Deuxième Partie D'Une Jeune Fille Pour Un Homme Expérimenté De 44 Ans
La jeune fille avait hâte de retrouver le viril et exceptionnel Christophe
Mais elle ne pouvait s'empêcher d'être anxieuse et de se demander si elle allait encore lui plaire. Dés qu'elle se remémorait les moments défendus qu'ils avaient passés ensemble, elle rougissait et son clitoris frémissait à la simple pensée de ces souvenirs.
Souvent, lorsque qu'elle avait la conscience tranquille, les yeux à demi-clos et la main dans sa culotte, elle imaginait que Christophe était là, tout près, tapie dans un coin ombragé de sa chambre, la dévorant de ces magnifiques yeux azur tel un prédateur guettant sa proie puis se jetant sur elle avec élan peu contenu
Huit mois, voici qui est long !
Cependant, le temps s'écoule tôt ou tard
Elle avait dix-huit ans maintenant, ce qui signifiait donc qu'à l'avenir si jamais elle voudrait continuer à s'envoyer en l'air avec un type plus âgé, elle le pourrait sans déclencher de véritable scandale.
Cela faisait déjà près de deux heures qu'elle était arrivée à destination, elle était désormais installée et la nuit été tombée, elle avait revêtu une robe bleu turquoise remarquablement courte et près du corps. Elle sinsulta elle-même : « tu ressembles à une vraie pute comme ça ».
Mais tout à coup, cela l'excitas d'une folle manière, elle détacha ses cheveux laissant place à sa superbe crinière blonde, écarta outrageusement les jambes face au miroir, écarta son string et fourra trois doigts en elle, tout en imaginant que Christophe avait surgi derrière elle par surprise pour lui retirer si violemment sa robe et son string quils les lui déchira pour la pénétrer sauvagement par-derrière.
Lorgasme la submergea rapidement avec en-tête le doux visage à la mâchoire carrée de l'homme qui sait tant la r de désir
Ensuite, elle se lava les mains, retira son string et décida alors de se rendre à la soirée sans rien en dessous de sa robe
Cinq minutes, plus tard, à la soirée, une intense angoisse s'empara d'elle lorsque qu'elle se rendit vite compte que tout le monde était là, sauf Christophe qui manquait alors à l'appel.
Elle descendit alors sur la plage, priant pour qu'il y soit.
Elle y aperçut un homme de dos, vêtue d'une chemise blanche aux cheveux poivre et sel.
Comme s'il se doutait d'une présence derrière lui, l'homme se retourna soudain, dévoilant ses superbes yeux clairs aussi saisissants que ceux d'un loup agrémentés d'arcades sourcilières trahissant la moindre de ses émotions refoulées.
Christophe !, s'exclame t'elle, le corps déjà traversé d'un électrique plaisir à sa vue.
Il sourit, se leva précipitamment et la souleva dans ses bras, elle enroula ses jambes autour de ses hanches et ils s'embrassèrent passionnément.
Jusqu'à ce qu'un homme accompagné d'une femme apparaissent et les hèlent.
L'homme était un ami à Christophe et la jeune femme, une amie à elle
La même qui lui avait conseillé de séduire impérativement Christophe, car celui-ci était excellent amant, ce qui complètement véridique et maintenant vérifié depuis déjà pas mal de temps.
Ils allèrent à une jolie petite crique où enivrer de désir les uns comme les autres, ils s'allongèrent côte à côte et partagèrent une bouteille de champagne.
Christophe ordonna soudain aux deux filles de les exciter.
Elles acceptèrent en riant, elles se déshabillèrent précipitamment et se jetèrent dans les vagues où elles séclaboussèrent et se mirent tout à coup à frotter avec sensualité leurs corps dénudés tout l'un contre l'autre sous le regard vicieux des deux hommes.
Lorsque qu'elles eurent regagnées la plage, elles se mirent à aller sortir le sexe de leur homme respectif pour les masturber avant de les sucer jusqu'à ce qu'ils éjaculent abondamment dans leurs bouches, ce qu'elles adorèrent tout particulièrement surtout lorsque qu'elles le gardèrent longuement en bouche pour le savourer mieux encore et que le sperme finit sa course, tout au long de leur gorge.
Ensuite, elles se blottirent contre leurs torses qu'elles débarrassèrent de leurs chemises, le temps qu'une nouvelle phase dardent désir ne les assiège à nouveau, ce qui arriva assez vite
Alors, ils couchèrent les filles sur le sable là où ils s'enfoncèrent adroitement par-derrière, en elle, elles hurlaient au rythme infernal des coups de reins vigoureux de leurs amants, leurs chevelures était maintenus fermement autour de leur poing serré, les laissant ainsi maître de leurs ébats.
Tous les quatre, au bout d'un considérable moment, ils éclatèrent ensemble dans une parfaite harmonie jouissive où cris féminins et râles virils se mêlaient intensément.
Nus et libres, les deux couples se baignaient maintenant enlacés, seulement éclairé de la lueur de la lune, leurs silhouettes se découpaient à mesure qu'ils s'embrassaient, sur les parois des falaises environnantes
La vision de leurs propres ombres les intrigua drôlement.
Une fois sortis de l'eau, ils longèrent les falaises main dans la main puis Christophe s'arrêta soudain et glissa, très sensuelle et un peu secret, à sa complice :
Faisons du sexe oral debout
Fiévreuse de la tête aux pieds, sa jeune amante finit par formuler son accord d'un souffle.
Il la souleva donc, faisant coulisser adroitement ses jambes le long de son torse, positionnant ses lèvres au niveau du sexe offert de la jeune fille.
Accroche toi à mes chevilles, souffla t'il.
Elle s'exécuta et s'y agrippa fermement, tandis que l'autre couple, pour l'instant encore inoccupé du moins plus pour longtemps, les observais, amusés, n'en perdant pas une miette
Soudain, ces deux derniers, se mirent aussi à vouloir se lancer dans une position aussi superbement athlétique.
La jeune femme encercle de ses jambes la taille de son compagnon restant debout, aussi droit qu'un I, les bras de cette dernière se plient comme pour faire une pompe, ses mains s'appuyant sur le sol tandis que son visage et son cou, masqué derrière ses longs cheveux, basculait un peu trop dangereusement dans le vide à mesure que l'acte sexuel se fait renversant et décisif.
Heureusement, l'homme éjecta sa semence en elle facilement, bien avant que Christophe et son amante ai eux-mêmes finis
Éprouvés au plus haut point, à trois heures et demis du matin passé, chacun regagna respectivement son lieu de vie
Mais la jeune fille est malheureuse, car Christophe a décliné sa proposition d'achever cette douce nuit chez lui.
Il y aura d'autres occasions, non ?, songe t'elle sur le chemin du retour, accompagné de Christophe, qui se contente juste, arrivé chez elle, de déposer un furtif baiser sur ses lèvres et de plaquer une main sur ses fesses avant de s'en aller sans perdre de temps
Quelques minutes, plus tard, elle pria en regardant l'étincelante lune pour que Christophe revienne vite la couvrir encore une fois de passion et d'inoubliables moments presque interdits
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