Odette, Mon Amante
Nous passons un drôle de weekend, mon mari est appelé durgence à son travail pour faire une charrette (quand on est très pressé). Il rentrera quand, personne pas même lui le sait. Il va passer ses deux nuits à bosser pour rendre les plans à temps. Je me trouve ainsi seule, alors que nous avions prévu de passer deux jours crapuleux. Ce sera pour une autre fois. Dès son arrivée à lagence, il me passe un coup de fil : je ne suis pas seule dans mon cas, la femme dun collègue est comme moi. Il en a parlé à son mari qui a proposé à sa femme de venir avec moi. Nous serions moins seules, nous pourrions parler et passer le temps, entre fille cest facile.
Cest lui qui le dit, facile, et si nous ne nous entendons pas ? Et en plus je me suis mise à laise, je ne porte quune ma robe de chambre spéciale nuit damour. Je naurai jamais le temps de me rhabiller. Je fini mes réflexions quand la sonnette fit son office. Je suis obligée douvrir. Une femme de mon âge, soit la quarantaine est là :
- Bonjours, je suis Odette, la femme de Raymond, le collègue de votre mari.
- Ah, oui, entrez, il vient juste de me prévenir. Excusez ma tenue, je pensais que personne ne viendrait.
- Ne vous excusez pas, je serai comme vous à votre place.
- Nous sommes condamnées à vivre en veuve pendant deux jours !!!
Je la trouve pas mal cette Odette, pas bégueule pour une femme darchitecte. En plus de mon âge, sympathique et charmante.
Quand je lui dis que je vais me changer pour être présentable, elle me demande de rester comme je suis, elle ne veut surtout pas être une corvée. Nous allons au salon et papotons pas mal. Nous ne pouvons parler dautres personnes, nous ne fréquentons pas les même gens. Nous parlons un peu cuisine, ménage et sans y penser amour. Empêcher deux femmes de parler damour, cest impossible, dailleurs à une époque lointaine, la première à parler et même faire lamour était dit-on une nommée Eve.
Nous arrivons aux confidences secrètes que nous nous empressons de raconter, nos façons de faire lamour.
Je bats Odette sur un seul point jai été initiée plus jeune quelle. Nous avons en commun le fait davoir « joué » avec nos camarades filles dans notre jeunesse. Nous en rions quand je ne sais pourquoi je repense aux plaisir que me donnaient certaines filles. Jai beau essayé doublier cette période, je narrive pas à me consacrer à autre chose.
Je dois préparer le diner, javais prévu des aliment à micro-ondes. Odette est daccord nous mangerons ce quil y a. Elle veut maider, ce qui est gentil, nous passons à la cuisine, où je cherche dans le congélateur ce qui pourrait lui plaire. Le choix fait, cest elle qui « cuisine » pendant que je met la table dans la cuisine, sur sa demande, je ne dois pas me déranger pour elle. En dinant, nous reprenons notre conversation sur le sexe. Je ne peux mempêcher de lui dire que je regrette les filles avec qui javais joui. En souriant, elle me fait la même confidence. Je met au point un plan imparable, sil marche. Je me propose, une fois revenues au salon de massoir à ses cotés, de lui mettre une main sur son genoux pour remonter vers sa chatte.
Je croyais a surprendre, cest moi qui le suis !Quand je me lève en passant près delle pour prendre le poivrier, Odette me retient par la robe de chambre, passe rapidement une main sous elle, caresse une cuisse. Je me trouve désarmée et excitée. Je laisse la main arriver sur ma chatte. Jécarte un peu les jambes. Elle trouve rapidement mon clito quelle caresse. Je suis obligée de mappuyer sur la table pour supporter sa caresse. Je mouille plus que dhabitude, Dieu sait que jaime la pine de mon mari, mais là les circonstances font que ma nuit damour avec lui étant compromise, je vais me satisfaire de cette femme qui me plait. Elle me regarde au fond des yeux, je suis obligée de les fermer pour retenir mon plaisir qui monte de plus en plus.
Je me penche vers sa bouche et nous échangeons un long baiser. Elle se lève et menlace longuement, nos bouches sont toujours liées par ce baiser que nos langues pimentent heureusement. Je lentraine dans le salon où elle rejoint sa place sur le divan, je vais près delle et ce que je projetait de faire, je le réalise maintenant : je pose ma main sur un genou, je fais monter ma main entre ses cuisses quelle écarte.
Ainsi nous pensions à la même chose toutes les deux, sans oser le dire, mais en le faisant. Jarrive à la frontière de ses bas, je retrouve une douce peau féminine sous ma paume. Cest agréable de sentir cette douceur de femme. Odette écarte encore davantage ses jambes. Jai ainsi accès à toute sa moule. Comme elle aime les cunnilingus, je suppose quelle aime se faire branler le clitoris. Je le trouve bien vite, elle est mouillée encore plus que moi, je suppose. Je fais ressortir son bouton et je le caresse jusquà la sentir se raidir : elle jouit.
Elle veut maintenant me rendre la pareille, elle défait le nud qui tenait la petite ceinture de ma robe de chambre qui de toute façon ne cachait rien ou pas grand-chose. Je me trouve nue devant elle, elle choisit ses cibles : mes seins.
- Tu as une belle poitrine.
- Mets toi nue que je te vois aussi.
Elle le fait comme un striptease, je ne trouve aucun défaut à ce corps que je viens de faire jouir. Je vais maintenant pouvoir lui faire ce que je veux. Je veux beaucoup de choses :
- Toi aussi tu as une belle poitrine, ton mari doit sen régaler.
- Oui, il aime me sucer les pointes et jaime quand il me le fait. Et toi tu aimes ça ?
- Bien sur que jaime quil me suce les seins, en plus il les mordille pour mexciter.
- Si je te le fais, tu serais excitée ?
- Si au lieu de nous faire des machins isolées nous le faisions ensemble.
- Bien sur, je sais même où tu veux en venir : je suis daccord davance.
Elle a du en faire des déviances avec ses amantes. Je vais sans doute en profiter. Pour être à laise je lemmène dans la chambre dami, pour une simple raison dexplications ultérieure à ma époux. Un bon moyen dexpliquer pourquoi mon lit nest pas seul défait. Nous passons devant la grande glace du salon, nous regardons nues, nous tenant par la taille, les cheveux un peu défait, nos seins presque pareils qui, ils nous semble nattendent que les caresses pour se redresser encore. Dans un soucis féminin de rangements nous prenons les affaires pour le pendre à des cintres, lamour peut attendre. Nous voici dans la chambre, nous nous embrassons encore, nous sommes très serrées pour que nos seins sécrasent. Nos pubis sont également unis. Nous caressons les fesses de lautres et je ne sais qui commence, nos mains se faufilent dans la raie des fesses de lautre.
- Tu aimes te faire enculer ?
- Bien sur jaime quand il me la met au cul, je jouis bien surtout si je me branle aussi. Et toi ?
- Moi aussi, jaime surtout si après je le suce.
- Je nai jamais voulu le faire, cest agréable de sucer une pine qui sort de ton cul ?
- Bien sur elle est pleine de sperme. Tu aimes le sperme ?
- Bien sur que jaime. Je nai jamais, voulu bêtement. Jai eu peur de le sucer après une sodomie.
- Au début, je naimais pas quil mencule, et après trois ou quatre fois jai joui. Pour le remercier de moi-même jai décidé de le sucer et je me suis régalée, le goût est différent, cest tout.
- Jessayerai la prochaine fois.
Comme un couple normal nous nous couchons en nous embrassant encore. Je me met sur elle comme si jétais son amant. Elle écarte ses jambes au maximum. Je peux avec mon pubis lui branler le clitoris. Elle répond dès sa jouissance en me mettant deux doigts dans le cul, cest-ce que je fais à mon mari, je prend ce plaisir à sa place. Je me couche près delle, elle se penche juste ce quil faut pour me caresser le clitoris, légèrement et le con beaucoup.
- Oui, vas-y suce ce que tu veux, fais moi jouir comme quand javais 18 ans avec ma copine. Lèche moi le cul, surtout, ne loublie pas, et mon con, entre ta langue et tourne la dedans. Mords moi le clitoris, fais moi du mal, jaime quand on me fait mal en baisant, je jouis beaucoup plus.
Jen apprend des choses sur elle : elle était un peu lesbienne à 18 ans et elle aime avoir mal pour mieux jouir. Je vais voir ce que je peux faire, moi je naime que jouir, pas avoir mal.
Je commence part son anus, je le lèche longtemps, malgré ses prières je ne rentre que plus tard dans son cul. Elle gémit sans arrêt. Je vais poser ma langue sur son con, comme elle le baptise. Jentre au moins la moitié de ma langue, je la fait tourner dedans et quand jarrive sur son clitoris, je le lèche sans vouloir lui faire mal, par contre mes mains montent sur sa poitrine, je prend les deux seins en main, je les malaxe durement, elle a mal et me le dit :
- Oui, continue, tu me fais mal, cest bon, jaime bien ça. Oui continu à me sucer le clito, et fais moi mal, mords moi le. Je ne peux plus reculer, mes mains continuent leur travail de . Je prends son clito entre mes dents et je serre lentement comme un petit gâteau.
- Fais moi mal au clito, mords moi fort.
Je lai entre mes dents, je les serre pour lentendre se plaindre de douleur et de plaisir, je ne sais pas.
- Tu me fais jouir comme une salope que je suis, continue fais moi jouir encore.
Elle jouit tant que je suis obligé darrêter sur sa demande.
- Tu sais, jai de quoi te faire du mal avec mes godes et même si tu veux avec une ceinture en cuir sur tes fesses.
- Sur mes fesses et mes seins, jadore, surtout si tu mencules avec tes godes.
- Daccord, je vais te faire mal.
- Sans laisser de traces, sil te plait.
Je suis embêtée, comment la battre sans laisser de trace. Je verrai bien. Quand je reviens avec ce quil faut, je la vois se masturber le vagin avec trois doigts. Elle mexcite encore, je dois attendre quelle ai fini pour lenculer ? Elle mexcite tellement que je mallonge à ses cotés, pose une main sur le vagin et comme elle je me baise avec trois doigts. Jaurai pu me servir du godemiché spécial vagin, je nen ai même pas eu lidée en la regardant faire...
Maintenant à mon tour de jouer. Elle est en levrette, Elle a le cul sec pour que je la sodomise ainsi, à sec ! elle va avoir très mal. Je loge dabord le premier dans son vagin, je le rentre à fond, je le fait aller et venir. Ensuite je force pas mal pour faire entrer lautre dans son cul. Elle gémit de douleur :
- Tu me fais mal, cest bon, tu vas me faire jouir. Frappe moi, maintenant. Jai mis le gode au fond de son cul, je le lâche pour prendre la ceinture. Je ne sais avec quelle vigueur je doit frapper. Je commence doucement puis laugmente au fur et à mesure mes coups. Je vois les première traces qui apparaissent. Je ne tape pas plus fort.
- Continu, cest bon dêtre frappée comme tu fais, cest formidable, tu vas me faire jouir, comme rarement. Noublie pas mes seins.
Cest vrai quelle jouit de plus en plus, elle aime se faire mettre et se faire taper dessus à la fois. Je trouve ça étrange.
Joublie quand même ses seins. Je sors les godes de son ventre.
- Si nous baisons encore demain tu me demanderas de te frapper:
- Pas tous les jours. Aujourdhui cétait notre première fois.
- Et alors ?
- Nous recommencerons souvent tu ne veux pas ?
- Si, je veux, on peut se revoir où et quand tu veux : nous baisons bien ensemble. Et nos maris nont pas besoin de le savoir.
- Tu as raison, on ne leur dira jamais rien. Sinon ils voudrons nous voir nous aimer
Depuis trois ans que ça dure entre nous, nos mari ne soupçonnent pas que nous nous rencontrons uniquement pour baiser entre femmes.
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