Kamila Et Lotfi, Episode 3
Kamila, Lotfi et Abdelkader vécurent ainsi, pendant environ six mois, la vie dun couple à trois. AEK sinstalla presque en permanence chez eux et partagea avec eux une vie de luxure qui navait dautres limites que leur seule résistance physique celle des hommes surtout, parce que pour la femme la question ne se posait pas : non seulement elle supportait vaillamment tous les assauts de ses deux hommes, mais même après cela ses besoins étaient encore intacts. Tous les trois trouvaient leur bonheur dans cette vie où seul le sexe et lérotisme avaient droit de cité.
Bien entendu, tous les trois travaillaient et avaient une vie professionnelle normale AEK, avait, quant à lui, une activité sportive qui lui tenait lieu de profession ; il était dailleurs payé en conséquence, en sa qualité de sportif délite, directement par le ministère chargé des sports. Mais il ne sagissait pour eux que doccupations utiles pour gagner leur vie. Leur vraie passion était ailleurs : dans une vie sexuelle débridée et complètement assumée.
Je rencontrais assez régulièrement le couple, dont jétais en quelque sorte devenu le confident. Je crois que lun et lautre avaient de lestime pour moi et, peut être même, quils maimaient bien ; probablement parce quils trouvaient en moi une écoute attentive et quils avaient un vrai besoin de sexprimer sur leur vie de couple et surtout sur leur activité, leur vécu, et leurs besoins érotiques. En fait, ils avaient besoin de sexprimer pour ne pas se sentir seuls au monde et partager avec tous ceux quils pensaient être très nombreux, bien que discrets qui partageaient leurs fantasmes et qui rêvaient de vivre la même vie queux.
Javais cet avantage davoir une assez belle plume et de pouvoir écrire et faire publier leur histoire. En fait, cela ne métait pas très difficile. Lotfi savait raconter il avait lui-même une assez belle plume et il me suffisait de reproduire, pratiquement sans correction, ce quil racontait.
Elle savait que son mari aimait lentendre hurler les mots crus que lui inspiraient les coups de boutoir de ses amants. Elle les disait toujours dans sa langue maternelle qui était pour tous les deux la langue de lérotisme par excellence et savait quils titillaient ses amants, quelle obligeait à la suivre dans ses délires et à lui répondre dans la même langue. Je peux avouer, aujourdhui, que moi-même le narrateur normalement neutre et asexué il marrivait de bander en entendant Kamila prononcer ces mots et ces phrases qui avaient sur moi un fort effet aphrodisiaque. Je métais toujours ef de nen rien montrer, mais mon Dieu ce que sa voix un peu rauque me chatouillait le bas ventre et me mettait en état de rut animal, quand elle prononçait ces mots !
Je ne fis jamais la connaissance de Abdelkader, mais je pense lavoir connu très intimement, à travers les descriptions croisées que men faisait le couple. Cétait certainement un homme encore un garçon, compte tenu de sa grande jeunesse extraordinaire. Il prit avec une facilité déconcertante les habits de troisième membre du couple, et surtout adopta très vite son mode de vie. Il devint petit à petit le vrai maître des jeux du couple. Il finit même, au bout de seulement trois mois de vie commune, par vouloir lui aussi partager Kamila avec dautres hommes. Il rejoignit ainsi Lotfi dans son monde particulier de cocu volontaire et assumé et sembla avoir tiré de lexpérience de très grandes satisfactions érotiques.
Cest cette partie de la vie du trio qui est racontée ci-dessous, toujours à travers les voix croisées de Lotfi et de sa femme.
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Voix de Lotfi
Nous vécûmes ainsi, Kamila mon épouse adorée Abdelkader - son amant - et moi, une vie passionnante dun couple à trois.
Physiquement, il était vraiment au top. Grand, fort, viril et surtout ce que ma femme adorait par-dessus tout il était membré comme un âne ! Elle aimait cet immense manche toujours en érection qui lui faisait toujours très mal quand il la possédait avec une brutalité qui ne sétait jamais démentie depuis et qui lui remplissait tous ses trous. Elle me disait, en aparté et même devant lui :
- Nmout ala zboub li ywedjouni ki yedkhoul fiya ! Fi saouti ! Fi gaari ! Fi foumi ! (Jadore les zobs qui font mal quand ils pénètrent en moi ! Dans ma chatte ! Dans mon cul ! Dans ma bouche !). Nhab ki i nik ni bezzour ! (Jaime quand il me baise en force !) Nhab ki iamar li hatchouni ! (Jadore quand il me remplit complètement le vagin !)
Kamila était comme cela ! Elle disait les choses crument ; exactement comme elle les pensait. Pourtant, il y avait encore peu de temps, elle hésitait à employer un de ces mots, même à voix très basse. Elle était du genre pudique. Elle ne commença à se lâcher vraiment quavec larrivée dans notre vie de Abdelkader. Avant cela, javais bien essayé de lui faire prononcer quelques mots ou phrases crus quand on faisait lamour surtout accroître mon excitation à moi qui avait toujours trouvé très aphrodisiaques les mots crus dits en arabe. Sans grand succès, il faut bien ladmettre.
Elle acceptait quelquefois de répondre à mes questions pendant lacte, mais cétait toujours à voix très basse et en rougissant comme une jeune écolière qui venait de se faire attr à dire des gros mots.
- Wachnou hadha ? Wach issemouh ? lui demandais-je souvent en lui montrant mon engin qui allait la pénétrer. (Cest quoi cela ? Comment lappelle-t-on ?)
-
(Elle ne répondait jamais la première fois)
- Goulili kifech issemouh ! (Dis-moi comment on lappelle !)
-
- Hadha zeb ! Gouli, hadha zeb ! Zeb ! (Cest un zob ! Dis, cest un zob ! Un zob !)
- Zob !
Quand elle acceptait enfin de prononcer le mot défendu, il sétait passé un long moment.
Son bonheur à ce moment là se lisait sur tout son corps. Non seulement elle hurlait quelle jouissait, mais ses yeux qui brillaient de mille feux pendant quelle se faisait tirer surtout par son étalon damant sa bouche narrivait plus à retenir la salive qui en sortait à grands flots, sa tête dodelinait à la manière dun pantin désarticulé et ses hanches suivaient furieusement le rythme saccadés des coups de boutoir du magnifique zob qui la possédait.
Je savais qua ma femme aimait le sexe. Elle me lavait toujours prouvé auparavant. Mais le sexe quelle semblait aimer était du genre calme et doux. Elle avait toujours joui sous mes coups de reins ; et les orgasmes qui survenaient semblaient la transporter vers ce quelle nommait le septième ciel. Ils faisaient battre son cur plus fort, rendaient sa respiration haletante, tiraient delle un râle de jouissance, souvent très fort. Mais il ny avait rien de comparable à ce quelle avait commencé à vivre, ces six derniers mois avec AEK comme elle sévertuait à lappeler en ma présence et parfois avec ma participation finale. (Elle ne voulait que jintervienne quaprès avoir déjà bien joui avec le magnifique manche de son amant, et pour quelle bénéficie dune double pénétration, quelle aimait par-dessus tout.)
Bizarrement, je nétais pas jaloux de découvrir que ma femme navait pas atteint avec moi, auparavant, les sommets de la jouissance sexuelle.
Mon plaisir était surtout cérébral. Je mexcitais et jouissait par le cerveau. Je ne croyais pas cela possible ! Voir et entendre - ma femme prendre du plaisir sous ou sur un autre homme, me mettait dans un état second ; un état près de la béatitude. Mon sexe se tendait jusquà me faire mal. Et cette douce douleur rayonnait sur tout mon bas ventre et venait chatouiller ma colonne vertébrale pour se répandre sur la totalité de mon corps. Létonnant dans tout cela, cétait que je néprouvais pas le besoin de participer à laction et de jouir dans un des trous de mon épouse. Il me suffisait dêtre excité très fort et de bander tout autant. Lérection devenait un but en soit. La seule chose qui comptait, cétait quelle soit maintenue à son paroxysme. Et si au final, Kamila mappelait pour participer à lassaut dun de ses trous, cétait un plus dans le plaisir qui mhabitait. Sinon, je ne voyais pas de problèmes à rester ainsi, le zob en érection dans la main.
Et dans ce dernier cas, soit nous faisions lamour ma femme et moi, quand nous nous retrouvions seuls, (quand il arrivait à Abdelkader de partir) et alors je libérais mes bourses trop pleines dans lun de ses trous; soit que je me contentais dune superbe masturbation en revivant en esprit les plus forts moments des étreintes des amants. Et je trouvais, ces moments de masturbation effrénée, vraiment délicieux !
Pendant les six premiers mois, nous vécûmes donc ainsi tous les trois. Abdelkader sétait avéré un amant à la hauteur. Il était devenu le maître duvre de notre vie sexuelle. Cétait presque toujours lui qui démarrait les hostilités. Et avec lui, il ny avait pas dheure pour baiser. Dès quil rentrait dun entrainement vers midi les jours féries, et juste après dix-huit heures les jours de semaine - il entreprenait Kamila qui était toujours disponible. Il avait avec ma bénédiction exigée de ma femme quelle soit toujours nue sous ses tenues, quand elle était à la maison. Les seules fois quil acceptait quelle portât une culotte, cétait quand elle avait ses règles. Et quel que soit lendroit où elle se trouvait au moment où il rentrait à la maison, il allait vers elle et se mettait à la peloter. Cétait devenu presque un rite.
Il aimait particulièrement la mettre en position penchée sur une table ou sur nimporte quoi dautre (lavabo, évier de cuisine ou fauteuil du salon) et découvrir ses fesses. Il avait une fois pour toutes flashé sur le cul de ma femme et nétait jamais rassasié de le voir et de lentreprendre. Et ma Kamila adorait cela ! Elle se penchait en avant; et lui, il soulevait le bas de sa djebba (ou abaissait le pantalon de pyjama, si cétait cela quelle portait en ce moment) et restait un moment à admirer le superbe cul de ma femme. Un cul tout rond, tout ferme avec un trou de balles toujours frémissant ! Il était maintenant, grâce au monstre que Abdelkader portait entre ses cuisses, bien ouvert. Mais même comme cela je lavais plusieurs fois moi-même testé il était encore très élastique et moulait parfaitement nos zobs.
Il commençait par promener ses lèvres sur les deux fesses de la femme pour lui appliquer des baisers bien sonores. Il faisait toujours cela en prémisse de ce qui allait suivre. Et ce qui suivait inévitablement, cétait une longue partie de lèche de lanus et de la chatte de Kamila. Et pendant quil léchait et suçait entre deux respirations il parlait. Javais eu souvent limpression quen ces moments là, cétait au cul de Kamila quil sadressait; pas à elle.
- Nhebek ! Nheb riha taek ! (Je taime ! Jaime ton odeur !) Nheb el benna taek ! (Jaime ton gout!)
Et tout en continuant de lui parler ainsi, il faisait pénétrer un doigt, puis deux et enfin trois dans lanus. Il les faisait aller et venir et tourner à lintérieur du boyau, jusquà faire hurler Kamila de plaisir. Cest toujours à ces moments là quelle se mettait elle-même à parler et à exiger des choses de son amant.
- Kharedj zebek ou dekhel houli ! Dekhlou fi gaari ! Kessar li gaari ! (Sort ton zob et pénètre-moi ! Fais-le entrer dans mon cul ! Défonce-moi le cul !)
Parfois elle se ravisait et exigeait de son amant une autre position. A ce moment là elle voulait regarder et admirer limmense zob entrain de prendre possession de son anus.
- Brit en chouffou qui yedkhel fiya ! Khelini endour ! (Je veux le voir quand il entre en moi ! Laisse-moi me retourner !) ĥakdha ! Dekhel ĥouli dhork ! (Oui comme ça ! Fait pénétrer maintenant !) Waaaah ! Achhal mlih ! Dekhlou gaa ! (Wah ! Cest super ! Fais-le pénétrer en entier !) Nik ni bezzour ! Wedjaa ni ! Kassar li gaari ! (Baise-moi très fort ! Fais-moi mal ! Défonce-moi le cul !)
- Diri sbaa fi hatchounek ! Diri sbaatine ! (Met un doigt dans ta chatte ! Mets-en deux ! ) Hekki ! (Frotte !) Ana ennikek men gaarek wa entiya heki saoutek ! (moi je tencule et toi tu te caresse la chatte !)
Et cela se passait très souvent comme il lannonçait. Pendant quil la sodomisait brutalement faisant pénétrer son monstre jusquau fin fond de son boyau, en limant furieusement la paroi du rectum et tirant delle des cris qui étaient un mélange de douleur et de plaisir je me tenais à quelques pas de distance, ne perdant rien de la scène et en bavant presque dexcitation. Mon Dieu ce que jaimais cette excitation que seul le spectacle de ma femme adorée se faisant tirer par un magnifique zob et hurlant de plaisir pouvait me donner avec une telle intensité !
A chaque fois Kamila déchargeait des litres de jus qui allaient se répandre sur le manche de Abdelkader qui sortait totalement du vagin et repartait à lassaut dune distance de plus en plus grande. Et à chaque fois, son amant éjaculait son sperme épais, visqueux et brulant à lintérieur du rectum et le regardait ressortir de son anus en poussant un rire démentiel. Et à chaque fois, il faisait promettre à sa maîtresse quelle allait boire toutes les prochaines giclées de sperme quil éjaculera. Et elle promettait. Et elle tenait ses promesses car toutes les autres fois et il y en avait au moins deux à chaque fois soit elle recevait le jus de son amant directement sur la figure et dans la bouche, soit elle allait le ramasser avec ses doigts sur tout son corps et le portait à sa langue pour le lécher avec délectation. Ma femme avait vraiment fini par aimer le goût du sperme. Et elle le disait tout haut, pendant quelle lavalait.
- Hlou kima aacel ! Zid ferragh ou encharbou gaa ! (Cest aussi bon que du miel ! Continue de te vider, je vais tout boire ! )
- Echarbi ezzal entaa sidek ! (Bois le sperme de ton maître !) Ou dhork lahci li zebi ! Ghesliĥ bel lsanek ! (Et maintenant lèche-moi le zob ! Nettoie-le avec ta langue !)
Inutile de dire mon émoi pendant tout ce temps où ma femme devenait lobjet sexuel de son amant ! Sa chienne ! Parce que Abdelkader, pendant ces moments là se comportait exactement comme sil était son maître ! Il en avait le comportement et le tempérament brutal ! Il commandait et elle obéissait ! Même ma présence à leur côté, qui aurait dû un peu calmer son ardeur de mâle dominant, ne le dissuadait pas. On dirait même quelle lexcitait plus et le conduisait à des comportements de plus en plus brutaux. Peut-être pour me reprocher ma passivité.
Mais rien ny faisait ; aussi bien moi que Kamila adorions la manière dont se déroulaient les opérations. Ma femme prenait de plus en plus de plaisir à se faire traiter en chienne en chaleur et moi à assister, la salive à la bouche et le membre en hyper-érection, à ces parties de sexe totalement débridées. Cétait notre bonheur à tous les trois ; chacun de nous y trouvait son compte.
Abdelkader nous était devenu indispensable à ma femme et à moi. Ses absences nous devenaient insupportables. Evidemment, nous continuions à nous aimer très fortement. Peut-être, un peu plus moi quelle : mon amour pour elle avait encore grandi depuis lapparition de Abdelkader. Mais notre vie était devenue complètement dépendante de lamant de ma femme. Jusquau jour où lui-même vint nous annoncer quil avait décidé de faire participer un de ses amis à nos jeux érotiques.
Quand il nous avait annoncé à sa manière, toujours directe quil avait décidé doffrir ma femme à un autre homme, un ami à lui, pas très beau, mais monté comme un cheval et aussi viril quun taureau, javais tiqué. Quelque chose en moi se révoltait. Peut-être mon amour-propre de mari ! Peut-être parce que ce nétait pas moi qui avait décidé la chose ! Kamila par contre semblait heureuse de la nouvelle ! Elle était curieuse de faire une nouvelle expérience ! Mais ni elle ni moi ne dîmes rien. Nous attendions la suite.
- Ali est un ami judoka qui fait partie de léquipe nationale lui aussi. Cest un poids lourd ! il pèse près de cent kilos ! tout en muscles ! Il est légèrement plus vieux que moi trente ans - et il vient de divorcer. Il ne me la pas dit sous cette forme, mais je suis certain que sa femme la quitté parce que sexuellement, il est insatiable ! Juste ce quil faut à notre chérie !
Je vis les yeux de Kamila briller de concupiscence. Elle était vraiment intéressée. Elle me regarda pour voir ce que jen pensais et elle vit dans mes yeux et dans mon sourire que lidée dun troisième homme dans le groupe me titillait beaucoup. Elle me dit même par la suite, quelle avait vu le coin supérieur de mes lèvres palpiter, comme chaque fois que jétais en attente de quelque chose de bon et de fort.
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Voix de Kamila :
Quand AEK vint nous annoncer quil avait invité un de ses amis à participer à nos jeux érotiques, javais dabord été étonnée peut-être même un peu choquée. Je désirais, sans lavouer à personne, et peut-être même sans me lavouer à moi-même, vivre une autre expérience sexuelle. Javais souvent rêvé, au cours des nuits passées à dormir entre mes deux hommes, à des séances torrides avec un autre étalon que AEK et parfois même avec plusieurs étalons à la fois et à chaque fois, je me réveillais complètement mouillée et sautais littéralement sur mon amant pour quil éteigne le feu qui venait de sallumer en moi. Mais à aucun moment, je ne métais imaginée que ce serait mon amant lui-même qui moffrirait à un de ses amis.
Car cest bien de moffrir en cadeau quil sagissait. Et moi je navais pas mon mot à dire. AEK se comportait avec moi exactement comme sil était mon seigneur et maître et quil pouvait faire de moi absolument tout ce quil voulait. Mon côté femme libre qui de toutes disparaissait petit à petit sous linfluence envahissante de mon amant - se révoltait bien un peu, mais très vite cétait le plaisir qui, à chaque fois, lemportait. Parce quavec lui, cela navait été que du plaisir ! Que du bonheur ! Et puis mon mari ne semblait pas gêné par la nouvelle tournure que semblait prendre nos relations. Je ne crois pas me tromper en disant que javais senti comme une bouffée de joie le transporter en entendant cette nouvelle. Il mavait bien parlé, il y quelque temps déjà dun de ses fantasmes qui consistait à me regarder me faire tirer par plusieurs hommes en même temps, mais à lépoque, je ny avais pas accordé une grande importance. Et voilà que ce fantasme lui semblait prêt de se réaliser !
Alors que AEK, mon amant et lami de mon mari, ait décidé de me transformer en cadeau pour un des ses amis avec une réputation de taureau et de baiseur insatiable - je ny trouvais rien à redire. Et Lotfi de même ! Au fond, nous savions tous les deux que nous y trouverions énormément de plaisir. Et puis, nous nous disions pour nous rassurer que si cela tournait mal, il serait toujours temps de mettre fin à laventure. Mais, par contre, nous ne savions pas ce que AEK allait gagner dans cette nouvelle situation. Il nétait pas comme Lotfi, un candauliste, et ne fantasmait pas de voir sa femme entre les bras dun autre homme. Du moins, il navait jamais fait part devant nous dun tel fantasme. Et de toutes les façons, je nétais pas sa femme ! Par ailleurs, je limaginais mal en échangiste ! Et de toutes les façons, un échangiste échangeait une femme contre une autre. Or il navait pas parlé dune autre femme qui viendrait sadjoindre à nous.
Un moment je lavais même soupçonné dêtre fatigué de moi et de chercher ainsi à me larguer. Mais même cela, je le rejetais très vite. Parce que je me rappelais que le plaisir quil prenait entre mes bras, ne pouvait pas être simulé. Un homme ne pouvait pas simuler des érections comme celles quil avait. Et de plus, son sexe continuait de bander très fortement, même après avoir fait lamour avec moi deux et même trois fois de suite. Ce nétait pas là le signe de quelquun qui néprouvait plus de plaisir avec sa maîtresse. Comme je ne trouvais pas de réponses à mes questions, je me décidais den rester là et dattendre les évènements pour connaître le fin mot de lhistoire.
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Ali arriva, précédé par AEK, un jeudi en fin daprès-midi. Si je devais deviner à sa physiologie, le sport quil pratiquait, jaurais sans hésitation opté pour la lutte gréco-romaine. Pas pour le judo. Il était tout le contraire de son ami AEK qui était très grand, les épaules très larges, la taille fine, les hanches étroites et avait de très longues jambes. Ali lui était massif, presque aussi long que large. Il devait faire moins dun mètre quatre-vingt, des épaules de lutteur, des bras très longs, un puissant cou de taureau, une poitrine volumineuse avec des muscles pectoraux saillants, des hanches étroites surmontant dénormes cuisses musculeuses. Il donnait limpression dêtre un taureau de combat prêt à foncer contre un invisible chiffon rouge que quelquun dinvisible agitait devant lui.
Il me paraissait vraiment rebutant. Même sa tête était à limage du reste du corps : ronde et massive. De petits yeux marron, enfoncés dans leurs orbites, surmontés darcades sourcilières proéminentes ; un crâne rond, complètement rasé ; le front bombé tendu vers lavant, comme sil était en attende de donner un coup de boule ; des joues creuses ; un menton pointu ; et une petite bouche lippue. Le tout lui donnait un air farouche, prêt à en découdre avec nimporte qui le regarderait de travers. AEK nous avait dit la veille que son ami nétait pas beau ; et il avait raison ! Je le trouvais même repoussant. Il me faisait peur. Et je navais aucune envie de me retrouver seule avec lui. Abdelkader nous le présenta ainsi :
- Je vous présente mon ami Ali. Ne vous fiez surtout pas à son apparence rébarbative. Cest la gentillesse faite homme ! Un vrai nounours ! Il na quun seul défaut qui pour Kamila est une qualité inestimable il est monté comme un âne et na quune seule pensée en tête : baiser ! Il est insatiable ! Cest pour cela que je lai emmené. Je sais que notre femme adorera tout ce quil lui fera !
Cétait la première fois que jentendais AEK mappeler ainsi : « notre femme ». Jusque là, quand il sadressait à moi principalement au cours de nos ébats amoureux - il me traitait de « qahba » (Pute), et de « kelba » (chienne). Il disait quil était mon seigneur et maître et que jétais son esclave. Jamais, il navait dit de moi que jétais sa femme. Javoue que jen avais été très émue. Je me disais quau fond de lui, ce nétait pas seulement mon corps et mon cul quil appréciait. Il avait de la tendresse pour moi ! Peut-être même de lamour ! Mais alors pourquoi, voulait-il moffrir à son ami ? Il sapprocha de moi pour venir membrasser, comme il le faisait chaque fois quil revenait à la maison. Il en profita pour me susurrer à loreille :
- Tu verras que tu me remercieras après ! Je te promets un moment érotique exceptionnel avec mon ami ! Laisse-toi faire et tu men donneras des nouvelles ! Et puis ne crois pas que je vous laisserais seuls tous les deux ! Moi aussi jen veux ma part !
-
Je ne répondis pas. Jétais plutôt dubitative et attendais avec appréhension la suite. Jétais tout de même rassurée de savoir que AEK sera tout le temps là. Avec lui, jétais en terrain connu et quoi quil arrive, je savais que je pouvais me réfugier entre ses bras et que je serais protégée. Parce que vraiment javais peur du côté brutal jallais dire féroce que présentait Ali.
Nous étions dans le salon Lotfi comme à son habitude sétait réfugié dans son fauteuil préféré et se faisait très discret ; ainsi, il pouvait observer à son aise toute la scène, sans intervenir et surtout, sans quil ne soit une gêne pour nous, les acteurs. AEK mavait prise dans ses bras et avait commencé à me peloter légèrement devant son ami. Son objectif était dabord de me rassurer et aussi de faire admirer mes appâts à son ami.
Comme à mon habitude, en application des instructions fermes de AEK, jétais habillée très légèrement - pour être franche, jaurais dû dire que jétais à moitié nue. Je ne portais quune nuisette transparente, sans absolument rien en dessous. Pour être encore plus franche, javais fini, depuis quelque temps par ne ressentir aucune gêne à vivre en permanence pratiquement nue avec mes hommes ; donc même la présence de notre nouvel invité, ne mavait pas incitée à plus de pudeur. AEK, qui sétait placé derrière moi, avait, en un tour de main, fait passer ma nuisette par-dessus ma tête et me présenta à son ami, en tenue dEve.
- Chouf essela, ya aali ! (Mâte un peu la marchandise, ô Ali !) amrek ma chouft zine kima hadha ! (Tu nas jamais vu une telle beauté !) Chouf zouwaïzha ! Chouf tramha ! Chouf souwatha ! Chouf foumha ! Mess djeldha ! Djenna li rdjal kima hna! (Mate ses seins ! Mate ses fesses ! Mate sa chatte ! Mate sa bouche ! Touche sa peau ! Cest le paradis pour des hommes comme nous!)
Javais limpression dêtre une marchandise que lon cherchait à vendre et dont on vantait les qualités. Jétais comme ces esclaves du temps jadis, que leurs maîtres amenaient dans les souks et vantaient leurs mérites pour essayer den obtenir le meilleur prix possible ! Ou pire, jétais la vache quon emmenait au marché pour la vendre. Et je voyais, debout en face de moi, Ali la bouche grande ouverte, ayant du mal à retenir la bave qui voulait en sortir, les yeux exorbités qui ne savaient pas quoi regarder du spectacle que son ami lui montrait, tant il y avait de belles choses à mater. Il ne disait rien, mais tout son corps parlait pour lui. Je le voyais qui se balançait dune jambe sur une autre, comme sil était sur un tatami, jaugeant son adversaire avant de passer à lattaque. Il avait les bras écartés prêts à être lancés vers moi, dès quil sentirait louverture. En moi-même, je me disais quil était entrain de me prendre pour un adversaire sur le dojo et quil nallait pas tarder à foncer sur moi pour me terrasser.
Et puis je vis le devant de son pantalon de jogging qui formait comme une tente indécente, dressée par un immense mât. Et miracle ! Toutes les inhibitions que je pouvais avoir du fait de mes craintes quant à la brutalité et la méchanceté de lhomme, venaient de sévanouir. Il ne restait plus que cette envie qui venait de semparer de moi, de tendre la main pour saisir lanimal qui se cachait sous le tissu du pantalon. Ali ne portait ni slip ni boxer. Cétait ce qui expliquait que son érection ne formait pas une grosse boule comprimée par le jogging, mais une pointe qui semblait être à au moins une trentaine de centimètres du pubis de lhomme. Il doit avoir un zob énorme, métais-je dit ! Et je voulais absolument le voir ! Le toucher, le tâter, le palper et même le branler. Je voulais en tester la douceur de la peau et la dureté de la chair tendue ! Je voulais
Jenvoyais, presque inconsciemment, ma main droite pour caresser le monstre sur le tissu. Il était vraiment monstrueux ! Je narrivais pas à le saisir en entier et à lentourer avec mes doigts. Il était trop gros ! Une immense promesse de pénétrations douloureuses et de plaisir sans bornes ! Je ny tenais plus ! Je voulais quil le sorte de sa cachette et quil me le montre dans toute sa splendeur ! Je ne pus mempêcher de lui ordonner :
- Wach testenna bach etkhardjou ! (Quest-ce que tu attends pour le sortir !) Werri hou li ! (Montre-le moi !) Bghit enchouffou ! Wa enmessou ! (Je veux le voir ! Et le palper !)
Tout en lui ordonnant cela dune voix un peu chevrotante, je mimaginais la physionomie quil devait avoir. Jétais persuadée quil était très brun, presque noir, plein de nervures et de vaisseaux. Un zob qui ressemblerait au bonhomme : laid et immense. Un de ces zobs, puissants mais sans aucune esthétique ! Un de ces zobs qui faisaient peur aux dames et aux jeunes filles de la bonne société. Un zob dont moi qui était entrain de devenir une vraie nymphomane - je rêvais dêtre la victime consentante !
Et bien non, le sexe de Ali était vraiment magnifique ! Il était beau ! Il avait la particularité dêtre immense et recourbé ! Un vrai sabre arabe ou turc ! (Je crois que cela sappelle un yatagan). Je nen avais jamais vu de pareil, en vrai ! Un instrument de délicieuse pour ma chatte qui sétait mise à couler à flots ! Ali était là debout devant moi AEK, quant à lui, était toujours derrière moi entrain de me peloter ; il soccupait plus précisément de mes fesses quil caressait et embrassait goulument limmense manche recourbé pointé vers le plafond. Je le voyais qui palpitait et frémissait dimpatience. Lhomme bavait littéralement. Il regardait en direction de ma chatte sans forfanterie, je peux dire que jai une chatte vraiment superbe : de couleur mâte, avec de grandes lèvres longues et lippues, des petites lèvres rouge-vif, toujours palpitantes, un petit clito qui se mettait en érection quand il était excité ; et le tout, y compris le mont de vénus bombé et brillant, sans la moindre trace de poils.
Jusque là, Ali navait encore rien dit. Je navais pas encore entendu le son de sa voix. Et puis les mots, en arabe, se mirent à sortir de sa bouche. Contrairement à ce que je pouvais croire au regard de sa physionomie de brute sa voix était douce et pleine de chaleur. Ce quil disait ressemblait à une prière. Il voulait passer à laction là, immédiatement ! Mais il ne lordonnait pas ! Il le quémandait presque !
- Khalini nakoul lek souatek ! (Laisse-moi te bouffer la chatte !) Bezzef djmila ! (Elle est trop belle !) Bghit en messha ! Bghit en bouss ha ! Bghit nel hass ĥa ! (Jai envie de la palper ! Jai envie de lembrasser ! Jai envie de la lécher !)
Je neus pas le temps de répondre ou de faire quoi que ce soit. Je sentis les bras puissants de AEK qui me soulevaient et qui massirent sur le canapé, les jambes écartées il voulait permettre à son ami de passer à laction. Sans plus attendre Ali vint se mettre à genoux devant moi et plongea immédiatement sa tête entre mes cuisses. Sa bouche sempara de ma chatte et se comporta comme une vraie ventouse. Javais bien sûr été déjà sucée par mes hommes et javais même beaucoup joui des cunnilingus que mavaient souvent appliqués Lotfi - puis plus tard, AEK - mais je navais encore jamais ressenti cette sensation de ma chatte aspirée de cette façon par la bouche de mon partenaire du moment. Cétait comme si toute ma vulve était entrée dans la bouche de Ali qui la suçait avec force et qui absorbait sans relâche les flots de jus quelle secrétait.
Le cunnilingus de Ali était vraiment génial : sa bouche se comportait comme une ventouse. Elle aspirait tout ce qui se trouvait sur et dans ma chatte. Sa langue pénétrait au plus profond de mon vagin et allait lécher les parois et ramasser tout le jus qui sy trouvait. Ses lèvres jouaient avec mon clito, qui était devenu aussi dur quune pierre. De temps en temps, il le mordait doucement, me faisant pousser des gémissements de plaisir de plus en plus sonores. Javais joui successivement au moins trois fois, sans que mon partenaire ne relâchât sa pression. Il semblait aimer ce quil faisait. Je lentendais respirer avec force et pousser de temps en temps une espèce rugissement de plaisir. Il ne gémissait pas, il rugissait. Cétait comme cela quil extériorisait le plaisir quil prenait à sucer ma chatte. Cétait dun érotisme torride ! Et cela me transportait au plus haut des cimes du plaisir ! Sans exagérer, je pense avoir déchargé au cours de mes orgasmes successifs plusieurs litres de jus, que Ali avait bu avec des claquements de langue qui accompagnaient ses rugissements sourds et qui montraient toute lintensité du plaisir quil prenait.
AEK, pendant tout ce temps avait sorti son manche et jouait à me caresser avec la figure et les seins. Il sétait placé debout sur mon côté gauche, et tout en regardant la scène de son ami entrain de me sucer la chatte, promenait sur moi son sexe qui était au paroxysme de lérection. Je sentais son manche qui frémissait dimpatience. Un moment, il se mit même à me frapper avec sur le visage et sur le sein qui était à sa portée. Il voulait me faire comprendre quil fallait quil baise. Mais il ne dit rien. Je pensais quil me laissait la liberté de décider de ce qui allait suivre. Moi jétais aux anges ! Jallais avoir en même temps deux magnifiques zobs qui soccuperont de me donner du bonheur. Je repoussais doucement la tête de mon amant pour la sortir dentre mes cuisses. Je contemplai un long moment Ali dont la bouche dégoulinait encore de mon jus, et dis à mes deux hommes :
- Ouaqt etnikouni! Ouaqt en dhoug hadha zeb ! Ali, anta takhoudhni beggari ! Ou kader i nik ni mel foum! (Cest le moment de me baiser ! Il est temps que je goûte à ce zob ! Ali toi tu me prendras en levrette ! Et Kader me baisera par la bouche !)
- Wahhh !!!!
Tous les deux sesclaffèrent ainsi en même temps, montrant leur contentement de ce qui allait suivre. Je descendis du canapé et me mis à quatre pattes entre mes deux hommes. Ali se mit à genoux derrière moi et sempara de mes hanches. Je le sentis qui positionnait son bassin de manière à être à la bonne place et à la bonne hauteur pour pilonner ma chatte. Et puis je sentis une immense paluche qui sinsinua entre mes fesses et semparer de ma vulve. Un doigt dune dimension exceptionnelle pénétra entre mes grandes lèvres pour en tester lhumidification et ouvrir la voie à son zob. Celui-ci ne tarda pas à suivre. Le gland dune douceur infinie vint remplacer le doigt et pénétrer entre les grandes lèvres. Jattendais avec impatience le coup de rein qui allait faire pénétrer et le gland et le manche à lintérieur de mon vagin, qui palpitait de désir. Celui-ci arriva, avec la force brutale à laquelle je mattendais ! Et il me fit mal !
- Aiieeeeee ! Wedjaatni ! (Aie tu mas fait mal !) ne pus-je mempêcher de crier.
Je neus pas le loisir de dire quoique ce soit, dautre ; le magnifique zob de AEK vint se placer entre mes lèvres. Il fallait que jouvre la bouche pour quil y entre. Depuis la première fois quil mavait baisé par là, il était comme chez lui ; il savait exactement ce quil fallait y faire pour prendre le maximum de plaisir. Je me retrouvais donc coincée entre mes deux hommes entrain de me faire tirer brutalement par deux magnifiques manches : lun en levrette par la vulve ; lautre par la bouche.
Des deux, cétait le zob qui me labourait le vagin que je ressentais le mieux. Cétait lui qui me donnait le plus de plaisir. Sa forme particulière recourbée comme la lame dun sabre arabe faisait quil limait la totalité de ma paroi vaginale et ne laissait aucun centimètre carré sans sa part de frottement. Il me remplissait totalement le vagin. Il allait et venait en force à lintérieur, me faisant très mal à chaque va-et-vient. Javais souvent entendu AEK me parler de son zob en acier ; de son zob qui démolissait tout sur son passage. En fait de zob en acier, celui de Ali létait encore plus. Il était vraiment dur et rien ne pouvait lui résister. Mais, malgré le fait quil me faisait très mal, pour rien au monde je naurais voulu quil arrête son uvre de démolition de ma vulve. Cétait un vrai délice ! Je narrivais pas à mexpliquer le phénomène : il me faisait vraiment mal, mais la douleur quil déclenchait était tellement délicieuse ! Jadorais cette douleur, que je voulais éternelle. Je ne voulais pas quelle cesse ! Rien que pour la faire durer, jessayais de retenir lorgasme que je sentais arriver en force.
Je voulais parler ! Je voulais crier mon plaisir ! Je voulais dire à mon amant de ne pas arrêter ; de continuer ainsi ; de me faire encore plus mal ! Mais le zob qui était dans ma bouche mempêchait de prononcer le moindre mot. Un moment, je voulus même que AEK sorte de ma bouche et quil me laisse exprimer mon plaisir et mes désirs. Insidieusement, je le mordis violemment accidentellement, lui dis-je hypocritement, plus tard pour quil quitte la place et me laisse libre de gémir et dire à Ali tout ce que je ressentais sous ses furieux coups de sabre.
AEK compris le message et sortit effectivement de ma gorge. Il se mit à se masturber pour se vider les bourses sur mon visage. Cela me permit de me lâcher encore plus. Mes gémissements de plaisir remplirent la pièce et vinrent se mêler aux rugissements de plus en plus rauques et sonores de Ali, qui continuait de pilonner ma chatte avec son merveilleux manche.
- Zid ! Zid ! Ma tahbesch ! Ballek tahbess ! Zid edjbed! Zid wedjaani ! (Encore! Encore! Ne tarrête pas ! Il ne faut pas tarrêter ! Tire encore ! Fais-moi encore mal !) Achal mlih zebek ! Achal yewdjaa ! Achal enhab ki wedjaani ! (Comme ton zob est bon ! Comme il fait mal ! Jadore quand il me fait mal !)
- Zebi hdid ! Iheb el hatchoun ! Imout aala el hatchoun ! Hatchounek skhoun ! Hatchounek hlou! Bghitou I weli dar ta a zebi ! Bghitou yeskoun fih ! Ma yekhroudjch! (Mon zob cest de lacier! Il aime les chattes! Il adore les chattes ! Comme ton vagin est chaud ! Ton vagin est si doux ! Je veux quil devienne la maison de mon zob ! Je veux quil y habite ! je ne veux plus quil en sorte !)
Je ne me contrôlais plus ! Je ne savais même plus où jétais ; ni ce qui se passait ! Jétais dans un autre monde. Un monde de plaisir et de bonheur. Je sentais mon cur battre à un rythme infernal et ma respiration devenir de plus en plus difficile. Jétais au bord de l. Ma bouche coulait littéralement de salive ; je narrivais pas à en contrôler la sécrétion. Je sentais ma tête échapper à mon contrôle ; elle partait dans tous les sens. AEK qui se trouvait à côté de moi entrain de se branler furieusement dans le but de masperger le visage et la bouche de sperme, ne savait plus sil devait me caler la tête pour quelle ne bouge plus ou sil allait se contenter déjaculer là où il pourra. (Dailleurs, il ne se posa pas longtemps la question, puisquil ne put pas retenir lorgasme qui arriva subitement. Il arrosa tout ce qui se trouvait sur la trajectoire du jet, c'est-à-dire mes cheveux, une partie de ma joue gauche et mon oreille gauche qui se remplit complètement du liquide visqueux et brulant.)
Mes gémissements et mes cris de plaisirs devinrent de plus en plus inaudibles. Cest à peine sils arrivaient à sortir de ma gorge. Ali lui continuait de rugir comme un lion, à chacun de ses coups de sabre dans ma chatte. Et il continuait de se parler à lui-même en arabe et avec ses mots à lui : les mots dun homme qui venait enfin de trouver le fourreau fait sur mesure pour son sabre. Inutile de dire combien ces mots et ces phrases à destination de ma chatte accroissaient mon excitation, qui avait pourtant déjà atteint son paroxysme.
- Aamri ma cheft soua kima hadhi ! (Je nai encore jamais vu une vulve comme celle-là !) Skhouna !
Chabba !
Hloua !... Dhaïqa !... Mchemkha !... Makhdouma li zebi !... (Chaude ! Belle ! Sucrée ! Etroite ! Mouillée ! Faite sur mesure pour mon zob !)
A ces mots et ces phrases qui avaient un effet aphrodisiaque sur moi, venaient sajouter le clapotis que faisait son sexe à lintérieur de mon vagin complètement inondé. Je sentais mon jus qui sortait en dehors de ma chatte, expulsé par chacun des allers-retours du monstre à lintérieur. Jétais sûre que le carrelage était plein de ce liquide visqueux secrété par mes glandes vaginales et limage de cette flaque de cyprine sous nos corps qui sétait imposée à mon esprit, intensifiait encore plus mon degré dexcitation. Je ne pouvais plus retenir le formidable orgasme que je sentais déferler en moi, tel un torrent dévastateur. Je sentis tout mon bas ventre exploser en une myriade dondes de plaisir et venir inonder lensemble de mon corps. Jeux conscience de pousser un hurlement de démente et de perdre presque connaissance, tellement la jouissance était forte. Jeus un moment limpression d, tant javais du mal à reprendre ma respiration. Des mots saccadés, sans signification pour ceux qui les entendaient, sortaient de ma gorge et mourraient au bord de mes lèvres. Je me rappelle aujourdhui encore que je voulais ordonner à mon amant de recommencer tout de suite après ; de me baiser encore comme cela, dès quil aura éjaculé. Même complètement lessivée, je voulais recommencer.
Je sentis tous les muscles de mon corps se relâcher et un bien-être indescriptible envahir tout mon corps. Jétais tellement bien ! Et Ali, qui navait pas encore joui, continuait de pilonner ma chatte avec la même furie. Je le sentais comme sil était loin et quil était entrain de baiser une autre personne. Cétait comme si jétais sortie de moi, que je métais élevée au dessus de ces deux corps accrochés lun à lautre et que jobservais la scène comme une spectatrice. Je voyais lhomme qui saccrochait fermement aux hanches dune femme à quatre pattes et qui faisait aller et venir son formidable sexe en forme de sabre arabe à lintérieur dune superbe chatte qui le moulait parfaitement.
Je voyais le sabre pénétrer complètement et ressortir à quelques centimètres des grandes lèvres, doù coulait un flot de liquide visqueux, avant de repartir furieusement à lintérieur. Jentendais lhomme qui ahanait à chaque pénétration et qui rugissait de plaisir à chaque sortie. Cela dura encore une éternité, jusquau moment où je vis les mains de lhomme se crisper sur les hanches de sa partenaire et les hanches simmobiliser une fraction de seconde, maintenant le sabre enfoncé à lintérieur du vagin de la femme. Il poussa un rugissement de lion qui résonna contre les murs du salon et éjacula une première fois une quantité incroyable de spermes brulant à lintérieur.
Les hanches se remirent en mouvement et lhomme éjacula encore et encore, jusquà ce que complètement vidé - il saffaissât sur le dos de sa partenaire, qui, sous le poids sétala à plat ventre sur le carrelage. Ce fut à ce moment là seulement, au contact avec le froid du carrelage, que je me rendis compte que cétait moi la femme qui subissait lassaut du sabre de Ali.
Nous restâmes ainsi un long moment, moi à plat ventre sous Ali, qui avait gardé son sexe encore en érection dans ma chatte et AEK toujours à genoux à côté de nous, le zob, lui aussi toujours debout, dans sa main. Il semblait avoir apprécié la scène à laquelle il venait dassister sans y avoir beaucoup participé. Ce fut lui qui le premier parla. Il sadressa à moi.
- Quest-ce que je tavais dit ! Nest-ce pas quAli est un merveilleux coup ? Je suis même un peu jaloux ; tu as joui avec lui bien plus que tu ne las jamais fait avec moi.
- Cétait différent ! Avec toi dès le début je savais que jallais prendre beaucoup de plaisir. Dabord parce que tu es beau, fort et super bien monté. Avec Ali, javais commencé par avoir peur. Il nest pas beau et semblait être une vraie brute. Mais dès que jai aperçu son magnifique membre, tout a changé dun coup. Jai découvert un autre type de paradis. Je vous aime tous les deux. Promet-moi que vous allez rester avec nous.
Je venais subitement de penser à Lotfi, que javais complètement oublié dans ma folie érotique. Je jetais un il vers lendroit où il était assis. Il était encore là, le sexe dressé vers le ciel. Il le caressait avec trois doigts. Il souriait de toutes ses dents. Il semblait lui aussi complètement entré dans un monde merveilleux et quil attendait la suite des évènements. Il ne cherchait pas à participer à laventure qui se déroulait sous ses yeux ; il voulait seulement observer et prendre son pied en bandant comme un âne, à cause de lexcitation que lui procurait sa femme qui se faisait tirer devant lui par deux hommes, membrés comme des étalons et virils comme des taureaux.
Rassurée, je ne moccupais plus de lui. Je voulais jouir encore et encore. Je ressentais le sabre dAli encore planté en moi et je voulais quil reprenne son uvre de démolition de mes trous. Il mavait fait très mal en défonçant ma chatte. Je voulais quil me fasse encore plus mal en soccupant de mon cul. Je voulais quil me déchire lanus et quil me fasse hurler de douleur et de plaisir. Une idée furtive venait de me traverser lesprit, sur laquelle je ne mattardais pas pour ne pas rompre la chaine du plaisir dans laquelle je métais je métais engagée corps et âme : jétais entrain de devenir une vraie masochiste. Jadorais avoir mal. Jexpulsais très vite cette idée pour reprendre le cours des évènements. Je voulais être enculée par Ali, mais je ne savais comment le lui dire, sans mécontenter AEK qui certainement voulait lui aussi jouir en moi. Toujours allongée par terre sur le ventre et Ali encore sur moi, le zob toujours planté dans ma chatte je tournais la tête pour regarder AEK. Je lui fis un petit sourire et il sut immédiatement que je voulais lui demander quelque chose.
- Je te connais trop bien ! Tu as encore envie de sentir la force du zob de Ali ! Tu as peur que je ne moffusque. Ne craint rien, je savais exactement ce qui allait se passer quand je vous ai proposé cette aventure avec lui. Tu sais, je suis entrain de devenir comme Lotfi ! Jaime te voir jouir ! Même si ce nest pas avec moi ! Je crois que je prends autant de plaisir à te regarder jouir avec un autre homme quà te baiser moi-même ! Alors demande-lui de te faire jouir encore une fois.
- Nike ni melour ! (Encule-moi !)
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