Premier Fantasme De Ma Femme

Depuis quelque temps ma femme a des fantasmes qui la hantent. Je fais ce que je peux pour la satisfaire. Parfois j’ai du mal à la suivre. Son premier rêve était de faire l’amour dans la nature, dans le fol espoir d’être surprise à tout moment. C’était pour elle une façon de se jouer des lois de la société. Je connais bien la région et lui propose d’aller nous ébattre dans un petit bois à quelques kilomètres. C’était le soir en nous couchant que je lui indiquais le lieu. Elle en était contente :
- Merci de combler mon vœu, il me tarde d’être toute nue devant, qui sait plusieurs personne qui nous voient faisant l’amour.
- Je ne sais pas si quelqu’un viendra nous regarder. Ce que je te promets est de faire tout ce qu’il faut pour.
- Si, on me verra quand tu me la mettras. Elle sera encore plus grosse que maintenant. Et tu me la mettras où ?
- Là où tu veux
- Alors, en levrette et par derrière, j’aime quand tu m’encules.
Je pense mettre trop avancé dans cette affaire. Chose promise chose due. Le samedi après midi suivant nous partons, muni d’une bonne couverture, vers notre « forêt ». J’arrête la voiture juste à l’entrée d’un sentier. Le lieu est choisi par ma femme. Les promeneurs nombreux dans cette saison estivale ne peuvent ne pas voir le véhicule.
Nous allons choisir notre lieu de baise dans une trouée, les personnes passant sur le sentier ne peuvent que nous apercevoir. J’étends la couverture à un endroit potable, sans cailloux. Pendant ce temps ma femme ne tient plus, elle commence à se déshabiller. Je reconnais qu’elle a fière allure nue dans la nature. Dès qu’elle viens sur le couverture, elle s’allonge, écarte ses cuisses pour se toucher l’entrejambe. Quand elle pose ses mains à cet endroit une masturbation n’est pas loin. A mon tour je suis à poils. Je me demande si j’ai bien fait de mettre laisser entrainer dans cette affaire. Malgré mes craintes, je la regarde se donner du plaisir et j’en bande rapidement.


- Viens chéri, viens me la mettre.
- Attends un peu, personne ne nous voit.
- C’est pas grave, ils viendront quand tu me la mettras derrière.
Décidément c’est une idée fixe. Elle se met en levrette, se mouille bien l’anus, et écarte à deux mains ses fesses. C’est plutôt rare quand elle se donne ainsi. Je vais sur elle, par derrière, je pose ma bite sur son cul. Je ne rentre pas de suite, elle donne un grand coup de rein et me voilà en elle à mi bite. Je continue lentement à la pénétrer.
Elle gémit, ce n’est pas nouveau, surtout qu’elle se branle également. Je sens autour de ma bite ses spasmes de jouissance. Je voudrai en sortir, elle me demande de continuer à la sodomiser. Je ne peux rester en elle après avoir joui à mon tour. Je m’épanche dans ses entrailles. Je sors d’elle totalement flagada : je suis en berne totale. Elle en veut encore, je ne tiens pas le coup, je suis incapable de la baiser convenablement.
Elle prend ma bite dans la bouche pour me faire renaitre. Elle me caresse longuement les couilles et petit à petit je bande à nouveau.
Personne n’est encore venu, elle en est désolée. Elle va essayer une nouveau truc à sa façon : elle me laisse coucher sur le dos, m’enjambe pour venir sur moi. Au début, tout en regardant autour d’elle, elle met ma bite dans son con pour mouiller ma bite, elle se relève pour glisser un peu pour s’empaler sur ma bite dans son cul. Elle est presque assise sur moi. Une envie furieuse la prend : se caresser les seins. A mon tour de participer à ses plaisir différemment, j’ai à portée de la main son clitoris, je le caresse longuement, tout le temps de la sodomie.
Nous entendons un bruit juste à coté : c’est une garçon d’une vingtaine d’année qui nous regardant en se masturbant.
Le voyant ma femme lui demande, comme une chose normale de venir pour la baiser pendant que je l’enculerai. Sans hésitation il arrive la queue bien bandée, toujours en se touchant. Il a un avantage sur moi, il n’a pas joui.
Je laisse ma femme se débrouiller avec lui. Elle se tourne pour que je continue la sodomie et demande l’autre de venir sur elle pour la baiser.
Je ne savais pas qu’elle aimait ce genre de double pénétration. Je suis au fond de son cul quand je sens la bite du jeune dans le con de ma femme à travers les fines parois. Elle gémit plus que les autres fois. Je croise la bite de l’autre à chaque aller et venue. Soudain ma femme pousse un grand cri : elle vient de jouir. Le jeune a des réserves : quand il jouit, il reste dans la con, pendant que moi, dans le cul je continue mes allers et venues. Ma femme heureuse de jouir ainsi ne demande pas mieux de recommencer. Nous finissons en transpiration. Cette fois elle est comblée, elle a eu plus que ce qu’elle voulait. Quand nous partons laissant son fugace amant sur place, elle me dit qu’elle est heureuse d’avoir satisfait ce premier fantasme.
Je craints qu’elle en est d’autre en réserve.
Je vous le dirai la prochaine fois.

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