L'Omelette Norvégienne À L'Envers
Cette fille blonde semble sortir d'un roman tellement elle est belle. Grande, une minois de poupée de faïence, une chevelure dépassant les fesses, dès le premier regard donne des envies. Elle habite dans le quartier depuis peu et les regards des hommes et des femmes sont attirés, soit avec respect, assez rare, soit envie, les autres femmes, soit lubriques de certains hommes. Je ne fais pas parti de tous ceux-là: Je suis nouveau aussi dans le quartier. En tout cas, toute désirable qu'elle
soit, elle dégage un air de froideur incompatible avec son allure. Toujours strictement habillée. Rien de laisse deviner son tempérament. Je la croise souvent et comme toujours poli, le lui dit bonjour quand je la croise. Je dois être le seul à être poli avec elle. Elle me répond avec
le sourire. Elle n'est pas sauvage comme certain le croit. A force de la saluer, un jour s'engage la conversation. Je dois bien être le premier à le faire. Oh, ça ne va pas loin, je lui demande si elle va bien, elle me remercie et me retourne la question. Plus les jours avancent et plus nous bavardons. Nous devenons petit à petit des amis. J'apprends ainsi qu'elle est norvégienne en France depuis 5 ans où elle se perfectionne en Français. C'est pour ça qu'elle bavarde et surtout aussi parce que elle s'ennuie un peu. Un jour elle m'invite dans un restaurant nordique où elle tiens à me faire goûter la cuisine de son pays. C'est excellent, surtout arrosé d'alcool local et de bonne bière. Je ne veux pas rester sans
l'inviter à mon tour pour déguster un repas bien de chez nous. Elle accepte bien sur. Ce qui m'intéresse c'est surtout la suite.
Nous rentrons dans le quartier et à ma surprise elle m'invite à prendre un dernier verre chez elle. Je comptai bien faire pareil mais chez moi: c'est le monde renversé. Elle m'offre un verre de son alcool, vide le sien et m'embrasse sur la bouche:
- J'ai envie de toi, faisons l'amour.
Habituellement c'est l'homme qui dit ça.
Nous échangeons un long baiser profond. sa langue sait exactement ce qu'elle doit faire et le fait bien. Je pense que la nuit va être des plus agréable. Elle me demande si je connais l'omelette norvégienne: glace à l'intérieur et omelette autour. Je connais bien sur comme tout le monde. Elle est exactement à l'envers, glace autour et chaude à l'intérieur. La glace a fondue. j'ai droit au chaud et chaud il y a. Cette fille a le feu au cul.
Dès le premier baiser elle me dit qu'elle n'a pas fait l'amour depuis plus de trois mois et que ça lui manque, même si elle se contente toute seule assez souvent. Je comprend qu'elle se branle souvent et qu'elle veut autre chose, une queue par exemple dans son con. Moi même je n'ai pas baisé depuis plusieurs semaines et je suis comme elle: je contente mon fourbi
avec mes mains.
Elle me demande de la mettre toute nue, ce que je fais vite. C'est elle qui rapidement enlève tout ce que je porte. Nous nous éloignons un peu pour nous regarder: sa chevelure lui couvre presque tout le corps. Elle est obligée de les dégager pour que je vois sa poitrine d'abord et son bas ventre ensuite. je suis presque ébloui de voir ses trésors. Je bande bien
sur: elle me regarde le sexe avec envie. Je ne sais si elle veut me branler, me sucer ou se le mettre directement en elle et dans ce cas où ?
Je sais moi je que je veux: je suis à genoux et écartant quelques cheveux je lui prend le clitoris dans la bouche. J'ai plus que le bouton j'ai ou moins la moitié de son sexe en moi.
Elle me prend la tête et guide ma langue. Elle l'appuie bien fort quand elle éclate. Je sens les crispations de son orgasme sur ma langue. Je vais me relever, elle tient ma tête au même endroit. Je recommence et sens encore une jouissance. Je me relève, la position n'est pas confortable. Elle ouvre son lit pliant et s'y installe. Je suis sur le point de la baiser. Elle ne peux pas de ça encore: il faut que nous fassions plus ample connaissance ( recevoir deux cunnilingus d'un même homme ce n'est pas faire connaissance- logique féminine sans doute).
bande bien sur. Elle est contente et se met en levrette pour barbouiller son cul de cyprine et me demande le la sodomiser. Je ne veux pas la prendre comme ça: je préfère qu'elle m'enjambe et se mette elle même ma queue dans le cul. Avec beaucoup de grâce, elle le fait. Je savais qu'une fois enculée elle se branlerai. C'est exactement ce qu'elle fait. Elle en
jouit plusieurs fois. Moi je tiens bien le coup et je peux la faire jouir encore longtemps, jusqu'au moment où je décharge dans son anus pour la dernière fois. Elle n'en peut plus, ni moi.
Nous nous voyons pratiquement tous les jours et baisons comme des cinglés. et arrive le moment des adieux. Nous passons une dernière nuit où nous sommes déchainés. Nous baisons du soir 22 heures au lendemain 6 heures. Et croyez moi c'est un souvenir impérissable, mais totalement crevant.
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