Kamila Et Lotfi, Episode 1
Jai fait la connaissance de Lotfi après quil mait envoyé un commentaire à propos dune de mes histoires publiées sur le site HDS. Il sagissait dune histoire de cocufiage assumé, quil disait avoir vraiment appréciée et quelle décrivait parfaitement ses propres fantasmes érotiques. Il rêvait de vivre une histoire identique, dans laquelle il offrirait sa femme Kamila à un bel étalon superbement monté et dune virilité à toute épreuve. Il disait sidentifier parfaitement à Salim, le mari cocu du récit, à lexception toutefois, du côté bisexuel de ce dernier.
Javais été interpellé par son message, qui dune part était bien écrit contrairement à beaucoup des commentaires que je recevais et dautre part par lenvie quil avait dêtre le personnage central avec Kamila, bien entendu dêtre le personnage central dune aventure érotique identique. Javais donc entamé une correspondance avec lui, avec comme objectif de lui faire préciser ses désirs et de finir par faire sa connaissance et celle de son épouse. Je voulais massurer comme je lavais fait auparavant pour Wassila,/Warda le personnage principal et réel de quelques uns de mes récits précédents.
Javais fini par les rencontrer tous les deux et de lier avec eux une relation amicale. Cétait un couple vraiment assorti : ils avaient pratiquement le même âge trente-cinq ans - et étaient aussi beaux lun que lautre. Et dévidence, ils sadoraient.
Lui était assez grand presque un mètre quatre-vingt brun, cheveux noirs coupés très courts, épaules larges, bras puissants, taille fine, hanches étroites et longues jambes musculeuses. Tout en lui indiquait lhomme qui pratiquait régulièrement un sport dentretien (salle de musculation et/ou course à pied) et qui prenait un soin infini de son apparence physique. Mais cétait surtout son visage lumineux et souriant qui attirait le plus lattention. En le voyant pour la première fois, je métais dit quavec un tel sourire et son regard perçant, ce devait être un grand séducteur.
Elle aussi était brune mais avec une peau blanche tellement brillante, quon laurait cru transparente. Elle était assez grande un mètre soixante seize, mavait-elle précisé avec un corps aux proportions parfaites. En la voyant, je métais fait la réflexion quelle devait avoir pratiqué le mannequinat, tellement elle était gracieuse dans sa démarche et avait tout ce quil fallait comme formes, aux endroits quil fallait. Elle semblait avoir un peu forci, par rapport à ce quelle devait être à vingt ans, mais les rondeurs qui sétaient légèrement surajoutées à ses formes initiales lui donnaient un surplus de sensualité. Tout en elle faisait fatalement penser au sexe et à lérotisme. Même au repos, alors quelle ne pensait à rien de particulier, il se dégageait delle une sensualité torride qui faisait naître dans lesprit des hommes qui la regardaient des pensées pleines de concupiscence. Tous ceux qui la voyaient pour peu quils soient normalement constitués ne pouvaient sempêcher davoir des pensées cochonnes et de rêver à milles choses qui mettaient leurs sens en émoi.
Sa bouche surtout, était un piège à fantasmes. Sans être grande et lippue - à limage de celle de la fameuse stagiaire du président Clinton (Monika Lewinsky qui avait en son temps fait fantasmer tant dhommes dans le monde) - la forme de sa bouche et de ses lèvres faisait inévitablement penser à une belle chatte de forme oblongue, aux grandes lèvres superbement ourlées et fermes, légèrement ouvertes pour laisser deviner les images du paradis qui se trouvait à lintérieur.
Lotfi massura par la suite que cétait cette particularité de sa femme quil savait faire bander tous les hommes qui la regardaient - qui avait fini par lamener après une courte période de forte jalousie à imaginer tout ce que les hommes voulaient faire à sa femme.
Je mis un certain temps, avant davoir le courage de questionner Kamila sur cet aspect de son mari. Lotfi mavait assuré en avoir parlé avec elle, qui après avoir été scandalisée par une telle pensée, et après une longue période de refus de plus en plus mou, avait fini par penser sérieusement à faire pousser des cornes sur le front de son mari.
Malgré cela, je voulais massurer par moi-même quil disait vrai et me mis à questionner Kamila pour connaître le fond de sa pensée.
- Lotfi ma dit que tu as aimé les récits érotiques que jai écrit sur le couple Wassila / Salim. Cest vrai ?
- Oui ! Ils sont très bien écrits et super bandants !
- Tu as aimé le fait que le grand fantasme érotique de Salim consistait à offrir sa femme à dautres hommes et à en tirer un immense plaisir ?
- Au départ, cela mavait un peu choqué ; un homme qui dit aimer sa femme avec autant de force, ne pouvait pas prendre du plaisir à la voir faire lamour avec un autre homme. Cest la même chose pour une femme. Puis petit à petit, en lisant tout ce que Wassila racontait de ses aventures érotiques avec dautres hommes, je me suis mise à y penser de plus en plus fort.
- Jimagine que Lotfi poussait fortement dans ce sens !
- Oh oui ! Et pas quun peu ! Javais remarqué que plus il me parlait de cela et quil mimaginait à la place de Wassila, il bandait tellement fort quil me faisait lamour de manière encore plus intense que dhabitude ; il jouissait et me faisait jouir beaucoup plus fort que dhabitude. Pendant que nous batifolions ensemble, moi je mimaginais entre les bras dun Apollon avec une queue immense qui explorait en force tous mes trous et me transportait au septième ciel; et lui il jouissait en se transformant en voyeur, qui nous regardait, mon étalon et moi, hurler de plaisir.
- Et maintenant, tu rêves daventures extraconjugales !
- Oui ! De plus en plus ! Et de plus en plus fort ! Cest même entrain de devenir une obsession ! Comme pour Lotfi ! Jattends avec impatience que cela arrive ! Nous sommes entrain de chercher Lotfi et moi lhomme exceptionnel qui deviendra mon amant de cur et de lit et qui me fera vivre les moments exceptionnels qua vécu Wassila dans tes histoires. Je sais que jaimerais profondément un homme qui nous donnera à moi et à Lotfi autant de plaisir; en même temps que je continuerais daimer mon mari. Je sais maintenant que cest possible. Je crois même que je me sens prête à moffrir à deux hommes en même temps: le deuxième pouvant être mon mari, tout en préférant que ça soit quelquun dautre Lotfi pourra toujours se servir après eux. Je vais même tavouer quelque chose que je nai pas encore osé dire à mon époux : je me délecte à limaginer entrain de me sucer la vulve après mêtre faite enfournée par mes amants. Cest entrain de devenir un de mes autres fantasmes. Et je suis certaine aujourdhui de le vivre intensément dans peu temps.
Voila comment javais fait la connaissance du couple, qui fait maintenant partie de mes amis intimes. Peu de temps après les avoir rencontrés, ils avaient sauté le pas et ont commencé une série daventures érotiques qui leur avaient procuré énormément de plaisir ils parlaient même de bonheur. Nous nous voyions régulièrement, depuis, et parlions sans tabous de leurs aventures érotiques. Ils me racontaient, chacun à sa manière et sans aucune précaution de langage, les aventures extraconjugales du Kamila.
Le récit à deux voix qui suit raconte la première aventure extraconjugale de Kamila qui soffrit corps et âme à un jeune étalon nommé Abdelkrim, sous le regard émerveillé et la participation active par la voix et les instructions - de son mari Lotfi.
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Première voix : Lotfi
Ce fut moi qui le premier avait rencontré Abdelkrim.
Je pris mon mal en patience et ouvrit mon micro portable pour travailler un peu en attendant la suite des évènements. Je venais à peine de lallumer quand une voix masculine derrière moi me posa une question que je ne compris pas immédiatement.
- Comment sappelle cette actrice qui saffiche ainsi sur lécran de votre portable ? Elle est vraiment superbe ! Je ne la connais pas.
Je me retournai pour voir qui posait cette question et pour massurer quil sadressait bien à moi. Je découvris un superbe jeune homme denviron vingt deux vingt trois ans, très grand, les épaules très larges, la taille fine, les hanches étroites et de longues jambes. Cétait certainement un sportif délite ; il était tout en muscles et navait pas un seul gramme de graisse. Dailleurs, il me semblait lavoir déjà vu quelque part. Sa silhouette ne métait pas inconnue.
Je suivis son regard qui était figé sur mon ordinateur et compris quil parlait de la photo qui emplissait lécran. Il sagissait de la photo de mon épouse Kamila que javais insérée comme fond décran pour quelle soit toujours avec moi. Il devait penser que je devais être un fan dune artiste et que javais mis son portrait comme fond décran de mon ordi.
- Il sagit de ma femme, répondis-je dune voix assez neutre pour ne pas le mettre dans la gêne.
- Oh excusez-moi ! Je croyais que cétait une actrice ou quelque chose dapprochant ! Je ne mimaginais pas quune femme « normale » puisse être aussi belle !
- Elle vous plait vraiment ? Cest vrai quelle est belle, mais je ne réalisais pas quelle pouvait ressembler à une actrice de cinéma ! Quand je vais le lui dire, elle nen croira pas ses oreilles !
- Elle est vraiment splendide, si vous me permettez de vous dire cela ! Vous en avez de la chance !
Il y avait chez cet homme une forte dose dinconscience ou alors une telle assurance en soi quil pouvait se permettre de dire des choses, qui en temps normal lui aurait attiré les pires ennuis. Chez nous, on ne dit pas à un mari que sa femme est superbe. Haram ! La réponse immédiate aurait dû être un coup de poing ou de boule sur la gueule ou au moins une injure bien sentie, pour le remettre à sa place ! Dans nos contrées, il sagit de question dhonneur ! De nif ! Au lieu de cela, il trouva en moi un homme qui gardait un sourire avenant et qui linvita même à sassoir à ses côtés pour discuter.
- Je suis sûr de vous connaître ; vous devez être quelquun de connu. Vous êtes certainement passé à la télévision. Ou alors on a dû souvent parler de vous dans la presse écrite. Jai raison ?
- Oui, je suis souvent passé aux informations sportives à la télévision ; on a aussi parlé de moi dans les journaux. Je suis judoka, champion dAlgérie et dAfrique des poids moyens. Je mappelle Abdelkader X.
- Cest ça ! Abdelkader ! Vous venez de gagner, pour la deuxième fois consécutive, le titre de champion dAfrique de judo et vous préparez les championnats du monde qui vont se dérouler dans quelques mois. Vraiment enchanté de vous connaître ! Et félicitations !
Et nous restâmes ensemble pendant toute la période dattente du décollage de notre avion. Pendant tout ce temps, je jaugeais Abdelkader sur les plans physique et moral. Physiquement, il était parfait : jeune, beau, vigoureux, volontaire. Je me demandais seulement sil était bien membré il fallait un homme exceptionnellement bien monté pour ma Kamila - Vu sa grande taille et sa corpulence, je ne courrais aucun risque à parier sur une réponse éminemment positive. Moralement, il ressortait de la discussion que nous avions entamée sur beaucoup de sujets, que malgré son très jeune âge, AEK était très cultivé (il finissait une licence en commerce international) et avait lesprit très ouvert sur beaucoup des problèmes qui traversaient notre société.
Javais été frappé par le fait quil défendait fermement lidée que chaque individu était libre de vivre sa vie comme il lentendait et que personne navait le droit de lui imposer quoi que ce soit au nom des tabous sociaux ou même de la religion. En le regardant, je me mis à penser au couple idéal quil formerait avec Kamila et me limaginai entre ses immenses bras. Lidée den faire lamant de ma femme commençait à sancrer de plus en plus fort dans mon esprit ; elle se mit même à faire son effet au niveau de mon bas-ventre. Je sentais mon sexe palpiter et se réveiller petit à petit, jusquà atteindre son niveau extrême de bandaison. Javais une très forte envie de me toucher, pour ne pas dire de me masturber en mimaginant la scène. Jétais assis, et personne ne pouvait se rendre compte du phénomène, mais javais du mal, à retenir ma main qui voulait semparer de mon manche pour le caresser et éteindre quelque peu le feu qui me consumait.
Il me fallait trouver louverture pour présenter à Abdelkader mon idée folle pour un esprit normal de lui mettre entre les bras ma belle Kamila. Il fallait lui présenter la chose de manière à ne pas le scandaliser javais un peu peur, que malgré ses apparences dhomme à lesprit ouvert, il ne soit en réalité quun parangon de vertu. Je voulais aussi et surtout éviter dessuyer un refus qui maurait mis la honte.
- Tu la trouves vraiment belle et sensuelle ? lui dis-je, en le tutoyant pour la première fois et en pointant du doigt lécran de mon ordi.
Javais pris un air détaché pour essayer de ne pas paraître trop intéressé par la réponse ; je ne voulais pas leffaroucher. Pourtant au fond de moi, jétais vraiment anxieux dentendre sa réponse. Je voulais absolument le présenter à Kamila. Connaissant ses goûts en matière dhommes de mâles devrais-je dire - jétais sûr que AEK lui plaira dès le premier abord. Elle mavait assez décrit, pendant nos discussions sur le cocufiage, lhomme avec lequel elle aimerait me tromper, pour ne pas le reconnaitre immédiatement en le rencontrant. Cet homme - ce mâle - cétait Abdelkader !
Jétais certain que dès quelle laura vu, elle voudra en faire, sans délai, son amant. Mais je bloquais sur la manière de présenter la chose à celui que je considérais déjà comme létalon quelle attendait que nous attendions depuis longtemps. Létalon qui nous amènera, elle et moi, sur le chemin de ladultère, du plaisir érotique et du bonheur. Jimaginais déjà ma superbe femme grimper aux rideaux et prendre un immense plaisir à me tromper avec un le bel éphèbe assis à côté de moi dans la salle dembarquement de laéroport dOrly-Sud. Je le voyais déjà chevauchant ma belle pouliche et la labourer en force en la traitant de « Qahba ! » (« Pute ») et de « Kelba » (« Chienne »), la posséder dans toutes les postures du kamasoutra et narrêter de la tirer que parce que mort de fatigue, après un nombre incalculable de coups. Jimaginais avec délectation Kamila entrain de hurler son plaisir de se faire brutaliser par «radjel li aandou zeb kbir » (« un homme qui a un si gros zob ») et linciter par des mots crus à intensifier le rythme et la force de pénétration de limmense manche qui la possédait, en bavant de bonheur sur le gout miel (aacel) et de sucre (sukkar) du zob du bonhomme.
Javais toujours adoré ma Kamila qui dans ses moments de jouissance se mettait à hurler des obscénités en rabe. Cétait tellement jouissif ! Larabe, dans son vocabulaire obscène, était pour moi la langue de lérotisme. La langue qui donnait plus dintensité à mes désirs et accroissait mon plaisir jusquau plus haut niveau.
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- Tu veux voir dautres photos delle ? Plus intimes !
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Il ne répondit pas à ma question. Il me regarda avec un air étonné, se demandant surement si jétais quelquun de normal.
- Il ny a absolument aucun lézard. Jai plein de photos de Kamila dans mon ordi. Et je serai bien content de les faire admirer à un connaisseur. Ma femme est un peu du genre exhibitionniste et adore se faire admirer.
- Pourquoi pas ! répondit-il dune voix neutre.
Je rentrais dans le fichier renfermant la centaine de photographies que javais faites de Kamila et les montrais à Abdelkrim, en commençant par les plus sages. Je voulais prendre le temps détudier ses réactions et me préparer une voie de repli dans le cas où les choses ne se dérouleraient pas comme prévu. Il les regardait avec attention, sans pour autant faire de commentaires. Puis, petit à petit, je passais à des photos de plus en plus dévêtues jusquà arriver à celles où elle était complètement nue, vautrée sur le lit dans une position sans équivoque.
- Elle est magnifique, nest-ce pas ? dis-je en le regardant avec angoisse.
- Elle est superbe ! Je ne comprends pas pourquoi tu me montres ça. Ce nest certainement pas moi qui ferais une telle chose ! Je mourrais de jalousie !
- Elle adore être admirée ! Et pas seulement cela ! Je vais certainement te scandaliser en te disant quelle est actuellement à la recherche dun Apollon pour goûter avec lui aux plaisirs de lamour extraconjugal ! Jusquà maintenant elle na connu quun seul homme : moi ! Depuis quelque temps, elle fantasme nous fantasmons sur un amant que je lui offrirai pour lui faire découvrir dautres facettes de lérotisme.
- Tu veux dire quelle cherche un amant et que toi, son mari, tu serais daccord pour lui en trouver un ?
- Oui ! Tu me trouves anormal ?
- Un peu ! Mais enfin cest ta liberté. Tous les goûts sont dans la nature.
- Tu serais daccord pour faire sa connaissance et aller plus loin si elle te plait ?
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- Je te jure quil ny a absolument aucun lézard. Tu réponds absolument à limage quelle sest faite de lhomme avec lequel elle aimerait me cocufier. Et moi aussi je trouve que tu corresponds exactement à lamant de nos rêves.
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- Dès que lon nous annoncera le décollage de lavion, je lappellerai pour quelle vienne nous attendre à laéroport dAlger. Je ne lui parlerai pas de toi. Je te laisse toute latitude pour décider toi-même de la suite à donner à ma proposition. Si en la voyant, tu la trouves à ton goût, tu tapprocheras de nous et je te la présenterais. Et bien sûr, tu viendras avec nous à la maison. Et là vous ferez tout ce qui vous plaira, sans que je nintervienne dans quoi que ce soit, sinon, si tu es daccord, assister à vos ébats.
Lhomme ne me donna pas de réponse claire. Il opina légèrement de la tête, puis continua à regarder la photographie de Kamila nue. Jen profitais pour faire défiler lentement le reste du film où Kamila était dans des positions de plus en plus impudiques et érotiques. AEK en devint tout rouge dexcitation. Jétais certain quil bandait comme un âne, à la vue des appâts qui sexposaient ainsi devant lui. Il ne dit rien pendant toute lopération, mais je lentendais qui respirait de plus en plus difficilement, tant il était excité. Et puis, narrivant plus à se retenir il poussa un long soupir et lâcha cette phrase qui me fit dire que javais gagné :
- Putain ce que jai envie de cette femme !
Le reste du temps se passa en discussions, parfois anodines sur la pluie et le beau temps, parfois plus spécifique sur Kamila et se goûts en amour. Il voulait presque tout savoir delle avant de la connaitre intimement : comment quelle était au lit ; quest-ce quelle aimait quon lui fasse ; quest-ce quelle aimait faire ; aimait-elle la douceur ; la brutalité ; etc. Je ne répondis à aucune de ses questions, me contentant de lui affirmer quil ne sera pas déçu. Pendant le vol de retour, nous restâmes silencieux ; chacun de nous pensant à Kamila. Moi réfléchissant à la manière dont les choses allaient se passer javais dis à ma femme, sans plus dexplications, que je lui réservais une merveilleuse surprise et à comment jallais my prendre pour les amener elle et son amant à faire tout ce que moi je voudrais quils fassent. Dans mon esprit malade, javais imaginé plein de scénarii pour tirer le maximum de plaisir de laventure érotique de ma femme.
Il y avait plein de choses que je voulais que le couple fasse devant moi. Mon esprit de candauliste contrarié, me dictait de conduire moi-même la séance damour hard que devait avoir ma femme avec lamant que je lui amenai. Je voulais leur faire faire toutes sortes de choses en allant crescendo : je voulais tout dabord quelle sorte le manche de lhomme et quelle le fasse bander en le caressant et en promenant ses lèvres et sa langue sur le gland, la hampe, les couilles ; quensuite elle le suce, dabord tout doucement, puis de plus en plus énergiquement en faisant entrer le monstre jusque dans sa gorge ; je voudrais ensuite que AEK prenne les rênes et se mette à baiser ma femme par la bouche en lui faisant mal et en lamenant presque à l ; je voudrais enfin quil jouisse une première fois dans sa bouche et quil la remplisse dun beau sperme, bien épais, visqueux et brulant et quil lui ordonne de tout avaler. Je voudrais par la suite, quil lencule en force et sans précaution. Je voudrais
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Mais même dans ma folie, jétais conscient, que je navais absolument rien à dicter à des amants complètement pris dans leur soif de plaisir et ayant des désirs qui ne pouvaient pas obligatoirement correspondre aux miens. Je finis même par me faire une raison, en me disant que la seule chose que je pouvais exiger et encore à la condition que AEK ne soit pas du genre à débander dans de telles conditions cétait dêtre le spectateur passif de lopération. Je connaissais assez les goûts érotiques de Kamila pour être rassuré quant à tout ce quelle fera et quelle fera faire à son amant.
Je supputais que Abdelkader devait lui aussi penser à ce qui lattendait cette nuit dans un appartement à Alger et faisait tout un cinéma sur la suite de la journée. Dévidence ; il était séduit par cette femme qui sexhibait en photos dans le micro portable de son mari. Elle était tellement bandante ! Il était sûr quau lit elle devait vraiment assurer. Il se posait pourtant la question de savoir sil allait être à la hauteur du défi que la dame allait certainement lui imposer. Il sagissait peut-être dune nymphomane quil serait dans lincapacité de satisfaire complètement. Il savait quil avait des capacités sexuelles au dessus de la normale ; même sil était encore très jeune, il avait eu assez daventures érotiques pour se rassurer sur ce domaine ; les filles et femmes quil avait tirées avaient toutes été satisfaites et en avaient toujours redemandé. Mais malgré cela, il nétait pas complètement à laise.
A notre arrivée à laéroport dAlger, nous la trouvâmes Kamila qui attendait (elle ne savait pas encore pour Abdelkrim). En me voyant, elle me fit des grands signes pour mindiquer sa présence et se précipita sur moi pour membrasser (un baiser sur chaque joue, pour tenir compte du fait que nous sommes en public). Elle sarrêta brusquement, en se rendant compte que je nétais pas seul. Elle avait vu lhomme qui était resté derrière moi et qui semblait la regarder avec un intérêt évident. Il avait un sourire encore un peu crispé. Elle me lança un regard où se lisait létonnement, en même temps que de lintérêt. Dévidence AEK lintéressait; elle narrêtait pas de le regarder de manière presque impudique; avec sur les lèvres le petit sourire carnassier quelle avait toujours, quand quelque chose lintéressait vraiment et quelle voulait sen accaparer. Ce soir là, cétait mon nouvel ami qui était cet objet.
- Je te présente Abdelkrim ! Il vient passer la nuit avec nous.
Elle eut vraiment lair intrigué mais content. Intrigué parce que cétait la première fois que jamenais comme cela quelquun passer la nuit chez nous, sans que je len aie avertie par avance. Contente parce quelle venait de comprendre que lhomme était la merveilleuse surprise que je lui avais promise au moment où je lavais appelé pour lui annoncer que je venais dembarquer et que lavion allait décoller. Elle toisa un long moment le garçon, lui envoya un sourire lumineux, et lembrassa lui aussi sur les deux joues.
- Bienvenue, Abdelkrim !
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Deuxième voix : Kamila
Dans toute ma vie amoureuse mis à part Lotfi mon mari, qui lui est hors compétition Abdelkrim constitue sans conteste ce qui métait arrivé de mieux. Javais eu en même temps que lui et bien après lui - dautres aventures érotiques qui mavaient donnée beaucoup de plaisir et même, pour certaines dentre elles, du bonheur. Mais ma référence en amour reste et restera très longtemps - AEK (contrairement à Lotfi qui lappelait toujours Abdelkrim, moi je préférai ces trois initiales qui me le rendaient unique).
Malgré son très jeune âge, et son manque dexpérience de femmes comme moi mûres, passionnées, possessives et faisant du sexe le fondement même de leur vie jai connu avec cet homme des moments de jouissance suprême et de vrai bonheur. Ce quil mavait apportée dans ma vie amoureuse est presque impossible à décrire, tant il était intense et avait été vécu pleinement par nous - AEK, Lotfi et moi et nous avait apporté la félicité. Car cétait bien de félicité quil sagissait ce bonheur parfait proche de la béatitude pendant toute la période où il était resté avec nous, avant de se marier deux années plus tard - et de quitter le pays pour sinstaller au Canada, le nouvel Eldorado des cadres algériens qui quittent le pays.
Javais bien sûr eu avec Lotfi, mon mari, de merveilleux moments de bonheur à deux. Y compris physiques, grâce à nos étreintes quotidiennes, libres, sans tabous, intenses et pleines de passion. Longtemps, nous avions tous les deux situé notre nid damour au septième ciel ; un lieu que nous fréquentions assidument. Nous accordions Lotfi et moi une place particulière à la relation sexuelle, sans tabous et librement vécue. Tous les deux nous aimions faire lamour en essayant, chaque fois que cétait possible, de vivre pleinement nos fantasmes. Au cours des dix dernières années cela fait maintenant une douzaine dannées que nous nous sommes connus et mariés - nous avions tout essayé de ce qui pouvait se pratiquer à deux : toutes les positions possibles du Kamasoutra, et tout ce que les moralistes de tous bords qualifiaient des perversions sexuelles : fellation, sodomisation, double pénétration avec des godes, éjaculations corporelles, buccales et faciales, sperme et cyprine avalés, etc. Pendant tout ce temps là nous étions heureux de vivre sereinement notre sexualité et notre amour.
Longtemps nous avions évité de penser à franchir une nouvelle étape dans notre vie sexuelle : celle qui ferait appel à dautres personnes que nous deux : lamour à trois ou plus. Nous avions gardé cachés en nous, le désir de gouter à autre chose. Moi je pensais quune telle envie, si je venais à lexprimer serait mal perçue par Lotfi ; je croyais quil prendrait cela pour une trahison. Et lui aussi était dans le même état desprit. Sans que notre amour nen ait eu à pâtir vraiment nous continuions à nous aimer avec autant de force - nos relations sexuelles commençaient à avoir un goût de déjà vu. Nous ne montions plus aussi souvent, et surtout aussi intensément, au septième ciel. Et cela me manquait beaucoup. A lui aussi. Et puis petit à petit, nous nous mîmes à lire des histoires érotiques et à découvrir, chez dautres couples, le même problème, solutionné par lappel à un troisième larron, selon quil sagisse dun besoin féminin - offrir son mari à une autre femme ou dun besoin masculin offrir sa femme à un autre homme.
A la fin de chaque histoire (parfois il pouvait sagir de vidéos) nous nous regardions presque timidement et lun ou lautre faisait une remarque, dans laquelle se lisait lenvie de vivre une aventure identique. Le plus souvent, cétait Lotfi qui parlait. De nous deux, cétait lui qui semblait le plus désireux daller vers des aventures de cette nature. Je compris assez vite, quil venait de prendre conscience dun fantasme sexuel profondément ancré en lui, appelé candaulisme, en relation avec un mythe de la Grèce antique dans lequel Candaule, roi de Lydie, trouvait sa femme tellement belle quil voulait que tous les hommes la voient et aient envie delle. Il mit longtemps à mavouer ce fantasme ; de peur que je le prenne très mal. Et de fait, la première fois quil men avait parlé, je lavais assez mal pris. Je pensais que mon mari ne maimait plus. Car sil maimait vraiment, il naurait pas un seul instant pensé à moffrir à un autre homme.
Et puis petit à petit, lidée avait commencé à sinsinuer en moi et avait fini par devenir obsessionnelle. Dabord parce que je voyais leffet que faisait sur mon mari le seul fait de mimaginer entre les bras dun autre homme : il bandait tellement fort, quil redevenait un vrai taureau au lit et memmenait vers les plus hauts sommets du plaisir. Ensuite, moi-même je métais inconsciemment mise à voir dans chaque bel homme que je rencontrais un éventuel amant. Surtout je mimaginais tout ce quil pouvait me faire, parmi toutes ces choses interdites qui me mettaient en émoi ; et que Lotfi ne pouvait pas me faire. Je pensais beaucoup en ce temps là à la double pénétration, qui était mon fantasme absolu.
Nous lavions pratiquée souvent, Lotfi et moi, mais de manière indirecte par lintermédiaire dun godemichet. Mais ce dernier ne peut en aucun cas remplacer un homme, avec son poids sur moi, ses coups de boutoir furieux, sa respiration, ses han de bucheron, ses paroles obscènes et aussi, ses sécrétions (jai toujours adoré ressentir un zob éjaculer en moi ou couvrir mon corps dun sperme abondant et épais et même si je navais jamais réellement apprécié son goût, ni sa viscosité, javais fini dabord pour faire plaisir à mon mari qui adorait cela - par avaler tout le sperme quil me versait dans la bouche et sur le visage). Javais longtemps rêvé de vivre une vraie double pénétration, pratiquée sur moi par deux hommes lun deux devant être obligatoirement mon mari (cétait du moins ce que je pensais à lépoque, car depuis, mon mari avait été souvent remplacé, avec son assentiment, par un autre homme, et même une fois, par deux hommes).
Ce fut cette envie irrépressible dêtre pénétrée par deux hommes et par mes deux trous à la fois, qui mamena à voir dun il neuf et favorable, le désir de mon mari de moffrir à un autre homme- et à y prendre du plaisir. Et quand Lotfi, ce jour là mavait présente AEK qui débarquait du même avion que lui, jen avais été immédiatement chamboulée. Dabord, le garçon - il était tellement jeune ! - était beau, grand, fort et - jen étais absolument sûre - formidablement membré. Ensuite, il avait un air tellement avenant et sympathique, quil mavait plu immédiatement. Dès le départ je métais vue toute nue, offerte à ses coups de reins. Je crois même que jen avais mouillé ma culotte !
Je ne lui avais rien caché de mes pensées. Après lavoir embrassé sur les deux joues pour lui souhaiter la bienvenue, nous nous dirigeâmes vers le parking des voitures, moi au milieu des deux hommes les tenant chacun par une main. Je sentais toute la puissance du garçon dans son immense main calleuse. En comparaison, la mienne était toute petite. Lenvie me prit de lui caresser la paume pour déjà lui montrer que mes intentions nétaient pas pures et que je le voulais. Il se laissa caresser tout en marchant ; de temps en temps il pressait légèrement sur ma main, comme pour me signifier quil appréciait mes caresses. Par moment, il tournait la tête vers moi pour me regarder et me sourire. Lotfi lui était comme absent. Son visage était fermé, même sil avait un air très serein. Cétait comme sil était en attente de quelque chose dessentiel, qui allait le délivrer dune attente insupportable.
Aucun de nous trois ne parla pendant tout le trajet. Quand nous arrivâmes chez nous un appartement cossu dans un beau quartier dAlger - ce fut moi qui passai devant pour montrer le chemin à notre invité, en dandinant fortement du cul pour donner un avant goût de mon corps à AEK. Jallais directement dans le salon, suivi comme mon ombre par notre invité, pendant que Lotfi alla dans la chambre déposer les bagages et se mettre à laise. Je crois que cétait surtout pour nous laisser seuls, mon futur amant et moi, afin de faire connaissance et entamer les préliminaires. En fait de connaissance et de préliminaires, AEK ne me laissa même pas le temps de me retourner pour lui faire face. Dès que jarrivai à hauteur du grand canapé qui trônait contre le mur du fond, il posa ses immenses palluches sur mes fesses pour en tester la fermeté.
- Cest exactement comme cela que je les imaginais : ferme et imposantes ! Je sens que je vais me régaler ! Je les avais déjà matées sur les photos de Lotfi, mais en vrai, elles sont encore plus bandantes. Tu sais que je vais commencer par tenculer ! Depuis des heures, depuis que jai vu les photos, je ne pense quà ça et je narrête pas de bander comme un âne.
Je ne me retournais pas pour lui faire face. Jaimais cette position où il était derrière moi et où je ne pouvais rien voir. Mon plaisir immédiat était dans lattente. Lattente de ce qui allait se passer. Lattente, dans ces moments là, était pour moi merveilleuse. Je ne pensais jamais à rien dautre quau moment où le beau zob de mon amant jusque là ça avait toujours été celui de Lotfi - allait se poser à lentrée dun de mes trous et dun coup brusque me le défoncer. Jadorais ce moment où je poussais un petit cri de douleur et où le monstre faisait son chemin en force dans un de mes tunnels. Cétait toujours le moment où jaimais titiller mon amant et me titiller moi-même par des paroles ordurières en arabe qui accroissaient notre excitation, déjà à son paroxysme, et nous faisaient pâmer de désir. Je voulais en faire de même avec mon nouvel amant.
- Déjà tu veux menculer ! Qui te dit que jaime être enculée ?
- Rien ! Mais moi je veux tenculer et je vais le faire ! Je vais te prendre comme une pute - une Qahba. Tu mas tellement fait bander depuis le début de laprès-midi que je ne serais heureux que quand jaurais défoncé ton gros cul ! Je ne veux même pas que tu te déshabilles. Tu abaisses ton pantalon et tu te mets à quatre pattes, le front posé sur le canapé. Et vite !
Le salaud savérait être une brute. Et ce nétait pas pour me déplaire. Jétais sûre que jallais vivre un moment exceptionnel. Ce qui me paraissait bizarre, cétait mon manque total de curiosité : je ne voulais pas voir ce que faisait lhomme derrière moi ; ni même regarder son engin avant quil ne me pénètre. Je voulais tout simplement le sentir et deviner, au moment où il méclaterait lanus, les proportions du monstre. Jétais dans une merveilleuse attente ! Je neus rien à faire, ni pour descendre mon pantalon et ma petite culotte sur mes chevilles, ni pour me mettre à quatre pattes ; il sen chargea lui-même avec la même brutalité quil avait mise pour me parler. Jétais là les fesses en lair, attendant le bon vouloir de mon nouveau maître. Je me faisais cette réflexion qui accroissait encore plus mon désir que jétais devenue lesclave de lhomme. Il me faisait faire tout ce quil voulait, sans même que je ne proteste. Et jadorais ce nouveau sentiment !
Jattendais les évènements qui allaient suivre, le cur battant et la bave dégoulinant de ma bouche. Jimaginais lhomme dégrafer sa ceinture et déboutonner son pantalon. Jentendis le bruit si particulier du zip de la braguette qui souvrait et une seconde plus tard deux mains puissantes semparer de mes hanches pour les positionner au bon niveau. Je sentis son énorme main, semparer de ma vulve pour lui appliquer des frottements qui me firent tirer un tout petit gémissement de plaisir. Il se rendit compte que jétais déjà complètement mouillée.
- Quahba ! (Espèce de pute !) Souetek mchemkha! (ta chatte est déjà mouillée !)
Je ne répondis rien à cette attaque qui avait encore accru mon désir du zob qui allait me pénétrer dun moment à lautre. Je continuais dattendre, le cur battant, ce qui allait se passer. Javais envie de me retourner pour voir. Mais je me linterdisais ; lattente était tellement délicieuse ! Je sentis les doigts qui frottaient ma vulve se déplacer vers le haut ; vers mon anus. Javais déjà été enculée - même avant de connaître Lotfi et de lépouser - par un petit ami qui navait pas droit à ma chatte, par peur du dépucelage et javais fini par y prendre goût. Je navais donc pas peur de la sodomisation. Mais intuitivement, je savais que cette fois-ci cela allait être différent. Dabord parce que lhomme qui était aujourdhui sur le point de me défoncer lanus, allait le faire brutalement ; et puis je ne connaissais pas la taille de son zob ; je ne faisais que supputer quil devait être énorme.
Les doigts qui farfouillaient entre mes fesses étaient mouillés par le liquide quils avaient ramassé à lentrée de ma chatte. Je sentais que lhomme était entrain dhumidifier mon anus pour permettre une bonne pénétration. Les doigts firent encore plusieurs allers-retours entre ma chatte et mon anus pour y déposer le plus de mouille possible. Puis je sentis un doigt et puis deux pénétrer brusquement à lintérieur de mon rectum, me procurant au passage une sensation de chaleur et de bien-être. Les doigts étaient gros et longs ; ils allèrent très loin dans le boyau, me faisant pâmer de plaisir. A chaque aller-retour des doigts, je poussais un petit gémissement rauque, que je sentais sortir du fin fond de mes poumons.
- Thabi sbaέa fi gaέarek ! (Tu aimes être doigté comme cela !) Thabi ki yedkhoul hakdha ! (Tu aimes quand il te pénètre comme cela !) Ki irouh ou i weli fi gaέarek! (quand il fait le va-et-vient dans ton cul !)
- Nhab ! Nhab ! Wach testena bach tnik ni! (jadore! Jadore! Quest-ce que tu attends pour me niquer!)
- Qahba ! Dhork en nikek ! (Espèce de pute, je vais te baiser !) Dhork en kessarlek gaarek ! (Je vais bientôt de défoncer le cul !) Dhork etthassi zeb shih fi gaarek! (Tu vas bientôt ressentir un vrai zob dans ton cul !)
Tout en minsultant ainsi, il élargissait lentrée de mon cul avec ses deux doigts. Je les sentais qui glissaient facilement dans mon rectum. Je me disais quen fin de compte, il ne me fera pas mal en me pénétrant avec son manche. Jen étais un peu déçue. Je voulais sentir la force dun sexe dans mon anus. Je voulais avoir mal pour pouvoir ensuite sentir la douceur et la chaleur des va-et-vient qui suivront, quand la douleur se sera calmée ! Mais même comme cela jattendais ! Jattendais de sentir le gland posé sur lanneau, temporiser une fraction de seconde et puis pénétrer brutalement dans le boyau. Et je sentis effectivement la tête du gland de mon amant se poser à lentrée de mon cul. Elle était en même temps douce et dure. Je sentais quelle avait du mal à se positionner tant elle semblait énorme. Et puis je sentis mon cul exploser ! Je poussais un cri inhumain.
- Aiiiiieeee ! wadjaέatni ! Wach dkhel fi gaέari ! (Tu mas fait mal ! Quest-ce tu mas mis à lintérieur de mon cul !) Mouhal i koun zeb ! (impossible que ça soit un zob !) Bezzaf kchin ou touil! (Il est trop gros et trop long !)
- Ĥadhak ĥoua zebi ! Zeb li yekessar el bibane emsakrine (Cest cela mon zob ! Un zob qui défonce les portes fermées !) Tehassilou mlih ? (Tu le sens bien ?)
- Enhesslou ki el sefoud ! (Je le sens comme un tison incandescent !) Ĥaou yehraq fiya ! (il me brule !) Kemel ĥakdhak ! (Continue comme cela !) Mlih ! (Cest bon !) Zid ! Zid ! Zid li ! (Encore ! Encore ! Continue !) Nheb zebek ! Enmout aala zebek ! (Jaime ton zob ! Jadore ton zob !) Ma tahbesch ! (Narrête pas !) έamar li gaέari ! (Remplis moi le cul !) Rani enhas raĥi djaïa ! (Je sens que je vais jouir !)
- Thebi ki en nikek mel lour ! (Tu aimes que je te baise par derrière !) Gouli li nheb zebek ! (dis-moi que tu aimes mon zob !)
- Nheb zebek ! Nheb zebek ! Nheb zebek ! Nheb zeb
.. !
Je neus pas le loisir de continuer ma phrase. Jeus un immense orgasme. Le plus fort orgasme que jai eu grâce à une sodomisation, depuis que je me rappelle. Je sentais ma chatte qui coulait comme une fontaine et jeus un râle de plaisir qui dura tellement longtemps que je me sentis défaillir. Je sentais que je ne contrôlais plus rien ; ma tête partait dans tous les sens ; de ma bouche sortait des litres de bave, qui allaient sétaler sur le carrelage du salon ; ma respiration était tellement rapide que je sentais que jallais mourir étouffée. Mais mon Dieu que le plaisir était intense ! Je sentis ma jouissance partir du centre de mon rectum, aller dans mon bas ventre, pénétrer dans mon vagin, aller titiller mon clitoris, puis se répandre sur tout mon corps, en suivant le chemin de ma colonne vertébrale.
Cétait tellement bon ! Je suivais le cheminement de lorgasme en me disant que jallais mourir de plaisir ! Je voulais vraiment mourir de plaisir ! Cela aurait été la plus belle des morts! Et pendant tout ce temps, mon merveilleux amant continuait son uvre de démolition de mon cul. Il ahanait comme un bucheron qui tentait dabattre un arbre. Lui ce nétait pas à un arbre quil sattaquait, mais à mon cul. Maintenant, il hurlait en arabe que je nallais plus pouvoir massoir sur mes fesses pendant longtemps. Quil était fier de lui ! Fier de luvre de démolition de sa hache ! Quil aimait les culs comme le mien ! Aussi accueillants ! Aussi chauds ! Aussi doux ! Quil aimait mes fesses !
- Enmout alla tramek ! (Jadore tes fesses !) Mazal ennikek melour ! (Je vais encore te baiser par derrière !) Zebi y heb i nik ensa men gaέarhoum ! (Mon zob aime baiser les femmes par leur anus !) En hass bli djaïa ! Rahi djaïa ! (Je sens que je vais jouir ! Je vais jouir !)
Et je sentis mon bel amant soudain se raidir, enfoncer ses ongles profondément dans la chair de mes hanches, arrêter sa respiration et exploser dans mon cul, en poussant un hurlement de dément et en propulsant avec une force inouïe un premier jet de sperme brulant et épais que je sentis ressortir comme pompé par limmense engin qui allait et venait dans mon boyau, se répandre sur le carrelage, en suivant la rainure de mes grandes lèvres. AEK continua encore un moment les va-et-vient furieux de sa splendide queue, éjacula encore trois ou quatre fois, puis saffala, exténué, sur mon dos.
Il resta comme cela un long moment, son zob encore vigoureux, toujours planté dans mon anus ; il reprenait lentement sa respiration. Au bout de quelques minutes, pendant lesquelles moi aussi javais repris tout mon souffle, il sortit son engin dentre mes fesses, sassit par terre et me fit me retourner pour admirer le spectacle. AEK était assis sur le carrelage, cul nu, le pantalon et le slip abaissés sur ses chevilles et le zob encore dégoulinant de sperme et enduit dun liquide de couleur brunâtre, brandi vers le plafond comme un sabre. Cétait la première fois que je voyais un tel engin. Même dans les films pornographiques que nous visionnons parfois, Lotfi et moi, javais rarement vu une queue aussi grande et aussi belle. Elle était vraiment immense trente-cinq centimètres minimum avec une circonférence quune seule main ne peut pas entourer. Et en plus elle était vraiment belle : toute lisse et brillante, sans une seule trace de poils, y compris sur son pubis. Et elle était surmontée dun gland en forme de champignon, avec une base très large, mais se terminant en pointe.
Je tendis la main pour toucher le superbe engin et en tâter la fermeté ; il était très doux malgré la viscosité des restes de la sodomisation et très dur. Du marbre, pensai-je ! Il se laissa faire en me regardant avec des yeux de prédateur non encore rassasié.
- Je veux maintenant que tu te déshabille ! Jai envie de te regarder toute nue et me rincer les yeux avec ton corps. Jaurais dû le faire avant même de tentreprendre tout à lheure, mais jétais tellement excité que je navais pu me retenir. Jespère que tu ne men veux pas trop. Je crois que tu as autant joui que moi ! Ce nest quun début ! Tu vois comme il a encore envie ! Allez enlève-moi tous ces habits !
Je me levais pour lui obéir, quand je vis Lotfi, assis dans un fauteuil à côté, nous regardant avec des yeux brillants de mille feux. Je lavais nous lavions totalement oublié. Il avait lui aussi sorti son zob il était moins impressionnant que celui dAEK, mais il était lui aussi très beau et très bien entretenu et était entrain de le caresser. Il se caressait doucement ; il ne se masturbait pas. Cétait comme sil ne faisait quentretenir une érection quil voulait garder à son maximum. Il ne cherchait pas à jouir en se branlant. Il semblait se contenter de bander comme cela au maximum, en attendant je ne sais quoi. Jallais linterpeller, mais je marrêtais net en voyant le signe quil me fit de ne pas moccuper de lui et de continuer ma partie de plaisir avec AEK. Je ne fis pas prier. Rapidement jenlevais tous mes habits et me retrouvais complètement nue devant les yeux écarquillés de mon amant.
- Tu es vraiment splendide ! Lotfi a vraiment une chance de cocu (sans jeu de mots) ! Tu étais très belle dans les photos que jai regardées tantôt, mais en vrai, tu les encore plus ! Tu es magnifique ! Viens me déshabiller ! Je veux que cela soit toi qui toccupe de menlever mes habits. Commence par mes chaussures !
Et ce fut comme cela que je me mis à enlever les habits de mon amant, en faisant en sorte quil ne se lève pas pour ne pas tomber nez à nez avec Lotfi. Je commençais par les souliers que je délaçais et enlevais lun après lautre ; je les posais précautionneusement par terre, sur le côté du canapé. Je lui enlevais ensuite les socquettes noires en coton, que je mis chacune dans sa chaussure dorigine. Puis je passais à son pantalon et son slip que jenlevais facilement, puisquils étaient déjà sur ses chevilles. Je pliais soigneusement le pantalon que je posais sur le canapé puis entrepris de lui enlever la veste, puis le chemise que je pliais aussi et posais sur le canapé. Il ne restait plus que le maillot de corps que jenlevais en un tour de main pour le déposer sur le canapé à côté des autres habits.
Pendant que je mefforçais de le déshabiller, AEK continuait de bander comme un bouc qui avait senti la présence dune chèvre en chaleur. Et jétais cette chèvre là. Pour le déshabiller javais dû me frotter à lui et la chaleur et la douceur de ma peau et de mes mains qui le caressaient au passage avait exaspéré son désir. Je voyais son magnifique zob qui tressaillait à chacune de mes caresses et qui continuait de grossir à vue dil (comme si cela était encore possible !). Il attrapa ma main droite et la porta au niveau de son sexe pour quelle le caresse. Puis il se ravisa.
- Suce-le ! me dit-il dun ton qui nadmettait pas de réplique.
Je venais de remarquer que quand AEK était tiraillé par le désir, il devenait brutal. Sa voix perdait de sa douceur naturelle et devenait aussi dure que celle dun adjudant qui sadressait à des troufions. Et moi jadorais ! Je voulais un homme, un vrai ! Et AEK, tout jeune quil fût, était un homme, un vrai ! Je navais pourtant pas envie de sucer le beau sexe de mon homme ; il sortait de mon cul et était encore plein de mes sécrétions anales. Mais au ton de sa voix, je savais que je devais obéir. Quil nadmettrait pas que je rouspétasse.
Je lui demandais donc de se mettre à genoux face à moi (tournant le dos à Lotfi, que moi je continuais de voir entrain de se caresser la queue, en nous regardant, les yeux toujours aussi brillants de désir) et de me tendre son sabre pour que je le nettoie avec ma bouche pour ensuite lui faire une fellation du tonnerre. Il accueillit ma proposition avec un sourire de carnassier.
- Tu es vraiment à la hauteur ! Lotfi ne ma pas menti quand il me disait que tu étais née pour faire lamour et pour rendre tes hommes fous de bonheur ! Je vais te baiser par la bouche ! (en nikek men foumek !)
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