Surveillante

Je surveille les travaux d’une vingtaine de femmes. J’en vois de toutes les couleurs, certaines sont amorphes, d’autres débordent de vitalité. La plupart travaillent parce qu’il le faut bien. Je reconnais que le genre de boulot qui est proposé manque particulièrement de diversité. Le montage des cartons est la seule façon pour elles de gagner des sous. C’est ainsi dans le milieu carcéral. Je ne m’en plains pas du tout. Mon bureau est dans une petite pièce où j’ai réussi à faire installer outre au fauteuil, un petit divan.
Je ne m’en sers pas souvent, il m’arrive parfois d’avoir à faire des remarques à une des femmes que je surveille. Sous prétexte de confidentialité, je les fais venir au bureau.
J’ai de la chance, depuis quelque semaines j’ai trouvé une fille particulièrement impossible : je suis obligé de la faire venir chez moi. La première fois je lui ai demandé de fermer la porte. Je l’ai faite assoir sur le fauteuil et je l’ai copieusement engueulé. Je l’accusais de saboter le travail : il n’en était rien, je le savais. Elle ne savait pas trop que dire pour se défendre. Après la gronderie, venait la période de réconciliation. Je la faisais lever pour la prendre dans mes bras.
Elle se demandait ce qui se passait pour être ainsi traitée. C’est quand j’ai mis mes lèvres sur les siennes qu’enfin elle savait où je voulais aller. Ma langue allait dans sa bouche, je la fouillais, je lui caressais sa langue dès qu’elle répondait à mon baiser.
- C’est la première fois ?
- Oui.
- Tu veux connaitre la suite ?
- Si c’est agréable, oui.
- Ce sera agréable.
Je continuais jusqu’à lui caresser la poitrine et passer une main sous sa blouse. Elle restait dans l’attente de la suite.
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Depuis cette suite est dépassée. Elle sais très bien ce que nous allons faire. Elle n’est plus timide et même a de bonne initiatives.


Elle arrive sans culotte pour être prête plus vite. Je l’embrasse toujours en arrivant, elle répond à mes baisers. Petit à petit elle a prit le dessus, je suis devenue la femme qui obéit : l‘amante. Elle me déshabille avant de me caresser d’ abord les seins, qu’elle suce longuement avant de me caresser les mamelons avec une façon de faire qui me fait frissonner et donne envie de jouir rapidement. Je suis totalement mouillée quand elle passe sa main tout le long du dos, qu’elle me caresse les fesses. Elle ne descend pas plus bas, alors que j’aimerai qu’elle aille jusqu’à mon petit trou. Avant d’aller plus loin elle me serre contre elle pour que nos seins puissent se toucher et se caresser comme elle adore. Je n’ai le droit que de la tenir par le cou ou la taille. Une fois que nous nous sommes bien serrées elle commence à détacher son corps du mien. Sa main droite vas enfin sur mon con, comme elle a qualifier mon sexe. Elle se sert de son majeur pour venir caresser mon fragile bouton. Elle le mouille d’abord avec un peu de sa salive, avant de le toucher, de l’effleurer. Je n’en peut plus : quelle me masturbe enfin pour que je jouisse au moins une fois. Enfin ses mouvements s’amplifient pour arriver à me donner du plaisir. Je sens que l’orgasme ne va pas tarder. Je lui demande d’aller plus vite, d’appuyer plus fort, de me faire jouir. Dans ces instant, elle arrête tout pour me faire languir le plaisir. Pourtant rien que la présence de ses doigts sur ma chatte m’excite et à eux seuls pourraient me faire partir vers le monde merveilleux que j’aime.
Quand je suis plus calme elle recommence pour me faire jouir en m’embrassant sur la bouche en me léchant les lèvres. Que c’est bon de jouir sous ses doigts : elle branle divinement bien. Elle me fait allonger sur le divan, je m’y assois les jambes bien ouvertes. Sa tête vient se mettre entre les cuisses. Elle me lèche partout, pour arriver sur mon entrejambe. D’avance je pose ma tête en arrière, je me touche un peu les seins.
Elle passe sa langue sur mon sexe, et même un peu plus bas : j’aime quand elle pose sa langue sur mon anus. Elle ne force même pas pour y entrer : tous les matins je me sodomise avec mon gode pour avoir le cul prêt pour elle, un peu et pour moi beaucoup. Des fois elle semble oublier que j’aime qu’elle me mette la langue dans le cul. Elle se ratt toujours. Il doit y entrer la moitié au moins. Sa langue va et vient dans le cul. Elle me fait jouir. Je sais qu’elle se donne du plaisir en même temps, sinon elle ne pourrait pas se tenir impassible. Je sens son souffle à hauteur de mon vagin. Quand je jouis, elle me donne sa langue pour l’embrasser. J’ai dans ma bouche le goût de mon cul et ce n’est pas désagréable.
Enfin arrive le moment que je préfère, elle entre sa langue dans le vagin, trouve toujours mon point faible : elle me fait jouir plusieurs fois à la suite. Il m’arrive d’en perdre connaissance. Quand je me réveille toujours en jouissant, il me semble descendre d’un planète inconnue. Enfin sa bouche se pose sur le clitoris. Je n’ai jamais su comment elle fait, en tout cas elle m’envoie toujours au paradis d’Eros. J’en suis crevée. Elle le sait : c’est à moi de la faire jouir. Elle s’assoit à coté de moi :
- Branles moi.
- Comment tu veux, devant ou derrière ?
- Comme tu veux, fais moi jouir.
J’ai le choix et souvent je prends le plus simple pour moi, comme elle ouvre biens ses jambes, je pose ma main sur sa moule. Sur son con, dirait-elle. Je la trouve toujours mouillée. Je frotte tout son sexe avec ma main, je sors un seul doigt pour lui mettre dans le vagin. Je sais où aller pour la faire jouir rapidement. Quand elle jouit, j’arrête un instant pour recommencer dès l’orgasme passé. Au contraire d’elle je ne lui lèche pas l’anus : j’y mets deux ou trois doigts pendant que le lui suce le clitoris. Si elle insiste je lui branle le cul : je passe un doigt tout le tour de l‘anus, s’en appuyer et elle jouit ainsi plusieurs fois. Enfin je lui met deux doigts dans le cul que je fais aller et venir.

Quand nous finissons, nous restons un moment à nous chouchouter. C’est ensuite moi qui demande à faire un 69. J’aime quand nous partageons le même plaisir. Et nous le partageons fort bien. Nos langues savent manœuvrer seules. Nous léchons le sexe de l’autre avec beaucoup de désir et d’efficacité. J’aime quand elle me met un doigt dans le cul en me suçant ou me « baisant » avec sa langue.
Il nous arrive quelques fois de nous mettre, cuisses bien écartées, les clitoris en contact, c’est pour nous la meilleure façon de terminer nos plaisirs. Les vendredis il nous tarde d’être au lundi...

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