Nadine
Le principal pour moi est davoir rencontré Nadine. Ah ! Nadine, cette fille qui ma attirée malgré moi. Elle est grande, brune, les yeux presque noirs. Le plus visible est sa taille fine que surmonte une poitrine qui donne envie de la caresser. Je ne suis pas attirée par les filles, mais là, je craque pour elle. Elle doit le sentir quand elle me regarde en souriant. Je ne sais pas si elle se moque de moi ou si elle me dit « vas-y ». Elle bavarde beaucoup, je ne sais que répondre, je reste bête devant elle, puis, elle prend mon bras pour me guider, vers où, je ne sais pas. Jai confiance en elle.
Elle memmène promener dans le centre ville pour faire des vitrines. Nous y passons presque deux heures : nous comparons les styles, les prix, les vitrines dans leur ensemble. Ce que je préfère le plus est de voir son reflet dans les vitres. Jimagine plein de choses avec elle : dans un restaurant, chez moi, surtout chez moi, dans mon lit. Jen arrive à mexciter toute seule. Je ne mouille pas, enfin pas encore. Nous entrons dans un magasin ultra chic, nous descendons au plus bas, une cave emménagée tient lieu de pièce de vente.
Je ne remarque quavec un temps de retard que je me trouve dans un endroit très spécial : il sagit de la vente dobjets de plaisir pour le sexe faible. Je savais quun tel endroit existait mais achalandé à ce point, je nen avais pas la moindre idée. Nadine semble bien intéressée, elle discute sans complexe avec la vendeuse, une fille habillée très court choisi sans doute pour son allure sexy. Nadine lui raconte quelle aime utiliser certains de ces objets. Elle les lui montre et voudrait encore accroitre ses plaisirs. Le plus fort est quelle me demande de lui donner mon avis alors que je nai jamais utilisé ce genre de « machin ». Je ne réponds pas, pour ne pas dire de grosses bêtises. La vendeuse et Nadine discutent dorgasme ressentis, comme si elles parlaient du goût dun aliment. Pourtant je les écoute parler sans honte de leur corps et je commence cette fois à bien mouiller.
En sortant je lui demande pour qui sont toutes ses choses. Jai la surprise de lentendre me répondre que cest pour nous deux. Je suis surprise de son attention, elle ne men a pas parlé, elle aussi me désire. Elle veux que je jouisse avec elle.
Cette fois je devient fontaine :
- Il faudrait aller quelque part pour se satisfaire, je mouille trop.
- Ce nest pas utile, jhabite à deux pas.
- Tant mieux, jai trop envie.
- Envie de quoi ?
- Comme toi je suppose : jouir.
Elle ne dit plus rien. Pourtant elle pourrait me faire un signe indiquant quelle aussi me désire. La seule chose quelle fasse est de me parler :
- Jai moi aussi envie de toi et de te faire jouir avec mes mans, ma langue et les jouets que je viens dacheter.
Cette fois je nen peux réellement plus et heureusement que nous entrons chez elle. Enfin un geste câlin : elle membrasse sur la bouche ! Cest la première fois quune que jai envie dune fille et quelle membrasse.
Je trouve beaucoup de douceur dans ses lèvres et sa langue. Elle ne me laisse pas le temps de réfléchir, elle commence mon déshabillage. Je me laisse faire et quand je suis nue devant elle, toujours habillée, je pourrai avoir honte. Pas du tout je me donne à elle, plus facilement quà un homme. Jaime baiser avec un homme, même plusieurs. Là que va-t-elle me faire, je men doute bien un peu. Alors je décide quelle me conduira. Et elle me conduit fort bien, là où jaime aller : les orgasmes...
Elle membrasse les seins, me mordille les mamelons pour les sucer ensuite avec délicatesse. Une main descend sur mon sexe que jouvre, sans quelle me le demande :
- Tu es mouillée, tu es la première que je connais qui mouille tant !
- Il y a un moment que je le dis : jai envie de le soulager depuis longtemps.
- Je vais le faire.
Avec deux doigts elle soulève le capuchon du clitoris et le caresse. Ma réaction est presque immédiate : je jouis dans cette main. Heureusement que ses lèvres sont revenues sur le miennes car jaurai hurlé de plaisir !
Elle nenlève pas sa main de la chatte, au contraire, elle écarte mes lèvres pour aller fouiller mon vagin. Elle trouve un endroit quelle caresse avec douceur : je crois quelle me branle le point G. Cette fois je jouis trois ou quatre fois. Je ne crie plus, je retiens mes gémissements.
Elle arrête pour se déshabiller aussi. Elle vient se coller contre moi, ses seins contre les miens et nos bas ventre soudés. Nous ne parlons plus, nous murmurons :
- Jai envie de toi, moi aussi depuis que je tai vu.
- Pourquoi tu ne me las pas dit ?
- Je voulais être sure de moi et de toi.
- Jai toujours envie de tes caresses.
- Si au lieu de parler nous baisions maintenant.
Ses mains vont sur mes fesses, les caressent doucement, comme un frôlement, elles me serrent fortement. Je suis trempée, je nen peux plus. Elle le sait pourtant : il me semble quelle fait exprès de me faire languir sa vrai baise.
Elle me guide vers sa chambre. Nous nous couchons. Nos lèvres viennent lune contre lautre. Et enfin elle commence à me peloter les seins, comme jaime, ses mains vont vers mon bas ventre : jécarte les cuisses pour quelle aille là où jen ai le plus besoin. Elle me comprend et sans que je le lui demande commence à me masturber le clitoris. Je me laisse totalement aller vers les délices de ses caresses. Elle descend encore pour me doigter. Je crois quelle a mis deux doigts dans mon fourreau. Elle les fait aller et venir dans mon ventre. Je me sens aussi bien quavec une bite. La pulpe de ses doigts est tournée vers le haut, elle caresse à la fois mon vagin et surtout mon petit point G. Je ne vis plus : je jouis sans arrêt tellement elle me donne du plaisir.
Elle se met à mes pieds pour venir poser sa bouche sur mon sexe.
Elle ouvre le paquet qui contient les jouets. Elle sort celui qui contient les chapelets de billes. Elle me les montre de près, avant de me demander décarter mes fesses pour les entrer dans le cul. Je le fais pratiquement pour lui faire plaisir : elle commence par me faire écarter les cuisses, les fesses et me caresse lanus avant de mettre deux doigts dans lanus. Enfin elle entre la première boule pas très grosse, pour continuer à y mettre la douzaine de boules du chapelet. Tout entre très facilement, même la plus épaisse. Je me demande ce quelle va faire. Elle laisse tout en place, prend le gode spécial, me le met en place. Elle le fait un peu aller et venir avant de mettre les vibrations. Je sens une impressions de plénitude de plaisirs à la fois dans mon vagin, sur ma chatte et mon clitoris: tout est partie prenante avec ce gode et les orgasmes arrivent en rafale. Elle en profite pour sortir les billes de mon cul une après lautre très lentement. Quand le plus gros, le premier, passe je sens mon anus souvrir lentement, je sens surtout un plaisir étrange venir compléter celui du gode dans ma chatte. Elle en sort un autre : je jouis toujours autant. Je jouis ainsi douze fois. Quand elle fini, elle membrasse encore, nos langues sont déchaînées...
Je veux la faire jouir ainsi aussi. Jai lautre chapelet. Je lui demande de se mettre en levrette, ce quelle fait, je fait comme elle ma fait : son anus est tout mouillé et jentre facilement les douze billes. Je lui met le gode qui ma faite jouir : je met directement la vitesse à fond.
Nous cessons notre baise pour nous reposer un bon moment. Nous nous embrassons, nous pelotons, bref les caresses daprès baise ne manquent pas du tout.
Elle aperçoit encore le double gode. Elle veux que nous connaissions les joies dun tel engin qui peut nous faire jouir ensemble. Nous sommes sur le dos, les jambes écartées, les cuisses mêlées: elle entre un bout du gode dans sa chatte avant dentrer lautre dans la mienne. Je ressent les même sensations quavec une vrai bite, surtout quand elle la fait aller et venir. Nous ne tenons pas longtemps, nous jouissons ensemble.
Ayant fini de jouir nous nous séparons, pas longtemps, juste pour une petite journée avant de reprendre nos effusions dès le lendemain soir.
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