Monique À La Plage
Monique, ma nièce par alliance est devenue une vrai beauté quand elle a eu 19 ans. Je ne lavais pas reconnue sur le quai de la gare. Elle me reconnaissait facilement daprès mes photos. Avant de prendre la voiture au parking, elle me tenait le bras: jétais fier de me balader avec une fille de cette classe, surtout que la plus part des hommes se retournaient sur elle. Lété était là, je lavais invitée sur la demande de son père pour deux semaines sur la plage. Avant de quitter Montpellier, je voulais savoir si elle avait tout pour se baigner : maillots, crèmes diverses.
- Tu deviens pire que ma mère, tu veux en savoir des choses.
- Cest normal non ?
- Bon, jai tout, même si tu veux savoir des préservatifs.
- Des préservatif, à ton âge ?
- Bon, tu ne vas pas me faire dhistoire pour ma virginité qui sest envolée il y a pas pal de temps.
Je préfère me taire, mais quand même des préservatifs à son âge. Décidément je retarde beaucoup : de mon temps nous disions que quand on prenait un bain de pieds on enlevait ses chaussettes, sinon cest que la partenaire risquait dêtre « chargée » en microbes pas nets.
Nous arrivons chez moi vers 18 heures. Il est encore lheure daller à la plage. Monique se dépêche daller poser sa valise dans la chambre. Elle redescend 10 minutes plus tard en maillot deux pièces : je manque tomber par terre, non seulement elle est une belle fille, mais elle est vachement sexy avec sa poitrine pointue, ses hanches larges et ses longues jambes. Je pense que si javais 20 ans de moins jaurais certainement conté fleurette à une nana pareille. Je me suis mis aussi en maillot assez court. Cest elle qui me dit que je lui plais. Allons bon, me voilà plaire à ma nièce, même dalliance.
La plage est à deux pas, nous y allons à pied. Evidemment les hommes ne se gênent pas pour la regarder et finir de la déshabiller. Elle est tellement pressée daller goûter à la grande bleue quelle se précipite dans leau.
- Est-ce que je peux enlever le soutien gorge sans te gêner ?
- Me gêner pour deux seins ? Tu ne me connais pas encore.
Monique enlève son soustif et je vois deux magnifiques seins qui me donnent la trique. Ils sont encore mieux que je ne le pensais. Ils ne méritent que des caresses et des baisers, elle a du voir quelle me faisait de leffet, aussi elle tient à me raconter ses plaisirs sexuels :
- Tu sais, je ne lai jamais dit ni à ma mère ni, à plus forte raison à mon père. Javais 16 ans et demi (elle parle encore en demi année) quand jai rencontré Aldo, un type merveilleux qui ma appris tout ce que je sais en baise, Jaime bien baiser depuis. Je compte bien trouver ici un type qui ne sera pas trop mal, un type comme toi, surtout qui sache bien me faire lamour. Cest pour ça que jai des préservatifs, sinon, je men fiche, je prends la pilule.
- Arrête tes histoires, tu me fais bander pour rien !
- Parce que je te fais bander en racontant ma vie ?
- Pas seulement, tu es désirable.
- Et tu me ferais quoi ?
- Ce que tu oserais me demander, je suis sur quil y a une foule de petits trucs que tu ne connais pas.
- Si pour toi, se faire mettre par derrière, cest pas un petit truc : cest bon.
- Si au lieu de parler tu venais te montrer nue à mes cotés.
- Et voila les hommes de suite il faut se montrer nue.
- Est-ce que tu as envie de baiser ou non ?
- Jai envie.
Sans plus rien dire, Monique enlève son bas de maillot, je vois un bas ventre rasé qui me permet surtout de vois le début de son sexe, avec ses lèvres qui dépassent. Je me lève et enlève mon slip de bain. Elle voit ma bite bandée. Je sens quelle est tentée par ma queue. Je veux lembrasser et la sucer avant de lui donner ma pine. Jarrive à la prendre dans mes bras, japproche mes lèvres des siennes, elle ouvre la bouche pour que nos langues se caressent. Elle embrasse mieux que bien. A son âge aucune fille nembrassait comme elle. Les temps changent. Elle se colle contre moi, ma trique est contre son ventre. Elle en profite pour la caresser avec son ventre. Je la sens gonfler, si elle continue, elle va me faire jouir avant que je le veuille. Je la prends par la taille pour lallonger sur le sol. Je reste entre ses jambes, ma tête est bloquée entre ses cuisses. Je sort simplement la langue pour lécher lintérieur de ses cuisses en montant très lentement.
- Oui, cest bon, je ne connaissais pas ça.
Au moins elle aura appris quelque chose sur les façons de faire plaisir à une femme. Je monte toujours. Je peux maintenant prendre ses deux seins dans mes mains. Ils sont durs dune part par les caresses et surtout parce quils sont jeunes encore. Je les caresses doucement, je passe mes pouces sur les tétons. Elle ronronne comme une chatte quon caresse. Ma tête enfin arrive sur son sexe, ou du moins dans les environs. Je cherche juste son petit trou, je suis certain que son Aldo ne la jamais fait. Je lèche son anus avant de la forcer un peu pour que jentre la moitié de ma langue dans le cul.
- Oui, encore, narrête pas, cest bon.
Elle najoute pas quelle ne connaissait pas encore. Je le sais parce quelle tenait son entrée fermée hermétiquement. Je continue jusquà ce que je sente ses crispations de jouissance. Je me garde bien de sortir pendant quelle jouit.
Ce nest quaprès que je lèche ses lèvres qui me mènent tout droit vers son clitoris.
- Tu mas faite jouir beaucoup, cest vrai que tu me baises comme je ne lai jamais été.
- Je te lavais dit.
- Tu vas me baiser maintenant ?
- Je ne sais pas encore, et si je tenculai ?
- Pourquoi pas, jaime aussi me faire mettre par là.
- Il te le fait souvent Aldo ?
- Pas souvent, mais jaime.
- Alors je tenculerai, tu es là pour plusieurs jours, nous pouvons en profiter. Je te sodomiserai, promis.
Elle reste étendue, un peu flapie. Je sens que je vais me contenter de la baiser, je la sodomiserai plus tard. Après tout à 50 ans, je ne me sens pas vieux du tout, je peux encore tirer plusieurs coups à la file.
Je vais sur elle, je sens dabord ses seins qui me touchent la poitrine. Jai ma bite entre ses cuisses, tout près de sa grotte aux mille plaisirs. Elle voudrai me la prendre pour me guider, je connais depuis longtemps de genre de chemin. Même un guide sherpa ne pourrai me guider comme moi.
Je suis juste au bord, je lui redemande si elle veut de ma pine : bien sur ! Jentre en elle en plusieurs étapes, jentre dabord mon gland, jarrête pour quelle sente la progression, je sens son ouverture sélargir. Puis, petit à petit, très doucement je la pénètre. Je crois que je fais bien : dabord pour moi qui nai par tiré un coup depuis deux mois et pour elle, pour quelle compare avec son Aldo. Je ne suis pas pressé.
Je sors de son con lentement, je nai sur la bite que sa cyprine. Tant mieux, je pourrai lenculer. Je la fait mettre en levrette. Delle-même elle écarte ses fesses à deux mains. Elle est posée sur ses deux jambes et sur la tête, ses mains sont sur son sexe pour la branler.
Jai le bout de la bite sur son cul ouvert. Cest bizarre comme formule, elle refusait ma langue tout à lheure et maintenant elle accepte mon vit. Je crains quelle nai pas trop lhabitude de se faire sodomiser, malgré ses dires. Et pourtant jentre très facilement dans cette fin dintestin. Elle ronronne encore. Jentre lentement dans son fion. Trop lentement à son gré, elle me fait la lui mettre à fond dun coup de rein. Jentame les vas et viens. La sodomie alliée à la masturbation la font fouir facilement plusieurs fois.
Elle jouit tant quelle me demande de sortir de son ventre. Je le fais et pourtant je nai pas joui. Je ne compte plus que sur la masturbation : elle va bien me branler... Mais non. Elle ne me masturbe pas, elle vient me prendre dans la bouche, elle avale le gland, le lèche à peine pour prendre presque toute ma pine dans la bouche. Ses lèvres se transforment en sexe, elle me fait entrer et sortir delle comme si véritablement jétais dans son con. Elle me fait un effet indescriptible. Ca tient et de la baise et de la sodomie. Quand elle sent que je vais jouir, elle me faire sortir la bite, la branle à peine pour la reprendre en bouche et recevoir le sperme. Elle métonne de plus en plus, elle garde tout dans la bouche et lentement lavale avec un plaisir évident.
Nous restons comme nous sommes, assommés par le plaisir. Ce nest que le soleil levant qui nous réveille. Elle prend ma queue, me fait bander, vient sur moi et entre ma bite dans sa chatte. Nous nous levons, elle prépare un petit déjeuner où le mets le plus utilisé est les fluides de nos corps, moi sa cyprine, elle encore mon sperme.
Nous avons baisé plusieurs fois par jour pendant la quinzaine. Avant de partir elle avoue que je lai faite jouir bien mieux quAldo.
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