Le Voisin (2)
ATTENTION CE RÉCIT EST UN FANTASME ET UNE PURE FICTION. JE NE CAUTIONNE PAS LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES. SI VOUS N'ÊTES PAS AMATEUR, PASSEZ VOTRE CHEMIN
Plusieurs jours sécoulèrent sans que avoir de nouvelles de notre maître chanteur. Jespérais peut-être quil allait nous laisser tranquille. De manière étonnante, jen éprouvais aussi un peu de regret. Je devais me rendre à lévidence, voir ma femme ainsi humiliée mavait profondément excité et réveillé mes instincts les plus vils. Je regrettais de ne pas avoir de photos de cette scène surréaliste où mon voisin obèse et vulgaire abusait de ma belle épouse si distinguée. Seul le souvenir de cette soirée hantait mes rêves impurs.
Quant un samedi après midi, alors que mon épouse était partie faire les courses et que je jardinais, je vis le voisin sapprocher de moi. Cest le cur battant que jattendais de voir ce quil allait me dire.
- Alors toujours disposé à récupérer la dernière photo ?
- Oui, bien sur
- Alors tu donneras ça à ta salope de femme au petit déjeuner
En me disant ça il me donna un nouveau flacon du liquide utilisé la dernière fois.
- Il y en a plus, parce que cette fois je vais avoir besoin delle plus longtemps. Dès quelle est dans les vaps, tu mappelles.
A ces paroles, je sentais honteusement une prémisse dérection.
Toute la soirée jétais partagé entre la culpabilité de ce que jallais faire le lendemain et lexcitation que cela me procurait.
Jétais réveillé très tôt. Ne pouvant plus rester au lit, je me levais et allais préparer le petit déjeuner. Je versais le précieux liquide dans le café au lait de mon épouse et montais le déjeuner au lit. Jobservais très attentivement ma femme boire son café à grandes gorgées.
Un quart dheure plus tard, elle était à nouveau dans un état second, ne répondant plus à mes questions, affalée sur le lit. Jenlevais avec précaution le plateau et lobservais dans sa chemise de nuit.
Cest un peu honteux et pris de remords que je rattachais les boutons de sa chemise de nuit.
Je me dirigeais alors vers la porte dentrée et dès que je louvris, je vis celle du voisin souvrir. Il devait guetter ma sortie. Je lui fis signe de venir et il se dirigea vers moi.
Il était habillé en vêtements kaki, un pantalon de camouflage et une veste avec de nombreuses poches sur le devant. Sa grosse bedaine tendait vers lavant une chemise vert sombre. Il passa devant moi et en rentrant dans la maison demanda ou était ma petite épouse bandante. Je lui expliquais quelle se trouvait à létage, dans notre chambre. Sans se faire prier il monta les escaliers et se rendit dans la pièce en question. Mon épouse navait pas changé de position, les yeux toujours mi clos.
- Alors petite pute, tu attendais ma grosse bite pas vrai ? Tu meurs denvie de te faire baiser ? Il va te falloir être patiente, mais tu vas avoir ta dose de sperme pour plusieurs mois, ne tinquiètes pas
Pour le moment on va tenlever cette chemise de nuit.
Comme javais pu le faire quelques minutes auparavant, il défit les boutons les uns après les autres, enlevant complètement son vêtement. La tête de mon épouse tomba légèrement sur le côté et un filet de sperme séchappa de sa bouche.
- Regarde moi ça, cette chienne à déjà goûté à du foutre aujourdhui
Cétait avant ou après le produit ?
-
- Jai pas bien entendu ?
- Après
- Ah on dirait que tu commences à prendre goût à notre histoire.
Ravalant ma honte, je le regardais ouvrir notre placard pour sortir une robe de soirée noire, très décolletée et fendue sur la jambe droite. Il sortit également les escarpins avec les talons les plus hauts que mon épouse possédait, au moins 10 cm.
- Aides moi à lhabiller, elle naura pas besoin de culotte et de soutien gorge, pour ce qui lattend !
En lhabillant, il en profita pour lui peloter la poitrine violemment et la pénétrer avec un des ses gros doigts. Il me demanda de lui mettre ses chaussures pendant quil lui préparait une surprise. Je le vis alors sortir un plug de taille respectable, y cracher dessus, et lintroduire dun coup dans lanus de mon épouse, qui résista un peu avant de se détendre et daccepter lintrusion. Seul le bout aplatit dépassait. Ma femme ne broncha pas, restant dans son état léthargique. Il ajusta la robe, et mis mon épouse debout. Avec ses hauts talons et le plug, elle avait une silhouette très cambrée, ce qui avec cette robe la rendait très sexy. Mon sexe commençait à me faire mal dans mon pantalon. En la supportant chacun dun côté, nous amenâmes ma femme jusquà ma voiture, où il linstalla à larrière à ses côtés, pendant que je prenais le volant. Il me guidait dans ma conduite. Tout en étant attentif à la route et à ses indications, je regardais par le rétroviseur et voyais notre maître chanteur qui avait posé une des jambes de mon épouse sur ses genoux et qui lui enfonçait deux doigts dans le vagin, puis trois. La vue était imprenable et je nosais imaginer que quelquun de nos connaissances ne nous voit. Heureusement en ce dimanche matin, peu de gens étaient sur la route. Le sexe de ma femme était distendu par les gros doigts, mais elle restait toujours aussi impassible. Il ressortit ses doigts pleins de sécrétions intimes et il les lui enfonça dans la bouche pour les nettoyer. Mon excitation était à son paroxysme.
Sur ses indications, nous nous engageâmes sur un chemin de terre et après un kilomètre un peu chaotique, le chemin déboucha sur une clairière dans laquelle une cabane était érigée.
De nombreuses voitures et fourgonnettes étaient garées là et je reconnaissais un repère de chasseurs.
Le voisin ouvrit sa portière, rajusta la tenue de ma femme et la fit se lever. En la tenant par le bras, il lamena vers la cabane. Je suivais derrière en contemplant mon épouse marcher difficilement sur un chemin caillouteux avec des hauts talons, une robe de soirée, un plug dans lanus et en étant e. Je pensais avec honte et délectation aux humiliations quelle allait très certainement subir dans un avenir proche.
Lorsquil ouvrit la porte, je pus distinguer nettement une douzaine de chasseurs attablés qui tournèrent la tête vers nous. Ils finissaient apparemment de manger un casse croûte fortement arrosé de bière et de vin rouge.
- Salut les gars, comme promis, je vous amène une belle petite pute pour en faire ce quon veut toute la matinée.
Les commentaires allèrent bon train, tous plus grossiers les uns que les autres
- Regardez comme elle est sapée cette salope
- On va la défoncer
- Quand on sera passé sur ton cul tu pourras plus tasseoir
Parmi les hommes présents, je reconnu Roger, le cantonnier, une personne très frustre, à la limite de la débilité. La mairie lemployait pour faire preuve de charité.
Il ne disait rien mais regardait ma femme intensément se touchant en même temps lentrejambe.
Ma femme fût emmenée au milieu de la pièce, des mains la frôlant mais nosant pas encore aller plus loin. Le voisin attrapa ses deux seins et les fit jaillir de la robe, tout en tordant les tétons érigés. Cela donna le signal pour tous les autres qui se regroupèrent et tripotèrent mon épouse de partout. La robe fut vite troussée autour de la taille, présentant à tous les fesses et la toison auburn. Le plug, visible, déclencha une salve dinsanités. Des doigts sinsinuèrent dans le vagin, fouillant le plus profond possible. Un des chasseurs retira le plug et le remplaça par deux de ses doigts.
Ma femme fût allongée sur la table et le premier chasseur présenta son sexe, de taille respectable, à lentrée de ses lèvres intimes. Il frotta doucement, presque délicatement son gland sur le clitoris, avant de senfoncer dun coup de toute sa longueur en jetant un « ah, quelle est bonne cette salope », en positionnant ses jambes sur ses épaules. Les autres sétaient arrêtés pour le regarder quelques secondes, et puis ils reprirent leurs attouchements. Un présenta sa verge érigée à la bouche de ma femme, lui boucha le nez pour quelle louvre et lenfourna immédiatement. Les autres malaxaient ses seins, se caressaient ou prenaient des photos avec leurs portables. Celui qui la besognait lui mettait maintenant de gros coup de butoir, faisant tressauter ses pieds toujours chaussés descarpins à chaque va et viens. Celui qui soccupait de sa bouche se contracta et lui enfonçant encore un peu plus son membre au fond de la gorge déchargea sa semence. En voyant ça, celui qui la besognait poussa un râle de jouissance et se rependit dans son vagin.
De mon côté, javais déjà joui en regardant le spectacle.
Les deux furent vite remplacés par deux autres et ainsi de suite. Au bout dune heure de ce traitement, seul le voisin et le cantonnier navaient pas pris leur tour. Le voisin avait sorti son sexe avec son gland énorme et le masturbait sur toute sa longueur, attendant son tour. Quand le dernier chasseur eut prit sa part de plaisir, il plaça mon épouse sur le ventre, récupéra sur ses doigts du sperme qui sécoulait de manière continue de son vagin et les enfonça lentement dans son anus. Son illet résista un peu, puis souvrit lentement, laissant pénétrer deux doigts, puis trois. Ma femme poussait de petits gémissements, qui auraient pût ressembler à du plaisir Après plusieurs aller retours, il présenta son gland disproportionné et appuya de tout son poids. Lanus souvrit et à mon étonnement absorba lénorme insertion assez facilement. Une fois le gland passé, lensemble du sexe disparût. A la vue de la scène, plusieurs chasseurs se masturbèrent, surtout à lécoute des mots crus qui suivirent :
- Alors sale petite pute, tu pensais pas que jallais tenculer comme une chienne quand tu me regardais de haut. Ca te fait quoi davoir un gros chibre dans le fion, espèce de salope ? Ten redemandes hein ?
Et effectivement, pour la première fois, ma femme semblait avoir une réaction, poussant des petits cris qui ne pouvaient être que de plaisir pour finir par un gros râle de jouissance quand le voisin se déversa en elle en proférant des insanités. Les chasseurs qui se masturbaient jouirent sur sa tête, son visage, sessuyant avec ses longs cheveux. Quand le voisin sortit son sexe du fondement de mon épouse, un bruit se fit entendre et un flot de sperme jaillit.
Cest alors que le cantonnier défit son pantalon et dévoila une anatomie inhumaine. Son sexe arrivait à ses genoux, il devait mesure au moins 35cm, si ce nest 40
Très gros, il nétait pas dressé, car cela semblait physiquement impossible. Le voisin éclata de rire en voyant ma surprise et me dit :
- On te présente lAnaconda. La nature lui a mis dans le caleçon ce quelle ne lui a pas mis dans la tête !
Etant donné lengin, jen concluais quil était encore plus attardé que je ne le pensais.
Il sapprocha de ma femme, et sans dire un mot, tenant son membre à deux main, frotta son gland sur les lèvres déjà lubrifiées par les éjaculations précédentes et le fit pénétrer, lentement. Il poussa au maximum, mais seulement la moitié de sa verge avait pénétrée le sexe distendu. Il commença alors des va et viens, poussant chaque fois un peu plus fort, un peu plus loin.
Pendant ce temps le voisin prend des photos et des films avec son appareil.
Au bout de 10 minutes de ce traitement, les trois quarts de son engin étaient acceptés par la matrice de ma femme. Il saisit alors une cannette de bière vide et lenfonça dans lanus, déjà bien distendu par lenculage du voisin. Il alternait ensuite les coups de butoir et lutilisation de la bouteille comme godemiché. Ma femme poussait des cris de jouissance de plus en plus fort, emplissant la cabane du son de sa voix. Ce traitement dura une vingtaine de minutes et alors que mon épouse poussait alors des râles ininterrompus, un liquide transparent jaillit de son sexe, se répandant sur ses cuisses et par terre. Le voisin me déclara alors :
- Je suis sur que tu ne savais pas que ta salope était une femme fontaine. Rien de tel que de la laisser aux mains de lAnaconda pour la dévoiler. Son corps est plus réceptif que son cerveau de bourge
Le cantonnier déchargea peu de temps après, sortant son sexe juste avant et éclaboussant le dos de ma femme de longues traînées blanchâtres.
Ma femme sécroule par terre, terrassée par la jouissance. Je cherche de quoi essuyer les sécrétions masculines et féminines qui la souillent.
Mon voisin maide à la remettre dans la voiture enveloppée dune couverture. Il me tend la dernière photo de mon forfait en me disant que je lai bien mérité :
- La prochaine fois que tu essais darnaquer une assurance, fais bien attention de pas te faire choper
-
- Mais jai pas limpression que cette aventure ne tai trop déplu, alors si tas envie quon essai de rendre ta femme plus salope, dun point de vue volontaire cette fois, nhésite pas à mappeler, je pense avoir un moyen pour cela !
Jai ramené mon épouse à la maison, lui ai donné un bain et remise au lit. Quand elle sest réveillée elle me demanda pourquoi elle était encore au lit en plein après midi. Je lui dis quelle avait eu un accès de fièvre et quelle avait un peu déliré, puis que je lui avais donné un calmant pour la laisser se reposer. Elle me dit quelle avait mal partout et quelle allait rester couché, que cétait sûrement une grippe.
Je me dis que la grippe avait bon dos et pensais rêveusement à la dernière proposition de notre voisin
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