Avantages D'Une Surveillante
Je travaille dans une grande surface, comme surveillante. De temps en temps je dois régler des problèmes où la plus part du temps il sagit de régler des petits embarras de relation entre une cliente et une hôtesse de caisse. Jarrive toujours à régler les choses à lamiable. Quelques fois je tombe sur des clientes mal lunées. Ce matin cest une femme de 35 ans environ qui veut jouer la mécontente. Jarrive péniblement à la calmer. Pour la rassurer je linvite, puisque cest lheure, à venir déjeuner avec moi. Nous allons donc dans la galerie pour trouver le petit restaurant où jai mes habitudes. Nous bavardons dabord de son problème puis, enfin de tout autre chose : cuisines, tricot etc
Je la regarde : elle ne me déplait pas du tout, elle est sexy, avec une belle poitrine pas très grosse, comme je les aime. En plus elle a un grande classe.
Sans avoir lair de rien jarrive à commencer à parler de sexe. Son mari la délaisse depuis longtemps, (sous entendu je me masturbe). Je la plains bien sur. Je lui dis que je nai pas ce genre de problème, étant célibataire. Elle est étonnée quà mon âge je nai personne dans ma vie. Je la regarde bien dans le yeux :
- Qui vous dis que je suis célibataire ?
- Vous ne portez pas de bague.
- Pour vous porter une bague désigne une femme mariée.
- Sans doute.
- Je ne suis pas mariée, je naime pas les hommes, je préfère et de loin les femmes.
- Parce que vous êtres
- Oui, je suis lesbienne.
- Pourquoi, cest nécessaire un homme.
- Pour se faire mettre quelque fois cest vrai, je men sers. Dans la vie courante jaime les femme depuis presque toujours.
- Ce ne doit pas être commode pour trouver une partenaire.
- Non, sauf si une femme me plait, comme vous.
Elle en reste muette : je dois être la première à lui dire quelle plait à une autre femme.
- Nayez pas peur, je ne viole pas les autres. Je leur demande poliment : voulez vous faire lamour avec moi.
Elle semble interloquée. Je sens quelle réfléchit, surtout quand jajoute :
- Je ne délaisse pas les femmes, je les console toujours.
- Et si je disais oui ?
- Nous prendrions rendez vous pour tout à lheure chez moi et nous nous aimerions !
Je suis surprise quand elle me demande où et quand.
Je suis libre dici 2 heures et nous devons nous voir chez moi, jhabite dans un village pas loin, elle peut et doit se garer dans la cours à larrière de chez moi.
Je ne compte pas tellement sur elle et pourtant. Jentends une voiture se garer chez moi. Elle est là. Cest elle et pourtant elle a changé : elle est mieux habillée, coiffée, maquillée, bref elle sest faire belle pour venir.
Je la fais entrer sans me précipiter sur elle. Joffre une boisson quelle accepte : un simple café suffit. Elle est assise sur un fauteuil, se tenant fort bien. Je décide de la dérider un peu : je vais en face delle pour boire le café. Jécarte volontairement les jambes pour lui montrer la moitié de mes cuisses : elle les regarde et comprend quelle nest pas en visite damitié. Nous finissons les tasses, je me lève et lui demande de me suivre. Gentiment elle se lève. Je nattends que ça, je vais vers elle pour pose mes lèvres sur sa bouche. Etonnée elle me donne sa langue. Je la serre dans mes bras :
- Jai envie de toi, et toi ?
- Je ne sais pas encore.
- Attends, tu vas voir.
Je lembrasse encore, cherche sa poitrine sous sa veste de tailleur. Pour une femme qui na pas envie de moi, elle est bien mise: elle ne porte pas de soutif. Je peux ainsi caresser ses seins. Je mattarde surtout sur les mamelons. Elle me laisse faire: je dois lexciter, sans quelle nen fasse paraitre un soupçon de désir. Je garde un sein dans ma main pour que lautre passe sur ses fesses. Je remonte la jupe: je veux caresser les fesses. Là non plus elle ne porte rien. Je passe un doigt entre les fesses pour aller sur son petit trou.
Nous allons dans la chambre. Cette fois je garde le dessus: elle doit être soumise à mes désirs. Je la fait sassoir sur le bord du lit, je la pousse pour que seules ses jambes soient hors du lit. Jécarte ses jambes pour passer ma tête. Mes cheveux trainent sur le dessus de ses cuisses, pendant que ma langue lui caresse lintérieur. Je montre très lentement vers son sexe parfumé. Elle a du y poser une goutte de 5 de chez machin. Tant pis, ce parfum camouffle sa véritable odeur de cyprine.
Jarrive directement sur son vagin, je nhésite pas une seconde pour y mettre ma langue en entier. Maintenant je sens sa véritable odeur: agréable. Je fais les aller et venus pour la faire jouir encore. Quand ça arrive je descends ma langue sur son anus. Je le touche dabord avec le bout de la langue avant de lenfoncer dans son cul. Je peux facilement la mettre en entier. Elle me tient la tête comme pour me dire de ne pas partir de son fondement. Je la sens jouir. Je me relève pour lembrasser sur la bouche: je veux quelle sente le goût de son cul. Elle aime ma langue et me demande de me rendre ce que je lui ai fait: ce qui nétait que le début. Je me couche, elle va entre mes cuisses, sa bouche se dirige vers mon anus: elle entre sa langue aussi et me fait jouir.
Jai levé une femme sensuelle, assez cachotière sur sa sexualité, et parfaitement salope: ça me plais.
Je la tiens par les fesses en la suçant, surtout quand je met ma langue dans son cul. Elle préfère me mettre deux doigts qui me font jouir aussi.
Je larrête quand je sens que nous sommes au lit en baisant depuis plus de deux heures. Elle est étonnée davoir baiser avec moi si longtemps.
Elle me demande de lui sucer le clitoris une dernière fois. En échange je demande une masturbation. Nous sommes satisfaites, surtout elle qui demande une seule chose, recommencer. Je suis libre les jeudis après 16 heures. Elles viendra chez moi ces jours là. Pour le reste elle se masturbera avec son gode.
Elle se branlera en pensant moi, comme je le ferai en layant dans lesprit : cest une bonne élève, après quelques baises elle sera totalement relâchée et encore plus salope.
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