Un Gay Commissariat
Pour mes 20 ans, mes parents m'ont offert un voyage au Proche Orient. A peine entré dans l'aéroport, je me dirige vers le tourniquet à bagages. Je m'aperçois que je suis suivi par deux policiers ou militaires, je ne sais pas. De l'autre côté du tourniquet, un autre homme en uniforme me regarde. Plusieurs fois, il passe derrière moi et je sens son regard se poser sur mon cul. Quand j'ai récupéré mon bagage, mes poursuivants m'interpellent. Je ne comprends pas leur langue. J'essaie en anglais, mais rien n'y fait. Ils me conduisent vers un bureau où je retrouve l'homme qui me regardait. J'essaie d'établir le contact sans plus de résultat. Les uniformes fouillent mon bagage sans rien trouver de suspect. Pendant ce temps, celui que je prends pour leur chef, tourne autour de moi. Il regarde mes jambes, mon visage et mon cul.
Les uniformes discutent un instant avec lui puis s'éclipsent. Il ferme alors la porte du bureau et se rapproche de moi. Il me fait lever les bras.
Il me palpe sous les bras, puis le torse. Il me fait écarter les jambes et se baisse. Ses mains pétrissent mes fesses, palpent mes jambes et, revenant par devant, tâtent ma braguette. Il passe derrière moi, défait la ceinture de mon short et introduit ses mains dans le vêtement, directement sur la peau de mes fesses. J'ai senti ses mains apprécier la douceur de ma peau et la rondeur de mon cul. N'ayant rien trouvé, ils m'ont laissé partir. Une fois dehors, j'ai traversé la rue quand j'ai entendu un coup de sifflet. Deux agents m'ont attrapé et m'ont emmené dans une sorte de commissariat, face à l'aéroport.
On m'a fait attendre presque 3 heures dans un bureau. J'ai essayé plusieurs fois de demander pourquoi j'étais là, mais à chaque fois, on m'a repoussé à l'intérieur. Au bout d'un temps infini, on est venu me chercher pour me conduire dans une douche. On m'a donné des vêtements gris sales et du savon. Je me suis déshabillé avec l'impression désagréable qu'on me regardait à poil.
Le lendemain matin, je me suis réveillé couché à terre dans une salle sans fenêtre. J'avais des gants en cuir sur les mains, reliés entre eux par une courte chaîne en acier. J'étais juste vêtu de mon boxer. Quand je fus complètement lucide, l'officier qui m'avait fouillé la veille entra dans la pièce. Il s'approcha de moi et caressa mes cheveux. Une corde pendait du plafond. Il la passa dans la chaîne et avec un palan électrique, il tira mes bras vers le haut. Il sortit de sa poche une balle de tennis qu'il enfonça dans ma bouche en me pinçant le nez. Il commença à passer ses mains partout sur mon torse et mon dos. Avec une baguette souple, il cingla mes fesses. Quand il en eut assez, il baissa mon slip, découvrant mes fesses rougies par les coups. Il empoigna mon sexe et me branla jusqu'à l'érection. Alors, il sortit sa queue de son pantalon. Il était derrière moi. Il passa son bras autour de ma taille et m'attira vers lui. Je sentis sa grosse bite se poser sur ma raie. Dans sa main, j'étais plus raide que jamais. Il se baissa et m'ôta le slip. De sa poche, il sortit un flacon d'huile avec lequel il m'a frictionné tout le corps, la bite et le cul compris. Quand il s'est enfoncé dans mon cul, il tenait ma bite huileuse dans sa main. De l'autre bras, il me saisit par la taille, et avec la même cadence, il me branla pendant qu'il m'enculait. Il eut un geste de victoire quand j'éjaculai au même moment où il remplissait mon cul. Le jour d'après, il revint avec un plus jeune. Pendant que lui m'enculait, le jeune me suçait...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!