Une Journée Où Un Corps Vivra À Ses Dépends...

En cette journée, tu te réveilles pleine de rêves chauds et humides, dont les traces sont profondément marquées au fond de ta culotte. Combien de songes érotiques tu as encore eu cette nuit en pensant aux folies que tu vis avec ton amant.
Qu'en sera-t-il de cette journée? Que t'a réservé ton amant pour aujourd'hui?
Te voilà replongé dans tes aventures de la nuit, ton corps tout frémissant à ces doux souvenirs, s'anime bien malgré toi...
Tes mains partent explorer tes parties les plus sensibles, les plus agréables de ton anatomie. Tes doigts caresses tes tétons, dardés de plaisir, une main s'achemine vers ton mont vénus et ton clitoris, que tu ne peux empêcher de longuement effleurer. De douces sensations de chaleur t'envahissent. Le plaisir monte en toi, rapide, inévitable, puissant, insolent... Rien ne peut aller contre.

Mais bien vite un bruit t'arrête... Un sms te sort de ton plaisir... Ton amant pense à toi et te demande dès maintenant d'enfiler une petite robe à boutons... Mais attention, lances 4 fois un dès avant toute chose.
Pourquoi cela? Quelle idée saugrenue a-t-il encore trouvé?...
Tu prends ton dès, le lance 4 fois. Tu tires un 2, puis un 1, puis 4 et enfin un nouveau 3.
Ton excitation toujours bien présente, tu t'exécutes, espérant ainsi reprendre au plus vite des caresses, si brutalement arrêtées, alors que ton corps réclame encore jouissance et envie.

Nouveau message, le total des 3 premiers lancés est le nombre de boutons que tu devras boutonner. Le quatrième lancé, correspond à la hauteur des boutons : 1-2 en bas, 3-4 au milieu, 5-6 en haut...
Aie aie aie... te voilà dans le beaux draps... 7 boutons à attacher sur une robe qui en comporte 15...
Tu décides donc, en accord avec les exigences de ton amant de ne pas boutonner les 4 boutons du bas et les 4 boutons du haut.
Vite, qu'il arrive pour qu'il puisse jouir de toi... Un regard dans la glace te renvoie combien cochonne, coquine, sexuelle tu es ce matin.



Tes mains sont toujours autant coquines et se baladent dans les ouvertures qui laissent clairement deviner l'absence de sous-vêtements.
Dès l'arrivée de ton amant, vous pourrez enfin profiter de vos corps et satisfaire tes envies, tes besoins d'amour.

Nouvel sms, celui-ci bien plus chaud, évoque combien il a envie de toi, de te caresser, de te voir frémir sous ses doigts avides et experts, de te voir jouir tout simplement. Tu en es là dans tes réflexions, lorsqu'il t'annonce par un nouvel écrit, qu'il te fait porter un petit paquet.
A cet instant, la sonnette retenti. Un livreur se présente à toi avec un colis.
Trop occuper à lire et t'exciter sur ce que vous alliez faire, tu en oublie ta tenue. Qui, dans la lumière du jour, frise l'insolence totale et l'appel à toutes les perversions possibles. En effet, la luminosité laisse une vision adorable à qui sait en profiter. Ce qu'à cet instant ton livreur... un beau voyeur... ne se prive pas de voir. Il devine sans peine, tes seins à la pointe tendue de désir, leur auréoles marquées, entre aperçois à contre-jour ton sexe.
Il te remet le colis, tu l'ouvre précipitamment et découvre avec une pointe d'horreur et de plaisir non feint tes cadeaux. Cela développe plus encore tes envies de sexe... Si seulement tu pouvais violer ce livreur... Mais non!!! Ton amant ne t'a parlé de cela. Garder ton calme tu dois. Pourtant, lui ne semble pas rester de marbre. Tu imagines sans peine son sexe, que tu vois apparaître via une fort belle bosse sous sa taille. Tu prends son bloc, signe le reçu et referme la porte. Tu t'appuies dessus, touchant ta poitrine, effleurant ton sexe, prête à jouir...

Qu’a bien pu penser cet homme en te voyant ainsi, disponible à sa vue ? Comment a-t-il résisté sans te toucher ? À cet instant, l’appel de ton amant clôt tes réflexions. Oui, tu es heureuse d’entendre sa voix, son cadeau te fait plaisir. Dans cet échange téléphonique, tu découvres avec lui ce qu’il t’a fait porter : boules de geisha, vibromasseur à télécommande, plug, menottes, œuf… À toi de choisir celui que tu vas devoir porter aujourd’hui.


Tu décides pour le vibromasseur. Voyant l’absence du module de commande, tu imagines que tu seras plus à même de supporter son délicieux supplice. Ton amant approuve immédiatement ton choix. Le rire de sa voix te laisse penser que tu viens peut-être de commettre une erreur… Peut-être, enfin tu verras bien. Maintenant, plus le choix, il faut agir… Tu t’introduis sans peine cet appareil dont la taille ne te semble pas si impressionnante que cela. Ce modèle sobre, simple, ressemble en tout point à la taille du membre de ton amant, seule différence notable, un petit ergot qui vient se positionner à proximité de ton clitoris. Tu espères seulement qu’il ne glissera pas de ton corps. Tu t’en confies à ton amant, qui en rigole d’avantage, ce tourment n’est pas le sien… À toi de veiller à sa stabilité…
Il t’informe que tu peux enfin partir le rejoindre, seulement en utilisant les transports en commun… Tu espérais qu'il vienne à toi, mais non tu iras à lui...

Le bus, bizarrement désert à cette heure, te laisse avec une pointe de regrets. Tu sens ce corps étranger en toi et cette sensation n’est pas si désagréable tout compte fait. Tu arrives vers le métro et tu perçois le bruit d’une rame à l’approche… Tu accélères le pas et stupeur… l’appareil semble vouloir glisser de toi… Quelle honte si cela devait arriver… le quai est noir de monde… Mais bien vite, tu te rends compte qu’il ne chutera pas, mais au contraire qu’il s’est mis en marche. Horreur… tu regardes partout autour de toi, cherchant comment cela aurait pu arriver… Et tu repenses à la télécommande. Ton amant n’est pas loin. Grand soulagement pour toi, mais les mouvements de l’appareil réveillent en toi l’envie de sexe, le besoin de jouir qui est le tien depuis ton réveil.

Tu ne pourras pas prendre cette rame… Tu vas devoir attendre, les jambes flageolantes… le bruit environnant étouffant celui de ton vibromasseur. Tu tiens fermement ton sac devant toi, espérant cacher au maximum la pointe de tes seins parfaitement visible sous ta robe, tant le désir est à nouveau revenu en toi.
Subitement, plus rien. Les vibrations s’arrêtent. Nouvelle frustration. Une nouvelle rame arrive. La foule se presse, le monde t’entoure, des hommes, des femmes… quelques attouchements discrets mais perceptibles, de qui ? D’où ? Tu ne peux pas le savoir. Pourvu que personne ne se rende compte ni de ta tenue, ni de ton état… Ce fantasme, tu ne veux pas le vivre aujourd’hui, pas sans tenir la main de ton amant, pas sans que ce soit lui qui te touche, qui te parcoure le corps, qui te procure de douces sensations.

Enfin les portes s’ouvrent, deux personnes descendent, vingt veulent monter… Tu es poussée, bousculée, portée sur la partie droite de la rame. Coincée entre un homme d’une quarantaine d’années en costume cravate et sacoche à la main. Cette dernière appuie douloureusement sur ta cuisse. À ta gauche, un jeune homme, mp3 sur les oreilles, habillé d’un jean et d’un pull. Derrière toi, tu ne sais pas encore. Tu ne peux deviner s’il s’agit d’un homme ou d’une femme. Seul le contact de son sac à dos et de sa main posé contre ta cuisse te sont discernables.

Dans ton état, cette main te fait craindre le pire, la sacoche devant te gêne, aussi tu essayes de te tourner légèrement et, miracle, tu trouves un peu de place. Te voilà installée, telle une tranche de jambon entre le cadre et l’étudiant. Cette pensée t’amuse et te fait sourire.

Aperçois, revoilà les vibrations… oh ! Là ! Là ! La chaleur reprend possession de ton corps, ton sexe s’humidifie à nouveau. Tu as l’impression que l’odeur de ta chatte remonte à tes narines et, supplice extrême, qu’elle vient flatter tous les nez qui t’entourent. Tes tétons demandent à nouveau à percer le fin tissu de ta robe. Tu transpires, tu te mords les lèvres pour cacher le désir qui t’envahit. Personne ne semble faire attention à toi, à ton excitation.

Le train entre dans une nouvelle gare. Tu sais que tu dois descendre dans cinq stations. Tu vas enfin pouvoir te laisser aller et jouir sous les saintes et divines vibrations de l’appareil qui a pris possession de ton corps.
Tu sens ta mouille couler de plus en plus, glisser sur tes cuisses, parcourir la peau entre ton sexe et ton cul. Tes seins sont de plus en plus tendus et durcis par le plaisir. Les mouvements de la rame achèvent de faire monter ton excitation, tu sens ton être ne devenir que jouissance. Tes yeux s’embuent de larmes, ton être subit les premiers soubresauts du plaisir, tu vas défaillir, ton équilibre est de plus en plus précaire, tes jambes ne te tiennent presque plus. Encore quelques instant, tu pinces tes lèvres afin de retenir les cris qui montent du plus profond de toi.

L’arrêt brutal de la rame est concomitant à celui du vibromasseur. Une nouvelle fois, tu es frustrée dans l’ascension de ta jouissance. Tu trépignes sur place, frappant le sol de tes pieds. Les deux hommes te regardent interloqués, surpris d’une telle hystérie, si soudaine. Leurs yeux se posent sur tes joues rougissantes de la gêne qui est la tienne et des envies de sexe qui te pénètrent depuis ton réveil. Horreur, leur regard descend vers tes seins. Entre ton désir, ton excitation et tes derniers mouvements, deux boutons ont lâchés, dévoilant ainsi une partie de ta poitrine charnue et si accueillante. Ce panorama ravit davantage le cadre qui a tes seins juste à portée de ses yeux perçants. Tu leur souris béatement. Le train repart dans sa course invariable.

Tu sens une main venir au contact de ta cuisse. Une autre se pose sur ton ventre. Tu n’oses plus bouger. La main de l’étudiant vient courir sur ta fesse, épouser ton cul, il s’arrête surpris de ne sentir aucun vêtement gêner sa découverte. Enhardi devant une telle absence d’obstacles, il relève le bas de ta robe, atteint l’arrière de ta cuisse, te caresse de plus en plus fortement. Le cadre, ayant compris la gymnastique du jeune, décide lui aussi de profiter de toi. Sa main se décide à toucher le velouté de ta peau sous tes seins. Ta fine robe, perturbe sa progression, mais qu’importe, il défait quelques boutons afin de dégager ce tissu récalcitrant et barrière à son exploration. Tu décides d’enlever ton sac en bandoulière et de le faire pendre le long de toi. Acceptant ainsi tout ce qu’ils pourront te faire.

Nouvel arrêt, nouvelles bousculades et poussées… le jeune perd contact avec toi un instant. Sa main quitte ta cuisse. Le cadre se détache un court moment également, mais tu sens une nouvelle pression derrière toi. Une voix suave, érotique, perverse te dit d’écarter les jambes… tu sens une main se faufiler entre tes cuisses retirer brutalement le vibromasseur… ton amant, ce salaud, comme tu viens de le nommer, a rendu la liberté à ton sexe. Rapidement ta robe retombe. Le bruit de la fermeture des portes retentit.

Le jeune homme reprend sa place, le cadre également. Ton amant, qui ne t’a en fait, jamais quitté des yeux, te place bien entre les deux hommes, non sans avoir pris ton sac. Tu as compris que tes mains sont maintenant libres d’agir à leur guise, suivant ce que te feront subir celles des hommes autour de toi. Ton amant t’a encouragé du regard, sa présence te rassure. Tu sais qu’il te surveille, qu’il te protège, qu’il te guide, son regard d'amour se porte sur toi au travers du reflet dans la vitre.

Le jeune homme reprend d’assaut ta cuisse. Sans attente, il relève ta robe, pose ses mains sur tes fesses qu’il tripote sans ménagement. Le mouvement de tes hanches lui fait comprendre qu’il doit se montrer attentif et tendre. Ce qu’il s’empresse de faire. Ses doigts parcourent à présent ta raie culière, cherchant à découvrir quels trésors tu y caches. Pendant ce temps, le cadre n’a pas perdu, lui non plus, une minute. Il a repris l’exploration sous ta robe. Il a défait consciencieusement les boutons gênant l’accès à ta poitrine. Ses doigts parcourent tes seins. Il emprisonne ton téton, le fait rouler, provocant un cri de bonheur que tu ne peux retenir.

Le jeune a atteint ton sexe, détrempé par tant de désir et d’envie. Ses doigts pénètrent sans peine ta chatte totalement ouverte. Ils s’empreignent de toi, collationnent ta sève, puis viennent enduire ton anus, encore inviolé ce matin. Ce jeune a compris combien salope tu étais aujourd’hui et combien ton désir de jouir était intense. Ta chatte n’est pas pour lui. Tes réactions lui font comprendre que ton désir est ailleurs. Tu veux qu’il s’occupe de ton anus. Il commence par toucher ton œillet, profiter de chacun des mouvements du train pour accompagner son geste et t’ouvrir un peu plus. Tellement trempée et excitée que tu es, ses doigts tapis de ton liquide vaginal, il n’a aucune peine à introduire un puis deux doigts dans ton fondement.

Le cadre, voyant les yeux avides du jeune, décide lui aussi de goutter à tes trésors enfouis… Il fait sauter les derniers boutons de ta robe et passe ses doigts sur ta chatte. Il y découvre ta fente dégoulinante de mouille, tes lèvres gorgées de sang et totalement écartées. Il s’attarde sur ton clitoris gonflé, joue avec lui, son pouce imprime un mouvement circulaire. De ses majeur et index, il pénètre ta chatte. Te voici maintenant prise par deux doigts devant et deux doigts derrière.

Ton amant te glisse à l’oreille :
• — Laisse-toi aller, écarte tes jambes, prends leur bite et masturbe-les…

Tes mains partent à la découverte des sexes de ces deux hommes, occupés à ton plaisir. Ce dernier revient à la charge rapidement, tu sens à nouveau la chaleur t’envahir, ton corps n’est plus que vibration, tu te mords les lèvres en retenant au maximum le cri de ta jouissance, puissante, intense, inhumaine…

Les doigts des deux hommes ont trouvé un rythme parfait, tantôt lentement, tantôt plus rapidement. Ta respiration est de plus en plus difficile. Tu as du mal à rester sur tes jambes. Tu sens ton amant te soutenir. Les deux hommes respirent, eux aussi, de plus en plus bruyamment. Leurs doigts s’agitent de plus en plus rapidement en toi. L’explosion de tes sens est proche, tu atteins enfin le moment que tu désires tant depuis ton réveil. La jouissance te submerge comme jamais. Te laissant sans voix. Au même moment, ces hommes déversent leur sperme dans leur pantalon. Tu sens leur liqueur au travers de leur tenue.

Tu es heureuse, ton visage exprime la beauté. Tes yeux, le reflet de ton âme. Tu souris à ton amant. Magnifique que tu es, dans la jouissance qui vient de te prendre. Tes jambes ne te tiennent plus. Tu es enfin repue et satisfaite, heureuse de cette jouissance si longtemps retardée.

Les hommes partent, tête basse, leur jouissance bien visible.

Ton amant te prend dans ses bras, embrassant ton front, ta bouche, tes lèvres, jouant avec ta langue. Tu as juste le temps de remettre tes boutons en place, avant de descendre de la rame qui t’a conduite au sommet du bonheur et des sensations que ton être t’a longtemps réclamé ce matin. Ton amant t’informe que la journée ne fait que commencer… et que tu vas encore subir les affres de la jouissance et du plaisir…

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