Wend-End D'Été (3): Suite Et Fin
Le soleil était déjà haut lorsque je méveillai. Quelques rais de lumière irisaient au travers des volets de la chambre. Il régnait une atmosphère douceâtre dans cet espace intime ou nous nous étions ébattus tard dans la nuit. Mon amour dormait encore, jécoutais son souffle paisible en cette fin de matinée de dimanche et jadmirais les magnifiques courbes de son corps. Mon attention était attirée par le léger contraste laissé sur sa peau autour des hanches et entre ses fesses, le long de sa raie, par le string quelle portait lorsquelle allait faire des U.V. Sa croupe mattirait irrésistiblement et lémoi quelle me provoquait commençait à me procurer une bien agréable sensation. Il me tardait de la prendre et comme je sais quelle aime faire lamour au réveil jai commencé à lui caresser les fesses avec mon membre à moitié durci. La douceur de mon sexe la fit onduler presque imperceptiblement. Je poussai alors mon gland entre ses fesses contre son doux fruit damour. Je sentais la chaleur de son sexe sur mon bout. De sa croupe ronde elle comprima alors un peu ma bite en se poussant vers moi, ce qui renforça mon érection. Je déposai un baiser sur son épaule. Elle émit un tout petit « mmhumm ». Puis me demanda lheure. Je la lui indiquai en ajoutant « cest le moment dune belle étreinte amoureuse, jai envie de toi, je vais te prendre et te faire jouir ». Elle sourit en comprimant un peu plus mon membre dressé contre elle. A cet instant sa chatte émit un petit couinement et je sentis que mon bout shumidifiait. Elle mouillait.
Puis elle ajouta : « mais je ne peux pas faire lamour comme ça, il faut que je prenne quelque chose, jai trop mal au crâne,
le champagne dhier soir
». Elle sécarta doucement en caressant ma queue. « Je reviens tout de suite susurra-t-elle » et elle se leva. Je ramassai son mini string rose sur lit et le lui tendis en disant : « mets ça !». Elle lattrapa dun doigt et sen alla vers la salle de bain pour prendre un comprimé de paracétamol.
Au bout de quelques minutes elle revint dans la chambre. Le string comprimait un peu sa chatte et je pouvais clairement distinguer, sur ce petit bout de coton tendu, le gousset bien fendu que formait sa vulve gonflée. Elle voulut sétendre à plat ventre sur le lit mais je la saisis par la taille et limmobilisai en levrette. Elle sabattit sur les avant-bras, les fesses bien tendues. Je déposai alors quelques baisers sur sa croupe tout en glissant mon majeur le long de la ficelle du string et parcouru toute sa raie jusquà sa moule chaude. Jécartai le string et introduisis mon doigt doucement au fond de sa chatte mouillée et accueillante. Elle émit un petit râle de plaisir. Tout en la masturbant de la sorte javais introduis mon pouce au fond de sa raie et jappuyai vigoureusement sur sa petite rondelle. Du revers de lautre main je caressais son 90 C. Ses seins dansaient doucement lun contre lautre en arborant deux tétons bien durcis et tout à fait proéminents.
Elle se mit à gémir, jallais et venait au fond de sa chatte en explorant tous les recoins de son jardin secret dabord avec un doigt, ensuite sy joignit un deuxième, puis un troisième. Elle ondulait merveilleusement de la croupe allant à la rencontre de mes doigts qui la labouraient. Elle se mis à crier et eu son premier orgasme. Mais ça ne serait pas le dernier.
Jétais en rut, je la voulais toute entière et ma queue bandait encore plus fort.
Très vite je la pénétrai en poussant ma bite à mi chemin dans son fourreau chaud et trempé et je mimmobilisai. Je voulais quelle sempale sur ma hampe, quelle vienne chercher le plaisir. Aussitôt, elle entama une danse de petits mouvements lents et lascifs avec son cul, prenant ma queue chaque fois un peu plus profondément. Je goutais ainsi son fourreau mielleux et Je lui caressais les fesses.
Bien vite elle accéléra le rythme de ses allées et venues et à chaque fois quelle venait à ma rencontre, je me mis à appuyer mon gland un peu plus fort tout au fond delle.
Javais envie de la défoncer, là par derrière, de la prendre comme une chienne, mais je me retins, car elle ne supporte pas cela. On a bien essayé quelques fois, mais à chaque fois la douleur lui est insupportable. Ce doit être une simple question danatomie, ou elle est trop étroite ou cest moi qui suis trop volumineux. Au fond, cela a peu dimportance car mon désir, cest avant tout son plaisir. Et je savais quil allait encore être intense.
Je quittai brièvement sa chatte bien chaude et trempée et je mallongeai sur le dos. Elle menfourcha et sempala tout de go. Aussitôt je la saisis par les fesses que jécartais brutalement et me mis à la défoncer. Elle cria de nouveau. Mes coups de reins furent si puissants quils la soulevèrent à plusieurs reprises, la déséquilibrant elle plongea sur moi, moffrant sa lourde poitrine que je saisis à pleine bouche. Je me mis à la téter goulument enserrant un mamelon de mes lèvres. Jaugmentai progressivement la pression de mes lèvres sur son sein et fit rouler son téton avec la pointe de ma langue dans ma bouche. Elle jouit de nouveau, longtemps et saffala sur moi. Je sentis son souffle court, haletant, dans mon cou et la rondeur moelleuse de ses seins sur mon torse.
Je profitai de cet instant de répit pour sortir ma queue et fit glisser son string le long de ses cuisses. Je pensais quil allait se rompre tellement le mince élastique était tendu.
Elle se redressa, se malaxant un sein dune main et se touchant le clito de lautre. Je me remis à lui pilonner la chatte et lui tendis le string trempé en lui ordonnant de le lécher. Aussitôt sa petite langue rose senroula sur le petit morceau d étoffe récoltant le plus de miel possible. Ma main rejoignit la sienne dans sa douce toison à la recherche de son clito et là jéjaculai tout ce que je pus. Tout juste après, étant encore tendu au fond de son jardin secret je sentis les contractions frénétiques de sa chatte alors quelle poussa un long gémissement de plaisir.
Nous étions rompus, nos sens et notre passion complètement assouvis. Je lembrassai doucement et elle sendormit.
Deux heures plus tard je la vis réapparaitre. Entre temps j étais lavé, habillé et je bossais au re-de-chaussée. Elle sortait de la douche et elle portait la jupe (un peu translucide) quelle avait mise pour la soirée ainsi quun petit chemiser blanc largement ouvert sur seins ronds. Visiblement elle ne portait pas de soutien-gorge.
Je la pris dans les bras et lembrassai amoureusement, elle me rendit mon baiser. Je lui caressai un peu machinalement les fesses et là je me rendis quelle ne portait ni culotte, ni string. Immédiatement une érection un peu douloureuse sempara de ma bite. Elle sentit la protubérance contre son ventre et se mis à me caresser lentre-jambe. Elle en avait encore envie. Je déboutonnai prestement son chemisier, lui relevai la jupe sur les hanches et la pénétrai immédiatement. Nous jouirent un fois de plus, ensemble.
Laprès-midi était déjà bien avancée, il fallait aller récupérer les s. Elle alla se changer et nous partîmes.
Ce soir là, nous ne fîmes pas lamour, nous étions éreintés.
Ce fut lun des week-ends les plus chauds et des plus amoureux que nous avons vécus.
Mais il y en a dautres, pour dautres histoires
.
Merci à celles et ceux qui ont eu la patience de lire ce récit jusquà son terme.
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