Un Souhait Non Réalisé (1)
Aujourdhui, je vais vous raconter une histoire qui mest arrivée il y a plus de 20 ans en Bretagne. Cest une histoire que je regrette, parce quelle na pas eu la conclusion que je désirais en mon fort intérieur et aujourdhui encore, je me dis que je suis passé à coté de quelque chose. Aussi, je me suis dit pourquoi ne pas imaginer la suite, celle que jaurai aimé en fait.
Allez, je me lance.
A cette époque, javais 20 ans, jétais célibataire dans cette grande ville de Brest et je ne connaissais personne. Jétais célibataire, absolument sur de mon hétérosexualité mais dun naturel plutôt timide. Je nétais tout de même pas introverti mais javoue que je préférais plutôt me laisser aborder par les filles à lépoque. Alors mes soirées étaient très calmes la plupart du temps et mes dimanches, je les passais à découvrir la ville de Brest.
Il y avait un parc prêt de la gare, jaimais cet endroit et je passais mes dimanches après midi à lire sur un banc (quand il ne pleuvait pas). Jadorais cet endroit car je le trouvais apaisant. Mais ce parc avait aussi une autre réputation (je ne lai su que plus tard).
Un dimanche après-midi, vers 15H00, alors que jétais tranquillement assis à un banc à regarder le ciel, un homme est venu maborder. Il a engagé la discussion de façon naturelle, sur la pluie et le beau temps. Il sest intéressé à moi, à ce que je faisais. Allez savoir pourquoi, je trouvais sa voie sensuelle et elle me faisait un certain effet. Jétais troublé par lui, par sa présence. Je me suis senti toute chose. Aussi quand il ma demandé de poursuivre la discussion autour dun verre dans un bar, je nai pas pu refuser. Dans sa voiture, la conversation a continué mais jétais subjugué par sa voie. Mon esprit sest alors mis à vagabonder. Il sest aperçu de mon trouble mais il na pas eu de geste déplacé envers moi.
Arrivé au bar, après avoir commandé, il sest mis à me faire du pied sous la table, légèrement.
Dans sa voiture, javais la queue toute enflée de désir, ma bouche salivait, mon esprit ailleurs.
Sa main de temps à autres effleurait ma cuisse. Mais mon trouble était grand, si grand que jai alors pris la décision de ne pas continuer cette expérience. Je le lui ai alors dis. En gentleman quil était, il ma alors déposé prêt du parc où nous nous étions rencontrés deux heures plus tôt. Je ne lai jamais revu.
Aussi par la suite, jai beaucoup pensé à ce qui aurait pu se passer si jétais resté. Jen ai supposé deux scénarios. Je vous raconte le premier aujourdhui.
Sa main continuait de meffleurer la cuisse, remontant doucement vers le haut de celle-ci. Sa voix, à la fois virile et suave, provoquait chez moi une excitation, faisant naître de nouvelles envies. Mais jétais troublé et anxieux. Il sen était aperçu et mannonça le plus simplement du monde :
« je pense que tu ne las jamais fait avec un homme, je devine malgré tout une profonde envie chez toi de le découvrir. Si tu en as vraiment envie, dis le moi, si tu as des craintes, dis le moi. Je te rassure tout de suite, je ne te forcerai jamais. Mais si tu continues, je vais te faire connaître des horizons de plaisirs que tu ne connais pas. Alors veux tu me suivre ? Sache que tu pourras me dire stop à tout moment »
Je me surpris à lui répondre par un oui timide.
« Ne tinquiètes pas, laisse toi aller et tu verras, ce sera bon et peut être que tu ne pourras plus ten passer »
Nous sommes arrivés au parking de sa résidence. Il minvita à sortir et cest alors que jai senti sa main se poser sur mes fesses. Sans le vouloir, jai cambré mon cul afin de bien sentir cette caresse.
« mmm, ton cul est bien ferme, je suis sur que tu en meurs denvie »
Je nétais plus moi même, mon corps avait pris possession de mon esprit.
« tu es serré mais je vais arranger cela »
Il serra ma queue de son autre main puis se mit à la branler. Je fermais les yeux, mabandonnant à ses caresses.
Larrivée à létage me surprit, je dus remonter mon pantalon rapidement mais par chance il ny avait personne sur le palier. Mon bel homme eut une petite pointe de déception mais sans plus. Dans son appartement, il mindiqua son sofa en me disant de prendre mes aises. Je nétais pas à laise mais excité tout de même. Il me proposa de boire un verre, je lui demandais un whisky coca. Tout en le dégustant, je sentais son regard sur moi et au bout dun moment il me demanda de me déshabiller, ce que je fis.
« Pas mal, mais je voudrais modifier une ou deux choses. Allons dans la salle de bain »
Il me fit entrer dans la baignoire.
« Je vais te raser les fesses, le sexe et le peu de poil que tu as sur ta poitrine. Ensuite tu prendras une douche avec les produits que je vais te donner. Ils vont rendre ta peau douce à la caresse. »
Il sarma alors de son rasoir et de mousse à raser. Il sappliqua longuement à me raser, pas un centimètre carré de ma peau néchappa à son rasoir. Les fesses, entres mes fesses, mon sexe, ma poitrine, je bandais à en avoir mal. Personne navait pris autant soin de moi jusquà présent . Il me rinça puis mindiqua les différentes crèmes de douche que je devais utiliser.
« Prend ta douche tranquillement mais ne tarde pas. Ensuite rejoins moi dans le salon, je ty attendrai. Petite précision, à partir de maintenant, tu ne portes aucun vêtement, tu nen auras pas besoins dans les prochaines heures»
Je mexécutais. Ses crèmes me firent le plus grand bien. Je me séchais puis je le rejoignis dans le salon.
« tu ne las jamais fait avec un homme. Ouvre donc mon peignoir et regarde la surprise quil tattend »
Je mexécutait et jy découvris une queue, une superbe queue bien décalottée, épilée et de belle proportion.
« Tu veux me sucer ? »
Sans répondre je la pris dans mes mains pour le branler un peu puis ma tête se pencha vers elle et je la mis dans ma bouche. Cétait une première, je me retrouvais à sucer un homme. Jy pris beaucoup de plaisir. Il me guidait en plus, me complimentant sur ma manière de faire. Elle était dure dans ma bouche, son gland doux sous ma langue, je lui caressais les couilles du bout des doigts. Il ne resta pas inactif non plus. Sa main se mit à flatter ma croupe, un doigt inquisiteur se glissa entre mes fesses, pour tester ma rondelle. Puis il me fit arrêter ma pipe et me coucha sur le dos, sur le sofa. Sa tête glissa entre mes jambes, ses mains écartèrent mes fesses et sa langue se mit à jouer avec mon intimité. Quelle sensation, cette langue qui me fouillait littéralement la rondelle, je me mis à gémir de plaisir. Je mabandonnais à ses caresses, nouvelles pour moi mais si agréable. Aucune expérience avec les filles que javais pu avoir ne mavait fait connaître un tel délice. Javais les jambes en lair, mon cul souvrait sous ses coups de langue. Il glissa un doigt à lintérieur, puis deux, jai eu un petit mouvement de recul (lappréhension peut être) mais sa bouche sempara de ma queue pour me faire oublier cela.
« Tu aimes cela, petite coquine »
« Oh oui, continue, baise moi »
« Sois patiente, bientôt tu va la sentir entrer en toi »
Il continua sa délicieuse , je nen pouvais plus, mes mains maintenaient sa tête entre mes fesses, je voulais quil entre plus loin en moi.
« Es tu prête ? » me demanda til
« Oui »
« Dis moi ce que tu veux »
« Baise moi, baise moi avec ta queue »
Il se mis assis sur le sofa, mentraîna à lui en me faisant tourner le dos à lui. Puis il guida sa queue entre mes fesses jusquà la sentir à lentrée de mon cul. Il me fit exercer une pression et je me laissais aller. Une légère douleur se fit sentir mais sa main se mit à me branler un peu. Je contrôlais cette pénétration. Je descendis doucement sur cette colonne de chaire et à la fin je sentis ses couilles contre mes fesses. Javais en moi toute sa queue. Il me bascula sur le coté et commença alors à me limer en douceur. La douleur avait disparu, laissant la place à des ondes de plaisir qui montait du plus profond de moi. Je me mis à gémir sous ses coups de queues qui devenaient de plus en plus vigoureux. Je me sentais femelle, chienne, salope, soumise à son mâle. Sa queue me remplissait, elle me faisait grimper au septième ciel. Ses coups de reins étaient puissants, virils. Il se retira dun seul coup, me laissant avec une sensation de vide. Il me fit mettre à quatre pattes, le cul bien en lair. Il me reprit avec force et virilité, me claquant les fesses avec ses cuisses. Mon cul allait à sa rencontre de ses coups de boutoir, des ondes de plaisirs montaient de mes reins, jhurlais de plaisir comme une petite chienne, je me sentais très salope à ce moment là, mon mâle me baisait avec force, virilité et vigueur, jaurais fait nimporte quoi à ce moment pour lui faire plaisir. Mais il sest contenté (si on peut le dire) de mon cul. Il me rendait folle, femelle, salope, chienne, avide de sa queue. Je nen pouvais plus, le plaisir irradiait de mon cul. Cest alors que la jouissance me surprit, me terrassant littéralement sous ses puissants coups de reins. Mon mâle venait de me faire connaître un plaisir si divin que je savais que je ne pourrais plus men passer. Ses râles de plaisir se faisait plus fort, jai alors eu limpression que sa queue grossissait dans mon cul. Il se retira alors, enleva la capote et il se mit à juter sur mes fesses. Son foutre était abondant, cela coulait sur les cuisses. Il étala avec sa queue son nectar puis la présenta à ma bouche en me disant, ou plutôt en mordonnant :
« suce là et nettoie bien avec ta langue petite pute. Tu mas fait jouir, ton cul est trop bon à baiser »
Je me suis jeté sur sa queue, lapant son foutre comme la chienne que jétais.
Il me caressa les cheveux et me dit à ce moment :
« je nen ai pas encore fini avec toi. Tu baises bien, tu es un bon coup, je vais encore te faire jouir du cul, si tu le veux bien »
Ce mélange entre le gentleman et lautorité me fit encore fondre et je lui répondit de nouveau par un petit oui.
« Retourne dans la salle de bain pour te nettoyer. Ensuite rejoins moi dans la chambre. Jai senti que tu étais une vrai femelle dans le feu de laction. Dépêche toi »
La suite au prochaine épisode (si vous le voulez toujours bien)
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