L'Hôtel, La Première : Josiane
Il y a des jours où être tout seul est un avantage. Les vacances ont commencé, il ne reste plus personne dans mon hôtel de famille, sauf la patronne bien sur. La patronne, madame Paulette, justement est une ancienne femme à hommes. Elle nest sage que depuis peu de temps, depuis son opération. Par un effet du hasard, je suis le seul homme dans cette boutique. Les autres chambres sont occupée par des filles dâge varié, la plus âgée a je crois 45 ans, encore porté sur la bagatelle. La plus jeune na que 21 ans. Toutes travaillent dans la même boite, presque à coté de lhôtel. Quand je suis arrivé elle me sont toutes tombées dessus dans la salle à manger. Chacune faisait des mines pour que je la remarque et que je la choisisse. Il a fallut que Madame Paulette mette de lordre.
Dun coté je peux me rincer lil à peu de frais. Elles sont toutes mignonnes, attirantes, et très sexy. A croire que madame Paulette les choisit exprès.
Le repas fini, comme souvent je sors un peu manière de me dégourdir les jambes en fumant une cigarette. Quand jentre je tombe sur une jeune femme qui me fait un grand sourire :
- Cest moi la première.
- La première de quoi ?
- Daller avec vous dans votre chambre pour la nuit.
- Mais je nai rien demandé.
- Cest pour ça que les autres mont choisie.
- Mais
..
- Il ny a pas de mais, tu viens me faire lamour pour cette nuit. Si je te plais nous resterons ensemble deux jours avant que tu changes de fille.
Je me demande dans quel endroit je suis tombé. Une fille soffre à moi, pourquoi refuser de coucher avec elle. En plus, daprès ce que je comprends, jai droit à toutes ses filles, peut être à plusieurs à la fois qui sait.
Elle me suit chez moi, passe avant moi dans la chambre et dès mon entrée elle membrasse. Quelle langue dans ma bouche !!! Je pense quelles doivent être au régime sec du sexe. Sans doute que la patronne interdit de recevoir des étranger mais elle me laurait dit en arrivant.
- Je mappelle Josiane, et toi ?
- Moi, cest Yves. Tu as quel âge?
- A peine 30 ans, je suis divorcée.
- il y a longtemps que tu nas pas baisé ?
- Depuis trois ou quatre moi, et encore avec une copine !
- Une fille de lhôtel ?
- Oui.
- Tu en gardes bon souvenir ?
- Bof jai joui, cest tout.
- Et maintenant tu veux une bite dans ton ventre ?
- Pas seulement dans mon ventre, dans ma bouche et mes mains. Noublie pas que jai un cul.
- Il fait parti de ton ventre.
- Cest vrai.
Nous bavardons bagatelle mais agissons en nous déshabillant lun lautre. Bien sur que quand je suis nu, Josiane remarque en premier ma bite. Elle ne demande quà jouir mais je ne vais pas me jeter sur elle comme un affamé. Elle se couche presque de suite. Je viens près delle, lembrasse encore, cette fois ma bouche va sur ses seins. Je les embrasse tous les deux avant de prendre un téton que je lèche comme si javais été privé depuis un siècle. Une main vient sur ma tête pour que je ne quitte pas le sein. Je pose une main là où il faut : sur son haut de sexe. Je ne cherche pas bien longtemps pour trouver ce que je vise. Je mouille deux doigts avec ma salive et tranquillement je les pose sur son bouton. Il nest pas très gros, enfin il me convient. Je le caresse comme sil était fragile. Elle remue un peu pour que jaille plus vite et plus fort.
Elle a sa main sur ma bite. Elle commence également à me branler fort bien. Son mari ne devait pas se plaindre de ses masturbations. Nous restons ainsi nous surveillant pour ne pas jouir trop tôt, surtout moi. Jarrive à la faire partir vers le 7° ciel avant que je jouisse. Je ne sais trop ce quelle veut, sinon que je peut la baiser et la sodomiser, elle ne ma rien demandé pour la langue.
Je vais sur elle : elle a toujours les jambes écartées. Au passage elle prend ma pine dans sa main pour me diriger vers son con. Je ne veux pas encore la baiser :
- Quest-ce que tu attends pour me la mettre.
- Que tu me supplies.
- Sil te plais, baises moi.
- Saches attendre un peu.
- Tant pis pour toi :
Josiane se touche le sexe pour se branler. Je nattendais que cet instant qui dévoile la chaleur dune fille. Elle se masturbe de plus en plus vite : je me doutais quelle jouirai rapidement. Je profite de ce petit moment dinattention pour entrer dans sa caverne. Je suis à peine au milieux de son vagin quelle pose ses talons sur mes fesses. Jentends ses han et ses encore. Elle est tellement chaude quelle jouit plusieurs fois avant moi.
Quand je jouis, juste un moment avant, je lui demande si elle veut mon sperme dans la bouche. Elle naime pas le goût. Tant pis, je lâche ma sauce dans son con.
- Tu mas bien baisée, merci.
- Et toi tu as fait semblant de jouir ?
- Non pas du tout, tu peux même me la mettre maintenant où tu veux.
- Je vais tenculer.
- Maintenant ?
- Ouvre tes fesses.
Je dois préciser que depuis que je suis sorti de son ventre, elle na pas cessé de me caresser la bite de belle façon si bien que je bande à nouveau.
Je veux la laisser sur le dos, elle veut être en levrette, elle se mouille lanus avec sa cyprine abondante et une fois prête elle prend ma bite pour la poser sur son anus. Comme elle na pas fait lamour depuis longtemps je vais lenculer lentement. Je passe le gland par petites touches jusquà ce quil passe la barrière de lanus. Elle se branle à nouveau. Je nhésite pas un instant. Tout à lheure elle me demandait de lenculer à fond, jentre tout ce que je peux de queue, jusquà ce que mes couilles touchent ses fesses.
- Tu me fais mal, mais cest bon.
- Tu veux que je sorte ?
- Non continu, plus vite, plus fort, encore, encore, tu vas me faire jouir.
Je sens les contractions de son cul. Elle ne fait pas semblant, elle ne simule rien, elle jouit tout simplement. Elle se laisse tomber sur le ventre, jai ma bite encore dans son cul. Je la sens sendormir toujours avec ma pine dans le cul. Ce nest pas possible elle dors comme un bébé avec un morceau qui mest cher en elle. Tant pis pour elle, je finis mes mouvement pour arriver à ma fin : jouir. Ce nest que tard dans la nuit en se réveillant quelle saperçoit que je suis encore au bord de son anus.
Bien sur étant nus, elle se souvient vite de ce que nous faisions. Alors, sans me réveiller elle se tourne complètement pour me prendre dans sa bouche. Cest la fellation qui me réveille. Quel réveil agréable de trouver sa queue dans une bouche de femme. Si elle sait bien branler une queue, elle suce aussi bien. Je ne dis rien, la veille elle a refusé davaler mon jus. Je la laisse me pomper. Le fruit final est une éjaculation de première dans sa bouche.
Il me reste encore un troupeau de filles à baiser. Je ne peux pas passer toutes mes nuits à baiser comme avec Josiane !
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