Baiser, Toujours Baiser Et Jouir
Je ne la connais que depuis deux mois. Georgette est une femme brune aux yeux bleu, belle poitrine, et une ventre plat qui surmonte un pubis naturel, comme je les aime.
J'ai horreur des sexes rasés qui ôtent, pour moi tout au moins les envies de venir sucer.
J'aime bien sentir sur mes narines les poils. Nous nous sommes rencontrés par le plus grand des hasards. Depuis nous ne nous quittons pratiquement plus. Notre première fois a été fantastique: elle avait eu pas mal d'amants qui lui avaient appris presque tout ce qu'elle savait, elle en savait des petits détails qui font la différence. Nous étions nus sur son lit, enlacés. nos lèvres soudées ne se détachaient pas. Nos langues se battaient dans nos bouches. Je bandais fortement elle le voyais et ne faisait rien. Je lui caressais les seins: elle fermait les yeux pour profiter de l'instant. Je savais que si je la baisais rapidement elle
ne ressentirait pas l'entier plaisir de la jouissance. Je cherchais un instant son clitoris: elle écartais les cuisses. Elle avait envie de jouir, c'était très clair. Je lui passais deux doigts mouillés par ma salive sur son bouton très lentement et en accélérant selon ses soupirs.
Soudain elle me demandais d'aller plus vite. mes mouvements plus vifs l'ont fait jouir. Elle posait sa main sur la mienne pour que je reste sur son con. J'y restais puisqu'elle le désirait. Elle me demandait de reprendre la masturbation. Je ne l'embrassais plus, je regardais son visage qui semblait bien refléter son plaisir naissant. Elle fermait les yeux et je crois qu'elle devait penser à un autre.
Elle jouissait encore. Cette fois je pouvait enfin la lui mettre. La seule question était où: j'ignorais totalement ses goûts, peut être au con, ou au cul ou dans la bouche ? C'est elle qui me demandait le la baiser. J'en avait envie et je ne tardais pas à lui passer dessus. Elle ne voulait pas ainsi: elle préférait pour cette première se mettre sur moi.
maestria. elle s'arrêtait souvent pour ne pas jouir rapidement. Pourtant à la fin elle n'en pouvait plus et allait à toute vitesse. Elle me faisait jouir un petit moment avant elle. Elle se relevait.
Je l'abritais dans mes bras où elle venait se réfugier. Je lui pelotais encore les seins. Elle me caressait la poitrine avant de venir me prendre la queue. Je ne sais comment elle faisait: je bandais rapidement. Cette fois elle voulais que je la suce: je me mettais les pieds à le tête, elle écartait ses jambes. Je lui embrassais les jambes depuis les genoux en
remontant vers son con: il luisait de la cyprine de la dernière jouissance. Je prenait son sexe en entier dans ma bouche, elle sursautait de surprise. J'embrassais son con en entier. Ma langue allait se loger sur son bouton. Je le léchais jusqu'à ce quelle jouisse sur ma bouche. Nous devenions plus intimes grâce à ce cunnilingus. Tout le temps que je passais sur son bouton, elle me caressait la tête. Je ne cessais pas mes activités. je suçais et lui mettais deux doigts au cul. Elle acceptait. Elle jouissait encore une fois: je lui mettais trois doigts dans le con et le pouce sur le bouton que je continuais à branler. Enfin elle réagissait et prenait mon membre en bouche. Pour moi c'était une très bonne surprise:
elle suçait parfaitement: elle léchait mon gland et prenait ma bite presque à fond. Sa bouche devenait un autre sexe . Sa langue se mêlait de la chose: je la sentais sur toute la longueur . Je me raidissait et j'éjaculais directement dans sa bouche.
Elle m'avait tellement excité que je bandais encore. Elle n'arrêtait pas de vouloir encore des orgasmes.
avant que je la lui mette dans le con. Dans cette position, je pouvais rentrer à fond, jusqu'à la matrice, la seule chose était que son con était plus serré. C'était un avantage et pour elle et pour moi. Notre jouissance commune en était le preuve. Nos spasmes se confondaient.
Je sortait d'elle et nous nous retrouvions comme au début, l'un contre l'autre, nos lèvres unies. Sa main posée sur mon sexe et moi qui la branlais encore un peu. Elle me tripotait le queue et les bourses avant de me toucher le cul. Elle me faisait encore bander. Cette fois elle ne voulait pas baiser: son plaisir elle le prendrait par l'anus. En levrette, elle me narguait l'air de dire tu n'arrivera pas à me faire jouir. Erreur de sa part: je lui mettais toute ma pine dans le cul, à fond. Au début elle voulait que je n'entre pas trop vite, mais une fois plein, son cul prenait tout son plaisir. Je la limais tant qu'à la fin elle jouissait encore plusieurs fois. je ne jouissais pour ma part qu'une seule fois.
Toutefois je bandais toujours. Alors simplement elle me branlait; comme une femme plus qu'éclairée.
Depuis nous baisons tous les soir et quand on le peut l'après-midi. c'est quand même pas comme notre première fois.
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