Un Voyage Pro

Les surprises d’un déplacement pro


Deux fois par ans, je suis amené à effec un déplacement, et j’ai un nouvel assistant, 35 ans, grand, sec, sportif (marathonien), assez discret, mais le tempérament bien trempé (il est corse), ce qui m’arrange bien car il a beaucoup d’à-propos et il sait défendre son morceau, ce qui me donne les mains libres dans les négociations. Bon fêtard, il ne refuse jamais un bon repas ou une sortie après une lourde journée de tractation. Notre dernier déplacement Amsterdam nous a réservé plusieurs surprises ; la première étant mon oubli pour la confirmation des chambres d’hôtel, ce qui nous a valu une chambre double pendant deux jours ; après une petite période de gène, je me suis fait à la situation ; pour lui aucun problème car habitué lors de ses déplacements sportifs.
La première journée se passa à toute vitesse , pris par le travail et après un repas sympa, nous avons regagné notre chambre, assez fourbu pour ma part ; une bonne douche et au lit avec un dossier à étudier pour le lendemain ; Marc à son tour , pris possession de la douche et ressortit nu comme un ver, très à l’aise ; je pus admirer son corps fin mais très musclé, ainsi qu’ une verge, au repos, longue et noueuse, le gland découvert ; je ne pus m’empêcher de lui faire compliment de son physique et sur ce nous fîmes l’extinction des feux.
Dès 7 heures, il était debout, tout aussi à l’aise, le sexe dressé et après un passage à la salle de bain ,il ressortit habillé, prêt pour notre journée : » je vous attends au déjeuner » la porte claque et cela m’arrange car son corps ne me laisse pas indifférent ; je suis bi et ma queue a vite répondu à la vue de son sexe ; comme d’habitude j’appelle ma femme et je lui transmets mon émoi « vieux cochon, me dit-elle, je vais encore me caresser en pensant à toi, je t’embrasse » Sur ce , vite un tour à la douche où je m’astique un peu et en pleine forme , je le rejoins pour notre petit déjeuner ; à nouveau nous sommes au boulot et le reste de la journée, nous bataillons ferme ; en fin de journée, c’est gagné, le contrat est en poche, pour beaucoup grâce à Marc qui a su , avec ténacité, faire tomber les obstacles, pour me laisser le champs libre pour la signature.

De retour à l’hôtel, je commande une bouteille de champagne pour fêter l’événement, avant d’aller dans un restaurant réputé pour sa bonne chaire ; décontracté , Marc se prépare pour se changer et c’est à nouveau nu qu’il se promène , commentant les événements de la journée, J’ai du mal à suivre ses cheminements car c’est à nouveau son sexe qui mobilise mon attention ; je me trouve ridicule, encore en pantalon et je me décide à me dévêtir pour prendre ma douche et c’est à poil que je me dirige vers la salle de bain ; ma queue est à demi tendue et j’essaie de le dissimuler ; marc le voit et me fait remarquer que moi aussi je suis pas mal bâti ; je me refugie dans la douche , mais n’osant pas me masturber mon sexe ne se calme pas ; il me faut un petit moment avant que je ne ressorte, sous le regard un peu goguenard de Marc qui a bien compris mon état d’esprit.
Le repas a été à la hauteur de nos espérances et surtout bien arrosé (vin français bien sur et pour finir champagne) et c’est bien énervé que nous arrivons à la fin du repas ; il n’est pas très tard et nous décidons de sortir ; le maitre d’hôtel nous indique le spectacle de la boite d’à coté, un peu spécial, mais qui vaut le détour ; nous lui faisons confiance. Eh là, en arrivant surprise, c’est un spectacle gay qui est annoncé à l’entrée ; j’hésite à la porte, mais un peu éméché, je suis Marc qui dit » pourquoi pas » ; c’est le deuxième show et la salle est presque vide, à peine une quinzaine de personnes assistent au strip tease de mecs plutôt bien fait, mais rien de transcendant ; nous pensons nous être fait avoir par le serveur et presque sur le départ quand l’animateur annonce la suite et réclame un spectateur sur la scène ; devant le peu de réaction, il descend dans la salle et propose directement aux mecs présents, sans réussite ; arrivé devant nous, il s’adresse à Marc et l’encourage à venir avec lui, pour son plaisir et pour le mien ; il a du le prendre pour mon petit ami ; contre toute attente, il accepte et d’un pas décidé monte sur la scène où une sorte de grand lit vient de sortir du sol ; la tension est monté d’un cran et c’est avec intérêt que je me rapproche de l’estrade ; l’animateur a laissé la place à un beau métisse, qui tournant autour de marc, laisse trainer ses mains sur son torse, progressivement il lui ôte sa veste et sa chemise l’encourageant à lui faire de même ; les caresses du métisse deviennent plus chaudes et sa main se promène sur les fesses, puis sur le sexe de Marc ; je remarque que celui-ci bande et maintenant il imite son équipier ; ils sont bientôt nus tous les deux et se caressent le sexe ; Marc est étendu sur la couchette et le métisse se promène sur son corps ,frottant son sexe sur sa peau, la main frôlant, puis quittant la verge épanouie ;le petit jeu devient torride et autour de moi, je vois les mains sur les braguettes tendues ; marc est tendu par le plaisir des caresses, ses mains essaient d’attr son acolyte, mais celui-ci se dérobe, il fait, mais ne laisse aucune initiative , il cajole, pince un téton frotte les bourses avec son sexe, je sens Marc au bord de la jouissance, il se cabre, sous le plaisir son corps en veut plus et soudain son sexe crache ses longs jets, qui retombent sur son ventre ; doucement l’acteur l’essuie et lui dépose un léger baiser sur les lèvres avant de s’éclipser ; le spectacle est fini, et comme des voleurs les gens se sauvent vers des manœuvres plus solitaires ; Marc se rhabille et je lui tends la main pour descendre ; son regard est gêné et pour le détendre, je le félicite pour son courage et son plaisir évident ; il reste silencieux et nous regagnons notre chambre, lui très tendu, moi heureux de ce que j’avais vu.
En passant au bar, je commande deux whiskys et nous montons, j’essaye de le dérider mais j’ai du mal ; dès notre arrivée, il se refugie dans la salle de bain ; en attendant, je me dévêts et je m’étends à poil sur le lit, la lumière à demi éteinte, sirotant mon verre ; quand il ressort, il s’allonge sans rien dire.
« J’ai beaucoup aimé le spectacle et j’aurais aimé être à votre place tellement l’acteur savait y faire, ses caresses semblaient très agréable » je vois qu’il se détend, je suppose qu’il appréhendait ma réaction ; « vous deviez avoir envie de pouvoir le toucher ? » ma question le surprend et il me la retourne « vous auriez aimé le voir » sa queue a repris du volume, la mienne aussi d’ailleurs ; « il suffit de regarder nos sexes pour avoir la réponse » ma réponse le fait rire et il se touche le sexe, caressant son gland turgescent ; j’ai envie de me rapprocher, mais je me retiens, je ne veux pas le choquer ; je me branle doucement ; » vous avez envie ? » sa voix me surprend dans mes pensées, « j’avoue que oui » il se lève et vient se mettre à genoux sur mon lit, et après avoir chercher mon accord, il se penche sur mon sexe et il l’engloutit, l’enfonçant à chaque fois plus dans sa gorge, sa langue titille mon méat quand il ressort, lèche mes couilles , puis il la remet en bouche, ses mains m’écrasant les boules, je ne résiste pas longtemps et ma bite explose en jets épais ; ma main s’est emparé de son sexe et je le masturbe puissamment, mon autre venant lui caresser le petit anneau ; il se cabre sous la caresse ; je prends son chibre dans la bouche et je continue la caresse et mon doigt s’infiltre dans son anus, rythmant la pénétration de sa bite dans ma gorge ; bientôt je sens les spasmes annonçant ses jets et me retirant ,je les reçois en plein visage ; soulagés de nos tensions, nous passons une bonne nuit et c’est décontracté que nous abordons cette nouvelle et dernière journée de travail. Avant de partir, devant Marc, j’appelle ma femme et lui raconte brièvement notre soirée ; je branche le haut parleur, et Marc peut ainsi suivre les paroles de Mico « tu me fais envie, je suis sur mon lit et j’ai les doigts dans la chatte, je me branle, j’ai envie de vous voir, j’ai envie de ta queue (à ce moment Marc s’éclaffe) salaud tu as mis l’écouteur « et elle raccroche.
La journée s’est vite écoulée, occupée par la rédaction des contrats : c’est crevé que nous récupérons enfin deux chambres. Ma femme devant me récupérer à l’aéroport, je lui donne un coup de fil vers 23 h ; je la tiens au courant des résultats et pour finir, je la taquine sur sa réaction du matin, lui racontant les rires de Marc après ses paroles ; comme à chaque fois que nous sommes séparés, notre conversation a dévié sur notre amour et sur le plaisir que nous avons dans nos relations amoureuses
« «Tu n’as pas envie de lui ? » « Bien sur que oui, mais je ne veux pas d’histoire après »
« Appelle-le et dis lui de te rejoindre, tu en as envie et je suis sure que tu bandes » elle avait raison
« et si il refuse, j’aurais l’air malin après » « dis lui que c’est ta femme qui te le demande , et si sa bite est aussi bonne que tu le dis, tu ne le regretteras pas ; mais s’il accepte, laisse le téléphone branché » on ne discute pas les envies de Mico, surtout qu’elles étaient proches des miennes ; décrochant le téléphone, j’invite Marc à passer me voir, s’il en a envie ; « j’arrive dans 5 minutes » ; j’en profite pour rappeler Mico et à son souhait, je laisse le téléphone en marche ; peu de temps après il est dans ma chambre et il ne la quittait que le lendemain matin ; nous nous sommes fait plusieurs fois l’amour avec violence, avec douceur ; sa jeunesse m’a comblé 5 ou 6 fois dans la nuit et je n’ai pas failli en le possédant plusieurs fois ; au téléphone nous avons entendu Mico jouir avant de raccrocher. De retour à Paris, Mico nous attendait et sans aucune gène, elle lui déposa un baiser sur les lèvres en le remerciant de m’avoir apporté du plaisir et elle l’invita, s’il était libre à passer le week-end avec nous ; célibataire, Marc a accepté et de ce jour, il est devenu notre ami, notre amant à tous les deux, et un formidable collaborateur pendant plus de deux ans car je l’ai aidé à créer son entreprise, malheureusement loin de nous. Mais il est resté notre ami et nous le voyons de temps en temps, avec plaisir et sensualité.