Un Diner D'Anniversaire - Partie 2
Patrice, dont le sexe avait à peine débandé comme sil navait plus baisé depuis un mois, se coucha sur le carrelage.
Jocelyn lempoigna aux épaules, la guidant fermement vers son collègue. Obéissante, Virginie vint enfourcher son dernier baiseur, enserrant ses cuisses. Elle descendit lentement sur le pieu de chair, sajustant à lui, éveillant en elle une nouvelle sensation en atteignant des zones plus que sensibles.
- Jusquà la garde, cette fois, tu vois
Tout à coup elle voulut connaître pleinement le contact de sa peau, elle se pencha, sa grosse poitrine sécrasa doucement sur celle de Patrice, avant de reprendre le lent mouvement de ses hanches.
Virginie avait complètement oublié Jocelyn. Elle perçut plus quelle ne vit son mouvement les contournant mais sentit ses genoux forçant lespace entre les siens et ceux de lautre comparse.
- Tiens-la bien ! Je vais me faire son joli ptit cul
Virginie eut un bref sursaut, mais Patrice lenserra étroitement entre ses bras, dune main ferme sur le bas de son dos il la plaqua.
Le black posa ses deux mains sur ses fesses, les écarta. Virginie empoigna fermement les épaules de lautre homme.
Elle sentit la chair dure au contact de sa peau, hésitant un bref instant, trouvant louverture.
- Doucement
souffla la brunette.
- Ne me fais pas trop mal, mais surtout, va jusquau bout, ajouta-t-elle en pensée.
Il pesa sur elle, se frayant son chemin.
Virginie gémit, il simmobilisa, attendit que la tension de son corps satténue, puis saidant de tout son poids, il finit sa pénétration, écrasant sa chair sous son ventre dur. Puis il prit ses hanches à deux mains, entreprit de leur imprimer un lent mouvement quil accompagna, la faisant glisser sur le sexe de son compagnon.
Virginie posa sa tête sur la poitrine de Patrice, ferma les yeux, se détendit complètement.
- A vous, messieurs, pensait-elle, je ne peux rien faire de plus pour vous
Les deux hommes perçurent son relâchement.
Virginie comprit quils la ménageaient. Mais ce nétait plus ce quelle voulait.
- Plus fort
gémissait-t-elle.
Elle sentit les mains de lhomme du dessus, se crisper sur ses hanches, à la limite de la douleur. Puis il lui administra un coup de boutoir qui lui arracha un jappement de surprise et de douleur :
- Aïïïïeeeee
doucement
..vous êtes fou
..
Reprenant ensuite son mouvement, mais cette fois sans retenue, le black répondit comme un écho :
- Oui, on est fou de gros cul de bourge !!!
Lequel lui donnait le plus de plaisir ? Totalement abandonnée, insouciante de la sueur qui ruisselait de son corps, Virginie nen savait rien, les vagues de sensations sentrechoquaient en elle, elle percevait les moindres frémissements, les moindres vibrations de ses partenaires, elle avait létrange sensation que leurs deux sexes se touchaient en elle, son bassin devenu un seul réceptacle de plaisir pour trois.
A nouveau, elle agrippa les épaules de lhomme sous elle. Elle ne voulait pas jouir si vite, ni surtout quils en terminent si vite avec elle, elle se sentait bien, pleine et entière. Elle voulut entraver leur mouvement, ralentir le rythme quils lui imposaient, mais ny parvint pas, leur désir maintenant sauvage, leur force ne le permettait pas. Elle renonça, se laissa aller.
- Tu es serrée du cul
Ton mari ne te baise jamais par là, lui demandait Jocelyn ?
-
- Je suis sûr qu'elle en a envie, je me trompe salope ?
- Non, réussit-elle à répondre entre deux gémissements.
- Alors, dis-moi ce que tu la veux par là !
- Hum
oui
vas-y
- Non ! Mieux que ça !
- Aaaaaaaaaah
encule-mooooooooooi ! Mets-toi taaaaaaaa biiiiiiiiiiiiiitte dans le
cuuuuuuuuul ! ouiiiiiiiiiiiiiiii salaud vas-y, vas-y, vas-yyyyyyyyyyyyy !!!
- Voilà, c'est mieux
alors, puisque tu le demandes, tiens ! Prends-ça !
Il poussa d'un coup et s'enfonça entièrement entre les fesses de la femme qui ne peut retenir un cri, à la fois de douleur et de plaisir.
Il entama de lents mais profonds va et vient et Virginie, presque habituée à la présence de cette barre de chair dans son cul, l'encouragea :
- Ahhhhh
..ouiiiii ! C'est boooon ! J'aime ta queue dans mon cul
prends-moi bien !
Elle sentit lorgasme monter, une vague sauvage, irrésistible. Le déferlement la fit crier, une longue expiration suivie dun hoquet, ses propres battements, la violence de la décharge des deux hommes, lequel avait commencé, lequel finissait ? Son corps nétait plus quun réceptacle de pulsations, les siennes amplifiées par celles des deux hommes.
- Ooooohhhhh
.. ouiiiii
.. !
- Tu aimes qu'on te baise le cul ?
- Ouiiiii
c'est booooon
vas-yyyyy
.. , encule-moi fort !
Virginie savoura jusquà lultime onde de plaisir, avant que leurs sexes ne glissent hors delle, la privant de leur unité, la réalité revenait, les bruits, lodeur forte de leurs corps en sueur, la chaleur, le poids de lhomme sur son dos.
Lorsquelle rouvrit les yeux, elle eut un sursaut, amorti par la masse des deux hommes.
Sans attendre, les deux hommes se rhabillèrent et quittèrent les toilettes rapidement sans même quelle sen aperçoive.
Virginie gisait sur le carrelage, pantelante, le corps en sueur, sa chatte et son anus dégoulinant du sperme de ses amants.
Le cur cognant fortement dans la poitrine, elle se crut mourir. Puis après un long moment, Virginie se ressaisissait doucement et se relevait en vacillant.
Après sêtre rhabillée comme elle pouvait, la jeune femme se dirigeait en titubant vers la sortie. Elle était à la fois ivre du plaisir et prise de colère davoir trompé son compagnon en se comportant comme une vulgaire pute.
Bien sûr, personne se fût au courant de cette aventure et surtout pas son mari, même si en la voyant revenir dans la salle, il trouvait que Virginie nétait plus la même
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