Sublimement Soumise 6 : La Nuit Avec Mon Ennemi...
Mon bandeau ôté mais les mains toujours liées dans le dos, Christophe me mène dans les interminables couloirs et je le suis docilement, attentive à ne pas tendre la laisse, le silence seulement rompu par le tintement des clochettes.
Une fois arrivés dans la chambre, il me débarrasse de mes grelots et sans lâcher la laisse, s'assoit sur le lit et me regarde attentivement. Je baisse la tête en évitant son regard, consciente qu'il est en train de sonder mes possibilités et mes réactions. Le souffle court, toutes les fibres de mon corps tendues, j'attends, comme à la merci d'un prédateur.
Il me tire vers lui et suit du doigts les marques qui parcourent mon corps. Ses coups de cravache ont laissé des traces : même s'ils ne sont pas extrêmes, je marque vite. Je frémis en sentant ses doigts parcourir mon épiderme, sollicité au delà de toutes les limites possibles et imaginables depuis vendredi soir. Je réalise que le dressage auquel je suis soumise depuis des heures provoque une amplification de toutes mes sensations. Le moindre centimètre de peau est réceptif aux caresses, aux perceptions de mon environnement. Mes sens n'ont jamais été éveillés à ce point.
" il n'est que 22 h ma petite, j'ai encore du temps pour toi " me lâche mon gardien. Et se levant, il va fermer la porte de cet espèce d'appartement où nous nous trouvons à clé, puis revient dans un silence lourd de menaces.
" à partir de maintenant, tu ne peux plus fuir nulle part. Tu es à moi pour toute la nuit ".
" Oui Maitre ". Ma réponse est dite dans un souffle.
" Quoi ? "
" OUI MAITRE " dis-je d'une voix plus forte.
" Bien " me répond t'il d'un air satisfait. " Mets toi au milieu que je t'inspecte ". Je me rend où il me l'a indiqué, sur un espace libre au pied du lit.
Ses mains me parcourent. Je ferme les yeux, craignant que comme il me l'a appris, il ne soit saisi d'un accès de brutalité et ne me violente.
Il me caresse partout, jouant doucement avec mes seins, les explorant délicatement, assez étonnamment par rapport à ce qu'il m'a montré de ses manières. Puis il descend vers mon ventre, mon dos... Chaque cm de mon corps est touché, légèrement pincé, caressé. Je gémis de plaisir.
" Tu aime être touchée comme ça ? " me dit-il.
" Oui Maitre... Mais j'ai très peur de vous Maitre ".
" Tu n'es pas au bout de tes surprises ".
Il continue à descendre, massant mes jambes, puis mes chevilles. Il se relève et après m'avoir ordonné de ne pas bouger, rapporte une chaise.
" un pied dessus " m'ordonne t'il. Je lève une jambe, ce qui rend mon entrejambes plus accessible.
" tiens-toi droite, ne bouge pas ".
Je sens ses doigts qui continuent leur exploration. Il s'agenouille devant moi, m'écarte les grandes lèvres, puis les petites, tirant sur ces dernières pour dévoiler mon intimité.
J'ai le souffle court. Il mouille son doigt sur mes sécrétions, puis descend vers mon vagin, le pénétrant délicatement. Je me cambre sous la caresse. Un autre doigt vient rejoindre le premier. Je les sens s'agiter dans mon sexe, s'écarter, venir frotter mes zones sensibles. Des décharges électriques me parcourent le corps. J'ondule, je feule, je suis totalement impudique.
" tu vas jouir au delà de tes espérances ma petite "
Je sens son autre main se diriger vers mes fesses, un autre doigt me pénètre l'anus, mais je laisse échapper un cri de douleur. J'ai vraiment trop mal par là, la dilatation précédente m'a trop e et la double pénétration qui a suivi n'a rien arrangé !
Il cesse sa caresse anale et continue à me stimuler le vagin et le clitoris. Je sens que je suis au bord de l'orgasme et je le lui dit, bien dressée. Une soumise doit informer son maitre de son prochain plaisir :
" Maitre je vais jouir ".
" Non " son ordre claque.
Il continue de stimuler mes zones érogènes, je crie mais il ne cède pas. Je dois utiliser toute ma volonté pour repousser mon plaisir : si je jouis, il sentira mes spasmes avec ses doigts plantés en moi... Je réussi à retarder l'échéance.
" tu es une bonne soumise " me dit-il, accélérant ses attouchements. " Va y maintenant ".
Je sens un feu d'artifice monter le long de mes reins. Avec un cri d'animal, je sens la jouissance m'emporter, plus puissance que jamais. Christophe m'accompagne, les doigts solidement plantés en moi, me maintenant d'une main de fer et continuant à me caresser pendant que je plie sous les spasmes. Je manque de m'écrouler, mais il se redresse et me retient en me plaquant contre lui.
" Il me semble que tu as un peu le cul en feu n'est ce pas ?"
En sueur et haletante, encore shootée des caresses reçues, j'acquiesce.
D'un geste, il me fait me placer contre le dossier de la chaise, puis me penche en avant, les bras posés sur l'assise. Il me fait ensuite placer les pieds contre les pieds de la chaise, me maintenant ouverte et penchée en avant.
Il s'absente et revient rapidement, avec deux tubes. Enfilant des gants en latex, il m'applique l'un des produits sur mon petit trou, me massant délicatement autour et dedans." ca va décongestionner tout ça " me dit-il. " Tu n'es pas blessée, juste irritée ". Effectivement la douleur s'atténue.
Il me relève et m'entraine vers le lit. Il me bande les yeux, me détache les poignets et m'allonge sur le dos sur les draps. " nous allons pouvoir passer aux chose sérieuses... " me dit-il. Je me demande de quoi il veut parler, après le fulgurant orgasme que je viens d'avoir.
Il me lie les mains à la tête du lit, me glisse un petit coussin sous les reins pour basculer mon bassin en avant, puis me fixe les chevilles, très écartées, à chaque coin du lit. Je frissonne, je suis complètement à sa merci, sexe offert, cambrée, impudique.
Je sens sa main sur mon sexe : il me décalotte le clitoris, celui-ci est hypersensible, je frémis. Soudain je sursaute : il étale un produit précisément sur cette zone et autour puis me masse. Je gémis fortement, le contact est à la limite du tolérable.
" ne bouge pas, tu vas découvrir de nouvelles sensations très bientôt ".
Effectivement, je sens rapidement une sensation de chaleur qui irradie au plus profond de mes fibres. Comme si toutes les perceptions de mon corps venaient de migrer vers cette zone, s'y concentrer.
Christophe se penche vers moi et me susurre " pas mal hein ? "
" Oui Maitre...C'est quoi Maitre ? "
" un petit liquide pour exciter les zones sensibles... On en trouve très facilement en sex-shop " me répond t-il.
Je suis écartelée de sensations. Mon clitoris vient encore de faire un bond de sensibilité, je n'ai qu'une seule envie : me faire baiser comme une chienne, me faire ouvrir, perforer, pénétrer, que Christophe me prenne sans ménagements avec son sexe dressé.
Mais il n'en fait rien. A la place, il commence à promener ses mains sur mon corps, me touchant sans prévenir à des endroits différents, m'effleurant avec des objets divers : je reconnais une plume, puis un glaçon, qui me fait sursauter et dont j'ignore d'où il sort...Ces artifices ont le résultat de m'exciter encore plus, me rendre encore plus à l'écoute, plus chaude et ouverte. J'attends qu'il veuille bien me prendre. Mon clitoris est dressé au maximum, je sursaute au moindre effleurement.
Je sens la bouche de Christophe qui se pose délicatement sur mon sexe et vient butiner mon petit bout de chair, le suce, l'agace. Sa langue tourne autour, exerçant des pressions diverses. Mon bouton pointe, totalement excité. Je monte en pression et je commence à... Hululer serait le bon terme : je crie de façon ininterrompue et modulée au rythme de ses caresses. Il m'enfonce un doigt dans le cul, puis deux, je n'ai plus mal et ces attouchements me font monter au ciel.
Presque malgré moi, je sens la vague monter, j'ai à peine le temps de le prévenir, j'ai déjà du mal à articuler : " Maitre je vais jouir " . Heureusement, il m'ordonne " tu peux " et j'explose pour la deuxième fois avec encore plus de violence que la précédente, dans un cri rauque qui semble interminable...Mon vagin et mon anus se contractent rythmiquement en puissantes ondulations qui se répètent pendant un temps infini, indiquant la force de mon plaisir.
Mais Christophe n'arrête pas sa caresse, ne me laissant aucun répit : au contraire, il continue ses stimulations sur mon clitoris, douloureux tellement il est gonflé de plaisir. J'essaye d'éviter son contact mais il me bloque fermement avec son autre main et me donne un ordre cinglant " tu restes immobile, écartes soumise ! ". Je ne peux que cesser de remuer à l'ordre et tourner la tête en gémissant sous ses infernales caresses...
Il arrête quelques secondes et revient avec un bâillon boule qu'il m'insère dans la bouche. Plus pour le fun qu'autre chose, car j'ai bien compris que je peux hurler tout mon saoul, personne ne viendra. La bouche maintenue ouverte, je bave, mais ca n'arrête pas mes gémissements. Il me fixe des pinces de chaque coté du sexe sur les lèvres puis les scotchent sur mes cuisses, dénudant mon clitoris encore plus. Ensuite, avec un petit rire, il se mouille le doigt et commence un massage très précis, en cercle, de cet organe. Je sursaute, ce contact me fait comme des décharges électriques. C'est insupportable, carrément douloureux, mais au bout d'un moment, alors qu'il continue patiemment, précisément, je sens de nouveau mon plaisir remonter en vagues, comme un raz de marée incontrôlable. Je ne peux que lui baver entre deux hoquets " je vais encore jouir Maitre "
" très bien tu es une bonne petite chienne me répond t-il vas-y ".
En me concentrant j'essaye de repousser l'échéance, car je sais qu'ensuite de nouveau je serai trop sensible et que mon clitoris ne supportera plus le contact. Il le sent et diabolique, accélère le rythme. Un nouvel orgasme me terrasse... J'ai l'impression que je ne vais jamais redescendre : je flotte en hauteur, déconnectée de la réalité, toutes les fibres de mon corps sont fondues dans la pièce, j'ai la sensation de me dissoudre de plaisir.
J'entends Christophe rire légèrement : il a deviné mon état et s'emploie à tirer de mon corps d'autres hurlements, encore et encore. Mon sexe et tout mon corps lui appartiennent, il en joue comme d'un instrument de musique. je n'ai jamais été e comme ça, poussée à jouir encore et encore, en subissant des orgasmes à répétition. Au final, c'est peut-être une pire que les autres... Mais délicieuse. Je suis dans un état second quand il cesse enfin ses caresses, puis m'ôte le bâillon.
Il dénude son sexe et monte jusqu'à ma bouche. Je le suce avec application et il ne tarde pas à afficher une belle érection. Il enfile un préservatif, se positionne alors entre mes jambes et me pénètre sans préambules. Je sens son membre tendu faire de puissants va et vient dans ma chatte, je dégouline de plaisir. Chaque millimètre de mon vagin se referme sur sa queue, chaque fibre de mon corps apprécie ce contact que j'aurais refusé la veille au soir. Je me donne à Christophe sans retenue ni pudeur, le bassin jeté en avant pour accompagner ses mouvements, des mots et des cris sortant de façon incontrôlable de ma bouche " ouiiii, baisez moi Maitre " ," oui ahhhhhh "...
Chaque coup de boutoir qu'il me donne se répercute dans tout mon être.
Il m'att par les cheveux, me colle au lit sans ménagements, me fait sentir sa dominance par ses gestes assurés, le poids de son corps et sa présence, tellement masculine. Je ferme les yeux, le souffle court je sens son sexe durcir encore, se tendre au maximum, ses coups de rein s'accélérer ...Il jouit puissamment, me remplissant profondément de sa queue, me réduisant à la condition de femelle servant son plaisir.
Il s'écroule sur moi quelques minutes, puis reprend ses esprits. Il se retire et m'embrasse avec douceur. Je réponds à son baiser avec timidité mais je n'ai qu'une envie, me lover contre lui. J'ai besoin de tendresse après toutes ces émotions, même s'il elle ne vient pas de Josh. Je réalise que m'avoir fait jouir aussi intensément, m'avoir maltraité comme ils l'ont fait a aussi révélé au grand jour ma féminité et ma sensualité : j'ai été conduite au plus loin du chemin qu'il m'était possible de faire. J'ai envie de me blottir, comme une femelle contre son mâle dominant. C'est un état quasi animal, un besoin, un instinct.
Il me détache enfin. Je gis sur le lit, sans bouger. Je suis vidée. Il se couche près de moi et éteint la lumière. Je me love contre lui et nous nous endormons d'un sommeil de plombs.
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