En Amérique Du Sud

Nous sommes arrivés ce matin à Montevideo, ma copine, moi, et deux autres jeunes couples d'une vingtaine d'années, qui formons depuis nos années lycée une équipe de friends of sex, des copains de baise, en bon français. Depuis notre dépucelage commun, nous avons expérimenté à peu prés toutes les combinaisons en matière de sexe : garçons, filles, à deux, trois, quatre ou plus... Tout nous plait !
Mais pour ce soir, ce qui me plairait serait de dormir. ! Je suis complètement décalqué par le décalage horaire, contrairement à mes potes, qui dorment depuis un moment. Nous sommes installés dans une petite auberge de jeunesse. Quatre d'entre nous ont pu avoir des lits ensemble dans un dortoir de quatre, et avec Laure, ma copine, nous partageons un autre petit dortoir à lits superposés avec deux espagnoles à peu prés de notre âge, qui se sont présentées à nous sous les prénoms de Astrid et Christina . Après avoir vainement tenté de converser en espagnol avec le veilleur de nuit, je pars vers mon lit. Je n'ai que mon boxer sur moi, tellement il fait chaud. Au passage, j'entrouvre la porte du dortoir de Line, Fabien, Laetitia et Pierre. Rien ne bouge. Pas même moyen de taper la converse … ou un peu plus. Je regagne ma chambre. Là aussi, tout le monde dort. Les deux espagnoles sont sur les deux lits du bas, simplement recouvertes d'un drap, et ne semblent pas avoir grand chose de plus sur le corps. Je les mate un peu à la lumière du lampadaire de la rue qui éclaire un peu la chambre.
Laure est sur l'un de lits du haut. Le drap a un peu glissé sur le côté. Je peux la voir couchée sur le dos, vêtue seulement de son string. Elle bouge un peu. Je me rapproche et me rends compte qu'elle ne dort pas tout à fait. Je pose mes lèvres sur les siennes, et elle répond mollement à mon baiser. Ma main part en douceur vers sa poitrine, puis vers son string. Elle se défend un peu : « Laisse-moi tranquille, j'ai sommeil... » Ma main se glisse dans son string et atteint sa petite touffe bien taillée.

J'introduis un doigt sans sa chatte en bougeant doucement. Ah, elle commence à être un peu plus intéressée. Elle soupire d'aise, écarte les jambes, et je la sens commencer à mouiller. Je commence à lui lécher les seins et j'ai maintenant une solide trique dans mon boxer.
Soudain, je pousse un petit cri. Laure me dit à voix basse: « Tu ne viens pas de jouir avant même que je t'ai touché la bite ? »
Non, c'est la fille de dessous. Elle est en train de me la caresser »
En effet, je n'avais pas réalisé que, dans la position que j'occupe, appuyé sur le lit du haut, Astrid doit avoir ma queue à vingt centimètres de son visage ! Elle continue ses manœuvres, en me soupesant les couilles et en me caressant la tige.
Et maintenant, qu'est-ce qu'elle fait ?, me demande Laure.
Elle est en train de me quitter le boxer et ... oh putain, elle me suce !
Laisse-toi faire mon chéri, répond Laure, en s'asseyant en travers sur le lit, et en me présentant sa chatte à lécher.
Je ne peux évidemment pas résister, et je commence par un coup de langue délicat, avant de poser ma bouche sur sa chatte et de la dévorer comme un fruit bien mur. Laure se trémousse en retenant ses cris, et elle jouit rapidement sous mes caresses.
De son coté, Astrid, sur le lit d'en bas ne reste pas inactive, et me suce comme une reine. Sa bouche va et vient sur mon membre, et ses mains me caressent les cuisses et les couilles, qui ont elles aussi droit, de temps en temps à un petit coup de langue. Je suis au bord de l'explosion quand elle me lâche. Je la sens bouger, et me rends compte qu'elle s'est mise en levrette pour que je puisse la prendre, tout en continuant à lécher Laure comme un fou. J'entreprends de longs va et vient dans sa chatte, et les deux filles jouissent presque simultanément. De mon côté, j'ai beaucoup de peine à me retenir, quand je sens soudain une présence derrière moi.
Un corps incontestablement féminin vient de se coller à moi, et je sens très nettement dans mon dos les pointes dressées de deux tétons, et une chatte qui se frotte sur mes fesses. Une main vient me caresser le torse, puis, tandis que la fille s'écarte légèrement de moi, la main descend sur mon cul, me pétrit délicatement les fesses, et insinue un doigt dans ma raie, effleurant ma rondelle au passage. Je suis au bord de l'explosion.
Puis la main, toujours par derrière, passe entre mes cuisses et vient me caresser les couilles et la base de ma queue qui n'a pas cessé ses va et vient dans le vagin de la fille, qui jouit maintenant sans retenue.
Celle de derrière, qui doit être Cristina, se baisse, et vient s'asseoir par terre, le dos contre le lit du bas. Elle doit avoir une vue imprenable sur ma bite en train de fouiller sa copine. Elle me masse à présent les couilles, et vient bientôt me les lécher, prodiguant au passage quelques coups de langue sur le clito de sa copine. Ses mains me caressent maintenant les fesses, et du coin de l'œil, je la vois tremper son index dans sa chatte ruisselante, pour venir reprendre ses caresses autour de mon petit trou. J'adore qu'on m'encule avec un doigt, surtout pendant que je baise, et on dirait qu'elle l'a compris. Je ne peux pas résister longtemps à un pareil traitement, et je me lâche à grands jets dans la chatte d'Astrid. Je jouis tellement fort que mon sperme coule à l'extérieur, ce qui n'est pas pour déplaire à ma lécheuse de couilles, puisqu'elle sort ma bite du vagin de sa copine et se la fourre dans la bouche pour ne pas en perdre une goutte.
Penchée sur mon épaule, avec toujours ma langue enfoncée dans sa chatte, ma copine n'en a pas perdu une miette. Elle saute sur le lit d'en bas, et vient se mettre à quatre pattes à coté de la fille que je viens de baiser.
Allez, à moi maintenant. Mets la moi bien à fond !
Attends un peu que je finisse de me faire sucer. Elle fait çà tellement bien que je suis sur que je bande de nouveau dans cinq minutes !
Bon alors en attendant, on va un peu s'amuser avec ma nouvelle copine !
Et tandis que Cristina continue à me tailler une pipe de rêve, avec toujours un doigt dans le cul, elles se mettent toutes les deux en 69 sur le lit, et Laure se met en devoir de faire disparaître toutes les traces de sperme que j'ai laissé sur la chatte d'Astrid.

De mon coté, sous les caresses savantes de la langue de la fille, ma queue se dresse à nouveau fièrement. Sa nouvelle copine et Laure ont l'air de tellement bien s'amuser toutes les deux sur le lit, que je n'ai pas le courage d' interrompre, leur 69, et profitant de ce que Laure est dessus, le cul pointé vers moi, se faisant bouffer la chatte par l'autre, je l'encule sans sommations, pendant que l'autre la lèche comme une folle en se tortillant sur le lit.

Cristina, se sentant un peu abandonnée vient rejoindre Laure sur la chatte d'Astrid, et elles alternent des roulages de pelle et des coups de langue sur le clito.

Aucun de nous quatre ne peut résister à ce traitement, et nous jouissons bientôt en même temps !

Puis chacun regagne son lit, et je ne tarde pas à m'endormir, en pensant au réveil, et en me disant que j'ai trouvé un bon truc pour lutter contre les effets du décalage horaire !