Avec Hélène Sans Nos Époux
Depuis mon mariage avec un officier, jai été ballottée de garnison en garnison. Maintenant quil est colonel, malgré son âge, à peine 35 ans, affecté dans un service « spécial ». Il est souvent absent à létranger pour son job. Il sait quand il part et ne sait jamais quand il revient: il ne menvoie jamais de cartes postales. Jai de temps en temps des nouvelles par lintermédiaire de la femme dun autre officier. Nous nous fréquentons beaucoup avec Hélène, au point de devenir inséparables. Nos époux respectifs sont contents de nous voir sympathiser.
Nous allons au cinéma ensemble, faire des courses, déjeuner au restaurant ou simplement bavarder chez lune ou lautre. Il nous arrive souvent de parler des étreintes que nous avons avec nos maris. Elle, comme moi est assez portée sur la baise.
Ce qui devait arriver arrivât.
Nous étions chez moi, regardant la télé, un soir quand je ne sais comment jai fait mon compte je suis tombée sur une chaîne porno. Jallais changer, pour ne pas la déranger:
- Non, laisse ça, jaime bien regarder ce genre de film sans scénario sinon que des gens doivent se faire lamour.
- Jaime aussi le faire quand je suis seule: je peux me caresser.
- Cest-ce que je fais aussi, il faut dire que la bite de mon mari me manque.
- Moi aussi, il ma payé un godemichet parfait pour que je me baise.
- Cest pareil pour moi.
- Tu ten sert souvent ?
- Ca dépend des fois, en tout cas plusieurs fois par semaine;
- Comme moi? Tu veux que je te le montre ?
- Pourquoi pas !!!!
Je vais chercher dans ma table de nuit, le substitut de bite pour le lui montrer.
Quand je revient elle regarde toujours le film où des femmes se font lamour. Elle a une main sous la robe, la main sagite. Je suppose quelle se branle. Malgré mon arrivée elle continue, cette fois en fermant le yeux: elle se donne pas mal de plaisir puisque je la vois mettre sa tête en arrière en poussant un grand soupir.
Quand elle est remise, elle ne sexcuse même pas:
- Je viens de me branler, jai joui.
- Je sais je tai vu.
- Tu ne men veux pas ?
- Si un peu, je ne me suis rien fait et jai envie maintenant de jouir aussi.
- Donne moi le gode je vais te le mettre.
Cette proposition aucune femme ne me la jamais faite. Je mouille beaucoup. Jhésite à peine pour lui dire oui.
Jenlève mon tout petit slip, lève ma jupe jusquà la ceinture. Elle me demande de massoir à ses coté pour quelle puisse me baiser. Elle passe ses mains entre mes cuisses que jécarte comme si cétait mon, mari qui le faisait.
- Je fais avec toi comme pour moi.
- Cest agréable, continue.
Elle continue lentement à monter en haut, vers mon sexe qui attend avec impatience. Je sens le gode qui sapproche de mon vagin, enfin elle le pose dessus, juste à lentrée. Elle le fait tourner avant de le faire entrer lentement. Elle ne fait pas comme moi, quand je men sers, il entre très vite pour sarrêter au fond un instant avant de remonter.
Elle lenfonce enfin jusquau fond, contre le col de la matrice. Les vas et vient commencent: elle sait bien me branler. Je ferme les yeux en imaginant le tableau que nous faisons: une femme qui donne du plaisir à une autre. Je me laisse aller vers lorgasme qui arrive. Juste un peu avant je sens les lèvres dHélène se poser sur ma bouche. Malgré moi jouvre ma bouche où elle entre. Nous échangeons un baiser damant. Je prend sa tête pour quelle reste sur mes lèvres. Je suis attirée par sa poitrine que je caresse par dessus sa robe. Je jouis, elle narrête pas la baise. Elle fait comme mon militaire de mari. Elle me fait jouir encore. Je me lève pour me déshabiller. Je préfère être nue pour la suite qui va arriver jen suis sure. Cette fois cest ma bouche qui va se poser sur la sienne: à jouer un jeu, jouons le jusquau bout. Quand elle se lève, elle se met en tenue dEve.
Je maperçois que nous sommes bien fichues lune et lautre.
Nous ne savons plus que faire sinon faire jouir lautre. Je me colle à Hélène, ses seins contre les miens, nos bas ventres bien serrés. Elle passe une jambe entre les miennes: je frotte ma vulve contre. Je ne peux que lui caresser les fesses et chercher à savoir si elle aime ou non se faire caresser lanus. Je trouve une douceur que je ne soupçonnais pas sur ses fesses. Je les caresse par plaisir. Je passe un doigt entre ses globes: je le descend le plus possible. Jarrive à son petit trou. Je le touche à peine: il me semble bien petit pour le caresser complètement. Pourtant elle nenlève pas sa bouche de la mienne. Cest une acceptation. Je caresse sans appuyer lanus quelle commence à ouvrir un peu. Je ne rentre quun seule phalange. Elle se laisse faire, comme moi quand elle me baisait.
Cest elle qui demande:
- Nous pourrions nous coucher, ce serait plus confortable que debout. Non ?
- Si tu veux.
- Jai envie de toi.
- Moi aussi.
- Tu as déjà baisé une femme ?
- Tu sera ma première.
- Comme moi, en somme nous nous dépucelons.
Cest vrai quune fois couchées, nous ne nous quittons pas de plus de deux millimètres. Notre première fois risque de devenir habituelle. Et alors, quand nos époux ne sont pas là, rien ne nous empêche de jouir. Sils ne le voulaient pas il ne nous auraient pas acheté les godes.
Nous nous caressons encore mieux queux. Hélène prend linitiative de me peloter à la façon: Elle passe une main sous un sein, la remonte juste sur le téton et y passe un doigt comme si elle me caressait le clitoris. Cest nouveau pour moi, cest surtout agréable. Nous nous tournons pour pouvoir caresser les poitrines. Nous prenons un plaisir fou à être caressées par des mains de femmes et de caresser une autre poitrine. Ma bouche se pose sur un de ses tétons. Je le lèche avant tout avant de le sucer, avec ma langue toujours sur lui.
- Oui, continue comme ça, cest bon, jaime bien me faire enculer;
- Tu veux que jy mette le gode ?
- Oui, sil te plait.
Je prends lengin et le pose sur son entrée. Je le lui ai mis une minute à peine dans la chatte pour le mouiller. Je le pose sur lanus: je nai pas le temps de le faire entrer, delle-même elle donne un coup de rein et se trouve avec le gode à fond dans son ventre. Je commence les aller et venue, accompagnés par ses propres mouvements. Elle gémit et prononce des mots sans suite, sauf les derniers:
- Je
..je
vais
jouiiiiiiiiiiiiiir
Enfin elle soccupe de mon sexe: elle me lèche tout dabord le clitoris que jai sensible. Elle me doigte à la fois avec trois doigts dans mon vagin. Elle veut maintenant me la mettre au cul. Je me met en levrette, me mouille bien le cul, elle y rajoute de sa cyprine. Elle me la met sans précautions préalable puisque je lui ai dit que jaimais me faire mettre par derrière. Je ne sais où elle a copié les façons de faire de mon mari, en tout cas, je ressens les mêmes plaisirs. Je serre même les fesses pour quelle reste encore en moi, même si jai joui. Elle est sous moi pour me sucer: je le lui rend pendent quelle me la met. Nous jouissons ensemble: cest excitant de savoir que lorgasme vient de moi. Cest bon nos 69.
Nous nous voyons tous les jours, pas ment pour nous faire lamour. En tout cas nous aimons bien nous baiser en labsence de nos maris à qui nous ne dirons rien pour éviter des partouzes.
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