vrai, j’aime me faire du bien.
- Alors montre moi comment tu fais.
Excité par la tournure que prenait le dialogue, sans pudeur je me déshabillais, je restais assise sur le siège, écartais mes jambes pour y mettre ma main. Ma chatte était trempée. Je caressais mon bouton jusqu’à ce que je jouisse: je posais ma tête contre son ventre elle pendant l’orgasme.
A cet instant important je ne pensais pas que les choses iraient si vite. Elle m’a faite lever, m’a serré contre elle, m’a embrassée encore sur la bouche: cette fois j’ouvrais la mienne prête à recevoir encore sa langue.
Je sentais ses seins contre les miens. J’en était toute chose.
Elle passait sa main sur mes fesses en les caressant. Je mouillais encore plus. Sa main passait dans le raie. Je ne savais pas du tout ce qu’elle allait me faire: je mourrai d’envie qu’elle me masturbe et pourtant elle était dans les fesses.
Puis enfin elle m’a faite assoir sur le piano, m’a fait écarter les jambes. Je pensais qu’enfin elle allait de caresser le bouton. Je me trouvais devant elle lui montrant tout mon sexe, qu’elle regardait avec intérêt. Je sentais son souffle chaud entre mes cuisses. Elle léchait l’intérieur des cuisses. Je lui tenait la tête: j’avais peur qu’elle m’abandonne. J’ai senti sa langue venir sur le clitoris: j’étais à la fois surprise et ravie. Elle me donnait une impression de m’emmener vers des jouissances que je ne connais pas encore. Sa langue savait bien me lécher. Je sentais monter mon plaisir. Elle accentuait sa langue et bien sur, brusquement j’avais un orgasme inconnu. Je ne pouvais plus tenir assise: je me couchais et me laissais faire, c’était si bon.
Elle a déplacé sa langue sur mes lèvres pour arriver sur mon vagin. Elle entrait sa langue dans mon intimité. Elle me faisait jouir encore. Je pensais en finir,, quand sa langue est allé sur mon anus. Je ne pensais jamais jouir de cet endroit et pourtant elle y réussissait parfaitement.
Maintenant je devenait prisonnière de ma prof.
Elle me demandait de lui rendre ce qu’elle m’avait donné, pour ça elle me devais la suivre dans sa chambre. Je voyais ses fesses onduler, attirant encore plus mon attention sur cette nudité. Dans la chambre elle se couchait sur le bord du lit, les jambes ouvertes: je pouvais enfin découvrir tout son sexe. Sa chatte me plaisais beaucoup. Elle était humide d’excitation: je ne savait ce qu’elle voulait que je lui fasse.
- Suces moi le con !!
C’était la première fois qu’une femme donnait ce nom, somme toute réel, à son sexe.
- Tu ne veux pas que je te branle avant ?
- Non baises moi.

Je faisait comme elle m’avait fait: je posais ma tête au même endroit, arrivait sur son bouton que je ne faisais que lécher tranquillement. Je recevais un jet de cyprine qui m’étonnais par la quantité. Son goût était mi salé mi sucré. Je descendais ma langue dans son vagin: je m’étonnais de la longueur de langue qu’il fallait pour ne le remplir qu’en parti. J’arrivais à la faire jouir. Il manquait le langue sur l’anus; je ne voulais pas le faire, par peur d’être écœurée. Finalement jer le faisait et elle me demandait d’entrer dans son cul. Elle jouissait encore
J’allais me coucher contre elle qui me prenait dans ses bras pour m’embrasser. Sa bouche quittait la mienne pour aller sur mes seins. Elle savait parfaitement faire ce qui était le plus excitant. Elle descendait vers mon bas ventre: sa langue toujours sur moi. En bas, elle survolait mes poils pour aller encore pendre mon clito. Sans que je m’y attende elle m’enjambait pour poser son sexe sur ma bouche. Elle me suçais encore. Je le lui rendais bien. J’étais surprise se sentir qu’elle mettait deux doigts dans mon anus. Je ne connaissais pas du tout cette familiarité et pourtant je trouvais cette façon un peu cavalière pour moi, très bonne, Je pensais qu’elle aurait pu me faire jouir uniquement avec le cul.
Nous étions sur le point de finir quand elle me demandait de me faire dépuceler. Elle le désirait pour que nous puissions jouir encore plus. Elle devait s’occuper de tout.
La semaine suivant, elle était toujours moitié nue, mais pas seul. Elle avait celui qu’elle appelait son amant: c’était simplement celui qui venait quelque fois quand elle en avait envie lui « décrasser » le con.
Il venait vers moi:
- Elle m’a demandé de te dépuceler;: ce n’est pas ce que je préfère pour une baise, mais tu sais je te prendrai doucement: je sais dépuceler les demoiselles comme toi.
- J’aurai mal ?
- Bien, sur je te ferais souffrir le plus possible pour que jamais tu ne puisse baiser, ni avec une femme ni avec un homme.

Et il se foutait de moi en plus.
La leçon devait avoir lieu dans la chambre: j’y étais la première et je me couchais. Ils arrivaient tous les deux en se tenant pas la taille.
- Regardes ce que nous allons faire; tu aura le même traitement et des fois par la suite tu aura la même envie que j’ai de me faire mettre sa queue dans mon con.
Elle se couchait: il venait la sucer, l’exciter comme j’airai pu le lui faire. Ils faisait un 69: elle avait la bite dans sa bouche et ne semblait pas la dédaigner. Elle me semblais énorme cette bite: je me demandais surtout comment elle pourrait entrer dans mon vagin Je les regardais faire, j’avais encore la chatte mouillée. Enfin il venait vers moi: j’ouvrais les cuisses et je recevais sa langue dans ma chatte: il m’a faite jouir. Ensuite il est venu sur moi, a posé sa bite sur mon entrée et millimètres par millimètres sa queue est entrée. J’ai à peine senti quand il déchirait mon hymen. Il allait et venait dans mon ventre: je le sentais bien et je ne sentais que cette présence. Quand il a jouit en moi, il m’a laissé de marbre. J’étais devenue femme mais une femme qui n’a plus jamais voulu se faire mettre par un homme. J’ignore même la sodomie qui parait-il est agréable. Lesbienne je suis, lesbienne je resterai, ce qui ne m’empêche pas de baiser en me faisant mettre des doigts dans le cul
Je suis devenue une virtuose concertiste demandée un peu partout. Il m’arrive de me faire lever pas des femmes qui comme moi aime les femmes. Je n’ai aucune attache particulière sinon que ces vagues amantes

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