Histoires De Pieds - Le Bus

Cela faisait quelques minutes que la jeune femme à côté de moi me faisait fantasmer.
Nous attendions le bus et, ne sachant que faire, elle s'amusait à déchausser et rechausser ses talons.
Cette petite brune me rendait fou.
Quand je lui ai dit bonjour, elle m'a répondu du ton clair et accueillant de la secrétaire habituée du téléphone.
Je n'osait pas imaginer ce que serait le tableau de ses pieds jouant avec ses escarpins toute la journée, sous son bureau.
Un petit tatouage, fin, partait de sa cheville pour rejoindre ses orteils.
Gainés d'un collant (ou d'un bas ?) de couleur chair, ses petits pieds s'amusaient à aller et venir.
Elle laissait souvent voir ses talons, des fois une plante de pied bien archée, rarement des orteils.
Je décidais de me lancer:
- C'est un joli tatouage que vous avez là.
- Merci, me fit-elle, souriante.
- Mais... Pourquoi un tatouage au pied ? On ne le voit jamais !
- Vous l'avez bien vu..
Elle déchaussa entièrement son pied et me le présenta.
Relevant son jean, elle me montra qu'il allait jusqu'à mi-mollet. Elle portait des bas.
- C'est à la fois classe et sexy, si je peux me permettre. Je ne vois pas bien, il y a de la couleur ?
Elle fit rouler son bas jusqu'à mi-pied.
- Il est très beau. Et vous avez de très jolis pieds.
Elle le fit tourner, comme pour s'en convaincre.
- Je sais ! Fit-elle en riant. Le bus arrive.
Elle se rechaussa, et nous allâmes nous asseoir au fond, face à face.
Voyant que mes yeux étaient de temps en temps distraits par ses pieds, elle me fit:
- Vous voulez voir le tatouage de plus près ?
- Oui, ça me ferait plaisir.
Elle fit tomber ses talons hauts, posa un pied sur le siège à côté de moi, l'autre sur mes genoux.
- Ca ne vous dérange pas ?
- Non, fis-je, fou de joie.
Elle fit de nouveau rouler ses bas, mais cette fois-ci sur ses deux pieds, et les laissa au bout de ses orteils.

- Je peux avoir un massage? fit-elle, d'une voix ine, les joues rouges. Il fait froid, et ils sont gelés.
- Bien sûr.
Je commençais à être gêné, une bosse se dessinant entre mes jambes.
J'enlevais ses bas, et pris ses petits pieds tendus entre mes mains.
- Merci, me fit-elle, dans un sourire.
Le bus était vide, et je m'en réjouissait.
Elle posa alors un pied entre mes jambes, droit sur mon érection.
- Mon tatouage doit beaucoup vous plaire. Vous voulez l'embrasser ?
Elle mit son autre pied sous mon nez. L'odeur de pied sale était entêtante.
- Ca fait longtemps que vous avez ces chaussures? osais-je demander.
- Deux ou trois ans. Je n'ai jamais changé les semelles, et les porte très souvent pieds nus l'été. Ca vous plait ?
Je remis son pied contre mon nez, et, de ses petits orteils, elle poussa sur ma bouche.
- Lèche-les.
Son ton s'était fait plus autoritaire.
D'un coup de langue, je remontais du talon jusqu'entre les orteils. J'en profitais pour les renifler.
De son autre pied, elle massait mon entrejambe.
La courbe de sa plante était très prononcée, et elle devait chausser du 36 maximum.
D'une main, elle prit une de ses chaussures, qu'elle mit sur son nez.
- Humm, fit-elle. Qu'est ce que je pue..
Elle fit passer son autre main dans son jean et commença à se masturber, sentant son escarpin.
Je me mis à respirer plus intensément ses pieds, assimilant toute sa sueur et les années de saletés accumulées sur ses semelles.
On arrivait à destination.
Elle s'arrêta, puis dit:
- Demain, à la même heure, au même endroit. Je n'aurai pas de bas, ils vont sentir. Tu vas voir ce que ton nez va prendre.