Train De Nuit (7)
Nous avons dormi quelques heures et le réveil fut pénible. Ma Belle était allongée, alanguie et nue et émergeait tout doucement. Je me penchai vers elle et lui léchais les seins. Très rapidement, ses mamelons pointèrent et elle se mit à ronronner. Je continuais ce jeu-là un bon moment mais elle me fit stopper car nous devions nous préparer en vue larrivée. En lui donnant une petite claque sur les fesses, je lui dis quelle devrait prendre sa douche, ce quelle fit. Elle sortit nue et ruisselante en me regardant de son sourire coquin. Je pris sa suite sous la douche et ressortis bandé au maximum. Elle se baissa et sempara de mon sexe quelle branla vigoureusement et mit en bouche. Elle mimposa un rythme denfer qui mit à mal ma résistance et très rapidement jéjaculais alors quelle maintenait mon pieu dans sa bouche. Elle dit :
- Oh Mon Chéri, cétait divin et jadore ton foutre. Comme cela ce matin, je pourrai garder ton odeur !
- Petite cochonne, dis plutôt que tu aimes la bite.
- Oui, cest vrai que ta queue me comble de bonheur et je regrette une seule chose : ne pas avoir osé plus tôt. Bon, au lieu de philosopher, nous ferions mieux de nous préparer. Moi je suis prête dans 30 secondes.
Je ne comprenais pas trop. Elle avait ses bas et ses escarpins. Elle attrapa sa robe et lenfila. Je comprenais mieux et ma petite cochonne allait se balader toute la journée sans sous-vêtements. Ce nétait dailleurs pas pour me déplaire, bien au contraire et on voyait sous le léger tissu ses mamelons pointer orgueilleusement. Amon tour je mhabillais. Nous bouclâmes nos bagages et allons déjeuner. Je me sentais une faim de loup moi qui dhabitude me contente dun café. Lorsque je le lui dis, elle me précisa que tout cela allait changer et quelle me préparerait un vrai petit déjeuner.
Arrivés à Paris, nous avons pris un taxi, je la dépose chez elle et rentre seul à la maison. Ça fait bizarre de se retrouver seul après 48 heures passées avec un ange.
A lheure dite, je pilais devant son immeuble doù elle sortit vêtue dune robe blanche vaporeuse à souhait. Je laidais à sinstaller et nous nous rendîmes au restaurant. Pendant le trajet, je nai pas pu mempêcher de remonter sa robe, de mettre une main sur son genou et de ramper jusquà son entrejambe. Sa fente était inondée lorsque jy insérais un doigt, je la sentis frémir et je portais mon doigt à la bouche et le suçais avidement. Puis je mis ce même doigt sur son bouton qui grossissait non pas à vue dil car je regardais quand même ma route, mais « à vue de doigt » si lon peut dire. Elle avait écarté les jambes pour me faciliter la tâche et son orgasme vint rapidement. Après un excellent déjeuner ou nous avons surtout parlé de nous, lheure arrivât de se rendre au travail. Elle mavoua avoir la trouille et je tentais de la détendre.
Arrivés sur le parking de lentreprise, Je laidais à descendre de la voiture et cest main dans la main que nous entrâmes dans le hall. Je lentraine alors vers lhôtesse daccueil pour récupérer le courrier et le tendre à Caroline. Sur un bien sonore « A tout de suite Mon amour », je lui dis que je dois voir certains points avec un des collaborateurs et que je la rejoindrai rapidement. En face de nous, lhôtesse est en train de passer par toutes couleurs en nous regardant aussi discrètement que possible. Je rigolais intérieurement en me disant que la commission allait être bien faite dautant que Caroline narrêtait pas dexhiber sa main gauche. Apres un dernier baiser très appuyé, je partis de mon côté et elle du sien.
Peu de temps après, je retrouvais avec plaisir mon bureau et mes petites habitudes.
- Voyez-vous cela, petite dévergondée, on essaye de troubler son patron ?
- Pas besoin de ça pour le troubler, Mon gros Cochon, tu bandes déjà.
Il est un fait que mon sexe commençait à bien se développer et mes couilles commençaient à chauffer. Elle se leva, alla fermer la porte de mon bureau a clé et revint vers moi. Elle se mit à genoux, ouvrit mon pantalon, et commença à me branler de sa main droite. Elle posa sa bouche sur le gland quelle venait de décalotter et du bout de la langue titilla le gland. Puis elle le prit en bouche et tout en continuant les mouvements de la main, avala tout le reste. Elle me fixait droit dans les yeux en me masturbant et je sentais le plaisir monter. De sa main gauche, je voyais que de son côté elle se touchait lentre jambe et commençait elle aussi a sexciter. Malgré sa bouche encombrée, elle poussait des gémissements. Sans me laisser prendre le temps de réagir, elle se releva et se mettant à califourchon sur moi enfila mon sexe en elle en totalité. Sa robe était relevée jusquà la taille et jen profitais pour caresser son bouton damour. Elle montait et descendait de plus en plus vite sur mon pieu cherchant dune part à mamener à la jouissance et dautre part à jouir elle aussi. Je continuais dune main à caresser de plus en plus fort son clito et de lautre, je malaxais ses seins par-dessus sa robe.
- Oh oui salop, défonce moi bien ! tu vas me faire jouir et je veux quon ait notre orgasme ensemble.
Moi javais depuis longtemps dépassé le point de non-retour et je sentais mes couilles bouillonner. Elle se tortillait sur moi et ahanait de plus en plus.
Elle se réajusta et reprit une attitude plus « normale » et retourna ouvrir la porte du bureau. Le reste de laprès-midi se passa de façon plus conventionnelle tant et si bien qu 18 heures nous quittions lentreprise. Nous sommes passés chez elle pour récupérer sa valise et 2 sacs de voyage quelle avait préparés le matin. Nous avons ensuite pris la route de « notre » maison puisque désormais cétait ainsi que je devais la nommer.
Arrivés à destination, je lui fis visiter les lieux et elle fut enchantée. Pendant quelle allait ranger ses affaires dans mon dressing, je préparais le diner. Ce fut vite fait et je minstallais dans un fauteuil, après mêtre servi un whisky. Peu de temps après, elle arriva et sétait changé. Elle portait un ravissant déshabillé blanc translucide et dessous une nuisette de même couleur. Je lui servis comme moi un whisky et lenlaçais amoureusement. Nous trinquâmes à notre nouvelle vie qui commençait pour de bon puisquelle était désormais la maitresse de maison. Elle regardait autour delle détaillant les meubles et les bibelots. Revenant de la cuisine, je maccroupis auprès delle et lembrassais tout en jouant avec sa langue. A la limite de l, nous arrêtâmes les frais.
Je lui dis que demain matin, elle pourrait rester à la maison, pour pouvoir sorganiser et arranger au mieux ses affaires. Je lui précisais également quil allait falloir trouver une employé de maison à temps plein car étant donné que nous étions au bureau toute la journée nous serions ainsi surs que lentretien de la maison et les repas seraient faits. Elle me promit de sen occuper dès le lendemain. Après le diner, nous sommes allés nous coucher et lorsque je voulus lentreprendre, elle demanda grâce pour ce soir car elle était épuisée.
La suite à venir : lemployée de maison
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