Kamila Et Lotfi, Episode 2
Retour de la première voix : Lotfi
Oui Kamila avait été créée pour donner du bonheur charnel à ses hommes. Jusque là javais été son seul homme. Du moins, je lavais cru. Je sais maintenant que ce nétait pas vrai : elle avait été sodomisée à plusieurs reprises par un de ses petits amis avant que nous nous rencontrions et que nous nous marions. Je nétais pas jaloux en apprenant cette nouvelle, mais je métais promis de lui faire raconter ces épisodes où jétais cocu, avant même de la connaître. Jétais sûr que jen tirerai beaucoup de plaisir à lécouter me parler de ses sensations au moment où un jeune garçon avait défoncé son anus encore vierge.
Mais pour le moment cest du couple quelle venait de former avec Abdelkader, lhomme que je lui avais présenté moins de deux heures auparavant, que jai envie de parler.
Tout le temps que le couple forniquait Abdelkader avait commencé par éclater le cul de ma femme avec son immense queue et, ce faisant, lui avait procurée un plaisir immense moi je me tenais à lécart en regardant la scène avec un plaisir dont lintensité avait dépassé toutes mes espérances. Je savais que je prendrais beaucoup de plaisir à regarder ma femme se faire tirer par un homme. Surtout si elle-même y éprouvait du plaisir ; et quelle le montre. Mais je craignais que le fond de morale qui devait être encore en moi ne lemportât et mempêchât de profiter pleinement de la situation. Et là je fus totalement rassuré. Non seulement, il ne restait en moi aucun fond de morale qui eût pu jouer le rôle de rabat-joie, mais encore le plaisir que jespérais était en fait démultiplié.
Jétais encore plus heureux de ce que je voyais que je ne lavais imaginé. Mon cur battait la chamade et mon sexe avait atteint sa taille paroxysmique, tant il était excité. Je navais même pas envie de participer avec Abdelkader en prenant part au jeu quil jouait avec ma femme à deux mètres de moi. Je savais que jaurai ma part dès que je le voudrais.
Jétais celui qui était entrain denculer Kamila avec une immense queue qui lui déchirait le cul et qui la transportait vers les plus hautes cimes du plaisir ; je vivais en imagination tout le plaisir que prenait Abdelkader en ce moment là. Jétais aussi moi-même, le mari, qui contemplait sa femme lui montrer tout son bonheur de se faire éclater le cul par une superbe queue et hurler à qui veut lentendre tout le bonheur quelle vivait. Et en plus elle criait ce bonheur avec des mots crus, dits en arabe dialectal, qui accroissaient encore dun cran mon excitation. Je savais maintenant que jaimais vraiment regarder ma femme entrain de jouir. Cela me mettait dans une situation dexcitation maximum, qui me faisait bander à lextrême et me procurait énormément de plaisir.
Ce qui métonnait aussi, chose à laquelle je navais jamais pensée auparavant, cétait que je navais même pas envie de jouir. Ce que je voulais plus que tout au monde, cétait de garder le plus longtemps possible cet extraordinaire état dexcitation qui me transportait dans un monde paradisiaque. Il me suffisait de caresser légèrement mon sexe afin de le maintenir en érection permanente. Je savais quà un moment ou un autre, il me faudra bien éjaculer et jouir pour libérer mes couilles du trop plein de sperme accumulé, mais pour le moment, jétais dans un monde merveilleux qui me satisfaisait pleinement.
Je métais assis discrètement dans un des fauteuils du salon pour profiter pleinement du spectacle que moffrait ma femme entrain de se faire sodomiser. Jaurais bien aimé que Kamila eut choisi damener son amant dans la chambre que javais aménagée spécialement avec des miroirs aux murs et au plafond. Jaurais pu ainsi voir ma merveilleuse épouse sous tous les angles pendant quelle faisait lamour.
Mais Kamila navait pas tenu compte de mon désir de vouloir tout voir pendant lacte. Je lui avais pourtant expliqué mes envies au moment où javais aménagé la chambre avec les miroirs. Nous avions même inauguré le lieu en faisant lamour comme des bêtes et en nous regardant baiser dans toutes les glaces et sous tous les angles. Cela nous avait bien plu. Mais pour des raisons qui méchappaient, ma femme avait préféré amener son amant dans le salon. Je ne vis donc pas tout ce que jespérais voir, mais ce que javais vu et entendu avait suffi pour me transporter de plaisir. Jétais vraiment heureux ; un type de bonheur que je navais encore jamais ressenti et qui était fait surtout dune superbe excitation, qui ne demandait même pas à se transformer en orgasme. Une excitation qui se suffisait à elle-même.
Après lavoir fait grimper aux rideaux et joui lui-même intensément dans le cul de ma femme, Abdelkader toujours aussi excité, avait exigé de Kamila quelle lui fasse une fellation denfer. Dabord pour nettoyer avec la langue son engin de toutes les sécrétions quil avait ramené du rectum de le belle, puis pour se faire sucer et jouir dans sa bouche. Je connaissais lart de mon épouse dutiliser sa bouche, ses lèvres et sa langue pour moffrir de puissants orgasmes avec des éjaculations buccales et faciales. Jétais sûr quelle en donnerait autant à son nouvel amant.
Et de fait, elle se mit immédiatement à luvre en prenant limmense sexe du bonhomme dans sa main droite et en commençant par promener ses lèvres et sa langue sur le gland, la hampe et les testicules. Mais Abdelkader avait une toute autre idée en tête. Il voulait pénétrer immédiatement à lintérieur de la bouche.
- Rani rayeh ennikek men foumek ! (Je vais te niquer par ta bouche !) Helli foumek ! (ouvre ta bouche !)
Elle obéit et ouvrit très grand sa bouche. Il la pénétra sans ménagement et fit une première tentative pour aller le plus loin quil pouvait à lintérieur. Elle eut immédiatement envie de vomir et le repoussa. Il se retira une seconde et repartit immédiatement à lassaut. Il fit pénétrer son engin jusquau fond de la gorge ; le maintint un moment, comme sil voulait quelle shabitue à la présence du monstre, et le ressortit une autre seconde. Et il recommença comme cela cinq ou six fois, puis lattrapa par les cheveux pour quelle ne puisse pas fuir et se mit à la tirer avec fureur. Je voyais les yeux de Kamila qui se remplissaient de larmes. Elle avait mal à la gorge. Elle devenait toute rouge et semblait prête de lapoplexie. Elle était aussi sur le point de vomir. Abdelkader ressortit complètement de sa bouche pour lui permettre de respirer. Elle toussa très fort et ne put retenir le flot de crachat qui sétala sur le zob qui frétillait de désir de retourner à lassaut de la bouche. Et il repartit à lintérieur avec la même fureur quauparavant.
Jassistais à la scène avec un mélange de plaisir et dappréhension. De plaisir, parce quinconsciemment je métais imaginé à la place de lamant, faisant à Kamila, ce que javais toujours rêvé de lui faire, sans avoir jamais osé le faire, par peur de lui faire trop mal. Appréhension parce que je la voyais souffrir et que javais peur quil lui arrive quelque chose de grave. Mais je nintervenais pas. Je la regardais qui supportait vaillamment le traitement que lui faisait subir son amant et, à chaque fois, rouvrir très grand sa bouche pour lui permettre de retourner à lassaut de sa gorge.
Elle le regardait avec ses yeux larmoyants, son nez qui coulait et sa bouche qui crachait sur le sexe qui venait de sortir de sa bouche, lui envoyait un pauvre sourire de chienne battue et rouvrait sa bouche pour quil recommence.
- Rayeh enfaragh fi foumek ! (je vais éjaculer dans ta bouche !) Wa tbelέi koulech ! (Et tu avaleras tout !) Belέi ! (Avale !) Echerbi ! (Bois !) Echerbi aέasel ! (Bois du miel !)
Il éjacula une première fois à lintérieur de la bouche de Kamila, qui avala difficilement tout le sperme quelle venait de recevoir. Il déversa tout le reste de son foutre sur le visage, le cou et la poitrine de sa maîtresse.
- Nafdhi koulech bel yed, wa lahsi ha ! (Nettoie tout avec la main et lèche-la !) Nhab en choufek ĥakdha ! (Jadore te voir comme cela !)
Je vis ma merveilleuse Kamila sexécuter et nettoyer consciencieusement tout le foutre quelle avait sur elle et lécher à chaque fois ses doigts, tout en lui lançant un regard provocateur, comme pour lui rappeler quelle était vraiment à la hauteur. Elle mit beaucoup de temps à finir son uvre de nettoyage. Pendant tout ce temps Abdelkader était resté dans la même position, à genoux devant elle, la regardant avec admiration. Et il bandait encore !
- Tu es magnifique ! Je sais que je tai fait très mal et malgré cela tu nas rien fait pour mobliger à arrêter. Tu sais que jaurais arrêté si tu mavais repoussé ou mordu. Mais rien de cela ; tu as voulu aller jusquau bout. Je tadore !
- Tu nas encore rien vu !
Elle disait cela avec une toute petite voix qui sortait de sa gorge en feu. Elle avait encore très mal et narrivait pas à poser sa voix. Elle était obligée de racler sa gorge plusieurs fois pour pouvoir aller jusquau bout de sa phrase. Mais, elle tenait à lui faire savoir quelle était une maîtresse à la hauteur et quelle savait donner du plaisir à son nouveau maître. Elle menvoyait de temps en temps un regard rapide et discret, comme pour sassurer que jappréciais ce que je voyais.
Et jappréciais vraiment ce que à quoi je venais dassister. Mon plaisir était vraiment très fort. Jétais aussi excité quun bouc en rut, et jadorais de plus en plus cette sensation. Javais limpression que mon sexe allait exploser, tant il bandait très fort. Il me semblait quil avait atteint des dimensions énormes ; des dimensions quil navait encore jamais atteintes. Javais mal au bas ventre, tellement je bandais. Mais cétait un mal qui me faisait tellement de bien ! Je tenais toujours mon membre dans ma main et le caressais tout doucement. Je sentais maintenant une forte envie de vider mes bourses qui étaient vraiment trop pleines. Je voulais jouir moi aussi. Et il me semblait que Kamila avait senti cette envie ! Elle me lança une illade coquine et dit à son amant, qui me tournait toujours le dos :
- A mon tour de jouir très fort ! Cette fois-ci cest moi qui vais diriger la danse ! Allonge-toi sur le canapé, je vais venir mempaler sur ton manche ! Ana li ennikek dhork! (Cest moi qui vais te niquer cette fois-ci!)
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Retour de la deuxième voix : Kamila
Je fis allonger AEK sur le canapé. Il bandait encore très fort. Cet homme devait avoir un os à la place du sexe, avais-je pensé dans cet état ! Il ne débandait jamais ! Il venait pourtant de jouir deux fois de suite ! Son merveilleux manche était dressé vers le plafond, tel un sabre menaçant. Je bavais littéralement en le regardant. Il était tellement beau ! Tellement vigoureux !
Ma chatte coulait telle une fontaine à lidée dêtre pourfendue par une telle queue ! Je venais de prendre conscience que jusquà maintenant, lhomme ne sétait pas du tout occupé delle. Il mavait enculé ; il mavait baisé par la bouche ; mais il semblait avoir totalement délaissé mon minou. Or, lui aussi voulait sa part de bien-être et de bonheur. Il voulait être entrepris par limmense zob et sentir toute sa force et sa brutalité. Il voulait être limé vigoureusement par lénorme gland en forme de tête de champignon et avoir mal. Dhabitude, je détestais avoir mal en faisant lamour ; je supportais difficilement la douleur. Mais avec AEK, je me suis découverte une inquiétante tendance à apprécier la douleur provoquée par lénormité de son manche et à en ressentir un immense plaisir. Je sentais que jétais entrain de devenir un peu maso.
Je vins me placer à califourchon sur les puissantes cuisses du garçon, et telle une farouche amazone, je mempalais lentement sur le glaive fièrement dressé vers le plafond. Le gland ouvrit les grandes lèvres et pénétra sans effort jusquà lentrée du vagin. Jen ressentais déjà toute la force ! Quel plaisir ! Jarrêtais un instant pour me mettre en attente de la suite. Jai toujours adoré lexcitation que me procuraient les moments dattente dune forte pénétration, quelle soit vaginale ou anale ! Et quand elle arrivait, jy prenais un plaisir encore plus intense, à force de lavoir attendue. Je savais que mon amant aussi était dans lattente ; celle que jabaisse très vite mes hanches pour faire pénétrer son manche au plus profond de mon vagin. Jaimais limaginer comme cela, tremblant dimpatience, attendant le moment où je me déciderais à mempaler complètement sur son engin. Jaimais sentir ses mains semparer de mes hanches et essayer fébrilement de les tirer vers le bas pour faire pénétrer son sexe plus profondément dans mon vagin. Je résistais un long moment pour accroitre son désir, puis brusquement, je fis descendre mon bassin et mempalais dun seul coup sur son sabre.
Je sentais le manche entrer en force dans mon vagin, frotter vigoureusement la paroi et aller loin, très loin à lintérieur. Javais limpression, tellement il était long, quil allait dépasser les limites du vagin et ressortir par la bouche. Je regardais mon homme qui avait fermé les yeux et était entré en lui-même pour mieux apprécier le plaisir quil prenait à sentir la douceur de mon vagin, qui avait gardé une forte élasticité et qui, de ce fait, moulait parfaitement son membre. Il gémissait doucement, avec sur les lèvres un sourire béat. Il continuait de serrer très fort mes hanches, comme sil avait peur que je quitte le lieu et le laisse en plan.
Javais la douce sensation davoir un tison incandescent dans mon vagin. Mais la brulure que je ressentais ne me faisait pas mal. Au contraire, elle me procurait une forte sensation de plaisir. Je me mis à faire monter et descendre mon bassin à un rythme que je choisissais moi-même, en jouant avec le plaisir de mon homme. Quand je sentais quil narrivait plus à résister et quil était sur le point de jouir, je ralentissais le rythme jusquà ce quil se calme. Dès quil se calmait, je reprenais le mouvement montant et descendant de mes hanches, tirant de lui des gémissements de plus en plus forts.
- Naέref ennik ! (Je sais baiser !) Theb ki nikek ĥakdha ! (Tu aimes quand je te nique comme cela !) Theb saouti ! (Tu aimes ma chatte !) Goul li nheb saoutek ! Nheb hatchounek ! (Dis-moi que tu aimes ma vulve !) Goul ! (Dis !)
- En mout aέla hatchounek! Hatchounek! Hatchounek! (Jadore ta vulve!)
- Brit ezeb fi gaέri ! Brit rajel akhour li y nik ni mel lour ! (Je veux un zob dans mon cul ! Je veux quun autre homme vienne me niquer par derrière !) Lotfi arouah etnik martek mel lour ! (Lotfi viens baiser ta femme par derrière !) Brit zouj zboub fi etqabi ! (Je veux deux zobs dans mes trous !) Goul Lotfi y dji i nik ni mel lour ! (Dis à Lotfi de venir me niquer par derrière ! aέyet lou ! (Appelle-le !)
Evidemment AEK nappela pas mon mari. Il continuait de gémir sous leffet des va-et-vient de mon vagin sur son manche. Il était devenu tout rouge et semblait avoir du mal à résister à lenvie de jouir. Moi je ne voulais pas quil jouisse tout de suite. Je voulais absolument une double pénétration.
- Balek etfaregh dhourk ! Ma tferaghch heta ngoulek ! (Attention déjaculer maintenant ! Tu néjaculeras que quand je te le demanderais !) Lotfi arouah etnik ni mel lour ! (Lotfi vient me baiser par derrière !)
Et Lotfi vint ! Jarrêtais un moment les mouvements montants et descendants de mes hanches pour le laisser préparer mon cul à la pénétration. Il se plaça derrière moi. Je sentis une main se poser sur mes fesses, les écarter et un doigt se poser sur mon anus. Il pénétra sans effort à lintérieur de mon rectum pour y tester la lubrification. Comme il était encore bien mouillé, il ninsista pas. Il posa le gland de son sexe sur mon anneau. Je connaissais tellement bien la douceur et la force de ce sexe ! Je le sentis pousser un peu et pénétrer en partie dans mon cul. Quelle sensation ! Dun côté un immense zob qui se trouvait à lentrée de ma chatte et de lautre, un autre zob dans celle de mon cul. Tous les deux attendaient mon bon vouloir pour aller et venir avec fureur dans mes deux trous.
Et moi, sans rien pouvoir voir, jétais au milieu, le bassin relevé de manière à permettre à AEK daller et venir dans mon vagin et à Lotfi de menculer à laise. Encore une fois jétais en position dattente ! Une attente tellement délicieuse ! Mais cette fois, cétait à moi de donner le top de départ. Je les fis attendre un moment, pour accroitre encore plus leur excitation et leur impatience. Et puis je donnais le top en leur criant :
- Nikouni ! (Niquez-moi!)
Merveilleuse sensation que ces deux zobs qui prenaient possession de mes deux trous et qui allaient et venaient en même temps, se croisant et se frottant lun à lautre, à travers les fines parois de mon vagin et de mon rectum ! Cétait le paradis ! Javais toujours fantasmé sur la double pénétration et javais toujours voulu la vivre. Avec mon mari, nous avions pratiqué un ersatz de double pénétration avec un gode, à la place dun deuxième zob dhomme. Nous y avions pris du plaisir, mais moi jétais toujours un peu frustrée parce que je voulais quà la place du gode il y ait un homme, avec son poids, son odeur, sa force et surtout son éjaculation finale. Un gode ne peut pas éjaculer et me remplir de sperme ! Or pour moi, il ne pouvait pas y avoir de pénétration sans sperme qui dégouline.
Et bien avec AEK et Lotfi, jétais entrain de vivre une vraie double pénétration ! Jétais au comble du bonheur ! Mes deux trous étaient remplis par deux merveilleux zobs. Et même si celui de mon amant était exceptionnel par sa taille et sa force, celui de mon mari qui me ramonait le cul, était lui aussi superbe et me procurait un énorme plaisir. Je ne pouvais pas voir la scène que jouaient nos trois corps soudés entre eux, mais je limaginais en bavant de plaisir. Je nous voyais, moi au milieu entrain de recevoir en criant et en bavant de plaisir, un sexe dans chacun de mes trous ; AEK en dessous de moi levant et en poussant à chacune des pénétrations un han de bucheron, accompagné dun gémissement de plaisir ; et Lotfi au dessus de moi, magrippant par les hanches et menfonçant son manche dans le cul, en ahanant lui aussi très fort.
Tous les trois, nous étions dans un état second, chacun de nous plongé dans son plaisir et attendant le déferlement dune jouissance paroxysmique que nous sentions proche. Javais mes deux trous en feu. Chacun des deux zobs limant mes parois avec force et fureur. Je ne savais pas ce que ressentait chacun de mes deux hommes au moment où leurs sexes se croisaient et se frottaient lun à lautre à travers mes parois vaginale et rectale, mais ce que moi je ressentais, cétait le bonheur à létat pur ! Chaque rencontre, chaque frottement des zobs entre eux, à travers les fines membranes tellement sensibles de mon vagin et de mon rectum, me procuraient un plaisir de plus en plus intense. Après chaque rencontre, je me mettais en position dattente du prochain frottement. Je navais pas compté le nombre de croisements quil y eut. Mais à chaque fois cétait le paradis ! Jusquau moment où le plaisir avait atteint un tel degré dintensité que je ne pus retenir lorgasme qui déboula en moi, tel un torrent en furie. Je me suis mise à hurler mon bonheur, en ordonnant à mes hommes dintensifier leurs coups de boutoir. Et puis je poussais un énorme râle et perdit presque connaissance, tellement ma respiration devint rapide et saccadée et le rythme de mon cur avait atteint un maximum insupportable.
Javais été la première à jouir, à produire des litres de cyprine et à mécrouler fourbue sur AEK qui dut employer toutes ses forces pour me maintenir assez haut pour continuer à faire aller et venir son sexe dans mon vagin inondé. Mes amants suivirent très rapidement. Lotfi qui était plein comme une outre, jouit en silence contrairement à son habitude et éjacula une quantité incroyable de sperme brulant, épais et visqueux à lintérieur de mon anus. Je sentis le foutre ressortir et couler en dehors, expulsé par les allers-retours de son sexe dans mon cul. Il alla rejoindre tout le jus qui était sorti de ma chatte pour sétaler sur le pubis de AEK et sur le canapé. Abdelkader qui avait auparavant vidé ses bourses dans mon cul et ma bouche, jouit en dernier et néjacula quune petite quantité de sperme liquide et transparent. Ce ne fut quà ce moment quil me relâcha et me laissa tomber sur sa poitrine, entraînant avec moi Lotfi qui resta sur mon dos, le zob toujours en érection, encore planté dans mon cul.
AEK était visiblement harassé. Harassé mais heureux. Il avait débandé et fait sortir sa queue ramollie de ma chatte. Pour la première fois depuis que nous nous sommes rencontrés - il y avait à peine trois heures - il menlaça et me donna un baiser plein de tendresse sur la bouche. Lotfi était toujours sur mos dos, le sexe toujours planté dans mon anus. Il ne voulait plus quitter la place. Je me retournais pour le regarder. Dans la position dans laquelle jétais, je ne pouvais pas le voir complètement, mais le connaissant comme je le connaissais, je savais quil avait encore envie de me tirer. La présence de Abdelkader sous moi ne semblait pas le gêner. Je crois même quelle lexcitait encore plus.
- En nikek ĥakdha foug sahbek ! (Je vais te niquer comme cela, au dessus de ton amant !)
- Nik ni ! (Nique-moi !) répondis-je, soudainement très intéressée par la nouvelle situation qui se présentait à nous.
Nous ne demandâmes pas lavis de AEK, qui de toutes les façons ne pouvait rien dire. Mon merveilleux mari venait de décider de me baiser en levrette, accroupie sur mon amant. Il me fit monter un peu pour que je me mette à genoux de part et dautre de la taille de Abdelkader, mes seins posés sur sa poitrine, la tête au creux de son épaule gauche et les fesses remontées à hauteur du pubis de Lotfi. Lui-même se positionna entre les jambes de mon amant et planta immédiatement sa queue entre mes grandes lèvres. Elle pénétra très facilement à lintérieur de mon vagin qui était encore pleine de mouille et de sperme.
Je ne ressentis pas la même sensation que précédemment avec limmense queue de mon amant. Je ne ressentais que des chatouilles - du reste, très agréables parce que limmense queue de AEK avait grandement élargi le tunnel de mon vagin. La force de mon mari était située dans les coups de reins quil me donnait et qui produisaient un claquement sec chaque fois que son bas ventre cognait contre mes fesses. Le claquement, conjugué au clapotis indécents que faisait le zob de mon mari à lintérieur de mon vagin plein de mouille, me remplissaient démoi. Sans pouvoir le voir, je lentendais qui ahanait derrière moi en tirant de plus en plus fort sur mes hanches.
Je regardais AEK en dessous de moi. Il souriait de toutes ses dents et avait commencé à me caresser les seins. Il savait caresser le bougre ! Autant, il était brutal quand il baisait, autant, il savait être dune douceur infinie quand il caressait et embrassait. Il sétait mis à membrasser sur tout le visage joue, front, bouche, menton et sur le cou. Et il jouait avec un sein, puis avec lautre, à laide de sa main droite ; il prenait, avec dinfinies précautions, mes tétons entre ses doigts et les faisait tourner entre eux. Cette sensation de douceur !
Je ne savais pas ce qui allait me faire jouir une fois de plus : les coups de boutoirs de mon mari qui continuait soccuper de ma vulve en me tirant de plus en plus fort en levrette, ou la douceur des caresses et des baisers de mon amant allongé en dessous de moi. Certainement les deux en même temps ! Et de fait je ne tardai pas à avoir un autre orgasme, en même temps que Lotfi qui éjacula trois giclées de ce qui lui restait de sperme à lintérieur de mon vagin.
Quand nous nous séparâmes à contrecur pour moi, qui voulait rester pour léternité entre mes deux hommes nous étions dans un tel état de douce lassitude, quaucun de nous trois ne réussit à se lever avant quau moins une heure ne passât. Aucun de nous ne dit mot pendant tout ce temps là. Nous nous contentâmes de rester sur le canapé, moi assise entre mes deux hommes, chacun ayant passé un bras autour dune de mes épaules. Jétais tellement heureuse entre eux ! Je ne disais rien, mais je nen pensais pas moins. Je réfléchissais à tout ce qui venait de se passer. Je me demandais quelle serait la suite de cette aventure. Moi je voulais quelle continuât ; javais pris goût aux coups de reins de AEK et je ne voulais pas que cela sarrêtât aussi vite. Mais je nosais pas parler. Je voulais que Lotfi, lorganisateur de toute lopération, parlât et demandât à notre ami de rester avec nous et de continuer laventure.
Au final, ce fut AEK qui brisa le silence, en nous faisant un véritable discours, doù il ressortait quil avait été heureux davoir fait notre connaissance et que jamais avant cela il navait pensé une telle chose possible. Il avait non seulement apprécié ce qui sétait passé, mais en plus, il lui semblait quil était tombé amoureux de moi. Et quil aurait bien aimé que les choses continuent ainsi ; quil voudrait tellement revenir et que nous lui permettions de continuer de maimer à sa manière un peu brutale, ajouta-t-il, mais réelle.
- Tu peux même rester vivre avec nous, répondit Lotfi, qui semblait soulagé de navoir pas à faire la proposition lui-même. Tu as vu combien Kamila a apprécié de faire lamour avec toi ! Tu as vu aussi combien jai eu de plaisir à vous regarder faire lamour ensemble et combien jai aimé y participer. Tu seras toujours le bienvenu chez nous, Nest-ce pas chérie ?
- Je ne vais pas te laisser partir après ce que nous venons de vivre ensemble. Je vais tattacher pour que tu ne puisses plus nous quitter, Lotfi et moi ! Tu restes ?
- Oui ! Mille fois oui !
Et ce fut ainsi que mon superbe Apollon vint sinstaller avec nous et fit partie de notre vie pendant deux années. Comme cétait un athlète de haut niveau, membre de léquipe nationale de judo, il sabsentait quelquefois pour des regroupements et des entrainements en Algérie et à létranger, mais à chaque fois, il revenait chez nous, visiblement heureux de nous de me - retrouver. Nous eûmes ensemble avec et sans Lotfi, avec dautres hommes et une autre femme - toutes sortes dexpériences érotiques que même son mariage et son départ définitif, navaient pas pu arrêter. Abdelkader, mon fabuleux AEK, restera toujours présent dans mon cur et mon esprit. Si je navais peur du ridicule, je dirais même quil est encore toujours présent dans mon cul, tellement il mavait donné de plaisir.
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