Train De Nuit (4)
TRAIN DE NUIT (4)
Après quelques (brèves) heures de sommeil, je me réveille doucement et je constate que je nai pas rêvé : ma jolie secrétaire, Caroline, est allongée nue à mes côtés. Le drap est repoussé aux pieds et je peux tout à loisir admirer ses ravissantes courbes. Son beau visage respire la quiétude. Ses seins aux pointes érigées se dressent de façon provocante, on dirait que même dans son sommeil, elle bande des seins. Un ventre plat et dans le creux de ses cuisses le mystère odorant de sa féminité.
Je ne peux résister et je mempare dune de ses jambes que jécarte doucement. Dans son sommeil, elle bouge un peu et de ce fait écarte delle-même encore plus ses cuisses. Je vois alors sa fente luisante : elle mouille dans son sommeil. Je descends alors entre ses cuisses et commence à lécher cette belle fente qui sent si bon. Délicatement, avec mes deux mains, jécarte ses grandes lèvres pour trouver lobjet de mon désir. Son clitoris dépasse et semble minviter à poursuivre mes investigations.
Je mavance et de la pointe de ma langue, je commence à exciter son bouton. Alors que son ravissant clito se développe, je sens sur ma tête les mains de Caroline qui me caressent les cheveux. Geste très sensuel que jadore dailleurs. Je comprends quelle est réveillée et soudain jentends :
- Oui Mon cur, suce ta petite salope qui adore
Continues, excite moi bien, je sens que je ne vais pas tarder à jouir.
Les halètements sintensifient et avant que jaie pu aller plus loin, ma tête est prise dans létau de ses cuisses et un long feulement mindique sa jouissance. Je remonte à hauteur de sa bouche et lembrasse tendrement. Nos langues se retrouvent et se mêlent sauvagement.
Elle vient se blottir contre moi. Je lui souhaite le bonjour dun baiser sur les yeux et elle me dit que ce sera bien sur un bonjour après un tel réveil. Je vois dans ses yeux quelle a un souci mais je nose la questionner.
Je me prépare de mon côté : une bonne douche qui me réveille définitivement mais qui réveille aussi mon sexe. Je mhabille range mes affaires et sort dans le couloir. Si cette satanée érection voulait cesser ce serait parfait. Quelques instants plus tard, nous gagnons le wagon restaurant pour le petit déjeuner. Nous lui faisons honneur et regagnons nos compartiments respectifs. Dans 1 heure nous serons à Venise. Jai encore vu son regard « bizarre » durant le petit déjeuner.
Arrivé à la gare, je hèle un porteur qui prend en charge nos bagages. Nous gagnons rapidement lhôtel et je fais modifier les réservations : de 2 chambres, je passe a une suite. Il ne faut pas être hypocrite quand même
Caroline nétait pas à mes côtés quand jai fait ces modifications lorsquelle saperçoit de cela et je vois son visage sépanouir et un merveilleux sourire se dessiner.
Une fois nos bagages dans la suite, le groom reparti, je latt par la main et mempresse de la déshabiller. Ny tenant plus, je me mets nu en un tour de main et me jette sur elle pour non plus « faire lamour » mais bel et bien « baiser ». Nous sommes deux corps enchevêtrés qui sembrassent partout et caressent le corps pour faire monter le plaisir. Celui-ci ne tarde pas à venir et jembroche ma belle qui nattendait que ça. Il ne nous fallut pas grand temps à chacun pour grimper aux rideaux et jouir lun de lautre. Rassasiés, nous installons chacun nos affaires.
En bonne secrétaire elle se connecte sur internet pour contacter lentreprise et voir si elle doit minformer de dossiers en cours. Elle se met en ligne avec la collègue qui la remplace et son absence mais elle passe comme dhabitude en webcam.
- Didier, je viens de faire une énorme bêtise !
Elle mexplique alors et je pars dun grand éclat de rire.
- Tu te rends compte de ce qui va se passer à notre retour ? Ma réputation de salope est faite !
- De salope surement pas Ma Chérie, mais de future femme du patron, ça cest certain. Ne te fais pas de soucis pour ça.
Je la vois devenir pale et répéter tout bas : « de future femme du patron ? Elle reste songeuse et soudain se jette à mon cou pour le plus sauvage des baisers. Je la serre dans mes bras, lembrasse partout, ma langue joue avec ses mamelons et je lui caresse se petites fesses fermes mais ô combien moelleuses. Petit à petit elle se calme et elle vient membrasser très tendrement dans un voluptueux de langues.
Nayant notre premier rendez-vous quà 14 h, nous descendons sagement déjeuner au restaurant de lhôtel. Il est maintenant temps pour moi de lui clarifier la situation. Si elle était attirée par moi depuis un long moment, il en était de même pour moi. Mais je ne voulais pas une simple maitresse, je souhaitais une femme qui partage ma vie. Je lui dis que jai la solution pour tout soit bien clair en rentrant à Paris. Sous prétexte daller voir un collaborateur, je lembrasserai sur la bouche devant la standardiste qui est la reine du commérage en lui disant « A tout à lheure, Mon Amour ». Je serai ainsi sur quen peu de temps toute la boite sera au courant. Elle me dit alors quun poids vient de quitter son cur. Elle pensait quelle nétait quun agréable moment pour son patron et cela lattristait.
Cest donc enlacés et amoureux que nous remontons nous préparer. Je passe notre rendez-vous de travail qui na ici aucun intérêt. Ces explications ont dû vous paraitre un peu longues mais étaient nécessaires pour la suite et les autres histoires à venir !
En sortant de notre rendez-vous Caroline se jeta à mon cou et me roula une pelle à faire pâlir tous les italiens que lon dit dragueurs.
- Vas-y salop, défonce moi, bourre moi le con, je suis à toi maintenant ! Prends bien ta petite chienne !
- Oui salope, je vais gicler en toi mais je garde le meilleur pour ce soir. Tu mas fait bander tout laprès-midi avec tes effets de cuisses donc je me paye ta petite chatte bien serrée de pucelle et je vais te lélargir.
A ce régime-là, je nai pas tardé à jouir en elle et elle a poussé un cri qui a du se faire retourner toute la population de Venise. Le temps de nous remettre dans un état présentable et nous sommes sortis très dignement de cet immeuble.
Nous étions attablés à la terrasse dun café et je la voyais se tortiller sur son fauteuil. Je lui en demande la raison et elle me dit que mon foutre coule de sa chatte vu la dose quelle a reçue. Sans aucune pudeur, elle passe sa main sous sa jupe et la ressortant, elle porte son doigt à sa bouche et le lèche en me fixant. Image très érotique que son geste.
Après une petite promenade dans Venise (pur vice de ma part, car je savais que la « fuite » ne devait pas être terminée), nous sommes rentrés à lhôtel.
Nous avons pris ensemble une longue douche ensemble et ce fut bien sur loccasion de câlineries érotiques obscènes. Mais javais ma petite idée pour la soirée
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