Ma Première Fois
Lucie s'effaçait lentement sous les draps de soie blanche. Si fraîche était sa silhouette que ma peau était parsemée de frissons. Nous étions allongés, tous deux encore étrangers aux mystères du plaisir charnel. Notre timidité réciproque nous empêchait de nous regarder; moi, j'étais couché sur le dos, elle, légèrement penchée dans ma direction. Elle avait dix-sept ans, j'en avais à peine seize. En la sachant près de moi je ressentais parfois comme un battement de cur plus profond qui délivrait dans tous mon corps un amour si intense que l'envie de rompre la frontière - que tous deux jamais nous n'avions franchie - était extrêmement intense. Je percevais chez Lucie la même envie, presque maladive. Aucun n'osait allumer la flamme...
Mais enfin, Lucie finit par ouvrir le portail qui mènerait à notre Eden: elle se retourna alors entièrement de mon côté et d'un geste tendre, caressa ma joue. Cet effleurement de sa main si douce agit sur moi comme un soleil réveille la nature: il se produisit comme une ouverture dans mon cur, un torrent d'amour jamais si intensément ressenti se déversa en moi pour Lucie. A mes côtés, elle était si belle! dans ses yeux se réverbéraient le feu que le premier amour délivre. Je tendis mon bras et commençai à la déshabiller; je lui ôtai non sans délicatesse sont teeshirt blanc pour découvrir pour la première fois les courbes harmonieuses de son buste. Ses seins que je convoitai tant étaient encore dissimulés sous son soutien-gorge. Alors que je découvrais ce corps si excitant, elle m'offrit ses seins en les dévoilant lentement. Nos corps se rapprochèrent, nos lèvres s'entr'ouvrèrent pour unir notre amour dans un long baiser.
Sens désorientés, temps arrêté l'espace d'un instant...
Longtemps nos bouches restaient unies, parfois un gémissement de plaisir, d'autres instants, ma langue effleurant ses seins, et aussi mon torse couvert de baisers... Délicatesse, découverte, plaisirs nouveaux.
S'ensuivit alors un désir encore plus fort, la frontière bientôt franchie.
Elle retira sa petite culotte pour me laisser apercevoir une toison discrète gardant son jardin défendu. Je devinai dessous la légère toison. Elle la retira et offrit à ma vue ses lèvres qui bavaient une cyprine encore chaude.
Gentiment, elle écarta ses jambes me laissant le plaisir de découvrir sa vulve encore fermée. Une légère chaleur me monta aux joues puis descendit jusqu'à mon propre pubis où commençait à s'échauffer ma verge. Lucie semblait comme plongée dans un mystique rituel; ses reins ondulaient, ses tétons étaient désormais pointés dans ma direction. Elle s'approcha de moi, me retira mon short et découvrit sous mon boxer la silhouette de mon pénis dressé. Elle soupirait d'un virginal plaisir, son souffle réchauffait mon bas-ventre. Alors, d'un geste timide, elle baissa mon boxer et découvrit mon pénis.
Elle le sentait, le caressait, jouait avec mes testicules pour finir par le lécher. Mon gland glissait au travers de ses lèvres, mon sexe à son apogée s'introduisit complètement dans sa bouche. Alors débuta un mouvement intense de va-et-vien ponctué par intermittences par mes gémissements de plaisir. Lucie gobait mon pénis entièrement, si goulûment que je ne pouvais plus retenir ma jouissance, une chaleur envahit mon bas-ventre et propulsa un sperme chaud dans la bouche de ma chère Lucie.
Nous nous reposâmes un instant dans les bras l'un de l'autre.
Souffles entrecoupés, battements de cur, amour...
Désormais, c'est Lucie qui avait besoin de ressentir ce plaisir qu'elle m'avait offert. Mon pénis se réveilla et retrouva son apogée. Nos corps encore pubères se retrouvèrent liés. Elle s'allongea sur le dos et m'offrit sa vulve en écartant les jambes. Je m'approchai à plat-ventre au dessus d'elle, ma main droite caressant ses seins chauds. Enfin ma verge en feu s'approcha de l'antre béat. J'introduisit ma verge! Quelle sensation! quelle découverte! quoi de plus enchanteur que de sentir autour de son sexe un antre si chaud, humide, accueillant! Rien n'existait autour de nos corps pubères que la curiosité avait poussé à franchir cette frontière.
Vint alors le moment qui, tous deux, nous marquera à jamais: dans un dernier mouvement d'entrée au travers de vulve, nous sentîmes nous envahir une sensation jamais si fortement ressentie, l'expression ultime de l'amour qui nous unissait. Nos sexes commencèrent à trembler, mon pénis jamais si gonflé, laissa exploser dans le vagin de Lucie un flot de sperme brûlant. Elle gémit, je sentais sa vulve trembler autour de ma verge. Nous ne formions qu'un seul et même être l'espace de cet orgasme si long. Nous restâmes enlacés toute la nuit durant laquelle nous refîmes plusieurs fois l'amour...
Notre histoire d'amour dura encore longtemps, si longtemps que la vie nous a désormais offert un !
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