Chagrin
Cette aventure a commencé bêtement. Dans la station service de lautoroute, je vois une fille en pleurs. Toujours attentive aux événements, je mapproche delle : de ma taille avec une belle poitrine. Je lui demande gentiment pourquoi elle pleure, je la fait pleurer encore plus. Je la prends dans mes bras pour la consoler un peu. Elle pose sa tête sur mon épaule en sanglotant. Pour mieux lui faire dire ce quelle a je relève son visage, ses larmes ne sont pas feintes. Nous sommes tempes contre tempes, ses larmes coulent sur mon visage, une descend jusquà mes lèvres. Je sens son goût salé comme toute larme. Pour la réconforter jai la mauvaise (bonne) idée de lembrasser sur les joues. Elle me laisse faire avant de me rendre mes bisous. Je la tiens serrée, je sens contre ma poitrine la sienne, drôle deffet de sentir ses seins contre les miens. Sa bouche fait un faux mouvement pour se trouver pratiquement sur la mienne. Leffet est presque immédiat : je commence à être excitée. Excitée par une femme, drôle de constat. Jai le courage de lemmener sous les arbres, dans un endroit à labri des regards. Nous nous asseyons sur un petit banc et elle me raconte enfin ses malheurs. Elle était en voiture pour le midi avec son chéri. Depuis quelques temps elle trouvait quil devenait plus distant. Juste avant la station il lui dit quil en a marre delle, la dépose et sen va, sans autre explication.
Evidement dans ce cas, je comprends ses problèmes. Elle est toujours contre moi, je lui passe un bras sur ses épaules. Je ne mexplique toujours pas pourquoi ma main descend sur sa poitrine, instinctivement je caresse un sein. Elle me regarde dun air étonné et pourtant ne me demande pas denlever ma main. Elle se tourne bien vers moi et pose ses lèvres sur les miennes. Jen suis surprise et réponds à son baiser très agréable.
Si quelquun nous voit, il doit penser que nous sommes un couple de lesbienne. Son baiser, ma main sur son sein, elle continue en posant une main sur mon genou.
Ce doit être parce que cest la première fois avec une fille que je jouis trop rapidement à mon gré. Je murmure : encore. Elle recommence sa masturbation. Je jouis encore. Elle sort sa main pour la mettre dans sa bouche et goûter ma cyprine.
Je me dois de lui rendre au moins partiellement ce quelle vient de me faire. Je pose ma main sur son genou. Elle écarte les jambes aussitôt, pose sa cuisse sur la mienne, je suis libre daller sur son bouton. Jy arrive dautant plus vite quelle ne porte pas de sous vêtement. Je trouve sa chatte détrempée. Je caresse son clito à la faire jouir. Pour le prochain orgasme, je ne lui branle pas le clito, je préfère faire une incursion dans sa chatte. Jentre deux doigts dans son vagin. Je la doigte par aller et venue. Elle accompagne mes mouvements. Je sens ses spasmes, je continue encore pour la faire jouir ou moins une fois de plus.
Nous venons de passer une bonne heure à nous conduire en lesbiennes. Je nen ai pas honte.
Elle se remet lentement de sa séparation. Une fois sur laire de la station elle trouve une conductrice compatissante qui la prend pour continuer sa route. Avant de partir, elle me donne le numéro de son portable. Je lui donne le mien.
En septembre je reçois un coup de fil, cest elle qui me demande si par hasard, je ne voudrai pas recommencer une fois à la branler. Elle réveille en moi les souvenirs de jouissance homos.
Et puis, zut, une fois de temps en temps ça doit être agréable. La seule question est de savoir comment nous allons nous aimer, car les caresses sur une chatte sont légères comparées à une baise hétérosexuelle.
Cest notre première fois dêtre ainsi exposées à lautre. Nous pouvons voir nos seins, nos fesses, bref tout ce qui fait une femme. Nous nous couchons cote à cote pour commencer par nous caresser à peut près partout. Nos lèvres suivent les courbes de nos corps. Ces préliminaires nous excitent énormément. Pourtant ni elle ni moi navons envie de jouer à touche pipi.
Jai envie delle comme elle de moi. Je commence la première à passer ma tête entre ses cuisses quelle ouvre. Cest ma langue qui caresse lintérieur de ses cuisse avant darriver dans un oasis de paix, sa chatte. Je cherche à peine son vagin: jentre la langue le plus possible en la faisant tournoyer. Elle se crispe un peu juste au moment de lorgasme.
Je narrête pas là, Mes lèvres lui prennent son bouton quelles aspirent. Par contre deux doigts descendent vers l anus. Jignore si elle aime cette familiarité. Je pose les doigts sur lanus, elle ne fait rien ni me demande de cesser. Jen profite pour entrer mes doigts le plus profond possible. Mes doigts dans son cul, son clitoris dans ma bouche, elle a tout pout jouir, elle ne sen prive pas. Cest à mon tour de me faire sucer. Elle refait à peu près ce que je lui avais fait.
Je jouis comme rarement. Elle me demande de faire un 69. Jaime assez faire ça avec un homme. Mais avec une autre femme quel va être le résultat. Je me trouve sous elle, sentant ce que je ne sens pas avec un homme: ses seins sur mon abdomen. Le reste nest que la resucée de se que nous avons fait séparément. Mais que cest bon de donner du plaisir à celle qui vous ne donne en même temps.
Nous ne nous voyons pas souvent, elle est occupée avec un petit ami et moi, je baise de ci de là, selon mes envies.
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