Délicieux Cadeau
Par une belle soirée d'automne, l'air est frais mais le soleil réchauffe l'atmosphère.
Dans une rue de Paris, une jeune femme avance à la recherche d'un magasin où elle pourrait faire un cadeau à son mari.
Elle n'a pour l'instant aucune idée de ce qu'elle pourrait lui offrir, alors elle erre dans les rues en se disant qu'elle finira par avoir une idée. Depuis ce matin elle est gaie et pétillante, elle se sent belle, désirable et séduisante, elle a donc choisi ce matin une tenue qui la mettait en valeur.
Une jupe fourreau noire qui lui monte sur la taille et galbe bien ses fesses, un chemiser blanc et noir qui laisse entrevoir la naissance de ses seins, des bas résilles caressent ses jambes et à ses pieds une paire de petite ballerine. Par dessus, elle porte un trench gris, dans ses cheveux un foulard blanc, à sa main son petit sac fétiche noir avec de grand anneaux comme poignée et sur ses yeux une paire de lunettes noires.
Elle continue sa déambulation regarde à gauche et à droite à la recherche de l'intuition qui lui fera trouvé le cadeau parfait. Soudain elle aperçoit une armurerie, son mari est friand d'arme à feu et de collection. Elle regarde la vitrine, hésite un peu, il est pratiquement 19h et tout va bientôt fermer et elle fini par entrer.
La boutique est accueillante, des couleurs apaisantes. On ressent l'ambiance masculine et en même temps c'est un endroit feutré et dépaysant. Dépaysant par les animaux accrochés aux murs et par toutes ses armes de différentes origines. Elle regarde et fait le tour du pupitre central, elle se dit que se serait parfait pour son mari. Au bout de 5 minutes qui lui semblent bien longues, étant donné qu'elle est seule dans ce magasin, personne ne vient. Elle se décide à sortir, elle est sur le pas de la porte quand elle entend : Madame puis-je vous aider ?
Tu es revenu de ton bureau à l'arrière du magasin, et tu la vois auréolée de la lumière tamisante du soleil d'automne.
Tout en avançant vers le fond de la pièce où tu te trouves elle te dit : Bonjour Monsieur, je suis à la recherche d'un présent pour mon mari qui est chasseur et collectionneur.
Tu ne comprends pas exactement ce qu'elle te dit, car tu t'imagines déjà en train de la déshabiller.
Elle surprend ce regard déshabilleur que tu portes sur elle, elle s'en amuse. Elle aime faire l'objet de fantasme pour les hommes. Elle tourne donc autour de toi en te frôlant les mains et la cuisse de ses doigts. Elle se dirige vers la porte, la ferme et tourne le bouton qui permet de la fermée. Tu la regarde incrédule et envoûté. Elle s'avance de nouveau vers toi, pose son sac et ses lunettes sur le meuble central, laisse tomber son manteau sur le sol, s'approche de plus en plus. Toi tu es là appuyé sur ton bureau à ne rien y comprendre et à être subjugué par cette divine personne. Elle est arrivée devant toi, prend ta tête dans ses mains et elle t'embrasse fougueusement et longuement. Tu pose tes mains sur sa taille, une descend sur sa croupe. Elle s'arrête, te regarde droit dans les yeux et te dit : Fais de moi ce qu'il te plaît. Fais de moi ta maîtresse et fais-moi jouir comme personne ne l'a jamais fait.
Tu l'accroches par les hanches, la fait reculer et l'assoie sur le meuble central.
Tu l'embrasses de nouveau tout en déboutonnant son chemisier. Tu caresse le haut de ses seins, la partie qui n'est pas recouverte de son soutien-gorge. Tes mains glissent sur ses épaules pour ôter ce chemisier qui est de trop. Elle se laisse aller, les yeux clos et la tête en arrière. La chaleur monte en elle, une boule se forme dans son ventre, c'est le désir qui se fait sentir.
Tu lui embrasses le cou, les seins, le ventre, tu veux découvrir tout son corps, sentir son parfum. Tu remontes et passe une main derrière sa nuque et l'autre sur la poitrine, tu l'invites à s'allonger. Elle obéit, elle ta dit de faire ce que tu voulais d'elle.
Tu descends la fermeture de sa jupe, elle soulève les fesses et tu retires immédiatement ce morceau de tissu. Elle porte des sous-vêtements de dentelle rouge, un string et des bas noirs. Tu poses tes mains sur ses épaules, descend sur ses seins, son ventre, ses cuisses, elle tressaute, tu glisses jusqu'à ses pieds et lui retire ses ballerines.
Tu la regardes, là étendue, offerte à toi. Elle te sourit et te dis : Lèche moi !
A ton tour, tu obéis.
Tu te penches vers son entre-jambe, embrasses ses cuisses, son sexe par dessus le tissu de son string rouge. Tu la sens frémir, tu l'entends doucement gémir d'envie. De tes doigts experts, tu écartes le tissu et insinue ta langue. Tu sens sa peau douce, ses lèvres sont chaudes et déjà humides. Tes mains restées sur ses cuisses lui arrachent le string, tu caresses de nouveaux ses jambes, tu passes sous son cul, il est doux lui aussi. Tu continue ce jeu de langue, elle a pris ta tête dans ses mains, te caresse les cheveux. Elle te fait sentir ce qu'elle aime en accentuant la pression sous ses doigts. Ta langue va et viens dans son con pendant que ton index titille son clitoris.
Tu décides de te relever et de t'occuper de ses seins que tu vois pointer à travers son soutif. Tu lui demandes de le quitter, elle s'exécute. Ton majeur entre en elle, elle aime ça et te le dis. Vas-y j'aime tes doigts, je vais les sentir au plus profond de moi.
De ton autre mains tu prends un de ses seins et le palpes, l'englobes, ta bouche est venu prendre l'autre téton. Ses jambes sont venu t'encercler au niveau de la taille, elle s'est relevé pour elle aussi te caresser.
Ton majeur n'arrête pas et ton pouce vient sur son clitoris, elle s'approche du bord du meuble pour mieux sentir tes doigts.
Tu la vois se mordiller les lèvres, elle est au bord du plaisir. Tu choisis de t'arrêter, elle retombe en arrière, tu ôtes ta chemise. Tu la prends par les mains, la relève, lui dis : descend ! Suce-moi !
Tu l'embrasses les mains autour de sa tête.
Tu l'accompagnes dans sa descente à genoux, elle dégrafe ton pantalon, baisse ton caleçon, ta queue sort toute raide et arrogante.
Elle la caresse, te regarde dans les yeux et l'embouche. De sa langue elle tourne autour de ton gland pendant que ses doigts jouent avec tes boules. Elle fait des va et viens, serre et relâche ses lèvres et la pression. Elle caresse tes fesses. Tu sens le plaisir monter, tu fermes les yeux pour pouvoir contrôler.
Elle aime te sentir dans sa bouche, elle lève les yeux et te regarde d'un il gourmand. Ses mains remontent dans ton dos, et tu sens ses ongles qui te laissent leur empreinte sur ta peau. Tu gémis, tu lui dis : vas y suce moi, lèche moi.
Tes mains sont accrochées au meuble, tu les serres pour ne pas lâcher prise.
Tu n'en peux plus mais tu ne veux pas jouir tout de suite, tu en veux plus, tu n'as pas encore assez joué. Tu lui demande de se relever, vous êtes nus face à face, vos lèvres se rejoignent et tu l'embrasses fougueusement. Tu la tiens pour ne pas qu'elle se dérobe. Tu la retourne dos à toi, tu peux comme ça la respirer, lui embrasser le cou et tes mains peuvent caresser ses seins ou lui caresser la chatte. Elle sent ta verge lui frôler les fesses.
Elle se cambre, cherche tes lèvres en basculant sa tête vers l'arrière. J'ai envie de toi, baise moi !
Tu lui demandes de prendre appui vers l'avant, ainsi son cul s'offre à toi. Tu le prends, le tâtes, l'embrasses. Tu écartes ses lobes et ta langue lèche son petit trou, tu descends jusqu'à sa chatte.
De ta main tu guides ta queue vers son sexe et la pénètre. Elle étouffe un cri.
Les mains sur ses hanches tu t'accroches pour qu'elle te sente au maximum. Elle te dit vas y continue c'est bon.
Tu mouilles un de tes doigts et va caresser sa rosette, doucement tu entres tout en continuant les vas et viens dans son vagin.
Tu souhaites voir le plaisir s'inscrire sur son visage, tu te retires, la relève et l'emmène sur ton bureau.
Elle te crie qu'elle aime ta queue, qu'elle en veut encore, qu'elle n'en peut plus.
Tu accélères, son visage rougit, il ruisselle. Tu lui dis viens lâche toi, j'aime ta chatte. T'es brûlante, tu la sens?
Elle te répond que oui qu'elle va jouir, elle se relève t'atts par le cou et enfouie son visage dans ton cou pour ne pas hurler de plaisir.
Toi aussi tu as joui, votre étreinte se desserre. Un dernier baiser et un dernier regard avant de se rhabiller.
Elle choisit une arme, l'emporte se dirige vers la porte. Elle se retourne et te dis : à demain je crois que je n'ai pas pris les munitions correspondantes.
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