Je Suis Une Dévoyée
On dira ce quon voudra, les plaisirs damour sont les plus fort et les meilleurs. Qui refuserait un orgasme ? Pas moi en tout cas, en plus doù quil vienne... Comme tout le monde jai connu la masturbation assez tôt, pas contre je nai connu les plaisirs avec un autre être humain que plus tard. Je my suis mise à 25 ans, quand, amoureuse jai fait lamour pour la première fois avec un ami que je fréquente encore de temps en temps, disons quil est devenu mon bouche trou, sans jeu de mot. Nous faisons lamour quand nous sommes sans partenaires.
Cette fameuse première fois la voici : javais flirté avec quelques garçons, baisers, touches pipi, et autres quand je suis tombée sur lui, René, grand, beau, gentil, surtout gentil. Après plusieurs jours quand il ma touché les seins, je me suis senti fondre. Jai fais tout ce quil voulait, jétais chez lui, quand il ma déshabillée. Contente de sentir ses mains sur mon corps, il pouvait faire de moi ce quil voulait. Jétais là pour ça, puisque javais accepté de le suivre. Je lavertissais que personne ne mavait encore fait lamour. Il en riait, comme il riait de son grand rire éclatant. Je pensais quil se moquait de moi : pas du tout il était content parce quil serait le premier.
Quand je le voyais nu, javais un peu peur de sa bite qui me semblait énorme. Elle était grosse en effet parce quil bandait, mais pas plus que les autres. Je prenais sa bite en main pour le branler, il ne voulait surtout pas que mes mains servent à la faire jouir, alors que je possédais ce quil fallait.
Il ma faite coucher, est venue membrasser sur la bouche. Cest ma langue qui était la première dans la sienne. Je me sentais parfaitement bien sous son corps chaud. Il ma caressée entre les cuisses avant darriver sur mon sexe. Je ne sais comment il a fait, il ma branlée de telle façon que jai jouis complètement. Aussitôt il a posé sa bite à lentrée de ma chatte. Il la passée sur tout mon sexe avant de me demander lautorisation de me faire lamour.
Je ne disais rien, il comprenait que jen avais envie sans le lui dire. Il a entré une bonne partie de sa queue quand je sentais quil était bloquée par mon hymen. Il sest arrêtait un instant, ma demandé cette fois si je voulais quil continu. Jai dit que laimerai connaitre le vrai plaisir. Il na plus attendu, il est entré en moi dun seul coup de rein. Jai à peine senti sa pine qui entrait. Il est resté au fond de moi un moment sans bouger. Je sentais sa présence dans mon ventre. Ce nétait ni bon , ni désagréable. Il a commencé à bouger en allant et venant en moi. Cest un peu avant quil jouisse que je sentais enfin que cétait très agréable. Il a jouit, jai senti dans mon ventre le jet de sperme avant quil sorte. Il me demandait sans gloriole ce que javais senti : javouais la vérité, il était sorti trop tôt.
Il voulait bien recommencer, mais pour cela il fallait quil bande encore. Il ma demandé de le sucer pour le faire bander encore une fois. Jai accepté après avoir bien hésité, jai goûté et son sperme, qui était bon et ma cyprine qui était bonne aussi. Jai passé ma langue sur son bout et jai réussi à le faire grossir rapidement. Il est revenu sur moi pour me la remettre. Cette fois jétais plus que prête ! Dès quil était en moi, je levais les jambes pour les passer sur ses reins. Il me la mise au fond dun seul coup. Cette fois je sentais longuement tout ce quil faisait. Jai ainsi jouis pour la première fois avec une bite dans mon ventre. Nous avons recommencé tant quil bandait, je ne me lassait pas sur tout des orgasmes quil me donnait. Cest lui qui plus tard ma sodomisé, jadorai et jadore toujours une pine au cul.
Plus tard jai voulu essayer autre chose. Javais sans doute un peu bu dans une soirée avec des amis. Jai eu envie de jouir. Jaurais sans doute pu me réfugier eux toilettes, mais je naime pas du tout menfermer dans ces lieux pour jouir. Ma meilleure amie était là. Je lui faisait laveu. Je lui demandait même de me branler.
Enfin elle léchait à nouveau. Je ne me détendais que quand je jouissais. Cétait la première fois quune autre fille me faisait jouir, je trouvais ça très agréable. Je lui proposais de le lui faire. Elle acceptait en se mettant nue, on est mieux pour jouir nues quhabillées. Elle prenait ma place, les jambes ouverte, sa moule offerte.
- Lèche moi le con.
- Où veux tu ?
- Où tu veux, commence quand même par lanus et entre ta langue.
- Je dois rentrer dans ton cul ?
- Oui, jaime me faire mettre par là.
Je nhésitais pas. Je posais ma tête entre ses jambes, je sentais lodeur de son con. Cétait agréable. Je ne cherchais pas longtemps son petit trou. Je passais et repassais ma langue dessus:
- Vas y, encules moi.
Je nhésitais plus; jentrais lentement ma langue dans cet orifice. Jy trouvais un goût bizarre mais pas désagréable. Jy faisais des aller et venue. Elle accompagnait mes mouvements en ahanant. Elle prenait ma tête pour que je narrête pas. Je sentais soudain son orgasme. Jôtais ma langue de là pour aller dans son vagin. Cette fois jentrais pour ne plus sortir ma langue, je la faisais tourner dans ce vestibule.
Depuis quelques temps jai pris lhabitude de répondre à toutes les dragues, hommes ou femmes. Jai sans doute mauvaise réputation, je men fiche, je baise et je jouis souvent.
Je participe à des réceptions spéciales où je me donne à qui veut de moi. Je ne fait que baiser et jouir plusieurs heures consécutives. Je suis heureuse ainsi : je rencontre souvent Pierre, mon initiateur avec qui nous baisons, il mencule aussi, sachant que jaime ça. Nous aimons baiser ainsi en public.
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