La Suite Du Lounge
Les suites du lounge
Mon patron mappelle dans son bureau, et à ma grande surprise, il mannonce son départ et me prenant par les épaules, il mannonce son désir de me garder à son service dans sa nouvelle fonction, mais loin de notre domicile ; je suis surprise de son attitude car il a toujours gardé ses distances ; afin de me décider, il me précise quil a fait la même proposition à Bernard. Celui-ci a accepté. Soudain cest la panique, car je comprends que Bernard na pas tenu sa langue et que mon patron est au courant de mes exploits. Dailleurs ses mains sont de plus en plus baladeuses et elles me caressent maintenant les seins à travers mon corsage. Me reprenant, je me lève et en quittant le bureau, je lui annonce que je ne souhaite pas quitter la région et que je préfère rester dans cette boite.
Furieuse, je me précipite dans le bureau de Bernard et je lui reproche son manque de discrétion et en effet il vaut mieux quil parte car autrement je lui mènerai la vie dure. Son étonnement est complet et il massure quil na parlé à personne de notre soirée ; je ne sais plus quoi penser et je me retire vers mon bureau, que je quitte rapidement. Le lendemain matin , mon patron vient dans mon bureau et en sexcusant de son attitude, il me donne lexplication « je vous ai vue sortir de lounge avec Bernard et les autres et au vue de vos attitudes, il nétait pas difficile de comprendre » je suis rouge de honte, mais à nouveau il me reprends les épaules « vous êtes une très jolie femme et jai toujours eu envie de vous ; si jai gardé mes distances , cest en raison de notre boulot, mais comme maintenant la situation est différente, jai pensé que nous pourrions en profiter. Je ne sais plus quoi dire ; mon patron est un bel homme, la cinquantaine, sportif et courtois ; comprenant ma gène, il quitte le bureau
De retour à la maison je discute avec Jean de la situation et ensemble nous convenons de ne pas quitter la région en raison, entre autre, du travail de mon mari.
« Alors soit à moi tout le week end et dans ce cas je te promets des surprises » « Pour moi je suis daccord, mais il me faut laccord de Jean, cest lui qui décidera »
Il me ma pas fallut beaucoup deffort pour obtenir laccord et si ce ne fut pas pour tout le week- end, je serais à lui jusquau samedi matin ; il va sans dire que cet accord a été conclu après plusieurs pénétrations de mon mari, afin de me préparer, dit-il, comme si mes orifices avaient besoin de cela et cest lui qui a choisi mon habillement à savoir un string et des bas noirs tenus par un porte jarretelle en dentelle, un soutien gorge demi balconnet soutenant mes seins , même sils nen ont pas besoins , les pointes débordant au dessus de la dentelle ; une jupe porte feuille et un corsage en voile transparent complète le tableau ; avant de me laisser partir, jean me plante deux doigts dans la chatte, et les ressort plein de cyprine « ma petite femme est une belle salope , mais je taime ainsi » et me plaquant un baiser sur les lèvres, il ouvre la porte, me livrant à mes phantasmes.
Bernard a réservé un gite en pleine forêt et quand jarrive la cheminée crache des volutes de fumée ; mon mâle doit mattendre ; je nai pas besoin de sonner, la porte souvre et dans lencadrement de la porte, cest mon patron qui maccueille, suivi de Bernard, un grand sourire aux lèvres. « Je tavais promis des surprises et sen ai une » cest Bernard, le fourbe, qui vient de parler. Puis Christian enchaine« Je ne suis plus ton patron, simplement un homme qui brûle de te prendre et je pense que tu en as autant envie que moi » Je dois reconnaitre que si la surprise est totale, mon ventre sest brutalement embrassé à la vue de mon patron, pardon de Christian ; en pantalon clair, la chemise grande ouverte sur un torse légèrement poilu, il a fier allure ; et très courtoisement, ils mentrainent vers le salon où les coupes sont prêtes, accompagnées damuse bouche. La coupe a vite fait de me détendre et je me laisse bercer par les compliments des deux hommes ; leurs mains me caressent les jambes et ma jupe ne tarde pas à sécarter et le frottement sur le nylon me fait frissonner ; je me laisse glisser sur le bord du canapé, car brutalement jai envie de leurs doigts dans ma chatte ; le mouvement leur fait découvrir le porte jarretelle et mon string, coincé entre mes petites lèvres, et déjà plein de cyprine ; tout en douceur, les deux mâles me dégrafent la jupe et le corsage ; mes tétons sont tendus, ressortant des balconnets ,deux bouches viennent se poser dessus et leurs langues les agacent ; mes mains se posent sur leurs braguettes et caressent les bosses déjà proéminentes ; leur douceur ménerve ; jai envie de me faire prendre par cet homme que jai servi pendant 10 ans, jai envie de sa queue ; en réalité jai envie quils me baisent ensemble.
Deux doigts viennent enfin me fouiller la chatte pleine de jute, bientôt suivis par un troisième ; mon ventre monte à la rencontre de cette main, je la veux en entier entre mes lèvres ; jaime me faire fister.
Javais oublié la présence de Bernard. Lui pas, car memprisonnant les hanches, sa queue me pénètre brusquement ; il na pas de mal car ma chatte, dilatée par le plaisir et par sa main , est pleine de jute et sa queue coulisse facilement ; il me besogne avec vigueur et il ne tarde pas à se répandre dans mon ventre. Bizarrement, je nai pas beaucoup joui avec lui et je me surprends à désirer me faire labourer par Christian ; je ne vois plus le patron, mais un homme plein de charme, physiquement attirant et jai soudain limpression que je deviens amoureuse de lui ; je me love dans ses bras, telle une chatte.
Un bon repas était prévu et cest très décontractée que la soirée se prolonge ; je ne me suis pas rhabiller et seule la chemise, non fermée de Christian recouvre mon corps ; les deux hommes sont nus et leurs sexes ne tardent pas à me montrer leurs désirs. Cest Bernard qui attaque le premier en mallongeant sur le tapis devant la cheminée ; mécartant les cuisses, sa bouche vient se poser sur mon sexe et sa langue sinfiltre entre mes lèvres ; je suis encore pleine de sa jute et il doit la gouter car il me lape et sa langue va au plus profond ; il sait sy prendre et une douce chaleur menvahit rapidement et je commence à râler doucement, les yeux fixés sur Christian, qui la queue tendue se masturbe ; son regard est doux et une nouvelle fois, mon cur chavire ; Bernard me met à quatre pattes, et sa langue vient me taquiner le sillon ; je coule de plaisir et quand son gland se plaque sur mon anneau, je ne peux retenir un grognement de plaisir ; lentement il pousse et sa queue pénètre dans lantre encore serrée ; une douleur me traverse le corps quand lanneau est perforé, puis progressivement il accentue la pénétration ; un mélange de douleur et de plaisir fait monter mon plaisir ; Christian se glisse sous mon ventre et son sexe vient buter sur mon clito ; maintenant cest de sa bite que jai envie et quand il me prend, ma bouche se plaque sur la sienne ; je me serre sur son torse et si cest Bernard qui donne le rythme, jai limpression de ne sentir que le sexe dans ma chatte ; jai deux amants qui me baisent, lun avec fureur , lautre avec douceur, et cest presque avec soulagement que je sens Bernard se libérer dans mes entrailles. Quand il se retire enfin, Christian me bascule sur le dos et je suis enfin à lui ; dès les premiers coups de queue, je ne peux me retenir :
« Je suis à toi, fais moi lamour, baise moi ; jai envie de ta queue dans mon ventre ; fais moi jouir »
« Je vais te garder ; aujourdhui tu es à moi, je suis ton amant, ton maitre et tu le seras jusquà mon départ »
Il me défonce complètement la chatte tout en me pinçant les tétons , rouges de douleur ; je suis fascinée par lui et je croule de bonheur ; à chaque coup de butoir, mon corps est parcouru de frissons ; jai envie quil me remplisse le ventre , mais lui maitre de son plaisir, fait durer mon plaisir ; je ne maitrise plus mon corps , il est à lui, il me fait jouir de tous mes sens et il le sais ; me faisant changer plusieurs fois de positions, il mamène à sa jouissance, la mienne étant permanente depuis longtemps, je râle, je gémis , je cris mon bonheur ; ma chatte coule autour de son sexe et je ne suis plus quune femelle en feu ; jai complètement oublié Bernard. Le temps sest écoulé et il me baise toujours ; je ne sais comment il fait, mais à chaque fois que je le sens prêt à jouir, il se dérobe pour mieux me faire grimper aux rideaux la minute suivante ; écartelée, baisée, enculée plusieurs fois, il me possède complètement et quand enfin, il se lâche, son sperme, frappant mon antre, déclenche une nouvelle montée de mon plaisir ; mon corps se cambre et dans un grand hurlement, je mécroule épuisée sous lui.
Quand je reviens à moi, nous sommes seul, Bernard a disparu, sans doute sur ordre de mon amant ; je découvre que je suis prête à tout pour lavoir près de moi. Toute la nuit, infatigable, il ma prise plusieurs fois, jouant avec mon corps, mais aussi avec mon cur et quand, le lendemain matin, me laissant devant ma porte, mon maitre ouvrit sa vitre et me dit « à lundi, dans mon bureau » jespérais que sétait pour me sauter.
Epilogue : pour une fois, de retour près de Jean, jai pris lexcuse de ma fatigue pour ne pas parler de ma soirée et plus tard, jai gardé pour moi, ma soudaine émotion pour Christian et surtout ma dépendance à ses volontés ; en effet , les derniers jours de sa présence (15 jours), il ma prise plusieurs fois par jours dans son bureau, me laissant après la première pénétration, le reste de la journée sans mon slip, de façon à pouvoir me baiser à sa volonté ; ma bouche, ma chatte, mon cul ont été copieusement remplis de son sperme , avec linterdiction de me faire prendre par mon mari, ce qui fut le plus dur à réaliser car je ne voulais pas lui dire la vérité : javais un véritable amant que jaimais pour la première fois.
Il ma fallut longtemps avant de lui dire et je lai payé très cher avant quil me le pardonne, mais cest une autre histoire.
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