Sexpériences Dans Le Sauna 1

Après l'expérience vécue à Amsterdam (l’amour tarifé avec des transsexuels- voir le récit "La vie commence à 50 ans par Rimbeau) et la promesse que je me suis faite de continuer dans cette voie, je m'attarde à la lecture des récits postés par des auteurs gay ou bi.
Je m'intéresse fort à l'un d'entre eux en particulier qui décrit avec force détails les expériences qu'il vit dans un capitale régionale non loin de chez moi. Il raconte ses ébats gays dans un bois non loin de son domicile et fréquenté assidûment par des homos.
Attiré par l'envie d'une expérience homo, je prends contact avec lui afin qu'il m'indique l'endroit précis de ses ébats, afin que je puisse envisager ou penser -pour le moment- m'y rendre à mon tour.
Mais j'ai quand même quelques réticences du fait que ces rencontres sont glauques, on ne sait pas trop sur qui on tombe, et puis l'hygiène y est ce qu'elle est…

Donc, j'ai des contacts par mail avec ce jeune homme qui m'apprend, au fil de nos échanges virtuels, qu'il a, une fois ou deux, fréquenté un sauna gay dans sa ville. Et il me raconte l'expérience. C'est tout a fait ça que je recherche en fait: une aventure sans lendemain, dans le respect de l'autre et de ses motivations, de son consentement et de ses envies, dans un lieu clos et sécurisé, fréquenté par des gens dont l'hygiène est irréprochable car la douche et la nudité y sont obligatoires.

N'étant pas du tout expérimenté de la fréquentation des saunas gay, nous convenons, mon « initiateur » et moi de nous y retrouver un jour. Cette décision prise, nous commençons à fantasmer et tirer des plans sur ce que nous souhaitons l'un et l'autre et l'un de l'autre. Pour ma part, ayant vécu des sodomies par godes et fellations simultanées, je lui avoue que j'aimerais bien me faire sodomiser par un sexe, un vrai, pendant qu'une bouche masculine me sucerait.
Lui me révèle un fantasme: il s'imagine, moi assis sur la banquette du hammam empli de vapeur chaude, lui offrant ma queue à sucer et lui, courbé en avant et appliqué à me prodiguer une fellation, cherchant à se faire sodomiser par un inconnu de passage.

L'idée ne me déplait pas de voir un homme (il m'a dit être marié et fréquenter ce lieu en toute discrétion) me sucer pendant qu'il se fait sodomiser par un autre. Il me révèle aussi qu'il a envie soit de sucer, soit de se faire sodomiser - décidément il aime ! - "au naturel" sans préservatif. Il a envie de sentir le sperme lui emplir la bouche ou le trou. Il décidera plus tard qu’il souhaite que je le sodomise jusqu’à éjaculation et sentir mon sperme couler sur ses cuisses, lubrifiant naturel pour d’autres rencontres. Je pense que c'est quand même risqué... Bien entendu, chacun des 2 devra avoir les résultats d'un test HIV très récent. Je me prends au jeu et quelques jours plus tard, je vais dans un laboratoire faire pratiquer l'analyse qui se révèlera... négative (HIV et HPTC). Nous nous fixons une date et me voilà en route pour le club, mon résultat d'analyses en poche. Je suis à la fois excité et apeuré par la démarche que j'entreprends. Moi, le séducteur très soucieux de mon corps afin de plaire encore et toujours à ma compagne et aux autres femmes, je me rends dans un club réservé aux ébats sexuels entre hommes ! Je ne me suis masturbé et n’ai eu aucun rapport sexuel pendant plus d’une semaine, réservant mon sperme pour mon initiateur.
Je le rencontre devant le club et nous y entrons. Échange des certificats médicaux : il est clean, moi aussi. C’est bon.

Ambiance sympa, parfum subtil et agréable (pas du tout la chambrée militaire au contraire!) lumière tamisée. Le réceptionniste me remet une paire de sandales plastique, une bracelet élastique avec une clé et une étiquette avec un numéro, et une serviette blanche. Nous nous dirigeons vers le vestiaire où nous nous dévêtons. J’en profite pour mater un peu autour de moi les hommes qui comme nous, nous matent à leur tour. Je m’aperçois que mon accompagnateur porte un string rouge qu’il a percé devant pour y faire passer son sexe qu’il a de belle taille. Nus comme des vers, nous allons à la douche et là aussi nous matons.
Mon compagnon en profite pour s’enfiler un plug de bonne taille ! Je ne pourrai jamais faire entrer un engin pareil dans mon anus ! Il me dit qu’il s’agit d’une préparation pour se dilater et se préparer à me recevoir.

Puis il me fait faire un petit tour de visite : d’abord le hammam où nous reviendrons plus tard, le jacuzzi, libre pour l’instant, puis de petites cabines sans porte –tout un chacun peut mater à volonté ce qui s’y passe - dans lesquelles un matelas recouvert d’une toile étanche occupe toute la largeur, puis la salle des glory-holes. Il me propose d’essayer. Je monte deux marches assez hautes et je me trouve face à une cloison sur laquelle sont pratiquées quelques ouvertures à la bonne hauteur. Je comprends, je m’installe face à l’un deux, y passe mon sexe et mes couilles et j’attends. Pas longtemps : je sens que ma queue est happée par une bouche qui le suce, l’aspire, une langue le titille, une main caresse mes couilles. Mmmmm ! Drôlement bon ! Et de ne pas voir mon suceur est encore plus excitant… Quelques instants et la fellation s’arrête et mon initiateur me rejoint. « C’était bon ? » me dit-il. « Excellent ! C’était toi ? ». « Vas savoir… » me répondit-il. Bon, va savoir …
Suite de la visite au sous-sol. Là l’ambiance devient plus sombre, les corps se frôlent, la lumière diminue au fur et à mesure que nous nous enfonçons vers l’extrémité d’un couloir de plus en plus étroit, obligeant les corps qui se croisent à se frôler ou se toucher. De chaque côté, des cabines, certaines ouvertes sans porte, d’autres plus intimistes avec une porte mais qui ne ferme pas totalement. Un peu plus loin une petite salle avec un ??? sorte de siège de toile plastifiée suspendu au plafond par 4 chaînes. Sur cet appareil, un homme sur le dos les jambes relevées contre son torse se fait sodomiser par un autre debout devant lui. Spectacle excitant ! Puis nous atteignons les backs-rooms, sombres, sans éclairage où il faut avancer… à tâtons !
Je sens des mains s’emparer de mon sexe , me caresser furtivement.
Mais nous décidons de remonter en rez-de-chaussée pour aller au hammam et tenter de réaliser notre fantasme.

J’entre, nous sommes debout l’un contre l’autre, je caresse son sexe qui commence à bander, il caresse le mien, il pince mes tétons ce qui me fait réagir tout de suite : je bande. Il me dit : « tu veux que je te suces ? » - Stupéfait par ma réaction, je m’entends répondre : « Oui… ». Alors, il s’agenouille devant moi et prend mon sexe en bouche. Il me dit que mon sexe est à la bonne taille ! Je ne m’étais jamais posé la question ! En effet, il peut l’avaler entièrement et ne s’en prive pas. Une « gorge profonde » ! Puis je m’assois sur une banquette, le sexe offert. Il se courbe devant moi et prend mon sexe en bouche tout en offrant son cul à la convoitise des visiteurs du lieu. Il me pompe, aspire, prend mon sexe en totalité dans sa bouche, le ressort, me lèche les couilles, reprend sa fellation. C’est bon…. C’est une première pour moi de voir un homme me sucer, et ça ne me choque pas... Plusieurs hommes, nous apercevant par la porte vitrée du hammam, nous rejoignent, et se contentent de regarder, de près parfois en se masturbant. Un en particulier insiste et reviens plusieurs fois pour mater. Nous verrons plus tard qu’il cherche à se faire sodomiser lui aussi. Mon suceur démène son cul pour attiser la convoitise des visiteurs. Mais aucun ne l’entreprend et il se relève. A ce moment là, il bande déjà fort et, prenant mon courage à deux mains, je lui propose de lui rendre la pareille. Il accepte bien sûr. Je m’agenouille devant lui et prends son sexe dans la main, le masturbe un peu, la peau est très douce, puis je décide de me lancer et le prends en bouche. Le gland est gros, j’ai peine à le prendre en entier mais j’y parviens. C’est très doux et les bords du gland sont moins durs que le reste du sexe. Son gland gonfle encore. Je lui fait une fellation maladroite, sûrement car il se plaint du contact avec mes dents. Mais je tente de m’appliquer et de faire de mon mieux.
Devant le peu de succès de son opération séduction, nous allons prendre un verre au bar, discuter un peu.

Devant le peu de succès de son initiative dans le hammam, nous décidons de descendre aux backs-rooms. Nous nous dirigeons vers le fond, la pénombre et les cabines un peu fermées. Nous choisissons une cabine, je m’allonge sur le lit, il me fait une fellation pour réveiller mon sexe un peu endormi et me demande de le sodomiser. Je prends un peu de gel, en enduis son anus et mon pénis que je présente contre son trou. Malheureusement, le trac de la première fois je suppose, ne me permet pas de bander suffisamment pour que mon sexe force l’entrée. Je ne parviens pas à le sodomiser. Un autre homme se présente avec une queue de très belles dimensions 23 ou 24 cm, et tente à son tour de l’enculer. Il n’y parvient pas non plus malgré que mon compagnon d’un jour l’ait préalablement sucé. J’assiste à tout ça en me masturbant.
Devant ces échecs successifs, il part à la recherche d’une « bite bien dure » pour l’enculer, me laissant seul.

Pour ma part, je retourne vers la partie sombre des back-rooms. Mon regard s’habitue à l’obscurité et je vois un homme, jeune visiblement, pas plus de 22 ou 24 ans, assis sur une banquette, le visage à hauteur de sexe. Je m’approche, m’arrête devant lui. J’ai toujours ma serviette à la main, il y a longtemps que je me promène nu, sans pudeur, le sexe offert à la convoitise des autres. Il tend le bras, passe une main derrière mes fesses qu’il caresse, et m’attire vers lui. Sa main passe entre mes cuisses et me caresse le trou, le périnée et les couilles en passant entre mes cuisses. J’aime ! Pendant ce temps, sa bouche s’empare de mon sexe pour une fellation d’anthologie (encore une !). Il fait aller et venir sa bouche tout le long de mon sexe tout en le masturbant. Après quelques minutes de ce traitement, sentant la jouissance arriver je l’arrête, gentiment, en lui disant que j’ai fait une promesse à un ami et que me réserve pour lui. Il se lève et s’en va. Il a sa serviette autour de la taille et je remarque l’empreinte de son sexe en érection sous la serviette. Je regrette qu’il s’en aille si vite. Je l’aurais volontiers sucé ou branlé un peu. Tiens, j’y prends goût maintenant…

Je veux regagner la zone plus éclairée et j’aperçois dans le pénombre que 2 ou 3 hommes sont là dans ce couloir étroit. Je ne peux passer ailleurs, alors je m’approche. Alors je sens, une, deux, quatre ou six mains qui me caressent la queue, les couilles, les seins, le torse, les fesses. Il y en a partout. Je m’abandonne à ces caresses voluptueuses, essaie d’attr le sexe de l’homme à ma gauche, il refuse, j’insiste, il repousse ma main, mais les siennes s’occupent du mien ! L’homme à ma droite est assez bedonnant – je l’avais aperçu auparavant, je tends la main pour chercher son sexe. Lui ne se dérobe pas mais je tombe sur un sexe tout petit, pas encore en érection. Je la masturbe vigoureusement, la petite bite durcit dans ma main, je sens le liquide pré spermatique mouiller ma main, il est très excité ! Je lui branle la queue rapidement pendant que d’autres mains continuent de s’occuper de moi. Au bout de quelques instants, je sens le plaisir monter et, pensant à ma promesse, je m’éloigne en serrant mon pénis très fort à la base pour tenter d’empêcher l’éjaculation. Mais les caresses subies et mon excitation viennent à bout de ma volonté et j’éjacule de longues et puissantes giclées de sperme dans ma main et ma serviette. Depuis le temps que je me retenais ! Mon ami arrive à ce moment mais c’est trop tard.

Un peu déçu par ce manque d’expérience, je vais prendre une douche et je me décide à quitter l’endroit. Mais en me disant que j’y reviendrai sans doute.

Après cette expérience, j’ai adressé un mail amical à la personne qui m’a fait découvrir cet endroit en le remerciant de son initiative. Malheureusement il ne m’a jamais répondu.

Pour un contact, laissez votre mail dans les commentaires.

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