Kamila Et Lotfi, Episode 4
Voix de Lotfi
Tout le temps que Kamila se faisait tirer en levrette par Ali, jétais assis sur mon fauteuil préféré, un peu à lécart de la scène, mais de manière à ce quaucun détail du spectacle ne pût échapper à mon désir de voyeurisme. De là où je me trouvais je pouvais tout voir et effectivement je me délectais de ce qui se passait sous mes yeux exorbités.
Ali était doté dun membre vraiment exceptionnel : par sa taille et surtout par sa forme. Il avait un sexe recourbé à la manière dun sabre oriental. Je nen avais jamais vu de pareil ; sauf peut-être, dans quelques vidéos pornographiques. Cette forme, me dis-je au moment où lhomme avait descendu son pantalon de jogging pour montrer le monstre à ma femme, pouvait faire de lui un instrument de pour les chattes douillettes et les culs trop étroits. Il devait faire très mal en pénétrant et en défonçant vagins et rectums.
Mais connaissant maintenant le goût pervers de ma femme pour la douleur provoquée par les manches monstrueux qui la pénétraient celui de Abdelkader, létait déjà assez jétais convaincu, avant même que la brute dAli ne commence son uvre de destruction, quelle allait adorer. Je savais quelle allait jouir comme une folle et quelle allait en redemander. Pendant toute la partie, je regardais, le cur battant très fort, les yeux brillant de lubricité et la salive dégoulinant de ma bouche, le spectacle de ma belle Kamila recevant, avec un plaisir non feint, le superbe zob de Abdelkader dans la bouche et celui, encore plus magnifique, de Ali dans la chatte.
De la place où jétais, je pouvais voir le corps nu et totalement offert de ma femme, pris entre ses deux amants, pilonné de part et dautre par les deux manches enfoncés dans sa vulve pour lun et dans sa gorge pour lautre. Je voyais ses merveilleux seins - imposants et fermes - balancer sous leffet des coups de boutoir quelle recevait des deux côtés. Je pouvais aussi voir le magnifique manche dAli entrer et sortir dentre les fesses de Kamila, tirant de la gorge de lhomme des gémissements rauques qui ressemblaient à des rugissements de lion.
Ce spectacle à lui seul me faisait bander très fort. Mais je voulais surtout voir lexpression quavait ma femme en ce moment là. Je voulais y lire tout le plaisir quelle était entrain de prendre sous les coups de boutoirs de ses hommes. Malheureusement, la présence de Abdelkader devant son visage, mempêchait de concrétiser ce souhait. Je me contentais donc pendant un long moment du spectacle déjà très fortement jouissif pour moi que javais sous les yeux et de mon imagination pour deviner ce que pouvait ressentir ma femme se faisant pilonner par les deux magnifiques zobs.
Puis à un moment précis, il se passa quelque chose qui changea la donne. Jentendis Abdelkader crier de douleur et retirer son manche de la bouche de Kamila. Elle venait de le mordre violemment ! Je ne compris pas tout de suite ce qui venait de se passer, mais pour moi, ce fut comme une bénédiction. Non seulement, je pouvais maintenant voir le visage de ma bien-aimée entrain de prendre un infini plaisir à se faire tirer en levrette et en force par Ali, mais aussi lentendre gémir, hurler et aussi prononcer ses fameuses phrases cochonnes en arabe. Ce ne fut que du bonheur ! Kamila avait joui cette fois-là plus intensément, me semblait-il, que toutes les autres fois, avec Kader tout seul ou même, avec lui et moi ensemble. Les coups de reins dAli étaient plus jouissifs que tous ceux quelle avait reçu jusque là.
Il me paraissait que cétait la forte douleur quelle ressentait à chaque pénétration du monstre dans sa vulve elle avait poussé un très fort cri de douleur à la première pénétration qui avait joué le rôle daccélérateur ou dintensificateur du plaisir quelle ressentait. Et dans les phrases quelle prononçait sous leffet du plaisir, il avait été souvent question de « zob qui faisait mal ».
Et quand Abdelkader éjacula - après une superbe branlette qui avait suivi son retrait de la bouche de ma femme - sur son visage et ses cheveux et que je vis toute la quantité de sperme épais et visqueux qui sétait étalé sur elle, je sentis mon sexe faire plusieurs soubresauts dans ma main. Cela avait encore accru mon excitation. Jai honte de le dire, mais javais une furieuse envie de me lever pour aller étaler avec ma main le jus que Kader venait déjaculer, sur le corps de ma femme et lui faire ensuite sucer mes doigts. Et cela saccrut encore plus, quand jentendis Kamila pousser un hurlement de folle et jouir longuement, sans retenue aucune.
Je vécus cette jouissance - la plus forte quelle ait eu jusquici - exactement comme si cétait la mienne. Je sentis comme une décharge électrique qui traversait toute ma colonne vertébrale et aller se loger dans mon bas ventre. Je dus arrêter de me caresser le zob, pour ne pas éjaculer, tant lorgasme frappait de manière insistante à la porte. Kamila venait de vivre un moment érotique exceptionnel ; elle en avait éprouvé un plaisir lui aussi exceptionnel. Et jétais aussi heureux quelle !
Ali jouit en dernier et le couple resta longtemps allongé par terre, pour reprendre son souffle et ses esprits. Je regardais Kamila ; cétait le bonheur personnifié. Son visage rayonnait dune immense joie ; il était lumineux et portait mêmes les signes de la béatitude. Et pourtant ses yeux me montraient, à moi qui la connaissais intimement, quelle nétait pas encore rassasiée. Quelle voulait encore être la victime consentante du magnifique membre de son nouvel amant. Je ne fus donc pas surpris quand je lentendis lui ordonner :
- Nike ni melour ! (Encule-moi !)
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Ali ne se fit pas répéter lordre de sa maîtresse.
Il se releva et se mit à genoux entre les jambes de Kamila qui était toujours allongée par terre sur son ventre. Il empoigna les hanches de la belle pour la remettre à quatre pattes devant lui. Elle se laissa faire et se retrouva les fesses en lair, à hauteur du bas ventre de son partenaire. Les immenses paluches de lhomme se mirent à caresser le cul de la femme. Elle semblait vraiment apprécier. Il avait une manière bien à lui de caresser ; contrairement à lapparence de brutalité quil donnait de lui, il était la douceur personnifiée ; du moins quand il caressait ou quand il embrassait.
De la place où jétais, je pouvais voir lexpression de son visage quand il promenait ses mains sur le postérieur de sa partenaire. Il souriait aux anges ! Et ce sourire le rendait presque beau ! Il aimait visiblement la douceur de la peau et la fermeté de la chair. Il aimait aussi le spectacle quoffrait le magnifique cul de Kamila, et il le disait sans fausse pudeur, avec son vocabulaire à lui ; simple et cru.
- Hrir ! (Cest de la soie !) Enmout ala trem kima hadhou ! (Jadore les fesses comme les tiennes !) Em amrine ! (Elles sont pleines !) Emdouwrine ! (Elles sont si rondes !) Rani enchouf fi thqabek lethnine ! Souwtek wa gaarek ! (Je suis entrain de mater tes deux orifices ! Ta chatte et ton cul !) Achhal chabbine ! (Ce quils sont beaux !) Bghit ensouwarhoum bach enchouf houm koul youm! (Jai envie de les photographier pour pouvoir les admirer tous les jours !) Khalini enbouss tramek ! (Laisse-moi embrasser tes fesses !)
Si ce nétait cette dernière demande émise presque comme une prière javais limpression que tout son discours ne sadressait en fait quà lui-même.
- Bouss trami ! (Embrasse mes fesses !) Bouss gaari ! Lahssou ! Amrouh be lebzaq ! (Embrasse mon anus ! Lèche-le ! Remplis-le de salive !) Ou ma tettouwalch etnik ni ! (Et ne traine pas pour me niquer !) Djouat metrag taek ! (Jai faim de ton gourdin !) Dekhel hou li ! Dekhlou bezzour ! (Enfonce-le moi ! Enfonce-le en force !) Wadjaani ! (Fais-moi mal !) Dekhel zebek ! Dekhlou ! Ghawel dekhlou ! (Met-le moi ! Met-le ! Fais vite, met-le moi !) Kesserli gaari ! (Défonce-moi le cul !)
Au fur et à mesure quelle parlait, je sentais que Kamila entrait dans un autre monde. Un monde de plaisir ! Un monde qui lui appartenait ! Un monde où tout ce quelle voulait, elle pouvait lavoir ! Et ce quelle voulait en ce moment, cétait de sentir limmense queue de Ali, lui défoncer lanus. Elle voulait en ressentir encore une fois la force et la brutalité ; la dureté et la douceur ; la douleur et le bien-être. Elle voulait sentir son cul rempli par le monstre et le garder en elle le plus longtemps possible. Et tout cela, elle le lui disait elle le lui criait même - avec ses mots crus.
Ali nétait pas en reste. Il avait rapidement pris la mesure du cul de ma femme et lavait pénétré sans ménagement, lui faisant pousser un énorme cri de douleur. Elle avait eu très mal et elle le lui dit. Non pour sen plaindre ; ou pour quil arrête ; ou pour quil fasse plus attention ; cétait au contraire pour quil continue de la même manière et, sil le pouvait, en lui faisant plus mal encore !
- Zid hak dhak ! Zid wedjaani ! Zid nik ni bezzour! (Continue comme cela! Continue de me faire mal ! Continue de me niquer brutalement !) Edjbed li emsarni ! (Sors moi les boyaux !) Zebek ahdid ! Zebek ahdid ! Enhab zboub kima entaek ! (Ton zob est en acier ! Ton zob est en acier ! Jadore les zobs comme le tien !)
Ali aiguillonné par la voix de sa maîtresse se lâcha complètement. Il tirait furieusement sur ses bras et enfonçait son manche le plus loin quil pouvait aller dans le cul de Kamila. Il ne parlait plus. Il avait lair farouche dun combattant qui menait une bataille dont devait dépendre sa vie. Il tirait de plus en plus fort, poussait son bassin jusquà ce que son bas ventre vînt cogner contre les fesses de la femme, en produisant comme un claquement sec ; puis il revenait à lentrée, ressortait complètement son manche jusquà une dizaine de centimètres de lanus et repartait au fond du cul, avec encore plus de force. A chaque pénétration, il poussait un énorme rugissement qui emplissait tout lespace et se répercutait sur les murs du salon.
Kamila, à chaque coup de bélier du monstre, poussait des cris qui étaient un mélange de douleur et de plaisir. Je voyais sur son visage, qui me faisait face, autant de douleur que de plaisir. Mais ses yeux brillaient de mille feux. On aurait dit un feu dartifice. Je me disais quelle était entrain de vivre des moments exceptionnels ; quelle en était consciente et quelle cherchait à en profiter au maximum. Elle criait et elle parlait.
- Aiiiieeee ! Zid li ! Ziiiiiiid ! Zid adjbed bezzour! Hakdhak ! Zid ! Mlih ! Mlih! Yemma chhal mlih !Aiieee! (Encore! Encooooore! Tire encore plus fort! Comme cela! Encore ! Cest bon ! Cest bon ! Maman comme cest bon !
) Gaari yehrag ! Nheb ki gaari yehrag ! Zid hragni ! Hakdhak ! Yemma achhal enhab zeb hadha! Yeqtelni ! Eqtelni ! Bghit enmout be zebek fi gaari ! (Mon cul me brule! Jadore quand mon cul me brule comme cela ! Brule-moi encore ! Oui, comme cela ! Maman comme jaime ce zob ! Il me tue ! Tue-moi ! Jai envie de mourir avec ton zob dans le cul !)
Ma merveilleuse Kamila était totalement dans son plaisir. Elle en demandait encore plus. Elle voulait que cela dure toute léternité. Elle était heureuse ! Et moi aussi jétais heureux. Je profitais du plaisir que prenait ma femme sous les furieux coups de reins de son amant. Il me semblait que je jouissais autant quelle, bien que je restasse bien tranquille dans mon coin, entrain de caresser doucement mon manche super dilaté. Jétais certain que je naurais pas joui avec autant dintensité si cétait moi qui étais à la place de Ali. Je navais pas besoin de la pénétrer, ni même déjaculer en elle, pour prendre mon plaisir. Il me suffisait de la regarder et de lentendre jouir. Il me suffisait de ne pas perdre un gramme du spectacle qui se jouait devant moi.
Les deux amants jouirent très fort, presque en même temps. Kamila en continuant de crier son plaisir (elle voulait faire savoir au monde entier quelle jouissait comme une folle et quelle voulait que cela recommence immédiatement après) et Ali en poussant un rugissement de lion, qui dura tout le temps quil éjacula ; cest-à-dire longtemps ! Ce fut ma femme qui saffala la première, entrainant avec elle son amant qui saffaissa sur son dos. Je les entendais qui essayaient de reprendre petit à petit leur respiration. Ali se reprit le premier et se mit à embrasser tendrement Kamila sur la nuque et sur la joue droite. Je nentendais pas ce quil lui disait à loreille, mais à lair quils avaient tous les deux un air damoureux heureux - jétais sûr quil lui déclarait sa flamme ; quil lui disait quil laimait ! Et combien je le comprenais ! (Il était impossible, me dis-je, de ne pas aimer une telle femme !)
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Je ne pouvais pas me voir, mais je sentais que javais la bouche grande ouverte qui dégoulinait de salive et les yeux exorbités. Je devais ressembler à ces satyres que lon voit dans les illustrations de livres ! Je devais faire peur ! Surtout dans ma position assise, le pantalon de jogging abaissé sur les mollets et le zob en érection dans ma main droite. Tout en regardant le spectacle, je me branlais tout doucement, de manière à maintenir lexcitation et à la faire durer tout le temps que durerait la scène des deux amants, entrain de prendre leur pied devant moi.
Souvent, depuis quelques mois, quand il marrivait dy réfléchir à tête reposée, après une scène identique, il marrivait davoir des remords. Ils ne se manifestaient pas clairement ; je ressentais seulement comme un poids sur le cur ; une boulle au fond de ma gorge. Des idées noires me traversaient soudain lesprit et me disaient que je devais avoir honte. Honte dêtre cocu ! Et surtout honte daimer ça et den redemander ! Tahhan ! - Cocu ! - était la plus grande insulte que lon pouvait faire à un mari. Et moi jadorais être tahhan ! Ces idées noires et ces réflexions ne duraient que quelques secondes et disparaissaient aussi vite quelles étaient arrivées. En regardant ma merveilleuse femme, tout redevenait normal ! Jétais heureux ! Heureux quelle prenne autant de plaisir ! Heureux dêtre cocu !
Mais un autre spectacle vint rapidement attirer mon attention et me conforter dans mes préférences érotiques. Abdelkader, dont javais complètement oublié lexistence et qui sétait fait volontairement oublier tout le temps que dura la sodomisation de Kamila par Ali, était lui-même assis sur un autre fauteuil à lautre bout du salon et avait suivi toute la scène dans les mêmes conditions que moi. Je voyais son visage illuminé comme sil venait de vivre un moment de bonheur exceptionnel. Il avait les yeux fixés sur le couple entrain de se dire des mots doux, que ni lui ni moi nentendions ; ils brillaient de tendresse ! Et il tenait son énorme manche dans sa main droite et était entrain de se caresser doucement ; exactement comme je le faisais moi-même ! Je venais subitement de comprendre que lhomme avait pris autant de plaisir que moi en regardant ma femme notre femme, avait-il dit tantôt baiser avec son nouvel amant. Je comprenais maintenant pourquoi, il avait tout fait pour la mettre entre les bras de Ali. Il sétait, depuis quil était avec nous, découvert un tempérament de candauliste !
La seule différence entre nous, cétait que lui il ne voulait pas se contenter du plaisir que lui procurait lexcitation et lérection quelle entrainait. Il voulait participer à la scène. Il se leva donc de sa place, le zob toujours dans sa main droite, et sapprocha du couple.
- Bghit haqi ! (Je veux ma part !) Bghit ennik ! (Je veux baiser !) Akhroudj men gaar ha ou khalini plaça ! (Sorts de son cul et laisse-moi la place !) Arrouahi hanounti ! Arrouahi aand radjlek ethani! aatilou fomek inikek mennou ! (Viens ma chérie ! Viens chez ton deuxième mari ! Donne-lui ta bouche, il va te baiser par là !)
Il avait appelé Kamila sa « deuxième femme ! ». Notre femme ! Il se comportait avec elle exactement comme moi-même je le faisais ! Comme un mari cocu et heureux de lêtre ! Au son de la voix de Abdelkader, elle tourna la tête et le vit debout devant la masse encore compacte quelle formait avec son amant, le manche tendu comme un glaive dans sa main droite. Elle eut son merveilleux sourire de chatte gourmande et de sa voix rauque elle dit :
- Machi mel foum ! Men gaari ! Ou Ali men saouti ! Ou Lotfi ye chouff bark ! (Pas par la bouche ! Par le cul ! Et Ali par la chatte ! Et Lotfi continuera de regarder !)
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Voix de Kamila
Avec Ali je venais de découvrir une autre facette de lérotisme : le plaisir procuré par les pénétrations douloureuses. AEK mavait quelque peu déjà initié aux pénétrations qui font mal ; il mavait souvent fait mal avec son immense queue. Mais pas de la même manière que mon nouvel amant. Avec ce dernier, il sagissait dune douleur permanente provoquée par la forme particulière de son sexe - un sexe recourbé qui remplissait complètement mes trous et qui frottait vigoureusement et sans discontinuer les parois de mon vagin ou de mon rectum. Les frottements me brulaient littéralement les conduits, me faisaient de plus en plus mal et, surtout, provoquaient en moi une extase dune intensité que je navais encore jamais connue.
Ali était un vrai taureau au lit. Il avait une force phénoménale, quil nhésitait pas à utiliser au cours de nos ébats. Il savait quil agissait avec brutalité et que chacun de ses coups de reins provoquait en moi une forte douleur. Il entendait les cris que je poussais à chaque pénétration. Et cela lexcitait encore plus. Il recommençait avec encore plus de brutalité et plus de force. Entre ses bras puissants, jétais à sa merci, comme une poupée quil pouvait briser à tout moment. Au cours des deux séances précédentes, Ali me pénétra en levrette, puis me sodomisa. A chaque fois, son merveilleux sabre avait accompli consciencieusement son uvre de démolition de mes deux tunnels. Dès la première pénétration, javais ressenti une très forte douleur je navais pas pu mempêcher de hurler. Mais presquaussitôt, par je ne sais quel miracle, celle-ci se transforma en plaisir.
Je navais encore jamais ressenti une telle sensation. Javais aimé auparavant la force du manche de AEK et même la douleur quil provoquait de temps en temps surtout la première fois dans mon anus mais jamais je naurais pensé que jallais devenir accro au couple douleur/plaisir. Je navais jamais eu auparavant de tendance masochiste. Et même maintenant, je suis convaincue quil ne sagissait pas de cela. Ce que jaimais, cétait avant tout les sexes de très fortes dimensions, avec une érection exceptionnellement longue javais souvent fantasmé sur des immenses zobs qui auraient eu un squelette osseux pour ne jamais débander. De tels sexes me remplissaient complètement mes trous et ne laissaient aucun espace libre. Jadorais cette sensation de tunnels pleins ; elle me procurait un immense plaisir. Ils pouvaient me procurer plusieurs orgasme successifs, rien quen restant ainsi dans mon vagin ou mon rectum. Sans même bouger.
Et quand un de ces zobs celui de Ali en était un excellent prototype se mettait à aller et venir dans mon tuyau avec force et frotter avec vigueur contre la paroi, il ne pouvait que faire mal. Mais cette douleur était atténuée par le plaisir de sentir ma cavité complètement remplie. Dailleurs, chaque fois que lacte était terminé et que le zob sortait de mon trou quel quil fût je ressentais immédiatement comme un vide ; et il me fallait très vite combler ce vide. Il me semblait aussi que cétait la raison pour laquelle jétais entrain de devenir une vraie nymphomane. Je nétais jamais rassasiée ; il me fallait toujours plus de sexe. Chaque fois quun de mes amants sortait de moi, il fallait quil reparte à lassaut ou quun autre amant le remplaçât.
Ce fut dailleurs cette caractéristique qui allait nous amener plus tard, AEK, Lotfi et moi, vers dautres aventures érotiques au cours desquelles, mes deux maîtres allaient moffrir à plusieurs hommes à la fois. Je les avais amenés sur cette voie en criant souvent au cours de nos ébats, quil me fallait dautres hommes et dautres zobs pour contenter la nymphomanie qui commençait à sinstaller en moi. Mais cela est une autre histoire que je raconterais un peu plus tard.
Pour le moment, jen étais encore à ma première aventure avec Ali et AEK. Abdelkader, mon premier amant qui prétendait maintenant être devenu mon deuxième mari avait assisté sans intervenir à mes premières relations sexuelles avec Ali. Il avait assisté à limmense plaisir que javais pris sous les coups de boutoir du magnifique zob de son ami. Il mavait entendu crier mon bonheur dêtre possédée avec autant de force. Cela lui avait beaucoup plu et lui avait procuré un plaisir intense ; exactement comme celui que le même spectacle avait procuré à Lotfi. Mais avec ce dernier, javais lhabitude. Ce nétait pas encore le cas avec AEK. Je le croyais possessif et jaloux. Je venais de découvrir mon erreur. Et du même coup, je venais de comprendre la raison profonde qui lavait amené à moffrir à son ami. Il voulait vivre les sensations quavait eues Lotfi - mon mari - en me regardant me faire tirer par lui. Il venait de se découvrir une tendance au candaulisme, comme Lotfi. Je venais aussi de comprendre, pourquoi, il me considérait comme sa femme.
Mais contrairement à Lotfi qui pouvait se contenter de limmense plaisir quil prenait en regardant mes ébats avec un amant, AEK lui, voulait participer, en acteur, au spectacle. Il voulait jouir en moi. Il avait envie de me baiser par la bouche et y éjaculer tout ce quil avait emmagasiné comme sperme. Mais moi, je voulais autre chose. Je voulais continuer de sentir mes orifices remplis par dimmenses zobs. Et lintervention de AEK qui voulait prendre la place de Ali et me baiser par la bouche, avait instantanément provoqué en moi le désir de les avoir tous les deux en même temps. Dans mes deux trous ! Je ne pus mempêcher dintervenir pour décider de la suite du programme.
- Machi men foumi ! Men gaari ! Ou Ali men saouti ! Ou Lotfi ye chouff bark ! (Pas par la bouche ! Par le cul ! Et Ali par la chatte ! Et Lotfi continuera de regarder !)
Ali qui était entrain de reprendre son souffle, affalé sur mon dos, se releva. Il ne dit rien ; ses yeux étaient interrogateurs. Il navait pas très bien compris ce que je voulais et surtout, il devait se demander comment cela pouvait se faire ; par les deux trous en même temps, cela signifiait que les deux hommes devaient me baiser en même temps. Ali navait encore jamais participé à une double pénétration. Lidée lui plut, mais il ne savait pas comment sy prendre. Il nous regardait sans rien dire. Ce fut AEK qui prit les choses en main.
- Mel foug oula mel taht ! (Dessus ou dessous!) Ana mel foug ou enta mel that! (Moi dessus et toi dessous!)
Abdelkader demanda à son ami de sallonger sur le dos sur le carrelage. (Il mavait souvent dit quil aimait faire lamour directement sur le sol ; cela lui procurait plus de plaisir que sur le canapé et même sur le lit.) Ali obéit sans rechigner. Son manche était encore en érection, malgré les deux fortes éjaculations quil avait eues tantôt. Je salivais déjà rien quà lidée que jallais mempaler sur limmense sabre recourbé. Je lui demandais de le redresser pour quil soit à la verticale, et vint lenfourcher comme une amazone affamée. Je positionnais le gland entre mes grandes lèvres et, le cur battant et lâme pleine de gourmandise, je me laissais tomber sur les cuisses de mon homme, mempalant ainsi avec force sur le sabre dressé. Je ressentis encore une fois la délicieuse douleur de la pénétration du monstre, dont la forme particulière le fit entrer de biais et alla racler furieusement la paroi de mon vagin.
- Wahhhhh ! Achhal mlih ! Ana li ennikek dhork ! (Wahhh ! Comme cest bon ! Maintenant cest moi qui te nique !) Naref ennik ! Nheb ennik ! Nheb endji foug radjli ! (Je sais baiser ! Jadore baiser ! Jaime quand cest mois qui suis au dessus de mon homme !)
Tout en hurlant ainsi des tas de cochonneries qui ajoutaient à mon excitation, je faisais monter et descendre mes hanches, de manière à faire pénétrer très profondément le sabre de Ali dans mon vagin. Je coulais comme un robinet et je voyais les couilles de mon homme se remplir de mon jus. Quel spectacle érotique que tout ce liquide visqueux qui tombait sur les testicules de mon partenaire et qui allait se répandre par terre ! Ali était aux anges ! Il ne disait toujours rien. Il avait tendu les bras et mavait saisie par la taille pour mieux accompagner les mouvements montants et descendants de mes hanches. Il avait les yeux qui brillaient de mille feux et de la bave qui coulait en abondance de sa bouche. Je me disais que si je continuais ainsi à chevaucher le sabre de mon amant, je nallais pas tarder à décharger. Or ce nétais pas encore ce que je voulais.
Ce que je voulais, cétait que AEK participe à laction en menculant. Je voulais une double pénétration denfer ! Et jeus une double pénétration denfer ! Kader qui sétait placé derrière moi intervint pour mempêcher de continuer mes mouvements montants et descendants sur le manche de Ali. Il maintint mes hanches en position haute et je sentis un doigt qui testait le degré de lubrification de mon anus. Le doigt pénétra sans effort. Il le ressortit presque immédiatement pour le remplacer par le gland de son sexe. Je le sentis qui se positionnait doucement. Et la brusque poussée qui suivit fit pénétrer violemment tout le zob jusquau fond. Malgré que mon anus fût devenu très large, à force de recevoir de magnifiques zobs, la pénétration de AEK me fit très mal.
Je sentais maintenant les deux monstres en moi. Jai toujours adoré les doubles pénétrations. Mais jusquà maintenant, je navais connu que celles réalisées par AEK et Lotfi. Elles mavaient transportée jusquau plus haut sommet du plaisir. Mais celle que je vivais en ce moment était encore plus jouissive ! Ali qui avait compris ce quil fallait faire, maintenait mes hanches à la hauteur quil fallait pour pouvoir entreprendre lui-même les mouvements montants et descendants pour faire pénétrer son sabre jusquau plus profond de mon vagin. Et il y allait vaillamment, avec sa force colossale. AEK en faisait de même dans mon cul. Et les deux monstres allaient et venaient dans mes trous, ramonant tout sur leur passage et se frottant lun à lautre en se croisant.
Je sentais que jallais mourir de plaisir ! Je narrivais même plus à prononcer tous les mots et toutes les phrases qui se bousculaient dans ma tête. Je voulais exprimer tout ce que je ressentais par des mots ; mais ceux-ci mourraient sur mes lèvres. La seule chose que jarrivais à faire, cétait de pousser des gémissements et des cris qui mélangeaient plaisir et douleur. Le plaisir intense que me procuraient deux magnifiques zobs qui limaient mes orifices ; la douleur aussi douce que du miel ! que me procurait à chaque fois la double pénétration des supers zobs.
Mes amants eux-aussi étaient plongés dans un monde de plaisir intense. AEK poussait des han de bûcheron en pilonnant furieusement mon cul. Je sentais ses mains puissantes accrochées à mes hanches et qui tiraient avec force pour essayer denfoncer encore plus loin son manche dans mon rectum. A chaque fois, ses cuisses claquaient comme un fouet contre mes fesses, ajoutant encore une dose supplémentaire dérotisme au spectacle. Ali, comme à son habitude ne disait rien. Il rugissait de plus en plus fort au fur et à mesure que le plaisir quil prenait à me tirer sintensifiait. Je le voyais qui envoyait avec force son sabre à lintérieur de ma chatte, en soulevant brusquement ses hanches. Il essayait daller le plus haut possible et sarrêtait un moment en bout de course ; et puis il relaissait tomber ses hanches, avant de recommencer.
Tous les trois nous étions au paradis ! Je voyais mon amant den dessous qui bavait de plaisir et qui semblait être sur le point de lâcher son foutre. Je voyais son visage se crisper et ses lèvres se tendre jusquà devenir toutes blanches. Ses rugissements devenaient plus sourds et plus rapides. Ses allers-retours saccéléraient et sa respiration devenait plus difficile.
Dans mon dos, je sentais que mon amant du dessus était aussi sur le point de jouir. Ses doigts étaient crispés sur mes hanches et je sentais que ses ongles avaient pénétré la chair. Ses han étaient plus rapides; tout comme ses coups de reins. Je savais quil ne pouvait plus se retenir.
Et moi aussi je sentais arriver lorgasme. Je le voyais exploser en moi en partant de mon bas ventre et de lintérieur de mon cul et en rayonnant sur tout le reste de mon corps. Je poussais un énorme râle de démente et donnais ainsi le top départ à nos trois jouissances. Ali poussa lui un rugissement plus fort que les précédents et envoya un jet de spermes brulant dans ma chatte. Je le sentis qui ressortait et aller sétaler sur ses couilles. AEK , cria quil allait jouir et menvoya lui aussi un premier jet de sperme tout aussi brulant à lintérieur de mon anus ; je le sentis lui aussi ressortir et aller se mélanger à celui dAli, sur les couilles de ce dernier. Et moi je déchargeais une quantité incroyable de cyprine, qui alla elle aussi se mélanger au sperme de mes amants.
Une idée, que je trouvais très érotique sur le moment, me traversa lesprit. Je voulais que Lotfi vînt se mêler à nous et éjaculer sur moi.
- Lotfi arouah etfaragh fiya ! Aatini nechrob ! Aatacht ! (Lotfi vient te vider en moi ! Donne-moi à boire ! Jai soif !)
Et Lotfi vint. Il avait toujours son zob dans la main. Mais cette fois, il se branlait vigoureusement. Lidée de se vider dans ma bouche lavait émoustillé. Il vint se placer à genoux devant moi, me prit le menton pour me faire lever la tête et plaça son membre devant ma bouche tout en continuant de se branler fortement. Il ne mit pas longtemps à jouir. Il menvoya une première giclée à lintérieur même de la bouche et le reste sur la figure et le cou. Il souriait de toutes ses dents. Il semblait vraiment heureux.
En fait nous étions tous les trois très heureux. AEK éjacula une tonne de sperme dans mon cul et sur mes fesses, puis saffala sur mon dos. Ali lui aussi éjacula beaucoup moins, parce quil ne lui restait pas grand-chose - et mattira sur lui pour menlacer et garder son sexe, qui avait ramolli, en moi. Moi, jétais au bord de la syncope tant javais joui. Je narrivais plus à respirer normalement et mon cur devait battre à plus de deux cents coups minute. Je me laissais aller entre les bras de Ali et faillis mendormir, tant je me sentais bien entre lui et AEK.
Quand nous reprîmes nos esprits, nous nous levâmes pour nous assoir sur le canapé. Je dégoulinais littéralement de sperme. Jen avais partout : sur le bas ventre, évidemment, mais aussi sur le visage et sur le cou ; sur les cuisses et sur les fesses ; sur le ventre et sur la poitrine.
- Achhal enheb enchoufek hakdha ! Maamra be zal ! Bghit tegouaadi hakdha hetta ghedwa ! (Comme jaime te voir ainsi ! Pleine de sperme ! Jaimerai que tu restes comme cela jusquà demain. !)
Cétait Lotfi qui me parlait ainsi. Je voyais ses yeux qui brillaient de bonheur en me regardant. Il me semblait quil bavait devant le spectacle de sa femme baignant dans du sperme; le sperme de ses amants, mélangé à celui de son mari. Ce soir là, pour faire plaisir à mon mari, je ne pris pas de bain ; je restais ainsi et mendormis entre ses bras, avec du sperme plein le corps. Toute la nuit, je le sentis qui me caressait et qui jouait avec le sperme qui avait fini par sécher. Jen étais très émue. Lotfi était vraiment le mari quil me fallait ! Avec lui javais décroché le gros lot !
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