Monica Se Découvre...
Alors que nous étions en pleine répétition, une femme enceinte savança jusquà moi. Une dame qui ne métait pas inconnue. Et cela pour lavoir à plusieurs reprises croisée dans la salle. Elle était mère de deux petites filles qui faisaient partie du groupe de danse qui se produisait sur la scène. Deux petites brunes dune dizaine dannées. Et un mari toujours en costume, qui venait les rejoindre le soir.
Mais qui ne prenait pas la peine de se déplacer lors des galas. Monica, était son prénom. Pour vous la décrire en quelques mots, Monica était très distinguée. Des cheveux bruns soigneusement méchés, un maquillage subtil. Moulée ce jour-là dans une robe de grossesse qui galbait à la perfection ses formes.
- Auriez-vous de leau fraîche monsieur ? Me fit-elle en sarrêtant à seulement quelques centimètres de moi, avec un joli sourire aux lèvres, qui me fit frissonner.
La tentation étant la plus forte je nai pas pu mempêcher de porter furtivement mon regard dans son décolleté. Pour y apercevoir une poitrine, bien plus grosse que celle de ma femme. Qui donnait très envie dy poser ses mains.
- Oui bien sûre madame, mais il va falloir que vous patienter un instant, le temps que je me rende jusquà mon bureau.
- Laissez tomber alors, je vais faire autrement ! Me fit-elle.
- Mais il nen est pas question. Je nen ai que pour quelques secondes.
- Mais il ne faut pas que cela vous pose un problème.
- Un problème ! Je ne vois pas pourquoi. Je mexcuse de vous faire attendre un petit instant. À tout de suite.
Et alors que je méloignais, elle minterpela :
- Heu ! Fit-elle. Cela vous ennuie que je vous accompagne ?
- Non, mais
il serait plus sage dans létat où vous vous trouvez de mattendre là.
- Jai limpression dentendre mon mari, là. Je ne suis pas en sucre, vous savez ?
- Oh ! Jen suis certain, madame. Veuillez mexcuser, je voulais juste vous évitez dautres pas supplémentaires.
- Vous êtes tout excusé, seulement si vous me laissez vous accompagner.
- Bon ! Bon ! Je pense que ce nest pas le moment de vous contredire.
- Je crois, oui. Répondit-elle en marchant à mes côtés.
Une fois arrivée dans le bureau je mabsentai quelques instants le temps de me rendre jusquau frigo. À mon retour Monica scrutait les murs de la pièce.
- Vous navez pas de calendrier ? Fit-elle en semparant de la bouteille.
- Oui là sur le mur. Lui fis-je en le désignant.
- Je ne parlais de ce genre de calendrier.
- Ah oui ! Et je peux savoir de quelle sorte de calendrier voulez-vous me parler.
- Du genre plus sexy, vous voyez ? Non
enfin ! Répondit-elle, en dévissant le bouchon de la bouteille. Laissez tomber ! Ajouta-t-elle, je ne sais plus ce que je dis.
Elle blêmissait à vue dil.
- Vous navez pas lair dans votre assiette, madame. Ne préférez-vous pas mieux de vous reposez un peu ! Tenez installez-vous sur le divan.
Devant son manque de réaction, je la pris par le coude et par la taille avec mon autre main, pour la conduire jusquau divan.
- Reposez-vous là, aussi longtemps que vous le désirez, madame. Je vais faire de la sorte que vous ne soyez pas dérangé.
- Je mexcuse de vous donner autant agacement.
- Mais vous ne mimportuner pas du tout. Au contraire, je suis heureux de vous rendre service.
- Cest bien la première fois quil marrive une telle mésaventure.
- Dans létat où vous trouvez cest un peu normal ? Non ?
- Oui ! Vous avez sans doute raison. Cest peut-être ma grossesse. ou alors
?
- Oui ! Je vous écoute ?
Et là linattendu, lexceptionnel, le surprenant, sortit de sa bouche.
- Cest sans doute mon manque de relation sexuelle.
- Pardon
madame. Bafouillais-je, pris au dépourvu.
- Oh ! Tu as parfaitement entendu. Passant au tutoiement. Jai comme une énorme envie de jouir.
- Mais cest que
et votre mari, il
- Évite de me parler de lui veux-tu. Me coupa-t-elle. Je suis en manque, parce que monsieur me délaisse. Tu ne peux pas savoir comment jai besoin de sentir que je plais encore à un homme !
- Mais vous êtes belle. Répondis-je, essayant de la résonner.
- Dis-le alors à mon mari.
- Il pense sans doute que vous nêtes pas dans létat de
- Foutaise ! Me coupa-t-elle de nouveau. Cela ne te dit pas de me faire jouir ? Je ne te plais pas ?
- Loin de penser cela madame.
- Alors !
- Cest que je ne sais pas si je dois !
- Mais si cest moi qui te lautorise.
Et comme dans un rêve, et sans doute encouragé par son besoin sexuel de ma interlocutrice je la vis ce déboutonner lun après lautre les boutons qui gardaient clos le devant de sa robe de grossesse. Puis elle ôta son soutien-gorge, le relevant vers son cou, libérant deux seins rondelets aux mamelons inondés de désir.
- Tu as une belle poitrine, Monica. Tu permets que je tappelle de la sorte.
- Jy tiens, même. Jaimerais que tu leur rend hommages. Jadore quand soccupent de mes seins. Et elle mattira la tête vers sa poitrine.
- Suce-moi les seins, je ten prie ! Tu ne peux pas savoir comme jadore cela
Poussé par une telle invite, je posai ma bouche sur lun deux, léchant le sein jusquà ce quelle halète de plaisir. Ce qui ne se fit pas attendre.
Puis je pris lautre pour le happer. Mordillant le téton avec ferveur. Monica profita pleinement du bonheur dêtre enfin touchée. Je mamusais comme un petit fou sur ses nichons. Passant la langue alternativement sur chacun des bouts rosés, les aspirants même entre mes lèvres, et cela, pour son plus grand bonheur. Dailleurs elle ne se cachait pas de me le faire savoir :
- Oui
continue à me faire du bien
jen ai un tel besoin
Je me mis à téter ses mamelles comme un assoiffé.
lautre main, elle soccupait de ma braguette, gauchement. Je mis cela sur le dos de son excitation. Au point que je lai aidé à mettre ma verge à lair libre. Quelle prit tout de suite, lemprisonnant dans la paume de sa main. Pour me la branler gentiment.
Je profitais de linstant pour lembrasser voracement. Cette femme était vraiment très en manque. Jexploitais la situation en faufilant ma main sur le haut de ses cuisses. Caressant à travers la toile de sa culotte de maman, la protubérance que faisait son sexe. Impatient daller plus loin, jécartais le tissu en coton, imbibé de mouille pour caresser sa fente imbibée de mouille, sans faire pénétrer le bout du doigt. Juste pour la faire parvenir au bord de la jouissance.
Et elle fut au rendez-vous. Je la tirai alors à moi, positionnant ses fesses au bord du canapé, les jambes bien écartées. Je magenouillai devant elle. Je la soulageai de son slip. Dessous elle avait une toison inimaginable. Très dru, abandonnant sans doute depuis longtemps le bikini. Ses poils pubiens sétalèrent de part et dautre de ses cuisses et remontaient légèrement vers le nombril. De même, elle possédait un long clitoris, qui pendait entre ses babines.
Elle sentait aussi fort. Même très fort. Jétouffais un gémissement de satisfaction. Il ne faudrait pas que quelquun entre dans le bureau, et nous surprenne en pleins ébats. Ne me rappelant plus si javais verrouillé la porte ou non. Et pourquoi laurais-je ? Dailleurs ! Qui aurait prédit ce qui allait suivre.
Mais très vite lexcitation reprit le dessus. Faisant passer mon interrogation au second plan. Tant lenvie de poser mes lèvres sur cette chatte était la plus forte. Étourdi de désir, je penchai ma tête jusquà ce que ma bouche soit au contact de son intimité. Je me mis à jouer avec le joujou quand me présenter.
Monica haletait de plus en plus. Se pinçant les mamelons de ses beaux doigts, aux ongles longs et laqués de rouge,
alors que jépongeais son vagin trempé à laide de ma langue.
Et cela malgré lodeur de son con au goût musqué.
Très vite je la sentis contracter ses muscles vaginaux. Un spasme de volupté sensuivit, qui électrifia son corps. Survinrent alors un cri et léjaculation. Elle éjacula comme un bonhomme. Un flot visqueux qui se perdit dans ma bouche.
Je lui donnais même pas le temps de récupérer, enfonçant deux dans son antre. Comme vous le devinez, ils coulissèrent jusquau fond du puits sans rencontrer la moindre résistance.
Alors jen mis un troisième et les agitai en rond. Tirant à ma partenaire, un soupir de satisfaction. Qui très vite prise une excitation extrême se mit à délirer. À laisser échapper de sa bouche des mots quune femme comme elle ne devrait pas dire.
- Baise-moi ! Baise-moi ! Jen ai trop envie
Je pris son exigence pour un ordre. Dailleurs dans létat où elle se trouvait, il ne fallait surtout pas la contredire. Je neus même pas besoin de guider mon pénis de la main, tant le con de Monica sétait docilement ouvert sous la poussée du gland. Elle soffrit en soupirant. Son expression navait pas changé, paupières mi-closes, bouche étirée en un demi-sourire. De la sueur, lui perlait aux tempes. Alors que sa respiration bruyante, trahissait son plaisir à se sentir fouiller le sexe. Dont je donnais de grands coups de reins. Faisant coulisser ma queue sur toute sa longueur. Dans une cadence si rapide, quelle séchappait par instants, ripant sur le clitoris.
Pour le plus grand plaisir de Monica. Qui accompagnait mes coups de bites en claquant son fessier rebondi contre moi. Elle comme moi, nous ne tardions pas à gémir fortement. Ce fut Monica qui avait joui la première. Moi restant bien en elle, ondulant des hanches pour quelle jouisse tant quelle voulait.
Une fois son orgasme passé, et le mien disparut, je me saisis de ses jambes pour les coincer sous mes bras.
Lui faisant prendre une pose dont jaurais un meilleur accès à sa chatte. Et je me remis en route. Dans un pilonnage continu. Pour le plus grand plaisir de Monica. Elle haletait de plus en plus, alors que je la baisais vigoureusement. Très vite un second orgasme balaya le premier.
- Ouuuuuiiiii ! Continue
je jouiiiis ! Putain je jouis encore ! Continueeeeeee
AAAAaaahhhhh
ouiiiiiiiiiiiiiiii
Jamais encore, une femme sétait autant laissé aller à extériorisé de la sorte. Exprimant autant son plaisir. Pour ma part je continuais de la baiser, bien à fond, à grands coups de bite. Un besoin chez moi pour parvenir à la jouissance. Jétais exorcisé par la perversité.
Quand enfin je sentis les premiers stigmates de ma jouissance naissante, je me mis à défoncer carrément sa chatte à grands coups de pine. Jaccompagnai lorgasme en criant, tout en me vidant dans une chatte en feu.
Après avoir repris mon souffle. Et vous pouvez croire que jen avais besoin, je me retirai finalement de son corps. Elle resta affalée sur le canapé.
Les jambes largement écartées. Laissant sécouler mon sperme doucement de son orifice. Elle me sourit. Pleinement satisfaite du plaisir que je venais de lui offrir. Avec ses doigts elle étala mon foutre sur toute la surface de son sexe. Puis elle me tendit son doigt odorant vers ma bouche afin que je lui nettoie. Je les suçais lun après lautre.
Bien plus tard, tandis que je me rajustais, elle reboutonnait le devant de sa robe. Puis elle remit en place sa culotte. Pendant ce temps-là, je lui proposais un verre quelle accepta. Elle me remercia à plusieurs reprises de ma gentillesse. Je laidais à se remettre debout et laccompagnais jusquà la salle. Son mari me remercia chaleureusement de mêtre occupé de sa femme. Il sortit un billet de cent francs quil me tendit. Sous mon refus il assista. Sa femme se joignant à lui, lâcha :
- Prenez-le, vous lavez bien mérité.
- Si cest vous qui le dites alors je ne peux quaccepter.
Et cest comme ça que jai pris le billet.
Le lendemain je me précipitai chez le disquaire, achetant un CD, (que je possède encore aujourdhui), en souvenir de cet instant inoubliable.
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