La Naissance D'Une Esclave (Partie 3)
La deuxième punition
Depuis quelques temps, javais en tête dobtenir une promotion dans mon job. Plusieurs fois javais déjeuné avec mon patron, mais les résultats de ces entretiens ne se faisaient guère sentir. Alors jai eu lidée dorganiser un déjeuner à la maison. Javertissais ma femme que mon patron viendrait déjeuner à la maison et quà cette occasion je comptais la punir dune autre façon.
Le matin du déjeuner je préparais la tenue de ma femme. Un robe moulante, mais pas trop courte, avec juste un décolleté légèrement coquin. Je préparais des bas et portes jarretelles. Je lui précisais bien que je voulais quelle passe sa culotte style boxer noir sur son porte jarretelles. Je lui annonçais le scénario du déjeuner. Elle me regardait en écoutant attentivement toute les explications.
Avant de passer au bureau je marrêtais dans un magasin spécialisé dans les affaires de chevaux pour acheter une cravache. Une vendeuse me proposait plusieurs modèles et devant mon indécision, elle me questionnait :
« Cest pour un étalon ou un jeune cheval ? »
Quand je lui annonçais timidement que cétait pour ma femme et que je mattendais à une réprobation de sa part, elle eut une réaction inattendue. Elle appelait son directeur et lui expliquait mon cas. Le directeur était un homme dune soixantaine dannée, très smart et daspect très sévère. Il me guidait vers le fond de son magasin en mexpliquant quil avait exactement ce quil fallait : une cravache douce pour la peau des jeunes pouliches. Il mexpliquait que les traces de coup disparaissaient en peu de temps, que ces cravaches étaient faites dune peau spéciale
Devant mon étonnement, il me proposait une démonstration. Jacceptais. Il appelait alors la vendeuse :
« Marthe, annoncez une fermeture de dix minutes, nous avons une démonstration à faire »
Je ne comprenais pas trop ce qui allait se passer
Marthe fermait le magasin, puis se présentait devant le directeur au fond du magasin.
« Penchez-vous ! »
Marthe se penchait tout en relevant sa jupe pour dévoiler un joli petit cul nu, mignon à croquer. Je voyais son directeur prendre une cravache, lassouplir de quelques coups dans le vide puis brusquement frapper un coup sonore sur les fesses de Marthe. Une rayure rouge zébrait le petit cul de Marthe. Marthe navait pas bronché. Personne ne bougeait. Une à deux minutes sécoulait. La zébrure commençait déjà à sestomper. Le directeur annonçait :
« Vous voyez, dans quelques instants plus de trace de coup ! Marthe vous pouvez aller ouvrir le magasin »
Devant mon étonnement, le directeur mexpliquait quil aimait bien dresser ses vendeuses et que si jétais intéressé il pourrait à loccasion me faire une démonstration plus longue du dressage des pouliches
Rendez-vous pris pour plus tard je partais au boulot avec une belle cravache dans mon sac et une belle idée de punition.
A midi, mon patron et moi nous prenions la route pour déjeuner à la maison. Sur le trajet il mexpliquait son plaisir de faire la connaissance de mon épouse. Elle nous accueillait à notre arrivée avec un grand sérieux. Elle faisait vraiment petite femme dintérieure dans sa robe noire et avec ses bas résilles. Elle se tenait bien cambrée sur des escarpins assez hauts, sa poitrine bien mise en valeur. Javais bien vu que mon patron sétait laissé à jeter un regard dans le décolleté de ma femme.
Nous sommes passés dans le salon pour prendre lapéritif. La table basse, entourée de fauteuils profond, était garnie de bouteilles et divers petits gâteaux. Ma femme en servant mon patron était obligée de bien se pencher face à lui. Je devinais quil devait bien voir ses seins dans le décolleté et moi je voyais bien ses fesses tendues vers moi. Quand elle me servait, je voyais que ma femme avait bien retenu sa leçon. Elle me servait en tendant sa croupe vers mon patron. Un apéritif spécial
Après sêtre servi, elle sasseyait dans un fauteuil en croisant haut ses jambes tournées vers mon patron.
Nous passions à table et ma femme commençait le service. Elle servait impeccablement mon patron, puis moi-même. En arrivant à sa place elle avait un mauvais geste et renversait son verre de vin sur la table. Je me levais excédé et lui disais que cen était trop. Quil fallait quelle apprenne à se tenir et que je la punisse. Je prenais ma cravache dans mon sac et je me plaçais derrière ma femme. Elle ne sattendait pas à me voir avec un tel outil et son regard était vraiment effrayé. Je la penchais sur la table, relevais sa robe et frappais un coup sec sur ses fesses. Mon patron était muet et immobile. Mais il navait rien perdu du spectacle le coquin. Je rabaissais la robe et je reprenais ma place à table normalement.
« Tu peux continuer à servir le repas, mais gare à tes bêtises ! »
Mon patron pour faire diversion me parlait de futurs projets et je lécoutais attentivement. Au second plat, ma femme arrivait avec un poisson et une sauce hollandaise. En servant mon patron, le plateau laissait échapper la sauce hollandaise qui se répandait sur le pantalon de celui-ci.
« Alors là tu dépasses les bornes, tu vas texcuser et réparer ces dégâts, après tu auras ta punition »
Elle sapprochait de mon patron et avec sa serviette, elle épongeait la crème sur le pantalon de mon patron. Je la voyais qui sappliquait à bien masser la cuisse, puis avec de petits gestes lents sapprochait de lentre-jambe.
« Non je ne peux pas faire cela ! »
« Comme vous voulez ». Je lui prenais la cravache des mains et baissais le boxer. On voyait maintenant ces fesses, et comme elle était penchée sur la table, son sexe aussi était apparent. Je frappais une bonne dizaine de coups sur les fesses de ma femme. Elle se mettait à gémir sous mes coups et ses yeux se bordaient de larmes, feintes ou pas, je ne savais pas.
A la fin je regardais mon patron, il avait les yeux rivés sur le fessier de ma femme et une énorme bosse tendait son pantalon.
« Vous avez été fort, elle doit souffrir, je ne peux pas la laisser être punie aussi sévèrement » annonçait le patron.
« Si voulez atténuer ses souffrances, vous navez quà lui masser les fesses avec cette crème, moi je trouve que sa punition nest pas encore assez forte »
Et là je découvrais mon patron qui appliquait de la crème sur les fesses de ma femme. Je le voyais prendre une noisette de crème, puis bien létaler. Au début ces caresses étaient théutiques mais maintenant je le voyais insister. Il sétait placé derrière ma femme et tout en la massant il regardait ce cul et ce sexe bien humide. La bosse de son pantalon ne faisait que grossir. Ma femme ondulait du cul devant lui et on sentait bien que les caresses faisaient leffet escompté.
Je décidais dintervenir. Je poussais mon patron et plaçais ma main entre les cuisses de ma femme. Je glissais deux doigts dans sa chatte, elle était trempée. Je me retournais vers mon patron et le prenant à témoin, en lui présentant mes doigts trempés, jannonçais :
« Cette garce prend du plaisir, alors que je voulais la punir !!! Vous lavez trop bien caressée ! »
Jappliquais alors une violente série de coups de cravaches sur les fesses de ma femme et je méloignais. Ce que je voyais, me plaisait !
Mon patron sapprochait de ma femme et doucement lui masser les fesses. Il se penchait et lui parlait doucement à loreille. La bosse de son pantalon navait pas diminué
bien au contraire.
« Cest vrai que vos mains me font beaucoup de bien et jai la chatte qui mouille quand un homme sait si bien me caresser les fesses » lui annonçait ma femme. Elle joignait les actes aux paroles et se saisissait de la main du patron pour la guider vers sa chatte.
Mon patron me regardait et ne savait comment réagir.
« Je crois que nous avons une petite chienne en chaleur, et quil va falloir la calmer ! » annonçais-je.
«Vous devriez lui caresser un peu la chatte, que nous puissions ensuite terminer notre repas ».
Létonnement de mon patron était tel quil restait immobile. Ma femme se tournait vers lui et guidait sa main dans sa chatte de manière plus autoritaire.
« Jai envie que tu me fasses jouir » disait-elle. Tout en lui faisant cette demande, elle se mettait à lui caresser lentre-jambe. Elle tenait dans sa main la bosse du pantalon.
« Tu as une grosse queue, elle me semble énorme dans ma main ». Puis elle se mit à masturber cette queue au travers du pantalon. Elle se laissait glisser à genoux, déboutonner le pantalon, ouvrir celui-ci et extraire le sexe de mon patron. En effet cétait un sexe court mais énorme à la base. Un véritable cône de 12 cm de long mais bien de 6 cm de diamètre à la base. Sans lui laisser un instant de répit, elle se mit à le sucer goulument. On voyait sa bouche se tendre à lextrême quand le sexe senfonçait presque intégralement dans sa bouche. Sa langue jouait avec le gland et ses mains caressés les couilles énormes et velues.
Je voyais mon patron prendre du plaisir à ce petit jeu. Je les laissais samuser. Mon patron posait ses mains sur la tête de ma femme et murmurait « Oui, ma petite, continue, cest bon »
Je me plaçais derrière ma femme, la relevais en prenant garde quelle continua à sucer mon patron. Je relevais sa robe, et je caressais ses jambes. Je voyais son sexe humide souvrir à chaque approche de mes mains.
« Comment trouvez-vous ma femme, Monsieur le Directeur ? »
« Un véritable bijou, ah cest bon. Elle est vraiment bonne suceuse »
« Voulez-vous la baiser ? »
« Vous pensez que je peux ? »
« Jaimerais voir votre belle bite lui défoncer la chatte ou le cul, au choix »
Mon patron se retirait alors brusquement de la bouche de ma femme, la faisait pivoter, la courber sur la table et écarter ses fesses. Il restait un moment à contempler ce spectacle puis il prenait son sexe dans la main et le présentait devant la fente de ma femme. Sans hésitation il la pénétrait dun seul coup. Ma femme poussait des cris sous les coups de boutoirs que lui assénait mon patron. Et lui redoublait dardeur. Je bandais comme un âne et je sortais ma queue pour me branler devant ce spectacle. Ma femme hurlait quelle jouissait, que cétait trop bon et je lâchais ma purée sur la table. A ce moment avec un grand han, mon patron lui aussi lâchait tout son foutre dans la chatte de ma femme.
Quand il se retirait de la chatte de ma femme, jordonnais à celle-ci de prendre ce sexe encore bandant dans sa bouche et de bien le nettoyer. Je mapercevais que mon patron nétait pas un habitué de ce genre de traitement.
« Votre femme métonne grandement, si seulement la mienne pouvait faire des choses comme celles-ci ! »
Nous sommes repassés à table, mais jexigeais que ma femme retire sa robe et reste en soutien-gorge et porte jarretelles pour nous servir. Elle nous servait et restait à côté de nous pendant quenfin nous mangions un peu. De la voir debout, à moitié nue son sexe bien exhibée qui laissait couler quelques gouttes de sperme mexcitait énormément.
Au moment du dessert, je proposais fruits ou gâteaux. Mais avant dentendre la réponse, je proposais la spécialité de la maison : banana queen.
Mon patron me demandait ce quétait ce banana queen. Jexpliquais alors :
« Ma femme va nous porter des bananes, de la crème chantilly. Ensuite elle sallongera sur la table sans son soutien-gorge. La crème chantilly sera versée sur ses seins. Nous éplucherons nos bananes. Et avant de les déguster, on les glisse dans sa chatte, puis on les roule dans la chantilly entre ses seins. »
Mon patron ne se tenait plus et désirait vraiment des banana queen. La chose se mettait en place. Je voyais ma femme allongée sur la table, un coussin sous les fesses et les jambes bien écartées pour mettre en évidence son sexe, une grosse boule de chantilly entre les seins. Mon patron prenait la première banane, lépluchait sans quitter du regard la chatte de ma femme. Il introduisait alors doucement la banane dans son sexe, et je le voyais faire tourner la banane, puis il la sortait et la promenais sur les seins de ma femme pour la recouvrir de chantilly. Il portait enfin le fruit à sa bouche et croquait voracement. Avec le bout quil restait, il recommençait. Il introduisait son morceau de banane plein de chantilly dans la chatte et à ma grande surprise, cest avec sa bouche quil allait retirer ce morceau. Ma femme gémissait de plaisir et moi je bandais très fort. Ny tenant plus je me déshabillais et demandais à mon patron de faire la même chose. En un instant, nous étions nus et on safférait sur ma femme, qui lui suçait les seins plein de chantilly, qui lui enfonçait une banane dans la chatte. Mon patron bandait lui aussi fortement.
« Je vais lui proposer un petit dessert à votre épouse ! », annonçait mon patron. Et je le voyais grimper sur la table, pour placer son sexe entre les seins de ma femme et le recouvrir de crème. Il pressait les seins de ma femme pour se masturber entre eux. Sa bite allait et venait de plus en plus vite. Avant quil ne jouisse, je lui proposais à loreille un petit challenge.
Il était intéressé. Il sallongeait à côté de ma femme.
« Ma chérie, tu vas venir poser ta chatte sur la queue de mon patron, et je veux que cela lui fasse grand plaisir ».
Je voyais ma femme saccroupir au dessus du sexe tendu, les jambes bien écartées, la chatte grande ouverte dégoulinante de crème et de sperme. La chatte absorba le sexe en entier.
« Maintenant penche-toi bien en avant et ne bouge plus ».
Je prenais de la crème et en tartinais son petit trou du cul. Japprochais ma queue et doucement je pressais contre son anus. Il ne résistait pas bien longtemps et dun coup je lenculais profondément. Je commençais à bouger et je sentais le sexe de mon patron dans le vagin de ma femme. Cétait comme si je le masturbais avec ma queue. Ma femme narrêtait pas de gémir de plaisir.
« Je sens votre queue qui frotte la mienne » annonçait mon patron. Cela me fit bander encore plus et jactivais mes mouvements. Mon patron lui aussi donnait de vigoureux coups de bite dans la chatte de ma femme. Je voyais les mains de mon patron caresser ses seins. Ses tétons étaient durs et érigés. Ma femme lui donnait un sein à sucer. Je finissais par jouir au fond de son cul, mon patron continuait à la limer de plus en plus fortement. Je sentais ces coups de bite puissants au travers du vagin de ma femme. Elle, elle jouissait depuis un bon moment.
Finalement, dans un râle mon patron jouissait aussi.
Au bout dun bon moment de repos, mon patron me regardait et de me demandait :
« Comment votre femme peut-elle accepter cela, la mienne est très prude et nos ébats sont tristes et bien rares. Elle aime que je lui parle crument mais ne veux jamais passer à lacte »
« Laissez réfléchir et peut-être, aurais je une solution »
Ma femme était encore allongée sur la table, le visage défait par toutes ces jouissances. Mon patron la regardait, puis il commençait à la caresser doucement. On voyait quil prenait du plaisir à caresser ce jeune corps féminin. Il sattardait sur les seins, sur le sexe mais le tout avec une grande douceur. Ma femme avait lair dapprécier ces gestes daprès baise.
Jen étais un peu jaloux, je dois lavouer !!!
Plus tard, après un bon café, mon patron nous invitait pour un diner intime chez lui.
Suite à venir
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