Cocu Content Mais Pas Trop. Voire Pas Du Tout. (4) Le Loup Dans La Bergerie.
Résumé : Relativement affecté par le fait que Mathilde ai pu sucer un autre que moi, jinvente un stratagème afin de savoir jusquoù elle sera capable daller.
La dernière fois nous sommes retournés au club du moulin et nous avons eu notre première expérience à trois. Un peu malgré moi dailleurs. Depuis je suis comme fou.
Depuis laventure du club, je fais comme si de rien n'était. Mathilde a paru un peu gênée au début, le lendemain surtout, mais rapidement elle sest détendue. Contrairement à la première fois, tout est très vite redevenu normal. Comme si rien ne sétait passé. Il fallait que je sache jusquoù elle serait prête à aller. Quelle histoire devrais-je encore mettre au point ? Puis soudain lidée mest venue comme ça. Jallais faire venir un homme à la maison. Je ferai tout pour les mettre en situation et nous verrons comment elle réagit. En fonction, je serai fixé, et je pourrais alors poser mes conditions et la prendre en main comme je lai toujours espéré.
Je décide donc de minscrire en tant quhomme sur un site de rencontres. Je choisi un site plutôt orienté rencontre dun soir, de sorte à trouver des hommes vraiment accrocs, expérimentés et surtout très cochons. Je veux vraiment la pousser dans ses derniers retranchements en prenant un homme qui saura peut-être déclencher en elle le démon qui sommeille, me permettre enfin de profiter pleinement de ma femme et de son corps.
Un homme qui recherche un autre homme pour sa femme, cest, je pense, toujours plus intéressant, pour les pervers qui traînent.
Je sélectionne donc quelques photos delle, habillée pour la plupart ou légèrement vêtue. Il me faut maintenant trouver une annonce aguicheuse. Après quelques heures de recherche en lisant dautres annonces, je griffonne une annonce puis laméliore. Voilà elle est prête.
Homme 40 ans, marié, recherche pour sa femme, 50 ans, homme, 55 - 60 ans, très expérimenté pour la séduire et lui faire lamour.
Pourquoi avais-je parlé de coquine, volontaire? Sans doute pour justement quil y aille franco. Pas de fioriture. Je voulais un mâle un vrai. Je voulais quil la séduise et quelle se donne à lui corps et âme.
Les réponses nont pas tardées à pleuvoir. Deux cents mails en trois jours. Jai commencé par trier par âge enlevant tout les moins de 55 ans. Jai réussi à mettre des filtres sur ma messagerie pour que seuls les profils correspondant à ma recherche puissent mécrire. Tout cest rapidement calmé. Jai ensuite éliminé ceux qui navaient pas envoyé de photos. Il me restait finalement quune dizaine de profils. Jai ensuite doucement trié pour finalement rester sur un profil intéressant.
Ce profil ma vraiment beaucoup surpris et intrigué :
Je mappelle Bernard, jai 65 ans, photographe de charme professionnel à la retraite, mobile et expérimenté. Je me propose de vous aider à débloquer votre femme pour en faire la salope dont vous rêvez. En bonne condition physique et bien membré, je saurais lui faire apprécier le plaisir quon peut prendre à se donner sans contrainte, sans tabou et sans honte.
La photo le présentait en costard, légèrement bedonnant et dégarnis, pas un top modèle mais une certaine classe qui ne laissera pas Mathilde indifférente, jen suis sur. Puis il me parle de ma femme en des termes très polis puis très crus disant quelle une belle bouille de suceuse quelle doit bien prendre et que je fais bien de la prêter car se genre de femmes, et il a lil dit-il, aiment la queue et il faut leur en donner. Enfin, je tombe sur la photo de son sexe en érection. Un bel engin. Assez long mais bon dieu vraiment large avec un gros gland. Mon dévolu se posa sur lui, encore faut il que je sache ou il habite et sil se sent capable de rentrer dans mon délire et participer à mon stratagème.
Pendant plus dune semaine nous avons conversé par mail. Nous échangions des photos, pour sa part, de modèles plus ou moins, voire pas du tout connus. Certaines photos étaient mêmes à caractère pornographique, il mavoua avoir, à une certaine époque, travaillé pour un metteur en scène porno dont il refusa de me donner le nom et fini par concédé avoir vu grand nombres de castings, prises de vues et scènes aussi hard les unes que les autres. Je lui fis parvenir quelques photos volées, à loccasion, en nuisette ou en maillot de bain. Il me dit que Mathilde était très photogénique et que bien quà la retraite, il avait gardé un petit studio dans sa maison dArcachon et quil était toujours aussi mordu de photographie investissant encore dans du matériel de haute qualité et que se serait avec plaisir quil ferait un petit book à Mathilde, en ma présence bien évidemment. En confiance, je lui racontais nos deux escapades, comment elle avait réagit, ce quelle aimait, etc
Jai pris beaucoup de plaisir de parler de Mathilde avec Bernard. Jamais je navais aussi peu pensé à faire lamour avec Mathilde. Puis vain le jour où je lui ai soumis de mette en place notre rencontre. Voilà le plan :
Nous avons pas mal damis et nous sortons régulièrement en boîte. Jorganise donc une soirée, resto, bar, boîte avec évidemment un capitaine de soirée qui passera nous prendre et nous ramènera. Donc pas de voiture, on pourra boire tranquillement. Mathilde adore faire la fête. Elle aime boire et quand elle boit ses inhibitions disparaissent comme par enchantement. Souvent nous avons faillit avoir des ennuies parce que justement elle na plus aucune limite quand elle a trop bu. Même si depuis quelques années elle sest calmée, il nen reste pas moins que parfois le naturel revient au galop.
Nous convenons donc de nous rencontrer en boite de nuit samedi prochain.
Le samedi arrive, doucement ma femme sapprête, je lencourage a mettre une tenue un peu sexy pour loccasion. Elle opte finalement pour les chaussures à talons de lautre fois, une paire de bas noir, son micro string et une jupe mi-cuisse légère. Un petit chemiser blanc translucide assez décolleté ou lon aperçoit ses tétons au dessus des demi-bonnets du soutien gorge dentelles que je lui ai offert et quelle rechigne à mettre. Et nous voilà partit.
Arrivé en boite nous retrouvons nos amis. Je me mets en quête de mon apollon. Je trouve un coin discret et calme et lappelle sur son portable. Il me dit quil est en route, il sera là dans 10 minutes que je le retrouve à lentrée. Dix minutes paraissent des heures. Je ne cesse de regarder ma montre. Ma femme boit et samuse comme une petite folle. Elle tourne à la vodka orange, moi au whisky coca. Elle ne supporte pas super bien les alcools forts, et rapidement elle est un peu éméchée. Dans ces moments là, elle est très amoureuse et très tactile. Elle me colle, membrasse, elle est chaude, je le sens. Elle colle aussi nos amis leur passant la main sur les cuisses ou dans le dos sans même une arrière pensée. Je ne bois pas trop, je veux rester maître de la situation. Je mapproche de lentrée, jattends un moment puis le voilà qui entre habillé plutôt classe. Je lui montre rapidement ou nous sommes placé et laisse libre cours à sa méthode dapproche. Ca me permettra de le tester et ainsi de voir ce quil vaut.
Le voilà partit sur la piste de danse, Il att une amie de ma femme et la fait danser, elles rigolent, dansent, il sait y faire, cest sur, il danse super bien lancien. Mathilde adore danser, sa jupe virevolte laissant parfois apparaître le haut de ses bas.
Finalement tout le monde se prépare à rentrer. Bernard nous propose de nous ramener évitant ainsi un détour à lun de nos amis. On accepte avec plaisir. Bernard nous précède et cest une superbe BMW série 7 qui nous attends.
- On ne se refuse rien ! Dis-je jaloux. Jaime les belles voitures et jai presque faillit gaffer en parlant de son métier alors que jétais censé ne pas le connaître. Cest le coup de coude de Mathilde dans les omoplates qui ma empêché de finir ma phrase
- Oui depuis le décès de ma femme, je ne me refuse plus rien. La vie est trop courte et jai la chance davoir bien préparé ma retraite.
Je fais monter Mathilde derrière qui malgré son désintérêt total pour lautomobile trouvait celle-ci particulièrement belle. Moi je nen croyais pas mes yeux. Jaurais donné nimporte quoi pour avoir la même.
Arrivé devant la maison, il est déjà 4h30 du matin, Mathilde, bien éméchée, lui propose de boire un dernier verre en me regardant sachant que je ne suis pas très sociable, jacquiesce, Mathilde me félicite de cet élan de savoir vivre qui ne me caractérise pas, surtout à cette heure. Bien sur il accepte. Mathilde sourit et dit :
- Allez champagne pour tout le monde.
Bernard éclate de rire, détendu et serein, comme si tout était normal.
- Quelle santé !!! Dit-il.
Il latt par la taille et laccompagne jusquà la porte dentrée. Je suis nerveusement, mais confiant. Je suis sur de mon coup. Elle ne cèdera pas, malgré lalcool, je suis sur quelle le repoussera. On entre dans le salon, Bernard et Mathilde sinstalle dans le canapé pendant que je vais chercher le champagne. Je mets les coupes sur la table basse et fais le service. On trinque et on commence à discuter de tout de rien. Des s, du boulot, de nos passe-temps. Je vois le regard de Bernard détailler le corps de Mathilde dont la jupe est remontée et laisse voir la lisière de ses bas, elle a défait un bouton de son chemisier, offrant une vue imprenable sur son décolleté. Bernard nen perd pas une miette. Je mets un peu de musique douce, histoire de me détendre. Bernard saute sur loccasion pour la faire danser. Décidemment, il est vraiment doué pour sattirer les grâces de Mathilde. Ils dansent enlacés doucement, il a les mains sur ses hanches et elles sur ses épaules. Il caresse le haut de ses jambes, son dos, lorgnant franchement dans son chemisier.
-Jadore votre soutien gorge. Jadore ces soutien gorge qui nenveloppe que le galbe des seins et laisse libre les tétons. Dit-il
- Cest mon mari qui me la offert, je ne le mets quasiment jamais. Il a insisté pour que je le mette aujourdhui. Répond-elle en rougissant.
- Et bien ma chère Mathilde, votre mari a très bon goût et il a bien eu raison, car il vous va à ravir.
Mathilde, toute rouge, lui sourit, sans même un regard dans ma direction. Elle se cambre fièrement comme pour lui en montrer davantage. Moi, je suis fou, je bois, sans doute plus que de raison. Quand ils reviennent, jai fini la bouteille de champagne et en ouvre une autre. Je me décide à lancer les hostilités.
- Et votre femme ?
Surpris pas la question. Il me fusille du regard.
- Non mais tes con ou quoi !!! Eructe Mathilde. Je suis navrée, mais lalcool le rend complètement idiot.
- Ce nest pas grave, je vous ai dit tout à lheure, mais vous navez sans doute relevé quelle était décédée. Dit-il en me souriant, comprenant que je venais, malgré moi, de le faire entrer dans le cur de mathilde.
- Ca fait maintenant 10 ans, mais il en reste toujours quelques choses.
- Ca doit être dur de vivre seul non ? Demanda Mathilde.
- Vous savez ? Je moccupe, jai beaucoup dactivité, jaime rencontrer des gens nouveaux comme ce soir.
Il profitait de la situation. Je lui avais raconté notre petite expérience. Je sentais laffaire méchapper, jétais saoul et jai voulu faire le malin.
- Vous allez en club échangiste ?
- Oui ! Ca marrive de temps en temps. Quand je me sens seul.
- Ah oui. Nous aussi nous y somme allez. Deux fois. Nest-ce pas chérie ?
Mathilde, une fois de plus me fusille des yeux. Cette fois, je crois que je me suis grillé tout seul. Et pourtant, imbécile et alcoolisé jinsiste.
- Bah quoi ??? Y a pas de honte. En plus tas aimé ça il me semble non ? Surtout la dernière fois.
- Mais tu vas la fermer !!!
- Allez quoi raconte à Bernard il sait ce que cest. Je ricane.
- Oui Mathilde. Racontez-moi.
- Sûrement pas.
- Allez quoi
fait pas ta mijaurée. Dis-je.
- Fous-moi la paix.
Mathilde est écarlate, rouge vif, gênée, et pourtant je suis sur, excitée. Bernard vient à son secours.
- Laissez tomber. Allez venez danser.
Mathilde se lève et se love dans ses bras comme une pauvre petite chatte, me jetant au passage un regard assassin dont elle en a le secret. Moi, plein comme un âne, je lui fais un clin dil.
Finalement. Je fini par méclipser dans la cuisine, je ramasse les assiettes qui traîne dans lévier et les mets dans le lave vaisselle. Pourquoi ? Je ne sais pas. Il fallait que je me change les idées. Javais le cerveau embrumé par lalcool que jai bu trop vite. Puis, je me suis souvenu que Mathilde dansait avec Bernard. Je ne sais pas combien de temps, cest écoulé, mais je reprends un peu mes esprits en me disant que jai peut-être bien jeté ma femme dans les bras de cet homme avec mes réflexions idiotes. Je décide donc de les épier. La porte de la cuisine entrouverte, ils ne peuvent pas me voir. Je les vois tout aussi bien que je les entends. Je suis bien placé.
- Alors comme ça, Mathilde, vous avez aimé vous rendre dans ce club ?
- Oui, jai trouvé ça étrange et à la fois excitant. Dit-elle timidement.
Voilà quelle se confie. Je nen crois pas mes oreilles. Je mappuie doucement contre le mur afin dobserver la scène confortablement.
- Vous avez aimez être vu et touché par dautres ? Vous avez fait lamour avec dautres hommes ?
- Non. Dit-elle.
- Quavez-vous fait ?
- Je lai .. je lai
juste une fellation.
- Oh Mathilde que vous êtes belle comme ça, toute timide. On vous donnerait le bon dieu sans confession.
- Elle rit, et se serre un peu plus contre lui.
Elle est rouge comme une pivoine, signe caractéristique quelle est bien attaqué niveau alcool. Je crains le pire et pourtant minterdit dintervenir. Jessaye de me rassurer. Ce nest pas possible tout va bien se passer.
Et pourtant, la voilà dans ces bras. En train de se confier à un inconnu alors quelle ne me dit jamais rien. Je les vois danser, il passe sa main sur ses hanches, sur le haut de ses cuisses, remontant légèrement la jupe puis la relaissant descendre. Et moi je matte. Sa main caresse une de ses fesses. Elle blottie sa tête dans son épaule. Le voilà maintenant qui lui pelote les fesses doucement, il caresse sont dos, lui fait des bisous dans le cou. Elle apprécie. Il passe derrière elle, la tient par les hanches. Ils se dandinent sur un zook, elle ses fesses contre lui. Il lui parle dans le creux de loreille, tout en lembrassant dans le cou. Elle adore ça. Elle frissonne. Par-dessus son épaule il a une vue plongeante sur son décolleté.
- Vous avez une poitrine magnifique Mathilde.
Et joignant le geste à la parole, ses mains quittent les hanches de Mathilde, glissent sur son ventre et viennent se caller sous ses seins. Il les soupèse maintenant timidement. Un dans chaque main. Les pressent doucement. Elle, ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse. Visiblement elle aime ça. Il déboutonne doucement son chemisier laissant apparaître son soutien gorge où les tétons sont à nus. Délicatement, il les frôle qui durcissent instantanément. Puis, dun geste habile, il fait glisser les bonnets sous les seins lourds de Mathilde. Ca a pour effet de faire bien remonter sa poitrine tout en la laissant libre de retomber par dessus. Elle ne dit rien. Il commence alors à masser les seins de Mathilde tendrement. Il joue avec les tétons qui pointent comme jamais jai vu ça ? Ils sont vraiment bien sortit. Elle est vraiment excitée. Moi je commence à bander. Jen reviens pas et pourtant je suis fasciné impossible de bouger.
- Que faisait ton mari pendant que tu suçais cet inconnu ?
Il la tutoie maintenant.
- Il me prenait dit-elle.
- Tu as bien jouie ? Dit-il en soulevant la poitrine qui je le vois sagite de plus en plus rapidement. Il dépose de petits baisés dans le cou de Mathilde qui semble apprécier en inclinant légèrement la tête. Il presse les seins fermement attendant une réponse qui tarde à venir.
- Oouii dit-elle dans un souffle court. Elle ferme les yeux aux moments même ou les mains de Bernard se referment sur ses seins.
- Oui tu as bien jouie petite coquine. Tu as aimé le sexe de cet autre homme dans ta bouche ? lui demande-t-il tout en pressant davantage ses gros seins.
- Ouiiii
sa voix se fait plus troublée, haletante.
Il lui parle toujours dans le creux du cou. Je sais quelle adore ça. Ca la rend folle. Je suis comme dingue devant se spectacle, je bande comme un âne. Décidemment lâne me caractérise à merveille ce soir :
- Ane bâté,
- Bandé comme un âne,
- Plein comme un âne.
Un festival.
Dun geste, il remonte sa jupe sur ses hanches dévoilant sa peau nue au dessus de ses bas et son mini string et pendant quune main continue de travailler un sein, lautre sinsinue entre ses cuisses. Dune main experte, il pose la main à plat sur la chatte de Mathilde et fait une pression à lendroit de son clitoris. Je la vois se tétaniser. Elle pousse un soupir, il prend ça pour un encouragement et écarte le string et enfile un doigt dans la chatte déjà humide.
A ce moment là, je comprends quelle a cédé. Elle a complètement oublié ma présence. Elle soffre à cet homme quelle ne connaissait pas il y quelques heures. Il la branle doucement un doigt sur son clito. Elle se dandine doucement frottant son cul contre son sexe et il lui pétrit les seins sans ménagement, franchement et elle apprécie.
Mathilde respire fort. Ils ne dansent plus. Il lui malaxe un sein et tien un doigt dans sa chatte. Debout. Elle a écarté légèrement les cuisses pour lui laisser libre accès. Son string est maintenant au sol. Il lui masse la chatte sans vergogne. Insinuant tour à tour un puis deux doigts dedans.
Il la dirige vers la table basse et la penche en avant. Mathilde par réflexe pose les mains sur la table trop basse, ses seins pendent dans le vide et son cul est bien cambré. Bernard derrière relève la jupe et commence à lui bouffer le cul. Je le vois laper la chatte jusquà lanus. Elle soupir, gémie, souffle. Moi, jai sortit ma queue et me masturbe devant se spectacle dont je ne comprends pas les enjeux.
- Taimes ça quon te bouffe le cul ! Hein ma belle ?
- Ouiii, dit-elle dans un soupir.
- Tu vas voir je vais bien te faire grimper aux rideaux lui dit-il en lui fourrant deux doigts dans la chatte.
- Ahhhh
- Humm oui tu dégoulines bien. Coquine. Sortant ses doigts plein de mouille il les remet et commence à les tourner dans la chatte en faisant des vas et viens.
- Ahh Ahhh Ahhh fait-elle timidement.
- Mais quel cul tas. Un bon gros cul. Jadore ça. Dit-il en collant sa langue dans lanus.
- Ohhh
Mathilde remues son cul pour mieux sentir les caresses, les seins ballottent au rythme de la pénétration.
- Tu vas voir, je vais bien te dilater tes trous avec ma grosse queue. Je vais faire de toi une accroc de la bite. Espèce de petite pute. Tu crois que tu vas me la faire à moi ? Je les connais les petites bourgeoises de comme toi. Elles font leurs saintes nitouches et une fois quelles ont une grosse bite dans le cul elles en redemandent. Ton mari, cest un pauvre type, il ny connaît rien. Tu vas voir.
Je suis abasourdie, effondré, je ne comprends plus rien à ce qui ce passe. Quel changement dattitude et Mathilde qui ne réagit pas. Si je lui en avais dit le quart, je serai passé par les armes et là, lui, lexcite. Et pourtant, je suis incapable dintervenir. Jaurai lair malin la queue à la main. Que dois-je faire ? Si jinterviens. Que va-t-il se passer ? Comment vas telle réagir ? Et si je laisse faire. Ils ne savent pas que je sais.
Puis dun geste, il sort sa queue de son pantalon. Il bande ferme. Je suis impressionné par le diamètre. Un gourdin. La photo nétait pas aussi impressionnante. Lexcitation y est sans doute pour quelque chose. Il va la défoncer. Enfin, il se penche sur elle collant sa queue entre ses cuisses, la prend par les cheveux, tirant vers lui pour quelle se redresse.
- Alors ma belle, tu sens ma grosse queue entre tes cuisses ? Je vais bien te la foutre. Et après je te casserai le cul.
- Oui prends moi. Dit-elle.
- Oui salope je vais te baiser. Dit-le
- Oui baise moi, oui viens baise moi fort.
- Cest bien tu commences à comprendre, espèce de petite traînée. Tu sais les vielles putains comme toi, normalement, on les encule dabord. Mais je vais faire une exception. Mais pour bien te mettre à la page et pour que tu comprennes quune chienne comme toi cest juste bon quà prendre de la bite. Je vais pas mettre de capote, je suis sur que tu détestes ça !!!!
Comment savait-il quelle avait horreur de ça. Mathilde navait jamais voulu quon en mette quand on cest rencontré. Elle ma même avoué ne jamais avoir fait lamour avec.
Puis dune main il dirige son gland à lentrée de sa chatte et commence à la pénétrer doucement la tenant par les hanches. Il force doucement puis petit à petit il la pénètre. Mathilde à la bouche ouverte. Aucun mot ne sort. On pense presque quil va lui ressortir par la bouche, empalée. Moi je me branle frénétiquement absorbé par ce magnifique spectacle.
Le voilà au fond. Jusquaux couilles ! Il commence ses va et vient. Il se penche pour tirer, malaxer, pétrir les gros seins de Mathilde qui pendent sous elle dune façon obscène.
- Ohhh putain quelle bonne chatte tu as. Tu me serres la queue cest trop bon.
- Ouiii ouii plus fort.
- Oui, je vais ten donner pétasse.
Tout en commençant à la limer, il lui titille le trou du cul avec le pouce. Insinuant un doigt puis deux. Il lui prépare lanus dune façon experte. Mathilde nen peut plus, elle jouie. Prise de spasmes.
- Ouiiiii, cest bon ouiii bien à fond baise moi ouiii.
- Tiens chiennasse. Prends ça. Il la défonce de plus belle.
Puis elle seffondre sur la table. Rapidement il prend quelques coussins et les jette à terre. Puis laide à se mettre à 4 pattes la tête dans les coussins, le cul bien en lair, large, luisant de mouille. Mathilde se laisse faire et déjà il lui bouffe le cul en la doigtant sauvagement. Il lui met trois doigts dans la chatte et la branle. Elle ne met pas 5 minutes avant de redémarrer. Il crache dans son cul ouvert par deux doigts, pendant quil la branle avec les autres.
Puis il se relève, crache dans sa main, enduit son gland de salive et de mouille. Puis crache dans son petit illet, pose son gros gland contre lanus de Mathilde. Il commence sa progression doucement, mais sûrement, il est bien droit au dessus delle.
- Ecarte ton cul sinon tu vas dérouiller.
Mathilde la tête écrasée dans le coussin écarte ses fesses de ses deux mains en tirant bien dessus.
- Voilà ouvre bien. Pousses. Voilà ça rentre. Ahhh la vache tes serrée.
Mathilde grimace, geint, souffle, et pourtant halète comme jamais. Bernard est maintenant à fond dans son cul. Il attend un peu puis commence à ressortir. Crache dans le trou puis rerentre comme ça 3 ou 4 fois. Je vois le trou du cul de Mathilde bien ouvert qui palpite. Il est magnifique.
- Voilà, tu las bien dans le cul maintenant.
- Hummm oui
- Tu la sens bien ?
- OUIII
- Et maintenant je vais te ramoner ton gros trou du cul comme jamais on te la ramoné. Je vais te le refaire à neuf.
Et il commence de tout son poids à percuter le cul de Mathilde.
- AHHHHHHHHHHHH !!!!!! crie-t-elle
- Ahhh tu vois. Cest bon de se faire défoncer le fion.
- OUIIIII plus fort ouiiiiii
- Tu vois que tu aimes ça.
- OUIIIIII
- Dit le que taime ça.
- Ouiii jaime ça, vas y.
- Maintenant tu peux te vanter dêtre une belle enculée.
- Ouiiiii
- Tiennns, ohh putain je vais jouir.
Il redouble de violence à la défoncer. Mathilde hurle de plaisir, griffant, mordant les coussins. Moi jéjacule dans mes mains, alors que Bernard jouit dans le cul de Mathilde. Je méclipse doucement jusquà la chambre me débarrassant de ma semence dans un kleenex.
Jécoute les derniers bruits dans la salle à manger. Sans savoir ce qui ce passe réellement. Mathilde vient me rejoindre une heure plus tard. Je fais semblant de dormir.
Il est 7h00 du matin. Je ne dors toujours pas. Je me lève. Mathilde dort profondément. Je retourne au salon, ça sent le cul à plein nez. Bernard est apparemment partit. Je massieds dans le canapé face à la scène des exploits de mon amour, je me sens vidé, dégoûté, anéantit. Je me repasse le film encore et encore, noubliant aucun détail, je bande et pourtant, jai envie de chialer. Dailleurs ça y est.
Ps : Entre le début de cette histoire et ce moment, il cest passé environ 4 mois. En 4 mois jai réussi à foutre 20 ans de mariage en lair. Enfin je crois. Mais si seulement ça cétait arrêté là. Rappelez-vous ce quelle me disait :
- Méfies toi !!! Qui sait ??? Une fois là-bas, tu me connais, si ça me plait, je vais être intenable et je voudrai y retourner même si ça te plait pas.
- Tu mas traité de tous les noms et je déteste ça.
A suivre
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