L'Employée De Maison (2)

La vie reprit son quotidien, certains jours étant plus chargés que d’autres et Caroline venait avec moi au travail et d’autres elle restait à la maison. Mais elle était toujours aussi ardente que la braise et lorsque j’arrivais à la maison le soir, une fois que Valérie avait servi l’apéritif et était repartie à la cuisine, elle me prodiguait la plus douce des fellations. Elle mettait tout son cœur à prendre mon sexe dans la main et le branler tendrement en me fixant bien dans les yeux. Ensuite, elle jouait de sa langue sur le gland décalotté et en faisait le tour langoureusement. Elle entreprenait ensuite un mouvement de va et vient tout en m’embouchant jusqu’au fond de sa gorge car elle savait le plaisir qu’elle me procurait. Lorsque je sentais le plaisir monter en moi, je ne manquais jamais de la prévenir et de son côté elle était heureuse de tout avaler sans en perdre une goutte.
Un soir que, pour une fois je rentrais un peu plus tôt, je la vis excitée comme une puce et sentis qu’elle avait quelque chose à me dire. Je laissais le temps à Valérie de nous servir l’apéritif et j’attendis qu’elle soit partie pour lui demander à l’oreille :
- Tu ne voudrais pas me raconter quelque chose par hasard Ma Chérie ?
- Oui en effet ! sais-tu que notre jolie Valérie est une cochonne voire même une salope ?
- Que racontes-tu Ma Puce ? Pourquoi dis-tu ça ?
- Cet après-midi, j’étais en train de me branler comme une folle sur notre lit, mon clito était déjà bien gonflé et je coulais comme une fontaine quand j’ai entendu un bruit bizarre. Comme nous étions dans la tranche horaire de repos de Valérie, je ne voulais pas la déranger, je rabattis vite fait ma jupe et allait à la porte d’entrée. Il n’y avait personne. Mais le bruit persistait et semblait en fait venir du second étage. Sur la pointe des pieds j’y montais. La quelle ne fut pas ma surprise de voir Valérie, les cuisses ouvertes à l’extrême, la jupe remontée sur les hanches en train de s’envoyer en l’air.


- Oh tu me fais bander rien qu’à me raconter ça !
- Attends ce n’est pas tout ! Elle avait un gode dans le cul et avec un autre elle se branlait sa petite chatte bien rasée et son doigt sur son clito. Je l’observais par l’entrebâillement de la porte et elle se tordit de plaisir au moment de sa jouissance.
- De mieux en mieux, Caroline ! Voila que tu deviens voyeuse !!!
- Je t’assure qu’elle était excitante, si tu l’avais vue en train de se ramoner les yeux dans le vague, je suis sure que tu te serais, comme tu le dis si bien, astiqué le manche.
- Oui tu as sans doute raison. Maintenant peut être allons-nous pouvoir jouer avec elle ? Nous allons voir ça et l’amener en douceur à se laisser aller.
Aussitôt, j’ai appelé Valérie pour lui dire de se servir un apéritif et de venir au salon. Elle arriva avec l’aire d’une gamine surprise le doigt dans le pot de confiture. Je lui dis de s’asseoir face à nous et ma diablesse de Caroline ne trouva rien de mieux que de mettre ostensiblement la main sur mon sexe par-dessus le pantalon. Je l’ai alors interrogé sur son travail et lui ai demandé si elle se plaisait chez nous. Pendant que nous parlions, je voyais en face de moi ses cuisses s’écarter légèrement et je distinguais son triangle dépourvu de toute pilosité. On voyait également que son soutien-gorge était parti pour un monde meilleur et ses petits tétons pointaient sous son fin chemisier. Je lui posais alors la question qui l’acheva :
- Vous allez souvent en boite ou en club ?
- Ah oui je vais souvent en boite danser mais qu’entendez-vous par « club ».
- Je parle de club libertin ou échangiste !
- Si j’y suis allé une ou deux fois avec d’anciens petits copains et j’ai trouvé ça sympa et convivial.
Nous l’avons vu rougir en répondant a cette question et pendant ce temps-là, tout en continuant à me caresser, Caroline serrait ses cuisses l’une contre l’autre dans le but évident de se faire jouir.
- Et que pensez-vous des relations à trois ?
- Oh je n’ai jamais essayé et je pense que ça doit être agréable.
Je veux dire un homme et 2 femmes !
Je pense qu’à partir de ce moment elle avait compris l’orientation que prenait ce bavardage. Caroline desserra un peu ses jambes afin que Valérie puisse voir son petit abricot dénudé. Celle-ci, l’air de rien, n’en perdait cependant pas une miette tout en frottant ses cuisses l’une contre l’autre. Elle rosissait de plus en plus et Caroline tout en la regardant droit dans les yeux continuait à m’exciter par-dessus mon pantalon. Mon sexe me faisait mal tant il était comprimé et je commençais à me trémousser sur le canapé. A force de se trémousser, la lisière de sa robe remontait de plus en plus. Valérie ne pouvait pas ne pas voir l’abricot glabre de Ma Belle et d’ailleurs elle ne se privait pas de mater tout en laissant, par ses trémoussements, remonter elle aussi son vêtement. Il commençait à y avoir dans le salon un érotisme qui allait en s’accroissant. Le point de non-retour était franchi ! C’est alors que Caroline dit à Valérie en tapotant le canapé entre nous :
- Et si tu venais t’installer entre nous Valérie, le canapé est très accueillant !

La suite bientôt.
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