Un Samedi Pas Ordinaire....
Ce samedi matin, jai un peu la flemme, je nai pas envie de quitter la maison, mais il faut à tout pris que je me rende au boulot pour terminer quelques rapports urgents. Habituellement ce jour-là il ny a que ma femme qui reçoit des clients. On travaille ensemble, notre vie est organisée comme cela depuis des années et on sen accommode bien ; surtout elle
En arrivant je croise un couple dans la salle dattente, je leur dis un bonjour discret et je mengouffre dans mon bureau. Pensant à mon épouse qui travaille : « pas la peine de la déranger en plein taf me dis-je ». Jallume mon ordinateur et me mets au travail. La matinée se passe consciencieusement et pas vraiment folichonne. Le téléphone sonne plusieurs fois, je la laisse décrocher vu que je ne suis pas sensé être là. Je lentends raccompagner plusieurs personnes en salle dattente. Elle ne vient pas me voir et je finis même par me demander si elle sest rendue compte que je suis là.
Vers midi, ses talons résonnent sur le carrelage. Leur bruit me distrait un peu de mon occupation et mévoquent un trait de sa féminité qui mattire toujours avec autant de passion. A ce moment je peste, et je me remémore quelque uns de nos ébats amoureux, ici dans nos locaux. Je me dis que jaimerais bien la baiser là sur son bureau au lieu de me coltiner ces foutus compte-rendu. Bref jessaie de me concentrer, mais à ce moment là jentends la clé se tourner dans la serrure de la salle dattente. Au clac de la clé succède le tintement du trousseau contre la serrure. Elle a fermé le cabinet de lintérieur et a laissé la clé sur la porte. Je suis prêt à me lever pour voir ce qui se passe et à ce moment je lentends dire « tu viens ? ».
Une voix masculine lui répond « tu mas manqué, jai tellement envie de toi, jen deviens dingue ». Puis plus rien. A cet instant, tout vacille autour de moi, je me dis « tu rêves, ce nest pas possible ». Jai du mal à respirer, mon cur bat à tout rompre.
Tandis que jessaie de reprendre mon souffle et mes esprits pour décider ce que je dois faire, A travers la cloison, jentends leur « conversation ». « Tu reprends à quelle heure ? ». « A 1 heure, mais il faut jaille faire une course. On na pas beaucoup de temps, viens ! ». Et je les entends rentrer dans son bureau. Manifestement elle ne sait pas que je suis là.
Nos bureaux sont séparés par une porte vitrée tendue dun voile épais. Cette porte est toujours fermée à clé et devant, de son côté, il y a un meuble qui supporte un photocopieur qui en bloque laccès.
Jentends des rires et des petits bruits. Comme un zombie, je me lève doucement de mon siège et je me dirige vers la porte vitrée. Je retiens ma respiration, je sens mon sang se glacer en moi, et délicatement jécarte un peu le voile devant la vitre. Je les aperçois debout dans les bras lun de lautre. Ils sembrassent passionnément. Elle a passé les bras autour de son cou, il la tient contre elle, par les fesses. Je le fixe froidement. Cest ce salaud qui baise ma femme me dis-je. Il est un peu plus jeune quelle dans les quarante ans par là, mince, de taille moyenne, brun un peu grisonnant. Je le trouve quelconque, bien moins athlétique que moi.
Japerçois ma femme de trois quart, un peu de dos. Elle porte sont tailleur en cuir gris souris, jupe juste au dessus du genou. Elle a mis des collants noirs fins, doux, comme jaime. Je sais quelle ne porte pas de petite culotte. Elle nen met jamais lorsquelle porte ce genre de collants. Elle est chaussée descarpins noirs, fins à hauts talons.
Sa main est maintenant sur lentrejambe du type quelle masse doucement et je la vois appuyer sur son sexe, faisant ressortir une belle proéminence dans son pantalon. Ils sembrassent toujours langoureusement. Il fait glisser le zip du petit blouson de ma femme. Il le rejette en arrière lui dénudant les épaules. Je vois apparaître lun de ses seins, rond et lourd, le téton proéminent pointant vers lhomme qui la tient dans ses bras. Elle na pas mis de soutien-gorge, elle se veut provocante, chaude, salope. Elle aime le contact du cuir directement sur sa peau, ça lexcite. Elle a dû mouiller toute la matinée avec son petit blouson qui lui comprime les seins. Elle fait glisser le blouson qui finit sur le sol. Le gars plonge son regard sur les seins magnifiques quelle lui tend. Bien vite il les att dans les paumes et commencent à jouer avec. Elle rejette la tête en arrière en lâchant un gémissement et lui dit : « presse les, pince mes tétons,
. Pince les fort ». Il nen faut pas plus au gars qui a saisi ses mamelles à pleines mains, qui les presse et les malaxe. Pendant ce temps, elle lui défait le pantalon, sort sa bite et entreprend de le branler doucement. Je ne peux mempêcher tout en fixant ce sexe érigé en étendard, de le comparer avec le mien. Sa queue est aussi longue que la mienne, voire peut-être un peu plus longue, mais moins grosse apparemment. Sauf que moi en ce moment, je ne bande pas. Je suis tendu, prêt à exploser, jai envie dhurler, dinsulter ma femme, de la traiter de pute, de tous les noms les plus ignominieux les uns que les autres et de buter ce type qui est en train de sauter cette salope. Mais aucun son ne sort de ma bouche et je suis inerte immobile, figé, comme subjugué par le spectacle qui soffre à moi. Maintenant il lui a pris un sein en bouche et la tète goulument. Il lui happe littéralement le sein avec la bouche enfournant tout ce quil peut et elle gémit de plus en plus fort, ravie du traitement quil fait subir à ses mamelles et à ses tétons.
Sur ce, il entreprend de lui remonter la jupe. « Attends » lui dit-elle, fais attention de ne pas la craquer. Et à cet instant elle dégrafe sa jupe et la fait glisser sur le sol. Elle lenjambe. Elle ne porte plus que ses collants fins et ses hauts talons. La couture des collants ajustée bien au milieu de sa raie fait ressortir les magnifiques courbes de ses fesses et le nylon souligne le galbe de ses jambes. Habituellement quand elle moffre cette vision de son anatomie ça me fait bander comme une bête, me rendant fou de désir, comme lautre type à qui elle est en train de se donner.
Sur ce, il entreprend de se déshabiller et enlève veste et chemise. Ma femme se penche alors et enfourne son sexe tendu comme une trique. Elle lui lèche la queue de bas en haut, des couilles jusquau gland sur lequel elle sattarde longuement. Elle le suce, le pompe, elle lavale goulument avec gourmandise, tout en lui massant les couilles avec énergie. Elle a glissé son autre main entre les cuisses quelle a écartées et se doigte le minou à travers ses collants. Il lui malaxe toujours les seins et elle semble adorer ça. Au bout quelques minutes, elle lastique tellement fort quil se rejette en arrière sortant sa longue bite de létreinte buccale de ma femme en lui disant « arrête tu vas me faire éjaculer ». « Viens-là « dit-elle en soupesant ses beaux seins ronds et lourds entre les mains et en faisant rouler ses tétons entre ses doigts. Maintenant elle veut sa bite entre ses mamelles et elle va le branler comme une salope. Le gars ne se fait pas prier, trique en avant il plonge entre ses deux seins ronds et pleins. Elle lui enserre la queue et commence un va et vient bien excitant sur cette bite dure et tendue.
Libérant la bite de son amant de son étreinte mammaire, elle se redresse et viens sasseoir sur le bord du bureau écartant tout grand les cuisses pour lui dévoiler sans pudeur sa chatte bien touffue au travers des collants. Dans un geste de provocation un peu obscène, elle se met à se masturber lascivement en se passant la pointe de la langue sur les lèvres. Linvitation est on ne peut plus claire, elle a envie de la bouche de cet homme. Elle veut quil la lèche et lui dit « bouffe la moi, broute mon minou ». En moins de deux, son amant est agenouillé, la tête entre les cuisses de ma femme. Et se tenant la queue par la main il entreprend de lui embrasser le minou à travers les collants. Après quelques instants, il se redresse et tout en déchirant les collants il lui dit : « tu sens la femelle en chaleur, ça me plait, je vais ten donner un maximum, salope !». Là-dessus elle lui att la tête entre les mains et le plaque contre sa chatte en gémissant fortement. Il se met à la lécher furieusement. Elle se cambre, crie, ondule et ne relâche son étreinte quaprès avoir joui en ah ahanant puissamment .
Elle est là haletante, pantelante, sur son bureau les cuisses écartées à reprendre sa respiration après cet orgasme puissant. Elle se caresse doucement la chatte en attendant le prochain assaut qui va venir de ce mâle en rut. Il se redresse et sapproche delle la queue dressée. Elle écarte un peu plus les cuisses et tend les jambes en V, les appuyant sur les épaules de son amant en lui disant « prends-moi fort ». Il appuie sa bite sur sa vulve chaude et dun coup la pénètre profondément jusquà la garde. Elle gémit. Il dit « tu veux plus fort ? ». Elle lui répond « tu peux ?, oui vas-y ! ». A ce moment il se met à lui donner de violents coups de reins et à la pilonner. A travers la vitre jentends même ses couilles venir buter sur sa vulve qui couine. Elle doit se cramponner au bureau à deux mains pour ne pas reculer et elle se met à crier. Il la défonce tellement fort que jentends plusieurs objets posés sur le bureau tomber sur le sol. Le bureau recule. Elle redresse un peu la tête et tend le cou. Entre ses gros seins qui ondulent sous les coups de buttoir du mâle qui la saute, elle mate la bite qui lui taraude puissamment la chatte jusquau fond. Il lui dit : « Ah tu en veux ma belle, tu aimes ça, hein ma salope !». Elle crie de plaisir et ne tarde pas à jouir comme une dingue. Vaincue par son amant, totalement à sa merci.
Je suis là, jobserve la scène sans bouger, mais maintenant je bande, ma queue est bien dure et me démange ; à voir comment ma salope de femme est chaude.
Elle se redresse et lembrasse goulument. Il lattire vers lui et elle se lève du bureau. Il la retourne. Elle lui dit « tu veux me prendre par derrière ». « Oui mais pas comme ça, mets toi à quatre pattes salope ». Elle sexécute et se met en levrette écartant bien les fesses, exposant sa chatte chaude et luisante de désir. Il lui tape alors sur une fesse et lui dit : « plus haut ton cul ». Je la vois se cambrer au maximum, la croupe bien en lair, les seins touchant presque le sol. Alors il saccroupit derrière elle, fait glisser sa queue le long de la raie et lui pénètre le minou brutalement, profondément. Il reste là, planté en elle, bien au fond sans bouger, elle se met à osciller du cul. « Tu aimes ça hein ma pute, lui dit t-il ?». Et elle lui répond »Avec toi, jaime tout, baise-moi encore, fais-moi jouir ».
En entendant cela, jai du mal à avaler ma salive. La colère me serre la gorge, mais je bande de plus en plus.
Il nen faut pas plus à son amant pour quil se remette à la tarauder brutalement. Elle se pousse au maximum su sa bite. Elle en veut toujours plus, elle glisse une main entre les cuisses et se masturbe le clito en gémissant de plaisir. Ces seins sentrechoquent sous les coups de buttoir du mâle qui la défonce et qui lui donne bientôt un nouvel orgasme. Elle lui dit alors »vide-toi sur ma chatte, jai joui ». Le type tout à son affaire continue à la pilonner puis sort sa bite du fourreau de ma femme et lui applique son gland contre la chatte bien chaude et trempée, lui lâchant de longues giclées épaisses partout sur la vulve, sur la raie et dans sa sombre toison tout en poussant un râle profond de plaisir. Je la vis gémir et jouir à nouveau en disant « humm, cest bon, cest chaud. »
Il se redresse, elle se retourne et lui att la queue encore dégoulinante, enroulant sa langue sur le chibre qui vient de lui donner tant de plaisir, elle le lèche et le suce avec gourmandise. Son amant sétire et se recule tellement la tension que lui procure ce plaisir est intenable. Il lui dit « tu es vraiment une belle salope ». Elle lève la tête et le fixe, puis se redresse à son tour et lembrasse longuement puis elle lui dit : « tu aimes ça mon salaud, je suis ton jouet sexuel, tant que tu me donnes du plaisir ».
A ces mots, je sens que je vais m. Jai envie de prendre ma femme là devant ce type, de la baiser comme une chienne, de la traiter comme une pute, de la punir et de lui donner ce quelle mérite, mais je ne bouge pas, je suis comme pétrifié, la queue dressée et la colère à son paroxysme.
Je vois le type ramasser ses vêtements sur le sol et commencer à se rhabiller. Ma femme enlève ses collants déchirés et les jette dans la poubelle du bureau. Elle prend une nouvelle paire dans son sac, identique à la précédente, quelle enfile soigneusement ajustant parfaitement la couture à sa raie. La voyant faire son amant lui dit : » tu ne tessuies pas la chatte ». Elle le regarde en souriant et lui dit, jaime sentir ton sperme épais et collant sur ma chatte, ça mexcite. Je vais le garder ainsi tout laprès-midi. Après je me laverai. Elle enfile sa jupe, met son blouson remonte le zip en laissant voir la naissance de ses seins et att ses chaussures.
« Il est temps que tu y ailles maintenant, il faut que je file si je veux avoir le temps de faire mes courses ».
« Ok lui répond-t-il, » .Il sapproche delle et lembrasse. elle lui rend son baiser. « A quand lui dit-il ? » - « Quand jen aurai envie lui dit-elle ». « Pas trop longtemps jespère ? lui répond il. Tu me manques déjà ».
« Menteur va ! » lui répond t-elle.
« Et ton mari, il ne se doute de rien ? »
« Laisse mon mari tranquille, il me fait confiance, je laime, cest avec lui que je fais ma vie. Mais non il ny a pas de raison quil se doute de quelque chose. »
« Allez, vas-y sors en premier, je te suis ».
Jentends la clé tourner dans la serrure, la porte se refermer et de nouveau la clé.
Je reste là quelques instants, puis jéteins lordinateur , je sors du bureau et je rentre chez moi. Va falloir que je me défoule
. (à suivre).
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