Un Bal

Un soir de bal

C’est le repas de fin d’année pour le club local de rugby et c’est aussi l’occasion d’une soirée dansante ; cette année la salle est pleine et c’est plus de 100 personnes qui se trémoussent ; la soirée est très réussie. Nous sommes de sortie avec un couple d’amis, des vrais ,à tout point de vue et à notre table un jeune couple et deux joueurs du club ; l’ambiance est sympa et nous taquinons les deux joueurs sur leurs musculatures ; il est vrai qu’ils sont particulièrement musclés, un peu trop à mon gout ; Mico ,malicieuse, pose la question qui « tue » : « tout est comme cela ? », et leur réponse est tout aussi rapide « c’est à vérifier ! » la jeune femme semble gênée, mais le rire de nos deux compères remet tout le monde à l’aise et Mico fière de son coup part danser.
Il est une tradition lors de ces soirées : une dizaine d’hommes s’assoient, les jambes emboitées et le jeu consiste à se jeter en bout de la rangée et propulsé à l’horizontale par les bras tendus on se retrouve à l’autre extrémité, avant soit de prendre place sur la file soit de recommencer, et ce au rythme d’une musique endiablée ; les jeunes s’en donnent à cœur joie, au grand plaisir des spectateurs, car le trajet n’est pas toujours droit et cela donne parfois des positions peu académiques, mais sans danger ; c’est sans doute pourquoi peu de femmes se risquent mais bien entendu Mico et Laure sont de la partie ; Laure , la quarantaine, 1.70, un bon 95 est vêtue d’une robe souple, sagement déboutonnée et laissant découvrir le sillon de ses seins, Mico a mis un corsage et une jupe à godet ; pour ses dessous , un string, un porte jarretelle et des bas noirs ; il est facile pour moi de deviner la suite ; en effet si le premier passage est relativement sage, il n’en découvre pas moins les dessous de nos deux femmes. Par contre dès le deuxième, les mains deviennent beaucoup plus baladeuses et elles se font littéralement peloter et le passage est beaucoup plus mouvementé, ce qui découvre encore plus leur intimité et ce sous les hourras des joueurs ; à la fin , soit après quatre passages, leur tenue est des plus osée ; Laure à la robe ouvert et ses seins sont à découvert et Mico à la jupe sur les fesses et le corsage à moitié défait ; si elles ne sont pas les seules, deux autres ont participé, il ne fait aucun doute que les regards sont surtout sur elles et quand la danse reprend sur un slow, elles sont très vite invitées ;Mico est dans les bras d’un grand gaillard et laure est accaparé par un de nos convives ; très vite les mains du cavalier à Mico se baladent sur ses fesses et sans discrétion, il les presse, collé contre elle ; je pense qu’elle doit sentir son sexe et je devine son excitation car quand elle me regarde en passant, ses yeux sont brillants et son petit sourire vers moi en dit long ; pour ma part j’ai invité ma voisine mais je ne les quitte pas des yeux, et avant la fin je les vois prendre la sortie, suivi de peu par le pilier de notre table.

Pour sa part Laure est en bonne main et son cavalier n’est pas en reste, collé contre son ventre, une main sur les fesses et l’autre sur un sein.
Il me faut un peu de temps pour les retrouver ; ils se sont réfugier dans un bureau et Mico est encadré par les deux joueurs, sa jupe et son corsage sont à ses pieds et ses seins sont sortis de leurs bonnets et il ne lui reste plus que ses bas et son porte jarretelles ; la vue est bandante; à mon entrée , ils ont un geste de recul mais un doigt sur mes lèvres suffit à les rassurer ; leurs mains reprennent leur jeu et sa chatte est bientôt fouillée par deux doigts vigoureux . « Tu vas pouvoir vérifier si le reste est à la mesure de nos muscles « ; c’est notre convive qui vient de parler et joignant le geste à la parole, il sort un membre gonflé et bien raide de son pantalon ; rien à redire, court mais gros son sexe est parcouru de petits soubresauts ; la faisant se pencher en avant il lui présente sa queue et lui enfonce dans la gorge ; sans ménagement il se branle entre ses lèvres ; et se retournant vers moi « y’a pas à dire elle sait ce qu’elle veut et elle va l’avoir » pendant ce temps l’autre joueur a sorti sa queue et profitant de la position de Mico, il la plante dans la chatte ; la brusque pénétration la surprend ; mais n’a aucun mal, car son plaisir est visible et sa chatte doit être bien lubrifiée ; tout en surveillant l’entrée, je n’en perds pas une miette et je me soulage en ma masturbant ; sans avoir éjaculé, les deux compères changent de position et c’est maintenant notre pilier qui la fourre d’une seule poussée ; Mico pousse un cri de douleur mais très vite il se transforme en gémissement ; il ne la ménage pas et rapidement, oubliant de sucer l’autre , elle jouit, étouffant ses cris en mordant l’épaule ; se retirant de sa chatte, il éjacule sur son visage, bientôt suivi par son compère qui lui emplit la bouche, lui tenant la tête pour qu’elle avale sa semence ; se rhabillant rapidement, ils s’esquivent, la laissant là , la jute coulant sur son visage ; et pourtant elle est radieuse et quand je m’approche, elle me traduit son plaisir : « en dansant, je l’avais excité et je lui avais demandé de me baisser comme une pute »
« Je crois que tu as eu ce que tu voulais, mais je crois qu’il ne va pas en rester là » nous en reparlerons, mais il faut revenir dans la salle, nos amis vont se demander où nous sommes » le temps de se rajuster et nous voilà de retour ; le jeune couple est parti, et notre ami est seul avec un joueur ; « où est Laure demande Mico ? » Michel est un peu gêné « je pense qu’elle est dehors, occupée » « je vois que je ne suis pas la seule à apprécier le rugby » c’est encore une sortie de Mico, mais elle a le mérite de détendre Michel et la soirée se continue avec beaucoup de bonne humeur.
Je ne m’étais pas trompé ; notre pilier a fait des pieds et des mains pour revoir Mico et finalement elle a terminé un après match dans les vestiaires lors d’un déplacement et bien entendu, ce qui devait se produire est arrivé ; chahuté par les joueurs, sans doute déjà au courant de l’attitude de Mico, très vite elle a finit dans le traditionnel bassin , toute habillée ; pantalon et pull trempés, le bain a vite dérapé et elle s’est retrouvée en string et soutien gorge, pelotée de toute part par de vigoureux gaillards, le dard très vite à l’horizontal ; devant mon attitude bienveillante, les mains sont vite entrées en action, lui plotant seins et fesses sans vergogne, pour finir totalement à poil, les seins fièrement tendus , les pointes en érection sous l’action de doigts de plus en plus inquisiteurs ; manifestement quelques uns devaient lui fouiller la chatte car la tête renversée, elle commence à gémir ; si plusieurs ont quittés le bain , il en reste encore 7 ou 8 et ceux là ne lâchent pas le morceau. Sûr de mon accord, un fort gaillard la prend dans ses bras la soulève et l’empale sur sa queue ; adossé sur un autre joueur, elle se laisse pilonner le ventre et ses cris de plaisir résonnent bientôt ; j’ai l’impression de la voir jouer à la chaise tournante car elle passe finalement de bras en bras, ou plutôt de queue en queue ; elle jouit sans arrêt et finalement je m’aperçois que ce n’est plus un mais deux queues qui lui remplissent la moule ; je n’ose pas me masturber devant tout le monde , mais ma bite est tendue et il s’en faut de peu pour que j’éjacule dans mon pantalon ; fourbue, baisée sans complaisance, Mico sort enfin du bain et si il fut facile de retrouver son pull et son pantalon, je pense que le string et le soutien gorge sont devenus trophée de guerre pour certain car ,je n’ai pas pu les retrouver et c’est dans un « grand survêtement « d’un joueur qu’elle a pris le car pour le retour , voyage qu’elle a effectué , lovée sur moi, vaincue par le match qu’elle venait de faire.