Noyade
La fin septembre est toujours agréable par chez moi. Je suis couchée au soleil dans un pré sur la berge de la rivière. Jen profite avec délice, je suis bien au soleil, trop sans doute quand jentend crier « au secours ». Cest une voix féminine. Je me déshabille en vitesse et me précipite pour aller la secourir, je nage pas mal et la rivière nest pas profonde.
Le corps inanimé se trouve au milieu du courant. Je peux facilement le sortir et le mettre sur la berge. Je commence par lui faire du bouche à bouche quand elle reprend connaissance. Elle se plait du froid. Elle est trempée. Je ne minterroge même pas, je la mets nue pour la débarrasser des ses vêtements. Je lui donne mon t-shirt pour le lui passer. Je lui donne mes chaussettes. Nous devons former un drôle de tableau, je ne porte quun soutif, un petit short, elle a le t-shirt et des chaussettes. Je peux la regarder surtout son bas ventre qui mattire : un sexe rasé que je vois de près. Je me sens bizarre de la voir nue ou presque et den être légèrement excitée. Je nai rien dune fille attirée par le même sexe, sinon le mien quand je me caresse. Jaime les hommes et ne peux men passer plus de huit jours. Pourtant elle est contre moi qui la réchauffe et me dit que :
- Cest agréable dêtre contre vous.
- Cest pour vous réchauffer.
- Merci de ce que vous faites.
- Tournez vous que je puisse frotter votre dos.
Elle se tourne, se serre contre moi, je commence à lui frotter le dos quand je me rends compte que ses seins sont contre ma poitrine. Je ne sais pourquoi, elle passe ses cuisses autour de ma taille. Je commence à être émoustillée. Je frotte le dos, à peine deux minutes. Je transforme ça en caresses. Elle se laisse faire tout en se collant de plus en plus contre moi. Je commence à avoir envie delle, moi qui naime que les hommes. Je sens que je commence à mouiller rien que de penser que peut être elle aime les caresses de femmes et les rend bien.
Elle déboutonne mon soutif et lenlève. Je me trouve ainsi les seins nus. Ca nest pas pour me déplaire. Après tour cest elle qui a commencé. Et puis jouir avec une femme ce nest pas grave, personne ne me le reprochera. Je cherche toutes les excuses possibles pour me laisser aller. Ses lèvres quittent ma bouche pour mes seins. Elle les suce comme personne ne me la jamais fait. Je ferme les yeux pour bien profiter de ses lèvres. Je caresse sa tête encore mouillée. Elle descend sa bouche sur mon ventre, elle me fait quitter le short, je me retrouve nue devant cette fille que je ne connait ni dEve ni dAdam. Je sais parfaitement où elle veut aller : je laccepte déjà, je me couche sur le dos, jécarte mes cuisses quand je sens quelle a posé sa tête sur minou. Je ne sais trop que lui faire en attendant la suite, je peux lui caresser les seins, jen profite largement en faisant comme jaime quon me fasse. Je les caresse largement en lui « maltraitant » les mamelons, je passe un pouce sur eux en appuyant un peu, juste pour quelle sente le plaisir.
Sa langue a écarté mes lèvres pour trouver le clitoris : elle le lèche largement, sa main également va vers mon con. Elle y entre deux doigts. Elle me fait du bien, je mouille de plus en plus. Il me semble quelle a mit une bite dans mon ventre, surtout quelle trouve un endroit où personne ne ma jamais caressée. Elle me fait jouir deux ou trois fois avant de se relever pour venir membrasser. Je trouve le goût de ma chatte sur sa langue. Sans rien me dire, elle me fait comprendre quelle aimerai bien que je la suce également. Je mets ma tête entre ses jambes et cherche lendroit où elle était. Je sais que ça se passe dans le vagin. Jentre ma langue, et fouille jusquau moment où elle se tend. je suis au bon endroit. Ma langue lèche sans arrêt cet endroit. Je sens que son sexe souvre et se ferme avec une certaine régularité: elle jouit.
- Oui, cest bon, narrête pas, continue pour me faire jouir encore.
- Je continue, si tu me promets de me le faire aussi.
- Bien sur que je te mettrai ou ma langue ou les doigts.
- Et comme ça tu aimes ?
Je lui ais mis trois doigts dans le vagin, que je bouge comme une bite. Je la baise tout simplement. Je sens les crispations dorgasme et je continue toujours à lui donner du plaisir. Je change de place, pour une néophyte, je me débrouille pas mal. Je veux continuer à la baiser. Je me penche encore sur elle pour lui sucer le clitoris. Elle éclate plusieurs fois :
- Encore, jai envie de jouir avec toi, tu es trop bonne. Tu dois bien baiser avec les garçon.
- Oui, jaime baiser avec les hommes qui ont une belle bite.
- Moi aussi, je ne sais pourquoi jai eu envie de toi. Continue, parles moi, tu vas me faire jouir encore.
- Et toi aussi suce moi le con encore au moins une fois.
Nous nous taisons, occupées que nous sommes par le sexe de lautre à sucer. Japprécie le goût de la cyprine, comme jaime celui du sperme.
- Jai entendu dire quon pouvait jouir entre femmes en se touchant le clitoris.
- Je crois, je ne sais pas comment on fait.
- Essayons, nous verrons bien.
Pour une fille qui se dit aimer les garçons, elle et drôlement évoluée.
La nuit arrive, nous nous rhabillons comme nous pouvons, elle avec des habits encore humides. Je pars en ne portant que le short et le t-shirt, elle est convenablement vêtue. Arrivées sur le chemin nous nous séparons avec un baiser sur les lèvres. Nous nous disons merci pour les plaisir. Elle habite bien plus loin, je ne sais où.
Chaque fois que je revient au bord de la rivière je pense à elle et je suis obligée de me soulager.
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