Odile (2° Partie)
Après avoir baisée pour la première fois avec une autre, Odile, mon amante tient à mapprendre ce que je ne sais pas encore ce qui se fait entre filles. Elle tient absolument à ce que nous soyons impeccables et pour cette suite, il nous faut une bonne douche. Pour moi , douche correspond au lavage de mon corps, de celui de mon mari que je branle à cette occasion et surtout du jet sur mon sexe. Jaime bien jouir ainsi, ce nest pas mon mari qui dira le contraire.
Nous sommes sous leau tiède, le jet entre nous deux. Leau sécoule entre nos corps. Odile mène la danse. Cest elle qui décide que nous pouvons nous masturber, moi dabord, et elle ensuite avec le jet. Elle a une façon de diriger le jet sur mon clitoris que je ne résiste pas longtemps. Je menvole vers le 7° ciel. Je voulais la branler moi aussi : trop tard, elle se fait jouir seule devant moi. Dommage, jaurai bien aimé lui donner le même plaisir que jai eu.
Nous nous séchons bien vite: il me tarde de baiser comme une lesbienne. Nous nallons pas dans le salon, direction sa chambre. Elle me prend dans ses bras, ses seins contre les miens, jaime cette sensation nouvelle. Jaime sentir ses tétons contre les miens. Surtout quelle sarrange bien pour que nos pointes se touchent en se caressant. Je crois que si elle continue, elle va me faire jouir.
Je revois en un éclair notre première conversation il y a presque 15 ans quand elle mexpliquait comment éprouver du plaisir en me massant entre les jambes. Rien ne nous retenait sinon lamitié, et maintenant je me donne à elle.
Elle membrasse toujours sur la bouche, ses mains descendent sur mon dos pour venir entre mes fesses. Je sens un doigt, passer entre elles et arriver sur mon anus. Elle le frôle lentement un bon bout de temps. Elle narrête pas, je me laisse aller encore une fois. Ses légers mouvements font que jai mon envie de jouir qui éclate : tous mes muscles du bas ventres se crispent et je jouis dune drôle de façon inédite.
Nous nous couchons cote à cote, je caresse le sein le plus proche en insistant sur son téton. Elle pose sa main sur la mienne, pas pour marrêter, mais comme encouragement. Je sens une main descendre sur mon ventre, jécarte déjà les cuisses dans lattente dune masturbation qui narrive pas : elle me caresse le buisson de poils.
Elle se tourne pour avoir sa tête juste à hauteur de ma chatte. Elle la pose entre le haut de mes cuisses pour arriver à ma chatte. Elle en connait le goût depuis tout à lheure quand après quelle mai branlée elle a sucé sa main pleine de mon liquide. Elle commence par le haut en venant chercher mon bouton. Elle le lèche comme le ferai un jeune animal en mal de lait. Jai tout mon bouton dans sa bouche pendant que sa langue le lèche. Je suis en proie à un plaisir ravageur et je crie mon bonheur bien fort surtout quand je jouis. Elle narrête pas de me fait jouir plus vite et plus fort.
Sa bouche descend cette fois en passant sur mes lèvres. Je ne suis pas tellement sensible de ce coté là, elle ninsiste pas, entre sa langue dans le vagin et là, je sursaute quand elle trouve le point G. Elle ne bouge pas tellement et pourtant je jouis sans arrêt.
Je suis obligé se lui demander darrêter, je nen peux plus. Elle me laisse récupérer un instant avant de revenir finir ce quelle avait commencé. Cette fois cest le tour de mon anus : elle le lèche longuement, me faisant toujours frémir avant dentrer dans mon cul. Je ne savait pas quelle aimait faire cette chose impensable pour moi. En tout cas, même si cest bien moins bon quune vraie sodomie, ça y ressemble suffisamment pour me faire partir encore une fois.
Je ne pensais pas jouir autant avec une autre femme. Au moins je nai pas à attendre quune bite bande à nouveau. Elle arrête ses léchages un moment pour me demander :
- Tu veux quon fasse un 69 ?
- Quoi entre deux femmes ?
- Tu es sotte, comment tu crois quon se fait bien jouir nous autres ?
- Je vais essayer, mais te lécher le con
- Je viens bien de le faire, rends moi ce que je tai donné.
Elle a raison. Mais je crains davoir tout mon visage comme le sien, barbouillé de cyprine. En plus jai comme un écurement de savoir que ma langue va aller dans tous ses endroits que je crains : son vagin et son anus. Je me fais une raison, je vais commencer par le clitoris. Je vais sur elle qui me donne toute sa fente à sucer. Je ne crains pas quelle me suce, aussi jai mes jambes autour de sa tête. Jai même envie quelle recommence sur mon point G.
Cest elle la première qui sans hésiter retourne sur mon cul. Cest toujours aussi excitant. Tant pis je limite sans crante puisque elle ma fait jouir par là. Cest à cet instant que je réalise que je nai même pas envie de bite, que je jouis sans doute plus quavec mon mari. Pourtant je naime normalement que les homme comme toute bonne hétéro. Mais avec elle javoue que les hommes ne mattirent pas du tout.
Sa langue me fait encore jouir en me sodomisant. Je lui rend la pareille en entrant ma langue facilement dans son anus. Je pensais que je devrai forcer, elle doit avoir lhabitude de se faire mettre par ce trou. Je vais et viens quand je sens quelle jouit. Je déplace ma langue sur ses lèvres, elle gémit quand je les lave. Par contre quand je suis dans son con, je ne trouve pas son point G. Tant pis je vais lui lécher le clito.
Joublie de dire quelle me fait jouir à peu près comme la première fois, sinon plus.
Nous arrêtons. La semaine prochaine elle va mapprendre à ne jouir quavec les clitoris, cest parait-il délicieux.
Je soir même mon mari tient absolument à me baiser. Je suis lasse et pourtant jaccepte sa bite dans le cul. Quelle différence avec Odile. Je jouis bien mieux et jai le cul rempli de sa queue et à la fin du sperme. Cest dabord ces deux petites choses qui me manquaient : bite et sperme. Du coup je le suce rien que pour sentir son goût de sperme dans la bouche. Je ne sais plus avec qui je préfère baiser, la femme ou lhomme...
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