Cocu Content Mais Pas Trop. Voire Pas Du Tout (3) On Remet Ça.
Résumé :
Dans le second épisode, je vous racontais de quelle façon javais entraîné ma femme dans une boîte échangiste et notre premier rapport sexuel en public qui na pas semblé lui déplaire.
Les jours qui ont suivis cet épisode furent bien longs. Pendant près de 15 jours, on cest à peine parlé, de banalités en banalités nous nous sommes ignorés. Nous navons même pas fait lamour. Jusquau jour ou, nen pouvant plus, jai pris mon courage à deux mains.
Nous sommes mercredi. On se couche chacun de son coté. Pas un mot pas un bruit.
- Chéri ?
- Oui !
- Quest-ce qui ne va pas ?
- Bah rien !!!
- Je vois bien que ça ne va pas.
- Pourquoi ça nirait pas ?
- Je ne sais pas, depuis lautre jour, je te sens ailleurs.
- Tu as eu ce que tu voulais. Non ? Alors me fait pas chier.
Je restais un peu abasourdit sans comprendre pourquoi elle réagissait de la sorte alors quelle avait jouie comme une folle.
- Ca ne ta pas plus ?
- Si
- Et bien alors ?
- Et bien alors
Jai jouie comme une folle oui. Mais tu mas traité de tous les noms et je déteste ça.
- Tu as jouie, ce nest pas lessentiel ? On ne connaissait personne. Quest-ce que ça peut faire ? On y est bien allez pour ça non.
Et là, elle éclate de rire. Je ne comprends plus rien.
- Non !!! Je te rappelle quon sétait juste arrêté boire un coup et que pour le coup cest toi qui men as mis un. Et quel coup mon salaud.
- Tes vraiment cinglée.
- Et toi tes vraiment trop con.
Elle se jette sur moi et se mets à membrasser comme une folle. Puis, elle descend le long de mon torse poilu, doucement, me mordille les tétons, jétouffe un cri de douleur.
- La ferme !!! Salaud !!! Ce soir tes a moi.
- Oui mon amour.
Elle continue ça descente et prends mon sexe directement dans sa bouche.
- Ahhh la vache, tu suces trop bien. Tu las bien dans la bouche là hein ? hummm oui
ohh putain je vais pas tenir.
En entendant ça, elle accélère le va et vient aspirant encore plus fort. Je sens que je vais exploser.
- Ahh putain, arrête. Je vais jouir. Ahhh salope
. Ouiiii
Jexplose enfin dans sa bouche. Elle avale tout. Il lui en reste un peu au coin de la lèvre. Le ramasse avec sa langue puis viens membrasser. Je luis rend son baiser, qui nà pas un goût terrible soit dit en passant.
Nous restons un moment enlacés. Et cest par excès de confiance que jai osé poser la question fatidique.
- Tu veux quon y retourne ?
- Où ?
- Bah au club !!
- Tu crois ?
- Pourquoi pas. Ce nétait pas si mal.
- Oui cest vrai, mais je ne sais pas si cest une bonne idée.
- On fait comme lautre fois ni plus ni moins.
- Daccord !!
Puis elle se retourne et éteint la lumière.
Impossible de dormir. Quand allons-nous y retourner ? Comment allons-nous réagir ? Que va-t-il se passer ? Toutes ces questions se sont bousculées dans ma tête toute la nuit. Ca faisait 15 jours que je navais pas baisé et à nouveau je ressentais ce besoin de lavilir, de la voir se faire traiter comme une moins que rien. Une fois de plus jétais prêt à tout pour baiser. Comment expliquer le fait que quand je suis en manque de sexe, cest ma femme que jai envie de voir se faire baiser. Je ne comprends pas ce processus.
Un jeudi. On se met daccord pour prendre une journée afin dy retourner. On se dit quen semaine il y aura moins de monde et pas ment trop dhommes.
Nous sommes Jeudi. Grasse matinée, petit déjeuné, petit resto, balade en ville et enfin retour à la maison pour se préparer. Jai commandé à ma femme une petite tenue très sexy pour notre sortie. Cest une robe noire très décolletée et fendue jusquen haut des cuisses, des talons assez haut (10cm) et un micro string ficelle noir transparent qui ne cache pour ainsi rien presque rien de sa belle chatte. Elle, se prépare dans la salle de bain. Comme souvent, elle se rase la chatte laissant juste un petit ticket de métro comme on dit. Puis elle débarque dans la chambre. Elle veut essayer les habits que je lui ai acheté, ça lui va plutôt bien. Bien quun peu juste la robe lui moule parfaitement les seins et les fesses, les mettant merveilleusement en valeur. Seul petit hic impossible de mettre de sous vêtement sans que ça se voit.
- Chéri taurais pas voulu être un peu trop flatteur ? dit-elle en riant.
- Pourquoi ?
- Ben vient voir
- Je rentre dans la chambre et je la vois habillée, le string et le soutien gorge marquant la robe par-dessous. Une horreur.
Nous éclatons de rire. Un fou rire à se pisser dessus. Un rire nerveux à nen pas douter.
- Je pensais mettre des dessous coquins mais là je crois que cest cuit. Dit-elle.
- Ouais cest clair. Mais bon. On sen fout ten aura peut-être pas besoin.
- Ouais. Ouais. Ne commence pas à te faire des films gros.
- Un gros ? Ou tu as vu un gros ? Qui est-ce qui est gros hein ? Dis-je en faisant mine de regarder de droite à gauche.
Je mapproche delle par derrière et la mets face à la glace mes mains passe sur la robe sous ses seins, je les soupèse, les caresses, aussitôt les tétons apparaissent sous le tissus.
- Quest-ce que tu es belle.
Elle me sourit
- Tu as une paire de seins magnifique, dis-je en lui pelotant les seins fermement.
Elle ferme les yeux.
- Non regarde toi ma belle, regarde comme tu aimes quon te touche.
- Ouiii ! soupire-t-elle.
Je bande comme un fou.
- Suce-moi. Maintenant.
Sans discuter, elle saccroupie, la fente de sa robe me laisse voir ses cuisses nus, ses hanches larges. Oh ! Mon Dieu, Quelle est belle. Elle extirpe mon sexe à demi bandé de mon pantalon et lenfourne dans sa bouche entièrement. Je pousse un soupir de contentement, puis elle commence à me pomper, ma queue gonfle à vitesse grand V. je sens que je vais tenir bien longtemps à ce train là. Elle me presse les couilles, tire sur le manche et je menvole au Paradis. En moins de 2 minutes, je lui lâche tout dans la bouche. Elle avale tout, se relève le sourire narquois, comme si elle venait de gagner une bataille. Elle éclate de rire. Finalement ce nest vêtu uniquement de la robe fendue et de ses talons que nous prenons la voiture, il faut une bonne heure pour y aller. Le Trajet se passe bien et en silence, jen profite pour glisser une main sur sa cuisse lisse et la câliner. Sa petite faveur a calmé mes ardeurs. Nous y sommes. La tension est maintenant palpable. Je sonne. La femme de lautre fois nous ouvre et nous reconnaît.
- Bonsoir. Heureuse de vous revoir. Entrez !
Nous discutons puis nous nous dirigeons vers les fameux casiers en riant et en plaisantant. Nous sommes finalement plutôt détendus. Nous rejoignons le bar et nous nous installons sur les grands tabourets. Mathilde laisse la serviette découvrir ces cuisses. Elle a gardé ses talons. La vue de ses jambes me trouble. Les hommes la regardent et ça aussi, ça me trouble énormément. Je me surprends même à bander légèrement.
La soirée défile doucement nous dansons. Certains couples se forment dans les coins, dautres se tripotent discrètement. Jen profite dêtre sur la piste pour passer ma main sous sa serviette et caresse doucement ses fesses. Lentement, je passe un doigt dans sa raire et vie titiller son petit trou discrètement. Elle me sourit et viens se blottir contre moi.
Blottie dans ses bras, elle se laisse peloter les fesses sans aucune gêne. Je suis sûr quelle mouille. Puis elle jette un regard au moment ou leurs lèvres se frôlent.
Soudain, je me lève, me dirige vers ma femme.
- Viens, je veux te baiser. Dis-je à haute voix.
Jentraîne ma femme, qui a lair surprise, dans le coin câlin ou nous étions la première fois.
Suivi discrètement par lhomme avec lequel elle dansait. Je la jette une fois de plus sur le lit et me jette sur elle, je lui bouffe les seins qui sont bandés, tendus, je les mordille. Elle cri de douleur. Mais je persiste. Elle gémie, soupir. Lhomme est sur le bord du lit mais je fais mine de lignorer. Me disant que si je lignore, il sen ira. Mais je suis trop con et joublie la phrase culte :
« Qui ne dit mot, consent. ».
Ma femme a les yeux fermés au moment où je mintroduis en elle, je veux la baiser. Mais aucun mot ne peut sortir de ma bouche. Jai envie de la traiter de tous les noms. Mais je ny arrive pas. Lhomme assis sur le bord du lit mempêche de mexprimer. Il magace dêtre là à nous regarder. Quand sa main vient semparer dun sein de ma femme, tout en me regardant dans les yeux, je suis au bord de la folie. Il insiste et maintenant pétrie franchement son sein en jouant avec le téton. Ma femme, toujours les yeux fermés, pense sans doute que cest moi qui lui prodigue cette caresse ou peut-être est-elle très consciente que ce nest pas moi. Cette idée me rend dingue. Mais je narrive pas à lempêcher de faire ce quil fait. Puis sa bouche sempare de son autre sein. Elle ne peut maintenant plus ignorer que ce nest pas moi. Il lui suce le téton, pince lautre entre ses doigts. Il bande. Sa queue est longue et fine. Mathilde gémie, soupir, elle prend son pied. Alors que je la baise à fond, je transpire.
Puis tout saccélère. Lhomme approche sa queue de la bouche de ma femme. Lui pose le gland sur ses lèvres. Toujours les yeux fermés, je la vois entrouvrir les lèvres et le sexe senfoncer dans sa bouche. Elle le suce. Il gémit. Moi je ralentis profitant du spectacle. Si je fais deux allez retour de plus je jouie. Je sors et enfile 3 doigts dans sa chatte et la branle sans ménagement pour la maintenir sous tension, je triture son clitoris de lautre main. Je bande tellement que je crois que ma queue va exploser. Et finalement cest lui qui se met à linsulter.
- Oh putain oui quelle est bonne sa bouche. Elle suce comme une reine cette salope. Quel bol tu as. Laccent de lautre ne trompe pas.
Laccent des cités renforce fortement la scène. Mathilde se met à le sucer plus activement. Son accent lexciterait-elle davantage ? Lidée de se faire sauter par un jeune des citées lui plairait-elle ? Elle qui comme les femmes un peu bourgeoise en a peur ? Et moi ? Que dois-je faire ?
Et le voilà qui remet ça.
- Ouais, vas-y comme elle suce trop bien ta femme. Sa bouche, elle est vraiment trop chaude. Tas trop bien fait de revenir, elle ma trop excité lautre jour. Hummm. Oui vas-y pompe ma queue salope.
Il me tutoie. Je nen reviens pas, mais je comprends mieux son comportement, il devait faire partit des spectateurs et vu comme javais insulté Mathilde, il ne se gène pas pensant que finalement elle apprécie. Dautorité, je la mets à 4 pattes. Ma femme ouvre les yeux pour chercher la queue quelle suçait et se jette dessus. Je nen crois pas mes yeux. Elle accélère et le prends en main. Dune main, elle lui malaxe les couilles et de lautre elle le branle en le suçant. Et le voila qui recommence me prenant a témoin.
- Oh la vache, elle maspire la queue comme une folle la « tepu ». Elle adore ça, la bite hein ?
Je suis incapable de répondre et je me remets à la baiser bien a fond dans la chatte. Puis il continue. Il mexcite ce con à parler comme ça de ma femme.
- humm oui, que cest bon vas y défonce là. Défonce la bien, fait la gueuler cette chienne.
- Oui je vais la faire gueuler. Je me mets à lui claquer les fesses.
- Oui vas y bourre là.
Il lui maltraite les seins pendant quelle le suce à fond. Il tire sur les tétons. Elle grimace de plaisir. Elle relâche la queue de temps en temps pour mencourager :
- oui .. oui
défonce moi ouiii. Plus fort.
Elle dégouline de mouille sur ma queue, ma queue fait des bruits obscènes dans sa chatte. Je ne lai jamais vue dans cet état. Jaccélère lui mettant de grand coup de bites, la percutant le plus fort possible. Elle va jouir je la connais, je lui enfonce mon pouce à fond dans le cul.
Elle rugie, quand lorgasme la submerge. Moi aussi je vais jouir. Dans un râle, il éjacule dans sa bouche la tenant par les cheveux.
- Ouiiiii prend tout, pétasse. Tien prends tout dans ta bouche.
A ces mots, Je me colle au fond de sa chatte et jéjacule. Elle est secouée de spasmes. Mathilde déglutit, tant bien que mal, le foutre de cet inconnu pendant que je fini de me vider en elle. Puis il ressort sa queue de la bouche de Mathilde nous remercie et senfuit discrètement. On seffondre une fois de plus sur ce lit. Jai un mal de chien à respirer, Mathilde aussi apparemment. Je suis hors de moi. Comment ma femme a-t-elle pu sucer un inconnu ? Je nen reviens pas. Quelle salope. Non mais ce nétait pas prévu comme ça. Elle est folle.
Rapidement et sans un mot on se douche, on se rhabille et on rentre à la maison. Dans la voiture elle dort. Moi je nen reviens toujours pas. Elle ne perd rien pour attendre. Jusquoù serait-elle capable daller. Il faut que je le sache, que jen aie le cur net.
A suivre
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