La Demande De Retraite
Bonjour Suzie.
Bonjour Marie. Monsieur Carteau est dans son bureau ?
Oui, il est avec Monsieur Lisan. Je vais voir si il peut vous recevoir, répond Marie en prenant le téléphone.
Marie est la secrétaire de direction. Quant à Suzie, elle est responsable du service Import-export de la société. C'est une femme d'une soixantaine d'années à qui on pourrait lui en donner dix de moins facilement. Elle est de la vieille école. Elle ne supporte pas que quelqu'un vienne travailler en tenue négligée. Dans l'entreprise, personne ne l'a jamais vu habillée qu'avec des tailleurs chics, des chemisiers, des bas et des talons hauts. Cette apparence et son air supérieur lui ont d'ailleurs valu le surnom de « Madame la Baronne ».
Allez-y entrer, il vous attend, dit Marie en raccrochant.
Tapant une fois à la porte, elle pousse celle-ci avant que l'on dise d'entrer. Elle a l'habitude de faire ainsi.
Bonjour Messieurs, fit-elle en refermant derrière elle. Cela tombe bien que vous êtes là tous les deux, je viens pour la signature de mon dossier de demande de retraite.
Malgré qu'ils soient ses supérieurs hiérarchiques, elle parle toujours sur ce ton. Il faut dire qu'ils peuvent être ses fils. Monsieur Carteau, le patron, a moins de quarante ans et Monsieur Lisan, le directeur des Ressources Humaines, a le même âge. Ils sont debout, côte à côte, derrière le bureau et Suzie a remarqué leur air gêné. Monsieur Carteau, refermant l'ordinateur portable qu'il a devant lui, invite Suzie à s'asseoir.
Bonjour Suzie. Vous allez faire valoir vos droits à la retraite, vous qui êtes si jeune, répond-il taquin en s'asseyant dans son fauteuil. Donnez-moi ce dossier.
J'ai également besoin de votre signature, dit-elle en s'adressant au DRH et sans relever la plaisanterie.
Vous avez oublié de signer la dernière page, indique le patron après avoir lu la demande.
Elle fait le tour du bureau, prend un stylo et se place d'autorité entre les deux hommes avant de parapher le document.
Ah, c'est donc ça. Et bien, je ne croyais pas ça de vous.
Sur l'écran, une blonde à gros seins taille une pipe à un gars. Les deux hommes pris en faute sont devenus rouges. Loin d'être horrifiée, Suzie, empêchant Monsieur Lisan d'éteindre l'appareil, regarde la scène et les 2 directeurs :
Cela vous excite, fait-elle. Et ne me dites pas non vu la bosse de vos pantalons.
Ils ne savent plus quoi faire, ni où se mettre.
Pourtant, reprend-elle, il n'a pas de quoi fouetter un chat. Je vais vous montrer moi ce que c'est une femme. Allez, sortez moi vos engins.
Incrédules, les deux compères obéissent et avoir d'avoir retrouver leurs esprits, Suzie s'accroupit, prend une bite dans chaque main et entreprend de les branler et de les sucer. Elle lèche leurs couilles, procède à des va-et-vient le long de leur membre et à de petites succions de leur gland avant de les avaler chacun leur tour. Après quelques minutes de ce manège, elle se redresse et retroussant sa jupe jusqu'aux hanches, laissant apparaître des bas fixant et un string blanc :
Montrez moi ce que vous savez faire maintenant.
Excités, les 2 hommes ne se font pas priés et après l'avoir assise sur le bureau, Monsieur Carteau écarte la ficelle du string et lui lèche sa fente dégoulinante de mouille. Monsieur Lisan, après lui avoir enlevé son chemisier et arraché littéralement son soutien-gorge, lui bouffe ses jolis seins pas trop gros. Le patron lui rapproche les fesses du bord du bureau et enfonce sa queue dans sa chatte sans poils, sans enlever le string. La tête rejetée en arrière, dans le vide, Lisan se sert alors de sa bouche comme d'un sexe, lui donnant quelques coups de boutoir jusqu'au fond de la gorge. Après cela, elle se met à quatre pattes, les seins pendant dans le vide et Lisan la prend en levrette pendant qu'elle pompe son patron.
C'est vraiment un sacré coup, dit-il.
Il n'a pas le temps de finir sa phrase qu'il jouit dans la bouche de Suzie qui avale tout le foutre et lui nettoie la queue à coups de langue tandis que Lisan lui envoie tout sur les fesses en poussant des jurons.
Après s'être rhabillée et avant de fermer la porte, Suzie se retourne et lance, dans un sourire :
- C'est vrai que je suis encore jeune pour la retraite, celle du travail pas du plaisir. Par contre, vous...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!