Avec Deux Amis
Javais 26 ans à cette époque, jétais célibataire et javais une vie sexuelle assez animée. Je ne men plains pas, bien au contraire.
Donc, je fréquentais un ami V, lui aussi homo, avec qui je sortais sur ma ville. Un soir de semaine il vient me voir pour que lon sorte dans un bar que nous connaissions bien. Cétait en plein hiver il faisait assez froid et les rues étaient vides et le bar où on était aussi.
Alors que nous étions sur le point de partir, un mec, M, du même âge que moi, avec qui javais couché quelques mois auparavant et avec qui javais passé une superbe nuit, rentre dans le bar. Avec ce mec, nous avons baisés trois fois dans la nuit presque coup sur coup. Autoreverse tout les deux, javais était actif deux fois et entre les deux passif.
Me voyant, il vient à ma rencontre, je lui présente mon ami et il nous offre à boire. Nous discutons de tout et de rien, je vois bien que mon ami V nest pas insensible au charme de M. Mais je sens bien que M est plus intéressé par moi. Il me dit, alors que V part aux toilettes, quil veut bien « remettre le couvert » chez moi ce soir.
Étant donné quil baise bien, cest ok. V revient et se rend compte que je ne vais pas terminer la soirée tout seul. Alors il men fait part, alors que M est à son tour aux toilettes. Je ne sais pas comment men sortir, je connais trop bien le sale caractère de V. Puis, il lui vient une idée saugrenue, faire ça à trois ! Je ne sais pas trop, je nai jamais baisé avec V et cela ne métait jamais venu à lidée. De plus, je ne sais pas si M est daccord. V prends les choses en main (je le reconnais bien là) et il fait sa proposition à M en lui expliquant que moi je suis ok. A ma surprise, M, plutôt ravi, accepte.
Nous voila tout les trois partit chez moi. Arrivé à mon studio, tout va très vite, on se retrouve vite nus sur mon lit. Whaou !! V a une bite longue et très épaisse avec de grosses et belles couilles suspendues au dessous.
Lexcitation montre très vite. Tout les trois avec une érection bien dure, à genoux sur le lit, on sembrassent et se caressent mutuellement. On va se mettre en rond chacun avec la bite de lautre dans la bouche. On changera trois fois de position, pour que chacun puisse sucer et se faire sucer. La bite de V est vraiment énorme, jarrive à peine à la mette dans ma bouche
Puis je me retrouve entre mes deux amis ils se collent à moi et me bloquent entre eux. Je suis face à M, V est derrière moi. Je sens sa grosse queue qui se presse sur le bas de mon dos. On est tout les trois de plus en plus chaud. M me fait passer les deux jambes de chaque doté de lui. Je comprends vite quil veut être execo avec moi (2 fois actif).
Je lui procure préservatif et gel, quil sempresse denfiler avant de menfiler. Je me retrouve en train de chevaucher M, V se replace derrière moi à nouveau et commence à faire glisser son sexe entre mes fesses déjà rempli par la belle bite de M. Ce vilain essaie de me faire subir une double sodomie. Il est fou ! Son gourdin est beaucoup trop gros pour moi et je nai jamais subi une double pénétration ainsi quune telle dilatation. Je refuse prestement, il reste frustré. Renversé sur le dos en arrière, je dois subir (vengeance ?) un écartement de mes lèvres proche de la déchirure, quand il me rentre son gros chibre dans la bouche. Mais cest très grisant davoir une bonne bite dans le cul et une autre, bien grosse et dure, dans la bouche. V a la très bonne idée de se placer en 69 pour quil puisse me sucer aussi. Il sexclame :
- de là, jai une vue hyper excitante de ton cul plein de sa bite !
Vous voyez la scène
Je vais être pris profondément et intensément par mes deux orifices pendant de longues minutes.
Le premier a venir, cest M, qui se déchaîne dans mon cul en jouissant et criant très fort. Par la suite, mon corps fut pris de violente convulsion et jai éjaculé sur mon ventre.
Nous avons reprit nos esprits et M sest rhabillé et il est parti. Cest à ce moment que V me dit quil rêvé depuis longtemps de me baiser et me révéla quil avait des sentiments pour moi. Je fut très surpris et gêné. Jai eu beaucoup de mal à le raisonner, mais il à quand même compris que je ne laimais que damitié. Je nai jamais refait ça avec M et V, bien que ce dernier le souhaitait. Mais je ne voulais pas lui faire espérer quoique ce soit. Nous en sommes restés là.
Seithan
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