Week-End D'Été (2)
Week-end dété (2).
Lorsque nous arrivâmes à la soirée, je maperçus au nombre de véhicules garés que la plupart des invités étaient déjà présents. Nous devions être environ une soixantaine de personnes. En quittant le parking, je remarquai que la fine jupe de ma femme était légèrement translucide ; on distinguait un peu le galbe de ses cuisses ainsi que la forme de ses fesses rondes ondulant sous le tissu. Le mouvement de sa belle croupe était légèrement accentué par le port des hauts talons. Ça me fit légèrement bander dans mon pantalon à pinces ; ce qui ne se voyait pas trop. Je la rejoins et tout en lui passant une main sur les fesses lui tint à loreille le constat que je venais de faire sur son anatomie. Elle me demanda dôter la main et me dit et que ça la mettait mal à laise. Tout en mexécutant, je lui répondis « mais non, rassures- toi, personne ne remarquera rien . Dautant que la nuit tombera bientôt ». Le cocktail avait lieu à lextérieur.
Le maître des lieux vint à notre rencontre pour nous accueillir. Il sagissait dun homme un peu plus jeune que nous, noceur ,lubrique invétéré et alcolo. Il provoquait souvent les jolies femmes lors des soirées en ville. Et je me dis que ce soir, étant chez lui, on nallait pas y couper et que ça ferait jazzer pendant quinze jours. Ah tu ne sais pas
Bref, il nous servit un verre tout en complimentant ma femme sur sa beauté, et en mâtant son cul au passage. Je vis quelle était toujours mal à laise alors je minterposai discrètement et engageai la conversation. Je déteste ces soirées mondaines où toute la bourgeoisie de la ville se retrouve dans un brouhaha hypocrite et faussement joyeux. La plupart du temps les filles forment des clans, passent leur temps à se comparer et à dire du mal des absentes. Du côté des hommes, ce nest guère mieux, ils ont toujours ce besoin macho de se mettre faussement en valeur et en général nécoutent queux-mêmes, fats et satisfaits.
La nuit tombée, les convives rentrèrent par petits groupes à lintérieur de la demeure et se mirent à danser. Ma femme adore danser, cest pour cette raison quelle est toujours partante pour ce genre de soirée. Bientôt les garçons déjà un peu éméchés se livrèrent à un petit numéro de « chippendale « , se mirent torse nu, et, avec leur ceinture enlacèrent les plus jolies femmes par le cou en les attirant contre eux pour danser . Ma femme se prêta au jeu. Malgré le ridicule de la situation je la trouvais vraiment sexy et javais très fort envie delle. Bientôt elle ôta ses chaussures pour danser. Là je compris quelle avait sur le champagne et quelle était ivre. Je mapprochai delle et tentai de la convaincre de rentrer. Mais rien ny fit, elle menvoya balader me disant quelle samusait et quelle avait envie de danser. Elle me passa subrepticement la main sur ma braguette et me promit de fougueux ébats. Je navais plus quà prendre mon mal en patience et surtout réfréner lérection qui commençait à poindre dans mon pantalon. Je lenlaçai et dansai avec elle.
Au bout dun moment, je la vis vaciller et heurter un meuble, les coupes vides posées dessus tombèrent et volèrent en éclats. La situation commençait à devenir incontrôlable et du côté des « chippendale » ce nétait guère mieux. Notre hôte avait attrapé le foulard de soie dune copine, lavais mis dans son slip en dansant et voulait lui repasser autour du cou. Il se prit une gifle magistrale et la copine quitta la soirée sur le champ.
Ma femme avait quitté la pièce. Je ramassai ses escarpins et je la cherchai dans les salons, elle ny était pas. Dans létat où elle était il ny avait que deux solutions, où elle était allée chercher du champagne ou bien elle était aux toilettes. Je me dirigeai vers la cuisine, elle ny était pas non plus. Enfin je me risquai de monter à létage. Je la trouvai sur le pallier face aux toilettes, allongée sur la moquette.
Elle dormait à poings fermés. Je tentai de la réveiller doucement en lui parlant, rien ny fit. Je la secouai légèrement, en vain. Je me décidai alors à lui glisser la main entre les cuisses, lui remontant la jupe sur ses hanches. Et là je découvris une auréole sur son string, elle mouillait. Le petit numéro de chippendale lavait excitée et sa chatte était trempée. Je glissai deux doigts sur son string et commençai à la masturber doucement. Cela lui fit leffet dun électrochoc et elle se réveilla en sursaut. Mais que fais-tu me dis-t-elle ?, tu es malade ? Je lui répondis que je tentais seulement de la réveiller et quil fallait quon y aille. Elle ne pris pas la peine de remettre sa jupe en place, signe quelle avait aimé cette caresse sur son petit minou. Je le fis donc à sa place, lui remis ses chaussures et laidai à le relever. Tout en la soulevant, je remarquai que ses tétons pointaient au travers de son soutien gorge et de son bustier. Dès lors, je savais que malgré son état débriété son désir était intact et quelle soffrirait à moi.
Je dus la soutenir jusquà la voiture. A peine avais-je démarré quelle seffondra sur le siège et sendormit à nouveau. Je savais quil faudrait encore attendre un peu avant dassouvir le désir que son corps venait de manifester. Tout en conduisant, je la regardais et jadmirais les courbes rondes de ses seins qui me réjouissent si souvent.
Arrivés à la maison, je dus la porter jusquà notre chambre. Je la déposai doucement sur le lit et jentrepris de la déshabiller. Ce ne fut pas facile de la maintenir assise pour ôter le bustier et le soutien-gorge. Elle ne me facilitait pas les choses non plus et samusait de la situation en riant aux éclats devant mon embarras. Une fois allongée, je fis glisser sa jupe. Aussitôt elle écarta les cuisses et glissa la main dans son string. Elle se masturbait pendant je me déshabillais. Lorsquelle me vit nu, la queue dressée, elle me dit « prends-moi, fais moi jouir ». je mallongeai entre ses cuisses, écartai son string et je plongeai dans son minou touffu. Jadore lodeur de musc de sa chatte lorsquelle chaude. Je me mis à lui lécher doucement la vulve de bas en haut , appuyant ma langue un peu plus fort lorsque je fus sur con clito. Elle se mit à gémir, ses lèvres souvrèrent et son miel se mit à couler sur ma langue, dans ma bouche et sur mon visage. Jintroduisis doucement deux doigts dans sa chatte trempée, tout en continuant à la lécher. Je la masturbais de plus en plus fort, javais son miel jusquaux oreilles. Maintenant elle criait à chaque coup de langue. Elle magrippa par le cou et pressa ma tête sur sa chatte. Elle devenait gourmande et ondulait, poussant son bas ventre contre mon visage. Au bout de quelques instants elle simmobilisa net, tout en ahanant . Je pris son orgasme à pleine bouche. Elle était ravie.
Je me redressai un peu, javais envie delle comme un fou, la queue tendue et dure comme une trique. Je lui pris un sein à pleine bouche et me mis à le téter , je lui pressais doucement lautre sein et lui enfonçai ma bite tout au fond de sa chatte chaude et crémeuse. Elle se remit à gémir immédiatement. Je fis quelques va et vient en sortant ma queue complètement à chaque fois avant de la reprendre ; ce qui la fit gémir un peu plus fort. Jétais toujours arrimé à ses seins.
Collé à elle et bien profond dans son minou je sentais son plaisir monter.
Nous restèrent ainsi quelques instants sans bouger, reprenant notre respiration tout en sembrassant. Une fois que mon sexe commença à ramollir, je me retirai, regardant sa vulve ouverte. Ma semence se mis à couler le long de ses fesses. Elle glissa aussitôt la main dans son minou en appuyant deux doigts sur sa vulve encore chaude et sendormit immédiatement.
Jéteins la lumière et me couchai à mon tour.
(à suivre
)
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