Train De Nuit (6)
TRAIN DE NUIT (6)
Arrivés à la gare, nous avons présenté nos billets et réservations et le porteur se chargea de mettre nos bagages dans notre compartiment. Nous nous sommes installés, porte verrouillée, et Caroline sempressa de se mettre à laise. Et quand je dis à laise, ce fut rapide. Elle ôta sa robe et se retrouva nue avec pour tout vêtement ses escarpins. Mon sexe en faisait des galipettes. Elle vint se coller contre moi et je sentais ses seins aux pointes érigées contre mon torse. Je déposais plusieurs baisers dans le cou et lui mordillait le lobe des oreilles. Me baissant légèrement, je men pris à ses seins et à ses mamelons. Je la léchais doucement et titillai ses pointes. Je la sentais frémir et dans un soupir, jentendis un « Oh oui » qui me disait que jétais en bonne voie.
Pendant ce temps-là, Caroline déboutonna et enleva ma chemise et nos deux torses reprirent contact. De la pointe de ses mamelons, elle agaçait les miens. Je commençais à me sentir à létroit dans mon pantalon et comme elle se collait contre moi, elle sen redit évidemment compte.
- Oh le pauvre petit oiseau na pas assez de place, je vais le libérer de sa cage !
Elle sagenouilla et entreprit ma ceinture puis mon pantalon. Dun geste rapide, elle le baissa en entrainant mon boxer en même temps. Elle regarda ma verge gonflée à bloc et dune main en coquille elle sempara de mes couilles quavec malaxait avec douceur mais fermeté. Je sentais dans le bas du ventre de douces sensations liées à cette prise en main. Puis entrouvrant la bouche elle sortit sa langue et commença une remontée de toute ma hampe. Arrivant au gland, elle sortit un peu plus sa langue bien en pointe et en fit le tour un peu comme la boule dun cornet de glace. Elle léchait divinement et entreprit de douces remontées sur ma tige en ne négligeant aucune parcelle de mon sexe. Elle remonta sur le gland et sen prit à mon petit trou au bout. Moi je me retenais mais je sentais bien quà ce petit jeu, elle allait avoir raison de ma résistance.
- A ce rythme-là, je ne vais pas tenir le coup longtemps !
- Mais jespère bien et sil te plait ne te retire pas pour jouir, ta petite salope veut toute ta jouissance en bouche.
- Tu aimes les mots crus lorsque tu fais lamour lui demandais je ?
- Oh oui jadore ça, cest vrai et surtout ne te prive pas Mon Amour ! Par contre, dans la vie courante, jaime plutôt les mots tendres.
Sur cette phrase, elle recommença sa masturbation en y allant à fond, à tel point que lorsquelle me décalottait à fond, ça en faisait presque mal. Je sentais mes couilles qui commençaient bouillir et une chaleur irradiât tout mon sexe. Je lui dis :
- Pompe moi bien et je te préviens, petite salope, tu ne vas tarder à en prendre plein le gosier.
- Oui donne-moi tout, ta chienne a soif de ton foutre et je le veux jusqu'à la dernière goutte.
Elle accéléra le mouvement et arriva bien sur ce qui devait arriver. Je sentais la sève monter dans ma hampe et en la prévenant, je jouis violemment et lui envoyais 4 longs jets de foutre dont elle ne perdit pas une goutte. Elle ouvrit la bouche dans laquelle je pus voir ma jouissance et sortit sa langue pour lécher les dernières gouttes de sperme afin de ne rien perdre. De ses bras, elle entoura mes cuisses et en me fixant dans les yeux me remercia de mon « cadeau ». Jétais complètement sur les genoux. Je la fis se relever et lembrassa a pleine bouche, introduisant ma langue en mélangeant nos salives et le reste de mon éjaculation.
Dun regard mutin et coquin, elle dit :
- Oh Monsieur le Directeur, vous nêtes pas très sérieux, r ainsi dune faible femme sans défense.
- Je devrais plutôt dire Ma Belle que cest un pauvre homme sans défense qui a subi un début de tentative de viol !
Nous sommes partis tous les deux dans un éclat de rire en nous embrassant en même temps.
Pendant ce temps-là, le train roulait déjà et je suggérai à Caroline daller prendre une douche car son corps était luisant de sueur. De plus, je voyais rouler le long de ses cuisses sa cyprine preuve que son petit traitement lavait excité. Malheureusement pour moi, la cabine de douche était trop exiguë pour que nous puissions y aller ensemble. Dune petite tape sur son adorable petit cul, je ly expédiais. Pendant quelle se lavait je me dévêtis entièrement en attendant de pouvoir prendre sa place. Elle ressortit relativement vite une serviette de bain la couvrant de la poitrine aux cuisses. Je pris une douche à mon tour. Apres quelques minutes, je ressortis et trouvais Ma Belle les yeux dans le vague contemplant sa bague.
- Un souci Caroline ?
- Non pas de soucis mais un émerveillement sans fin et la crainte de me réveiller dun beau rêve.
- Non Ma Chérie, ce nest pas un rêve et tu peux toucher pour vérifier. Mais tu as interdiction daller plus bas que le nombril sinon je ne réponds de rien et je préfère me réserver pour après le diner.
Elle se leva du lit et vint se blottir contre moi. A la suite de quoi, nous nous sommes habillé pour aller au wagon restaurant sans pouvoir résister de nous frôler pendant tout ce temps en mettant cela sur le compte de lexiguïté du compartiment. Une fois prêt, nous sommes sortis après que jai entrouvert la fenêtre car le compartiment sentait la luxure et le sexe.
Le maitre dhôtel nous installa et prit commande de nos apéritifs. Il ne sétait pas écoulé 10 secondes que je sentais la pointe de son pied déchaussé me caresser le mollet. Et tout en continuant son petit jeu, elle prit mam main et me demanda :
- Dis-moi, Mon Cur, comment allons-nous nous organiser une fois rentré ?
- très simple Ma Chérie, il nous suffira de déménager toutes affaires et de les amener chez nous. Car désormais, ce nest plus chez moi mais chez nous. Nous navons rien à cacher et donc le plus tôt sera le mieux.
Nous dinâmes à peu près sagement et en profitons pour se faire un jeu de questions réponses. Je lui demandais si elle appréciât de faire lamour avec moi :
- Oui tu es un homme très attentionné et jadore être dans tes bras. Depuis tout le temps que jattendais ce moment-là. Quant à mes fantasmes ils sont variés et multiples et ce soir je toffrirai mes fesses que personne dautre na jamais visité.
- En un mot, tu veux me donner ton pucelage et que je te sodomise ?
- Pour être tout à fait directe, oui je veux que tu mencules comme ta petite chienne. Mais il faudra être doux, car à part un de mes doigts, rien nest entré dedans.
- Promis Mon Amour je vais faire le plus doucement possible afin que tu nais pas mal.
- Mais figure toi, gros malin, que je lavais un peu envisagé et dans mon vanity il y a un tube de gel.
Elle dit cela en rougissant et jen profitais pour lembrasser sur la bouche. Je réglais laddition et en profitais pour demander au maitre dhôtel de nous faire apporter une bouteille de champagne dans notre compartiment. Une fois à lintérieur, je refermais la fenêtre et demandais à Caroline dattendre le champagne pour se déshabiller. Deux coups discrets a la porte et le serveur dépose sur la table le seau à champagne, les 2 coupes et se retire. Je verrouille la porte et le temps que je me retourne vers Caroline, elle est déjà nue, seulement vêtue de ses escarpins.
- A quelle arrivons nous a Paris, Mon Chérie ?
- Coquine tu dois parfaitement le savoir, puisque cest toi qui as organisé le voyage !
- Oui et nous avons une bonne partie de la nuit pour nous amuser Mon Cur.
- De toute façon nous avons la matinée pour récupérer car je tai octroyé une matinée de récup et nous pourrons donc aller déjeuner et reprendre le travail à 14 h. Tu pourras donc préparer une valise avec déjà quelques affaires pour les emmener chez moi, pardon, chez nous. En attendant si nous buvions un verre ?
Je débouche donc la bouteille et nous sert.
- Le gros machin que je sens sous moi, cest cela qui va me faire perdre mon pucelage ?
- Oui, Mon Ange mais je te promets que je serai doux !
Après une seconde coupe, je me déshabille en un tour de main et mallonge sur le lit en lui tendant la main. Elle sallonge sur moi et commence à onduler du bassin.
- Vas-y doucement, Caro, sinon ça va mal se terminer pour toi.
- Oh jadore ! cest la première fois que tu ne dis pas mon prénom en entier et de toute façon, je préfère Caro !
E ma belle ingénue de continuer son petit manège. Prenant mon élan, je la fais basculer sous moi et lui écarte les cuisses. Dune seule poussée, je pénètre son sexe et elle pousse un long feulement. Je commence mes va et vient à lintérieur de cette gaine chaude et serrée. Au début, je vais doucement, puis, petit à petit jaccélère la cadence. Elle pousse des gémissements qui vont en montant en intensité.
- Je vais te défoncer le con ma salope adorée, tu vas la sentir passer celle-là !
- Oh oui bourres moi, déchires moi, et je veux tout ton sperme au fond de mon ventre.
Elle relève ses jambes et les met sur mes épaules ce qui me fait bien sur aller plus profond. Je sens quà ce petit jeu là je ne vais plus tenir longtemps. Elle est dans un état semblable et remue la tête hystériquement. Soudain, plus moyen de me retenir et je lui envoie au fond du vagin de longs jets de foutre et suis obligé de lembrasser pour lempêcher de crier trop fort son orgasme. Je meffondre sur elle en transpirant de tous pores de ma peau. Pour prolonger linstant, elle cadenasse ses jambes dans mon dos.
- Waouh ! cétait merveilleux et tu mas faite jouir formidablement. Géniale, cette sensation lorsque jai senti gicler dans mon ventre Mon Amour.
Afin que nous puissions récupérer un peu, je me lève et sers 2 verres de ce nectar. Je passe ma tête sous le lavabo pour ôter un peu de ma transpiration. Caroline se lève et vient en faire autant après moi. Elle vient ensuite sur le fauteuil restant et dans un geste très impudique elle pose les pieds sur le lit en écartant les jambes. Elle me regarde dun air bizarre et je lui demande pourquoi.
- Il me semble Mon Fiancé chéri que tu oublies quelque chose ? Des promesses, des promesses, cest bien, mais des actes cest mieux !
- Oui je vois ce que tu veux dire. Ne ten fais pas, tu veux subir les derniers outrages et tu vas y passer ma belle salope. Tu vois jai même tout prévu en allant me rafraichir et jai même trouvé sur la tablette ton baume magique.
En disant cela, jécarte le seau à champagne et dévoile derrière le tube de gel.
- Maintenant Mon Cur, il va falloir assumer !
- Oh sil vous plait Monsieur le grand méchant loup, ne faites pas de mal au pauvre chaperon rouge.
- Mais ne vois-tu pas que si jai une grosse bite, cest pour mieux tenculer.
Elle partit dun fou rire et vint membrasser. Je lui dis de se mettre à quatre pattes sur le lit, la tête sur loreiller. Elle se mit en position et moi, au pied du lit, javais une vue imprenable sur son étoile plissée.
Je minstallais derrière elle le tube de gel à la main. Jenduis son anus de gel et enfonçais un doigt qui rentra tout doucement mais je la sentais crispée. Je remis du gel et cette fois, ce sont 2 de mes doigts qui pénétrèrent son fondement. Elle commençait se décontracter sentant quelle navait pas trop mal. Alors, je me mis à genoux derrière elle et enduisit mon gland dune bonne dose de gel. Je présente alors mon sexe au-dessus de sa petite rosette palpitante tout en lui caressant le clitoris pour la décontracter. Je place mon gland sur son anus et commence à pousser. Je la sens se raidir un peu mais malgré tout continue pour faire entrer le bout le plus gros de mon engin. Jattends un peu quelle shabitue à lintrus et lui laisser le temps de souffler.
- Vas y maintenant, continues et défonce moi le cul. Même si je crie, je mettrai ma tête enfouie dans loreiller, mais bourre moi !
Dun mouvement lent mais régulier, je mengageais dans son tunnel serré à souhait en lentendant souffler mais ne pas crier comme je le craignais. Et je me rendis compte que jétais à fond et que mon ventre touchait ses fesses. Je stoppais à nouveau pour lui prendre le temps de récupérer.
- Vas-y ne tarrête pas, continue.
- Je voudrais bien, mais je ne peux pas car je suis entièrement en toi !
- Oh cest merveilleux et je nai presque pas eu mal sauf quand ton gros champignon est rentré. Je taime et je te remercie de tant de douceur. Moi quy mattendait au pire.
- Maintenant, lorsque je te dirai belle enculée, tu ne pourras pas dire le contraire.
- Oui eh bien au lieu de faire des belles phrases, bourres ta chienne.
Je commençais alors de lents mouvement de haut en bas mais toujours en douceur. Au bout dun bref instant, elle me dit daccélérer et dy aller à fond. Je ne me le fis pas dire deux fois et commençais à la défoncer de belle façon. Elle venait au-devant de ma bite pour sempaler au maximum et dune main, je compris quen même temps elle branlait son bouton damour. Je soufflais comme un buf et elle me dit quelle allait jouir. Je redoublais mes coups de boutoir et dans un bel ensemble, nous atteignîmes le nirvana. Elle seffondra à plat ventre à bout de forces.
- Merci, Mon Amour, pour la première fois je viens de savoir ce que voulait dire lexpression « jouir du cul ». Cétait géant et magique et ce sera un grand bonheur lorsque tu menculeras désormais.
Je me levais discrètement afin daller nettoyer mon sexe et en sortant, je la trouvais dans une pause impudique, les jambes largement écartées et les bras en croix. Je nous servis une coupe de champagne et me suis assis à ses côtés en caressant son ventre plat et musclé. Ayant fini nos verres, je lui proposais de dormir quelques heures car la journée allait être riche en émotions pour nous. Après un tendre baiser, nous avons éteint et sommes partis au pays des songes.
La suite très bientôt
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