Vengeance D'Une Ex À Une Ex (Suite 2)

Pour vous remettre dans le contexte :

Meg et Amélie sont deux de mes ex de 18 et 20 ans respectivement, l’une brune, jolie, l’air in ; l’autre blonde aux yeux bleus, magnifique.
Meg a profité de l’emprise qu’elle exerce sur Amélie pour l’offrir à un homme repoussant pendant 24h pour rembourser une vieille dette.
Il est environ 10h, Amélie doit tenir jusqu’à 9h30 le lendemain.
Bonne chance :)

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Entendant le cri de son tortionnaire, Amélie se précipita dans le salon où Antoine l’attendait.
Toujours aussi repoussant pensa t elle, et dire que cet homme était en moi il y a à peine 5 minutes…

-Ah te voilà, tu vas devoir travailler ta rapidité petite !
Tes consignes pour ce matin : tu vas rester complètement nue, tu vas ouvrir toutes les fenêtres de la maison en te mettant bien devant, si quelqu’un te regarde, chauffe le ou la en te caressant où tu veux. Je te suivrai partout pour vérifier. C’est bien clair ?

-Oui…

-Oui qui ?

-Oui mon chéri (nouvelle grimace de dégoût qui lui valut une énorme claque sur les fesses.) AIE mais ça fait mal !

-Ça t’apprendra à me respecter salope, allez hop au boulot !

La jeune et nue Amélie se mit donc au travail en montant les escaliers pour aller tout d’abord ouvrir les fenêtres de l’étage supérieur.

-Hep hep hep, à quatre pattes quand tu te déplaces. Voilà et bien cambrée que je puisse voir tous les détails.

Elle tendit donc ses organes postérieurs vers le regard lubrique de l’homme en chaleur derrière elle. En montant les escaliers, il pourrait tout voir, cela gênait Amélie affreusement et elle se sentait plus qu’honteuse en cette position.
Arrivée en haut des escaliers, elle rentra dans la première des 3 chambres et se leva pour se mettre bien en face de la fenêtre et l’ouvrit en grand, ainsi que les volets le plus silencieusement possible afin de ne pas attirer l’attention sur elle.



-A GENOUX ESCLAVE, A LA PROCHAINE FENÊTRE, hurla Antoine.

Pour la discrétion c’était raté…
Déjà l’atmosphère se mettait à refroidir, elle devrait se dépêcher, les escaliers lui permettraient de se réchauffer un peu.
Elle ouvrit donc la deuxième fenêtre mais elle n’avait pas prévu ce qui arriva : un violent courant d’air provoqué par le vent hivernal et la première fenêtre de l’autre chambre s’engouffra dans ses cheveux et lui caressa tout le corps comme un seau d’eau glacé qu’on lui aurait lancé.
Ses tétons se solidifièrent d’un coup et pointèrent douloureusement, des frissons parcoururent toute sa peau et elle commença à grelotter.
Plus qu’une et elle redescendra.
Ce qu’elle fit non sans mal à cause de ses tremblement, ce qui lui valut une autre grosse claque qui la fit crier juste devant la fenêtre ouverte.

Revenue devant les escaliers, elle se rendit compte que la descente allait être un peu plus difficile que la montée.
Elle décida donc de descendre avec prudence et plus lentement, ce qui signifiait offrir un spectacle plus long au dégénéré qui la suivait.
Heureusement, en bas, il n’y avait qu’une fenêtre à ouvrir.
Lorsqu’elle se mit debout devant, elle bloqua : une bande de jeunes, garçons et filles, passaient lentement devant la maison et discutaient.

-Plus vite que ça, ça serait marrant qu’ils te voient et que tu les fasses tous bander tu crois pas ?

Devant une demande si gentille, elle n’avait plus le choix :
Elle ouvrit la fenêtre en priant que personne ne regarde dans sa direction mais c’était sans compter le grincement des vieilles fenêtre en bois qui alerta un jeune qui ne se fit pas prier pour avertir ses amis et amies qu’une magnifique jeune femme se tenait nue à moins de 10mètres d’eux.
Conformément aux consignes, Amélie se lança alors :
Elle commença a onduler en se caressant le cou, ensuite la poitrine, puis descendit une main tandis que l’autre remontait à sa bouche : elle se suçait un doigt tout en caressant son minou de l’autre main.

Après quelques minutes de ce spectacle peu habituel, la plupart des mâles de la rue qui avaient la main dans le pantalon la remercièrent et leurs copines les emmenèrent plus loin, sans doute jalouse de notre infortunée.

-Viens par la maintenant, je vais devoir faire quelques recherches internet, tu vas me sucer en attendant.

Sur le point de vomir devant cette perspective peu ragoûtante, elle le suivit quand même. Après tout, si elle obéissait, ça irait sans doute moins mal pour elle.

Antoine assis à l’ordinateur et Amélie en dessous du bureau à s’appliquer sur le membre mou formaient une caricature du cher d’entreprise et de sa secrétaire coquine qui passait plus de temps a genoux que sur son propre ordinateur.
Malgré ses efforts, la verge refusait de se lever, sans doute une conséquence à l’acte brutal du matin même, et cela la dégoûtait encore plus d’avoir à enfiler cette chose flasque avec encore son odeur et un peu de sperme séché collé dessus dans sa bouche rose et douce.
Soudain, la sonnette de la porte retentit.
Antoine passa une clef à Amélie (qui croyait être enfermée là jusqu’au retour de Meg) et lui dit d’aller ouvrir mais de rester à quatre pattes et cambrée en ouvrant.
Le livreur apportait un petit colis. Il ne devait pas être très vieux, il avait un visage très juvénile et était certainement encore puceau.

-J’apporte un colis pour la… euh… l’esclave Amélie ?

-Oui c’est moi.

-J’ai pour consigne aussi de vous demander ce que je veux comme paiement.

-Et j’ai pour consigne de vous laisser faire j’imagine…

-Euh je pense oui… Vous pouvez me lécher ? demanda-t-il tout timidement en rougissant.

Ah enfin un jeune homme poli et correct, même s’il demandait des choses qui ne se demandent pas en société, il n’était pas rustre comme l’autre et il était plutôt mignon dans son genre (sûrement la jeunesse et la virginité qui faisait l’effet là).

Elle baissa son pantalon et retira son boxer pour découvrir un sexe ayant à peine atteint sa taille définitive et le dévora, donnant de grands coups de langue dessus, mordillant, serrant ses lèvres autour en l’aspirant.
Le jeune puceau ne résista pas longtemps à ce traitement et éjacula en de long traits dans la gorge de notre jeune esclave qui avala tout et nettoya le bout avec le bout de sa langue.
Ce sperme avait moins le goût de rance et amer que celui du morse dans l’autre pièce, il était plus sucré et agréable.

-Et maintenant, tu vas partir ou tu veux me demander autre chose ? demanda Amélie en le regardant de ses yeux bleus azur tout en continuant de flatter le méat avec le bout de sa langue.
(Oula je ne me reconnais plus, pensa-t-elle.)

-Euh c’est pas facile à demander mais est ce que je peux… vous… euh…

-Tu veux me pénétrer ?

-Oui, répondit-il dans un murmure, rouge comme une pivoine.

-Suffisait de le demander, regarde t’es de nouveau en forme. C’est ta première fois ?

-Oui…

-Alors vas-y à ton rythme et fais ce que tu veux.

Après cette révélation, Amélie était en transe et complètement trempée. Même le boulet aurait pu lui rentrer dedans sans lui faire mal, et pourtant ce n’était pas le plus délicat des hommes…
Le jeune garçon se plaça derrière notre héroïne toujours à quatre pattes et enfila tout doucement son sexe dans celui trempé d’Amélie.
C’était trop mignon, on avait l’impression qu’il avait peur de lui faire mal, ce qui excita encore plus l’intéressée. Elle donna des coups de reins de plus en plus marqués pour l’encourager et il entama des va et viens de plus en plus rapides.
La rapidité de son éruption ne priva pas Amélie d’une jouissance puissante car à son niveau d’excitation, elle avait jouit aussi vite que lui.
Après son dépucelage, le jeune homme la remercia et s’en fut sans rien dire de plus.
Mince, je ne connais même pas son nom… Il serait capable de me retrouver et de me reconnaître mais pas moi…
Elle retourna donc dans le bureau avec Antoine qui avait finit entre temps de faire ses recherches.


-Je vais aller faire quelques courses, tu veux m’attendre là ou venir avec moi ? Dans cette tenue bien sur haha.

Amélie ne répondit pas bien entendu, la réponse était évidente.
Elle attendit donc dans une maison aux fenêtres ouvertes, nue comme un vers, avec du sperme lui dégoulinant du sexe le retour de l’homme qui avait fait d’elle une esclave.

-Bien, il est temps de manger maintenant !
Alors qu’est-ce qu’on a là ? Ah oui, des spaghetti bolo, ça va te plaire je le sens.

Le retour d’Antoine lui provoqua deux sentiments bien différents : le soulagement de n’être plus seule, nue au milieu d’une maison vide ouverte de partout où n’importe qui pourrait pénétrer (quelle belle analogie à ma situation… pensa-t-elle), et la crainte des traitements qu’il pourrait encore lui faire subir.
Finalement, ça n’avait pas l’air trop terrible comparé au reste, elle n’eut qu’à subir une légère humiliation de plus : elle devait manger ses spaghetti sans les mains dans une gamelle à même le sol.

-Je te traite comme la chienne que tu es, tu as vu dans quel état t’as foutu le livreur ?

Une fois qu’elle eut tout mangé, Antoine la préposa à la vaisselle pendant qu’il passait un coup de téléphone.

-Ouais c’est moi…
Elle a tout mangé…
Bien sur tu peux venir…
Encore mieux, amène le, on va se marrer…
OK je te la prépare et on y va…

Cette fois, Amélie sentit un frisson glacé lui parcourir le dos.
Qu’avait-elle avalé ? Qui était-ce au téléphone ? Qu’allait-on encore lui faire subir ?
La pauvre n’imaginait même pas ce qui lui était réservé…

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Encore merci à tous de me lire et de poster des commentaires, ça fait vraiment plaisir de les lire, même si c’est pour me dire que ça craint, vous avez lu quand même, mais dites moi quand même ce que vous n’aimez pas…

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