Découverte 2 (Suite)

Dialogue : M = moi Gaëtan, S = Sylvie ma femme, F = Fabienne la voisine.
Ayant invité la voisine pour le diner, je préviens tout de suite mon épouse que nous serons trois à midi en lui expliquant pourquoi j’ai invité Fabienne notre voisine et elle me dit que j’ai bien fais.
A midi la voisine arrive chez nous avec une bouteille de pétillant sans alcool pour l’apéritif. Comme il fait chaud nous mangerons sur la terrasse, Fabienne nous aide à mettre le couvert une fois fini nous dégustons l’apéritif qu’elle a amené puis nous mangeons.
Le repas terminé, j’aide ma femme à débarrasser la table, une fois dans la cuisine tous les deux je lui dis :
- M : Retire ta culotte
- S : Non, ma robe est trop courte, dés que je vais m’assoir Fabienne verra que je n’ai plus de culotte.
- M : Retire ta culotte ou je lui montre la vidéo et puis elle nous a vus hier soir, elle était prés de la haie, je l’ai vu à la fin de ton récit et elle est rentrée dans sa maison en même temps que nous.
- S : Non, je n’enlève pas ma culotte, si bien tu dis ça pour me faire marcher.
- M ; Fabienne, tu peux venir voir.
- F : Oui, j’arrive.
- S : Non, arrêtes fais pas ça, d’accord j’enlève ma culotte.
- M : trop tard, il fallait obéir tout de suite.
- F : Oui, qu’est qu’il y a.
- M : Je vais t’expliquer et te monter pourquoi tu nous as vus comme ça hier soir. Hier matin j’ai reçus la vidéo que je vais te faire voir et hier soir Sylvie m’a expliqué comment elle en est arrivée là.
Je raccorde mon ordinateur à la télé du salon et lance la vidéo. J’oblige ma femme à venir regarder avec nous, elle rouge de honte peut être un peu en colère. Une fois le film fini je demande à mon épouse de dire pourquoi elle s’est faite baisée par son patron. Une fois son histoire fini je lui dis :
- M : Comme tu n’as pas obéi, je vais faire comme ton patron.
- S : Oui ce soir si tu veux.
- M : Non, une punition s’est à recevoir tout de suite.

- F : Bon, je vais vous laisser en tête à tête.
- M : Non, tu restes, je veux qu’elle soit punie devant toi. Venez, on va sur la terrasse.
Arrivée sur la terrasse, je demande à Sylvie de se prendre appui sur la table su salon de jardin et die à Fabienne de s’assoir sur un transat derrière celle-ci. Une fois tout le monde en place, je commence à donner quelques fessées à ma femme, puis je relève sa robe et lui administre une dizaine de fessées, alors que je saisis sa culotte pour lui baisser, elle s’écrie :
- S : Non, s’il te plait ne baisse pas ma culotte.
- M : Si les dernières fessées c’est cul nu que tu vas les recevoir. Et comme tu as protesté, je ne vais seulement la baisser mais l’enlever ainsi que ta robe comme ça c’est toute nue que tu recevras les dernières fessées.
Malgré ses protestations j’enlève sa culotte et sa robe puis là fais se reprendre la position pencher sur la table avant de lui redonner des fessées. Après la dernière fessée, je lui caresse celle-ci qui sont devenu d’un beau rose, il faut dire que je les ai bien caqué prés de soixante dix fois chacune. Comme elle ne bouge pas, je continue à lui caresser ses très belles fesses puis je descends ma main entre ses jambes. Alors que ma main arrive à sa chatte, elle ressert ses cuisses comme pour empêcher ma main de toucher celle-ci. Je lui administre donc deux grosses fessées supplémentaires et je lui dis d’écarter ses jambes, elle obéit, alors que ma main effleure son sexe je l’entends gémir et je me rends contre qu’elle très mouillée et je dis :
- M : Mais tu es toute mouillée ma chérie, viens voir Fabienne comme ma salope mouille quand elle est fessée en public.
- F : Oh ! oui, je vois bien sa chatte est toute luisante de mouille cette cochonne, elle aime bien montrer son cul.
En même temps qu’elle dit cela, Fabienne pose sa main sur les fesses de ma femme, là descend vers son sexe et fonce deux puis trois doigts dans sa chatte trempée, ma femme gémit de nouveau Fabienne fait plusieurs va et vient s’arrête et dit :
- F : Elle a le feu au cul et il n’y a qu’un moyen d’éteindre cet incendie, il lui faut une grosse bite. Hein ! Que tu as envie que ton mari te baise ?
- S : Oh ! Oui j’ai très envie qu’il me baise...
- F : Et si je reste là à vous regarder ?
- S : Je m’en fou, du moment qu’il me baise, tu nous regarder
- F : Tu as entendu ta femme, il faut que tu la baises.
Sur ces mots j’enlève mon short étant déjà très excité je bande très dur et je n’ai aucun mal à pénétrer la chatte de ma femme. Après quelques allé et retour, je me retourne vers Fabienne et dis :
- M : Ca t’excite de nous voir baiser devant toi
- F : Oh ! Oui ça me fais mouiller
- M : Caresses toi la chatte et prends du plaisir
- F : Non, je ne peux pas me caresser devant vous.
- M : Si et dépêches toi sinon j’irai voir ton mari et lui raconter que l’on fait des parties à trois avec tous les détails pour qu’il n’a aucun doute.
- F : Non, tu ne ferais pas ça
- M : Si, sans problème, alors si tu ne veux pas que je raconte à ton mari caresses toi
- F : D’accord je me caresse. Oh ! que c’est bon. Oh ! Oui c’est trop bon.
J’att ma femme par ces bras la retourne vers Fabienne qui se caresse par-dessus sa culotte :
- M : Tu vas écarter sa culotte et lui lécher son sexe.
- S : Non, je ne suis pas lesbienne et je n’ai jamais léché un sexe de femme.
- M : Eh ! Bien il y a un début à tout, alors lèche et fais là jouir.
Après quelques coups de langue j’attends des soupirs sortir de la bouche de Fabienne ce qui a pour effet que Sylvie y mets de plus en plus de cœur et Fabienne ne tarde pas à jouir en criant si fort que tout le voisinage à du l’entendre et Sylvie joui tout de suite après. Je continue à pilonner ma femme, je lui demande :
- M : Ca devait être bon le jus de Fabienne vu que tu as continué de la lécher alors qu’elle jouissait.
- S : Oui ! il est bon son jus.
S’approche de l’oreille de ma femme et à voix basse lui dis :
- M : Tu aimerais me voir la pénétrer.
- S : Oh ! Oui vas-y prends la.
Sylvie se met sur le coté du transat, je m’approche, amène les fesses de Fabienne au bord du transat alors que j’enlève sa culotte, elle proteste en disant timidement qu’elle ne veut pas mais sans m’occuper de ces protestation, je présente mon sexe à l’entrée de sa chatte encore toute trempée de sa jouissance précédente et la pénètre d’abord tout doucement, elle continue à protester mais de moins en moins et commence à pousser de petits gémissements, je la baise de plus en plus vite et de plus en plus fort :
- F : Non, je ne veux pas tromper mon mari
- S et M : Es-tu sur que ton mari t’est totalement fidèle, faites vous souvent l’amour?
- F : Oui, je crois, quand il est là nous faisons l’amour 3 à 4 fois par semaine car il aime me prendre à n’importe quelle moment du jour ou de la nuit, il lui arrive alors que je suis dans la cuisine de venir me caresser me peloter les seins en un tour de main je me retrouve le cul à l’air et il me baise comme un chienne et je jouie plus fort que lorsque nous faisons l’amour au lit.
- M : Et tu crois quand il part une semaine complète en déplacement qu’il s’abstient alors que quand il est chez vous il faut qu’il te baise 3 à 4 fois par semaine, permet moi d’en douté.
- S Je suis d’accord avec Gaëtan un homme qui le fait 3 à 4 fois par semaine ne peut pas rester sans le faire pendant 10 jours.
- F : Je ne sais plus vous me….
- S : On te baise bien, reconnais que tu aimes.
- F : Oh ! Oui c’est bon ton mari me baise bien et son sexe et plus gros que celui de mon mari, je le sens bien, oh ! que c’est bon.
- M : Met tes seins à l’air que Sylvie te suce tes tétons.
- F : Oh ! Oui sucé mes tétons faites moi jouir
- S : c’est bon, t’aimes te faire sauter.
- F : Oh ! Oui c’est bon, je vais jouir
- M : Mettez vous en 69 pour vous lécher la chatte mutuellement
Alors qu’elles sont en position 69, je continue à baiser Fabienne. Je sors mon sexe de sa chatte et le présente à son anus, alors que je commence à la pénétrer, elle me dit qu’elle ne veut pas mais il déjà trop tard je suis dans son cul après quelques allés et retour nous jouissons si fort tous les trois qu’il nous faut plusieurs minutes pour revenir à la réalité et c’est à ce moment là que l’on entend le mari de Fabienne qui cherche son épouse dans leur jardin. Ma femme renfile sa robe, moi je remets mon short et Fabienne se rhabille mais je lui confisque sa culotte, elle râle mais nous crions à son mari que Fabienne est ici et de venir nous rejoindre. Une fois arrivé, on lui explique que comme Fabienne était seule ce midi nous l’avons invité à diner ce qui à l’air se lui faire plaisir et nous prenons un café tous ensemble en discutant de choses banales.
Dites moi si je dois continuer cette histoire...